mardi 29 novembre 2022

Il y a une chose qui ne s’achète pas c’est le climat il faudrait que les hommes apprennent à vivre avec dans leurs pays différents selon leur position géographique sur notre terre car c’est la nature qui a la main !

 

Les experts décrédibilisent la « vague de froid » annoncée cette semaine

Les prévisions qui annonçaient une forte chute des températures ces prochains jours ont été mises à mal par des experts météo, indique « Le Parisien ».

LES HUMAINS SONT A LA MERCI DE MERE NATURE LES ANIMAUX PREVOIENT MIEUX LES CHANGEMENTS BRUSQUE DE CLIMAT OU DIVERS EVENEMENTS DE NOTRE PLANETE CAR MALGRE NOTRE EVOLUTION EN HAUT DE L’ECHELLE DES ESPECES LES HOMMES NE PEUVENT PREVOIR LES CHANGEMENTS ET ALEAS TROP SOUDAINS ALORS QU’ILS SE CONTENTENT DE REGARDER LA GRENOUILLE DANS SON BOCAL EN SE PROTEGEANT MIEUX QU’ILS NE LE FONT TOUT COMME POUR LES TREMBLEMENTS DE TERRE PAR EXEMPLE ?!

ON EST REVENUS COMME LES GAULOIS QUI CRAIGNANT QUE LE CIEL NE LEUR TOMBE SUR LA TETE PENDANT LES ORAGES CE QUI FAIT LE BONHEUR DE TOUS MEDIAS QUI VIVENT DE SCOOP ET PLUS ILS SONT IMPORTANTS PLUS CA LEUR RAPPORTE !

VIVRE DANS LA CRAINTE DU LENDEMAIN VA DEVENIR LA REGLE INSTITUEE PAR LES HOMMES EUX-MEMES ET ON NE MANQUE PAS DE CHOIX ?!

De fausses informations vivement pointées du doigt. Comme le rapporte Le Parisien, lundi 28 novembre, des météorologues n'ont pas manqué de critiquer les récents articles de plusieurs médias qui faisaient état d'une « vague de froid » gagnant l'Hexagone d'ici la fin de la semaine. De nombreux comptes météo sur les réseaux sociaux ont également anticipé de la neige en plaine autour du 10 décembre, ce qui a été relativisé par les experts du milieu.

Le prévisionniste de Météo-France Étienne Kapikian a dénoncé un « véritable concours de fake news météo en ce moment ! ». Des fausses informations qui risquent selon lui, sur le long terme, d'entacher la crédibilité des prévisions. Car si les températures vont bien baisser dans les prochains jours, il ne s'agit en aucun cas d'une « vague de froid » à proprement parler, soulignent nos confrères.

Selon la définition apportée par Météo-France, une « vague de froid » est caractérisée par une période qui affiche moins de 0,9 degré en moyenne durant trois jours consécutifs à l'échelle nationale et pendant laquelle la barre de - 2 degrés est atteinte au cours d'au moins une de ces journées. « On va tout juste avoir un refroidissement modéré, culminant vendredi 2 décembre, avant un très probable redoux » par la suite, a recadré auprès du Parisien Gaétan Heymes, prévisionniste à Météo-France, pour évoquer la météo des prochains jours.

Coignard – Dingue ! Il neige en hiver !

Des « vagues de froid » qui se font de plus en plus rares

« Si la notion de vague de froid en France devient un lieu d'exagération, c'est peut-être aussi parce qu'elles sont sur le déclin », a commenté de son côté François Jobard, autre membre de Météo France. En effet, ces événements se font de plus en plus rares en raison du réchauffement climatique.

Tempête, vague de froid..., quels liens avec le changement climatique ?

En ce qui concerne les prévisions de chutes de neige en plaine autour du 10 décembre, annoncées par Agate Météo à travers une carte, celles-ci ont également été fustigées par les météorologues. Le climatologue Christophe Cassou a regretté une « prévisibilité nulle à l'échelle régionale à ces échéances lointaines » et donc une « carte de vigilance hors-sol ». « Vous n'avez aucune éthique scientifique. Juste du buzz. Faire du clic », a de son côté critiqué Serge Zaka, administrateur du site infoclimat.fr.

