samedi 5 février 2022

Il est vrai que ZEMMOUR par ces bavardages et plateaux télé, divers se disperse en explications qu'il faut souvent décoder entre le vrai et le faux !?

 

EXCLUSIF. La campagne Pécresse recense les « sympathies nazies » de l’équipe Zemmour

Dans une note transmise à ses militants, l’équipe de la candidate détaille le passé trouble de nombreux soutiens et membres du parti Reconquête !.

Vous, les journalistes, vous savez peut-être… Mais les Français ne savent pas ! Il est temps d'ouvrir les yeux sur la réalité d'Éric Zemmour et de ses proches », tempête l'un des cadres de la campagne de Valérie Pécresse, excédé de voir sa candidate malmenée à coups de « boules puantes et de fake news » lancées par l'entourage du candidat de Reconquête !. Après la diffusion en masse sur les réseaux sociaux de vidéos accusant certains des soutiens de la présidente de la région Île-de-France d'« islamo-droitisme », ses proches sont entrés en mode riposte. « Ce n'est pas une équipe qu'il y a autour de Zemmour, c'est une milice ! » attaque un membre de l'équipe de campagne. À la veille du grand meeting de l'ancien polémiste à Lille, une note détaillée a été adressée ce vendredi aux porte-parole et relais de la campagne LR, que Le Point s'est procurée. Son titre est lapidaire : « Les sympathies nazies d'Éric Zemmour ».

Le « candidat de la fusion des extrêmes droites »

Dans un propos liminaire au vitriol, l'équipe accuse l'ancien journaliste d'être « le candidat de la fusion des extrêmes droites », dont le parti serait devenu « le point de ralliement de militants et de groupuscules les plus radicaux » : « À moins de deux mois du premier tour, Éric Zemmour a reçu le soutien de la plupart des formations d'extrême droite radicale en marge ou exclues du Front national : du Parti de la France, parti néofasciste et comptant de nombreux skinheads dans ses rangs, aux anciens mégrétistes, en passant par des militants identitaires et d'anciens militants néopaïens issus notamment du Grece », détaille le document, destiné à nourrir les interventions médiatiques des soutiens de Valérie Pécresse dans les prochains jours.

Valérie Pécresse tacle Marine Le Pen et Zemmour, « ami » de Ramadan

Suivent les portraits détaillés et les états de service de quinze personnalités ayant rejoint l'état-major du candidat nationaliste, ou lui ayant manifesté publiquement leur soutien. Parmi les cadres du nouveau parti Reconquête !, qui compte déjà 95 000 adhérents, les petites mains de la riposte ciblent le responsable des investitures aux législatives Philippe Schleiter, ex-militant du FN et ex-dirigeant du mouvement de jeunesse du MNR de Bruno Mégret, mais surtout « neveu du négationniste Robert Faurisson, avec qui il n'a jamais rompu » ; Damien Rieu, ex-porte-parole de Génération identitaire et aujourd'hui chargé de la campagne numérique d'Éric Zemmour, organisateur de « patrouilles antiracailles » et partisan de la « remigration » ; Philippe Milliau, coordinateur de la campagne de Zemmour en Bretagne et ancien militant du Grece et du Bloc identitaire, aujourd'hui président de la webtélé TV Libertés ; Franck Buleux, « référent Normandie de Reconquête ! », directeur des Cahiers d'histoire du nationalisme et lié à une maison d'édition révisionniste ; Tristan Mordrelle, qui aurait levé des fonds pour la campagne de Zemmour, fils d'un ancien collaborateur et ancien gérant d'une librairie révisionniste, qui édita « la première traduction française du Mythe du XXe siècle de l'idéologue nazi Alfred Rosenberg ».

Des fans embarrassants

Émaillée de photos et de liens, la note détaille ensuite les parcours de soutiens affichés, dont Éric Zemmour n'a pourtant pas sollicité l'appui. Y figurent des anciens du MNR de Bruno Mégret, le président du Parti de la France Thomas Joly, qui affirme « échanger régulièrement par SMS avec Éric Zemmour », une information confirmée par le candidat « sur le plateau de LCI »… Le secrétaire général du même parti Bruno Hirout, fervent admirateur du maréchal Pétain, qui avait eu le bon goût, en 2014, de se prendre en photo devant un bidon de Zyklon B, le gaz de la Solution finale, au cours d'un barbecue avec des amis nationalistes.