Cela ne signifie pas qu'il ne neigera pas en plaine autour du 10 décembre, notamment en région parisienne, mais simplement qu'il est beaucoup trop tôt pour le savoir, estiment les experts, qui tiennent plus que jamais à ce que leur crédibilité reste intacte.

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

C'est surtout le nom d'experts qu'il faudrait enlever à ses prévisionnistes ou messieurs météo des médias qui sont incapables de prévoir à courte durée et aussi à beaucoup plus tard malgré leurs calculateurs électroniques d'ordinateurs surpuissants les évènements et surtout leur ampleur à moins de 24 heures et les catastrophes induites par le climat de notre terre qui a changé depuis les périodes glacières anciennes se comptant en millions d'années ou plus chaude voire caniculaire entre celles plus tempérées plus courtes les anciens comme moi depuis que nous étions jeunes enfants on s'en souvient des NOELS enneigés ou des rivières ou plans d'eaux gelées et étés chauds dans notre pays de juin à septembre pourtant qualifié de tempéré!

Il est plus facile de dire que c'est entièrement la faute des hommes depuis la révolution industrielle du IXX eme siècle ce qui arrange nos politiciens de tous bords dans nos pays bienpensants hypocrites et leur argent roi avec leur mauvaises politiques environnementales et dites écologiques !

Car quand on voit certains pays pauvres comme le PAKISTAN qui vient de voir son pays subir une inondation catastrophique dû à la mousson habituelle mais nettement plus forte que les années passées qui est sous l'eau pour le tiers de ses régions réduisant ces habitants à la misère et aux épidémies induites !

Les européens grands donneurs de leçons jouent au football et à sa coupe du monde dans ce pays le Qatar caniculaire et ses stades climatisés grâce à son argent roi et à son gaz qu'il vend et on entend parler l'ARABIE SAOUDITE autre champion des énergies fossiles qu'ils ont aussi à profusion vouloir organiser les jeux d'hiver en plein désert !

Pour simplement prendre une revanche sur les pays occidentaux encore libres qui semble être la cible des démocratures ou dictatures qui reprennent de la puissance après les guerres mondiales européennes devenues mondiales et cette ONU issue de la victoire de celles-ci mais inefficace voire inutile !

Jdeclef 29/11/2022 12h08

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


lundi 28 novembre 2022

Ce que donne une immigration incontrôlée par les autorités françaises (dites régalienne) de MAYOTTE un microcosme de l’immigration vers l’Europe occidentale ingérable des autres continents après les décolonisation de ces pays datant des année 60 !

 

Voila ce que devient Mayotte une poubelle !

« Rien ne les arrête » : Mayotte débordée par la violence des bandes armées !?

EN France NOS DIRIGEANTS NE SAVENT QUE CRÉER DES PROBLEMES PAS À LES REGLER ON SE DEMANDE A QUOI IL SERVENT !?

Les autorités semblent impuissantes à maîtriser les jeunes délinquants, qui volent et tuent. Des élus pointent la responsabilité de l’immigration clandestine.

C’est un vallon étroit, couvert d'une végétation grasse et abondante, qui s'enfonce dans la montagne. De chaque côté du sentier défoncé qui le fend en deux, des habitations brinquebalantes faites de tôle et de morceaux de bois. C'est là, à quinze minutes du centre-ville de Mamoudzou, le chef-lieu de Mayotte, qu'une centaine de voyous a déferlé il y a une dizaine de jours.

Masqués, vêtus de combinaisons blanches, armés de machettes et de couteaux, ils sont arrivés par la montagne de l'autre bout de la ville. L'opération avait été planifiée : la bande, qui venait venger l'un des siens tué et presque démembré deux jours plus tôt, visait quelques cases de tôles, soigneusement brûlées.

Pour éviter l'intervention des pompiers et des forces de l'ordre, les voyous ont incendié un dépôt de voitures à l'entrée du vallon. Plus de 80 véhicules sont partis en fumée. Le brasier se voyait à des kilomètres à la ronde. Et sur les maisons épargnées, on voit encore les coups de machette balafrant les murs en tôle ondulée…

Cadavres abandonnés

La violence est devenue une habitude à Mayotte, ce département français situé dans l'océan Indien, entre Madagascar et l'Afrique. Un peu partout sur le bord des routes, les restes de voitures calcinées disent la sauvagerie qui règne sur l'île. Il y a quelques jours, un bus scolaire a été pris d'assaut par une bande ; cette fois, il n'y a pas eu de morts, mais quatre blessés et un chauffeur terrorisé.

Depuis le début de l'année, on dénombre six meurtres et huit tentatives. Au commissariat de Mamadzou, on sourit un peu jaune en dénombrant les morts : combien de cadavres disparaissent, abandonnés dans la mangrove ? Certains jours, on retrouve un corps démembré exposé sur un pont, en guise de trophée.

Les habitants se terrent chez eux dès la nuit tombée, vers 18 heures. Mis à part l'extrême centre de Mamoudzou, aucun lieu n'est sûr la nuit. Et dans la journée, les routes deviennent dangereuses : les bandes profitent des interminables bouchons sur l'unique nationale qui fait le tour de l'île pour détrousser les automobilistes, quand elles ne montent pas elles-mêmes des guets-apens en barrant la voie d'un tronc d'arbre ou d'un lave-linge.

« Rien ne les arrête, remarque-t-on, effaré, au commissariat de Mamoudzou. Ces jeunes n'ont aucune règle, aucune morale. Un regard de travers, un téléphone portable ou une altercation ont la même valeur, et peuvent conduire au meurtre. » L'autre jour, un jeune Mahorais a été tué de six coups, dont quatre d'armes blanches différentes.

Des barbelés devant les écoles

Parfois, on coupe une main ou un pied. Une violence gratuite, bestiale, incompréhensible. Les écoles et les bus scolaires ne sont même plus respectés. Les délinquants les attaquent parce que le membre d'une bande rivale s'y trouve, ou simplement pour voler. Transdev, l'opérateur des bus dans l'île, a dénombré 118 caillassages depuis le début de l'année.

Ambdilwahedou Soumaila a un air juvénile, mais la mine sombre. Le jeune – il a 40 ans – maire de Mamoudzou ne sait plus comment endiguer ce fléau. Longtemps, par principe, il a résisté à l'idée de transformer les écoles de sa ville en forteresses. Il y a deux mois, il a craqué. Le maire a fait dresser des barbelés pour protéger l'accès des écoles. Il vit avec la violence.

Depuis le début de son mandat, il y a deux ans, il bloque chaque jour une à deux heures sur son agenda. Durant ces créneaux, il ne prend aucun rendez-vous ; il les réserve pour aller à des obsèques ou pour réconforter des familles endeuillées. « C'est un cauchemar, dit le jeune édile. Je n'ai pas été élu maire pour ça. »

La plupart des élus mahorais n'ont pas les pudeurs des parlementaires français. Ils mettent la délinquance sur le compte de l'immigration illégale. « Je n'ai aucun doute sur le lien entre l'immigration et la violence qui sévit à Mayotte », dit Mansour Kamardine, l'un des deux députés (LR) – avec Estelle Youssouffa (LIOT) – de Mayotte. Il en veut pour preuve la population qui occupe la petite maison d'arrêt de Mayotte : « Sur 100 détenus, 70 sont d'origine étrangère », dit le député.

Généreux État français

Ici, « étranger » signifie presque toujours « comorien ». L'île d'Anjouan, partie de l'archipel des Comores, est située à 70 kilomètres des côtes de Mayotte. Chaque jour, les kwassa-kwassa, ces barques plates de 6 à 7 mètres de long, accostent avec, à leur bord, une population différente selon la saison.

En juillet et août, elles sont remplies de 20 à 30 enfants qui espèrent être scolarisés à Mayotte. Tout enfant a en effet le droit d'être inscrit dans une école depuis, qu'en 2004, le député Kamardine a fait voter un texte en ce sens. Aujourd'hui, il le regrette, conscient de l'appel d'air que cette faveur a créé.

Le reste de l'année, les kwassa-kwassa embarquent pour Mayotte des Comoriens qui veulent soit rejoindre un membre de leur famille pour travailler – souvent au noir –, soit se faire soigner – l'État français, généreux, les prend en charge gratuitement –, soit pour accoucher et donner naissance à un enfant qui pourra facilement devenir français. La maternité de Mamoudzou est la plus importante d'Europe, avec près de 11 000 naissances par an.