Sont encore évoqués le leader des Zouaves, ce groupuscule ayant agressé des militants de SOS Racisme en marge du meeting de Villepinte, un militant suprémaciste, le dirigeant du Parti des Européens Thomas Ferrier, ou encore Hervé Ryssen, essayiste négationniste « condamné à de multiples reprises pour antisémitisme » et auteur, entre autres, de La Mafia juive. Les Grands Prédateurs internationaux. « Sur sa boucle Telegram », soulignent les auteurs de la note, « il se justifie de son soutien à Éric Zemmour : “Le maréchal Pétain faisait confiance à un ex-juif pour lui écrire ses discours. nous n'avons plus de temps à perdre.” » Luc Tacher clôt la liste : cet organisateur d'un meeting de Zemmour en Bretagne, passionné d'histoire de la Seconde Guerre mondiale et admirateur de la Wehrmacht, s'était fait connaître en organisant des reconstitutions historiques en tenue de Waffen SS…

« Diaboliser » l'adversaire

L'attaque est brutale, la punchline ciselée. « La seule union des droites que Zemmour ait réussi à faire, c'est celle de Maurras et de Doriot », lance un membre de l'équipe de campagne, s'engouffrant sur la voie ouverte en fin de semaine par Marine Le Pen elle-même dans une interview au Figaro, dans laquelle la candidate du RN déplorait de retrouver « les catholiques traditionalistes, les païens et quelques nazis » dans l'équipe de son concurrent. Une « diabolisation » qualifiée de « ridicule » par les proches du candidat nationaliste, « un juif berbère qui n'a pas une once de racisme en lui », balaient régulièrement ses soutiens. « Il faut arrêter avec ce théâtre antifasciste. Et je vois maintenant qu'on veut me refaire le même cirque ! C'est moi, le républicain ! » s'emportait Éric Zemmour lui-même, cette semaine, sur LCI.

Présidentielle : pour Dati, Pécresse doit « résister aux postures technocratiques »

La démarche, en tout cas, tranche radicalement avec la position adoptée ces derniers mois par Les Républicains, qui s'étaient efforcés de ménager un électorat filloniste parti chez Zemmour, mais susceptible d'être reconquis… « Éric Zemmour n'est ni raciste ni d'extrême droite », s'énervait en septembre dernier le patron des LR, Christian Jacob, en désaccord avec d'autres figures du parti. Mais alors que Valérie Pécresse, dont la campagne peine à trouver son rythme, recule lentement dans les sondages, talonnée par son concurrent nationaliste, le temps de la retenue semble révolu. « La présence de militants extrémistes dans les rangs de Reconquête ! se ressent sur les propositions du candidat Zemmour », affirment les auteurs de la note, qui pointent « l'apologie de l'autodéfense, celle du maréchal Pétain et du régime de Vichy, l'emploi du terme de “grand remplacement” ou une vision rétrograde de la femme ». Et de ressusciter cette question mille fois posée, dans le passé, à Jean-Marie Le Pen comme à sa fille Marine, avant qu'elle n'entame la « purge » de son parti, et qui aura guidé tant de campagnes : « Peut-on porter un projet républicain, quand on s'associe avec des gens qui ne le sont pas ? »

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Alors V. PECRESSE cherche les défauts de cet extrémiste médiatique polémiste qui trouble le jeu des politiciens de tous bords habituels médiocres qui essaient d’essayer de figurer au 2 eme tour de cette élection dans cette campagne électorale lamentable !

C’est de bonne guerre pour la candidate LR qui doit se placer en tête à 65 jours du 1er tour, elle a raison pour se trouver face au président sortant qui a déjà ses 500 parrainages car certains machistes peut-être ne veulent peut-être simplement pas voire une femme diriger le pays, alors que d’autres supporte C. TAUBIRA tout aussi trublion vindicative à égo démesuré !

Car si M. LE PEN s’est couverte d’un vernis de fausse notoriété, pour que son Rn passe pour un parti normal, les Français ont pris l’habitude de la revoir à chaque élection nationale, changer pour ZEMMOUR c’est vraiment trop risqué, mais il ne faut pas oublier E. MACRON qui compte les points de ses adversaires si médiocres !

Car il serait temps que les Français pensent à 2022 avant de réélire le président sortant jusqu’en 2027 et votent mieux que d’habitude s’ils veulent du changement !?

Jdeclef 05/02/2022 16h52


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