« Le rêve d'un eldorado »

Tous accostent dans l'espoir de trouver un monde meilleur. Mais, comme le dit un haut fonctionnaire du département, ils déchantent vite. Les allocations sociales, par exemple, ne sont pas celles qu'ils attendaient : elles sont deux fois moins nombreuses qu'en métropole, et en gros deux fois moins élevées. Quant au travail, il est rare – Mayotte compte un taux de chômage de 30 % environ –, alors que le coût de la vie est plus élevé qu'en métropole. « Les migrants rêvent d'un eldorado, ils trouvent souvent la misère », tranche le maire de Mamoudzou.

À Mayotte, Emmanuel Macron face au défi de l'immigration

Livrée à eux-mêmes, une grande partie des jeunes Comoriens – mais aussi quelques Africains en provenance de la région des Grands Lacs – s'évanouit dans la nature. Toutes nationalités confondues, entre 6 000 et 9 000 mineurs isolés peuplent Mayotte. Ils n'ont pas de papiers, pas d'âge, pas d'adresse. Ils se regroupent en bandes, très attachées à leur territoire. Les forces de l'ordre font ce qu'elles peuvent.

Mayotte compte aujourd'hui plus de 1 300 agents – police, gendarmerie, etc. –, mais que faire lorsque les délinquants se terrent dans des bidonvilles comme celui de Kaweni, au-dessus de Mamoudzou, le plus grand d'Europe avec ses 25 000 « habitants » ? Après un escadron de gendarmerie supplémentaire, Gérald Darmanin, le ministre de l'Intérieur, vient de dépêcher un détachement du Raid pour ramener le calme.

L'arrivée de ces dix policiers, certes aguerris, fait sourire les policiers locaux. « Les jeunes délinquants courent dans la montagne, ils peuvent grimper des murs en sandales et passent des jours sans manger. À quoi vont servir dix gars du Raid ? » se demande l'un d'eux.

La peur des représailles

La plupart du temps, les forces de l'ordre dispersent à coups de gaz lacrymogène les bandes lorsqu'elles s'affrontent. Mais elles sont bien en peine d'interpeller les délinquants. D'abord, les policiers de Mamoudzou ont droit à des caillassages en règle dès qu'ils pénètrent dans les bidonvilles ou les quartiers chauds.

Mayotte : les Comores ne veulent pas récupérer leurs ressortissants

Il suffit de voir leurs voitures garées sur le parking du commissariat : elles sont cabossées de partout, avec parfois un morceau de carrosserie fendu, stigmate d'un coup de machette. Les véhicules sont pourtant les seuls en France à être équipés de protections en polycarbonate…

Autre difficulté pour appréhender les délinquants : les victimes ne portent pas plainte, ou très peu, étant elles-mêmes en situation irrégulière. Et la peur des représailles refroidit les plus téméraires : sur cette île vingt fois plus petite que la Corse, difficile d'échapper aux voyous. Par dépit, certains habitants s'organisent en milices armées. « On va vers la guerre civile si rien ne change », s'alarme le maire de Mamoudzou.

Le business des passeurs

La solution passe, pour beaucoup d'observateurs, par l'arrêt de l'immigration illégale. Paris a pourtant mis les moyens pour tenter d'endiguer l'arrivée des kwassa-kwassa. Quatre radars surveillent tant bien que mal les côtes, un avion équipé de caméras a été affrété et trois bateaux patrouillent sans cesse. Mais les passeurs sont malins.

Ce qu'on ne dit pas sur Mayotte

Pour préserver leur business – ils touchent entre 300 et 500 euros par passager –, ils jouent au chat et à la souris avec les douaniers français. Parfois, ils se regroupent à dix kwassa-kwassa en limite des eaux territoriales françaises et envoient l'un des leurs en éclaireur. À son bord, un ou deux blessés, que les navires de surveillance devront accompagner jusqu'à l'hôpital de Mamoudzou, ce qui laisse le temps aux autres embarcations d'accoster sur les plages…

À la préfecture de Mayotte, on tente de minimiser l'invasion. « Il ne faut pas s'y tromper : il est difficile d'arriver à Mayotte », dit-on en haut lieu. Les autorités françaises avancent des résultats. Elles interceptent 70 % des kwassa-kwassa, soit près de 500 depuis le début de l'année, avec, à leur bord, quelque 7 000 clandestins « presque tous reconduits aux Comores ».

Sans âge, sans domicile

Le centre de rétention administratif de Mayotte, le plus grand d'Europe, accueille de son côté 25 000 personnes chaque année, en attente d'être reconduites à la frontière. Mayotte représente d'ailleurs 70 % des fameuses OQTF, les obligations de quitter le territoire français.

« Les Comoriens raccompagnés reviennent le lendemain », peste un élu mahorais. Malgré les bonnes intentions des autorités françaises, on a un peu l'impression qu'elles veulent vider la mer à la petite cuillère. « Elles ont même le quart de la moitié d'une petite cuillère ! » ironise un élu mahorais. Les délinquants, surtout s'ils sont mineurs, savent qu'ils ne risquent pas grand-chose à Mayotte.

Les magistrats sont débordés et le quartier des mineurs, à la maison d'arrêt, ne dispose que d'une dizaine de places. Sans identité, sans âge, sans domicile, les jeunes voyous sont vite relâchés dans la nature. À Mayotte, ils ont d'ailleurs un surnom, qui dit bien l'impunité dont ils disposent, même une fois interpellés : on les appelle « les enfants du juge ».

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Voilà ce que donne la politique de nos dirigeants depuis décennies d'essayer d'intégrer des poussières d'iles qui nous coutent chères et favorise une immigration galopante sauvage de trublions comoriens qui nécessite maintenant de déplacer le raid pour pacifier cette ile devenue la région qu'on dit française mais qui est plutôt devenue une région de non droit car en France de la part de nos dirigeants et gouvernements on ne sait pas faire simple plutôt compliqué et en ce qui concerne nos DOM/TOM  qui passent leur temps à demander périodiquement leurs indépendances il faut la leur donner ou mieux avec des statuts d'autonomies comme la Polynésie car ces peuples ont toujours des rancœurs sous-jacente envers les Français et la métropole qu'ils ne supportent plus car ces désirs d'indépendance touchent tous les grands pays européens ex colonisateurs comme les anglais avec leur brexit  qui leur revient dans la face avec leur Commonwealth qui se désagrège encore plus depuis le décès leur reine Elisabeth II même à l'intérieur de leur ile britannique!

Le temps des possessions d'outre mers lointaines est révolu et sont des boulets trop lourds à trainer et gérer !

Tout comme l'immigration vers l'Europe occidentale venant du Maghreb et des pays africains ex AEF/AOF et pour ces régions d'outre-mer et leurs iles ou régions d'autres continents sud-américains qui nous disent ex esclavagistes il est peut-être le temps de couper les ponts car la FRANCE surtout avec ces crises internationales hyper tendues inflationnistes économiques et énergétiques n'a plus les moyens d'ajouter des problèmes à ceux déjà présents dans ce monde qui va mal !

jdeclef 28/11/2022 14h35

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


dimanche 27 novembre 2022

Ben voyons circulez il n’y a rien à voir tout est réglé bien sûr !?

 

Cabinets de conseil : Bruno Le Maire reconnaît « des abus » du gouvernement

Après l’ouverture de deux enquêtes sur le recours aux cabinets de conseil, le ministre de l’Économie a assuré que « cette dérive a été corrigée ».

DANS CETTE VEME REPUBLIQUE ON SE DEMANDE SI UN PRESIDENT QUEL QU’IL SOIT EST NET ?!

Le ministre de l'Économie et des Finances Bruno Le Maire a reconnu dimanche qu'il y avait eu « des abus » dans le passé dans le recours important des ministères aux cabinets de conseil comme McKinsey, jugeant cette habitude aujourd'hui « corrigée ». Deux enquêtes ont été ouvertes par la justice sur l'intervention des cabinets de conseil dans les campagnes électorales d'Emmanuel Macron en 2017 et 2022 pour tenter de savoir si celles-ci n'auraient pas indûment bénéficié de financements en retour de contrats publics.

« Je ne commente pas les procédures judiciaires en cours », a dit Bruno Le Maire sur France 3. « Ce qui compte est ce que nous faisons pour répondre aux abus qui ont eu lieu sur le recours à des cabinets de conseil extérieurs », a-t-il ajouté. « Je le reconnais bien volontiers, nous sommes allés trop loin, depuis des années, c'est ce gouvernement, les gouvernements précédents, des majorités précédentes… On avait pris sans doute trop l'habitude de dire “l'administration n'est pas capable de faire ce travail, on va externaliser et demander à des cabinets de conseil”. »

« Il y a eu certainement des abus »

« Je pense qu'il y a eu effectivement une dérive, que cette dérive a été corrigée », notamment par une circulaire de la Première ministre Élisabeth Borne demandant au gouvernement de réduire de 15 % le recours aux cabinets de conseil. Selon lui, Bercy a réduit de 34 % le recours à ces sociétés entre le 1er semestre 2021 et le 1er semestre 2022. « Je pense que c'est la même tendance ailleurs », a-t-il encore dit à propos des autres ministères. « Il y a eu certainement des abus. On doit d'abord s'appuyer sur son administration, surtout quand on a une administration de la qualité exceptionnelle du ministère de l'Économie et des Finances, réduire le recours aux cabinets de conseil. »

Affaire McKinsey : Macron échoue à « tordre le cou au canard qui court »

Interrogé sur BFMTV sur ces déclarations de son ministre de tutelle, le ministre délégué chargé des Comptes publics, Gabriel Attal, a pour sa part évoqué « des exemples qui avaient été donnés effectivement sur certaines missions qui avaient été réalisées et dont on ne comprenait pas trop l'objet ou ce que ça apportait ». Bruno Le Maire a écarté toute trace politique que pourrait laisser cette affaire, « à partir du moment où la justice fait son travail, que nous tirons les leçons des abus, et je ne crois pas que ce soit le sujet de préoccupation majeure des Français ».

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

De toute façon le président c'est empressé d'ouvrir le parapluie de l'immunité présidentielle disant qu'il n'était pas concerné de façon politique par ces affaires de cabinet de conseil et notamment Mc Kinsey !

Bruno LEMAIRE servant de fusible servile au président devant admette que les gouvernements et ses ministères avaient eu affaire à ce type de cabine mais comme la justice étant intervenue c'est difficile de cacher la poussière sous le tapis !

Mais les conseilleurs ne sont pas les payeurs et montre ce que vaut cette macronnie reconduit par la réélection du président par les Français gogos qui n'y comprennent rien mais il y a souvent des usines à gaz à gros sous dans cette Veme république monarchique et dite bananière ce qui n'est pas totalement faux et si étonnant que ça !

Mr MACRON est un grand spécialiste des conseils de défense ou autres divers car il ne sait pas décider seul il a toujours besoin d'aides diverses !

C'est vraiment un président recouvert d'un vernis facile à écailler et sans amour propre (mais çà il n'est pas le seul d'autres avant lui avait les mêmes défauts de ces présidents se prenant pour des monarques !?)

Jdeclef 27/11/2022 15h41

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


Cet hiver froid qui s’annonce c’est la saison n’est rien par rapport à ses dictateurs qui poussent les pays démocratiques libres à se désunir en n’agissant pas pour se protéger efficacement de leurs nuisances !

 

Corée du Nord : Kim souhaite la plus puissante force nucléaire du monde !?

Lors d’une cérémonie célébrant le lancement d’un nouveau missile intercontinental, Kim Jong-un a promis de « construire la plus forte armée du monde ».

L’EXEMPLE D’UN FOU DANGEREUX IRRECUPERABLE !

La Corée du Nord, dotée de l'arme nucléaire, entend avoir « la plus puissante force stratégique du monde », a affirmé son dirigeant Kim Jong-un à l'occasion d'une cérémonie célébrant le lancement d'un nouveau missile intercontinental, au cours de laquelle sa jeune fille est apparue en public pour la deuxième fois.

Kim Jong-un a récompensé par une série massive de promotions les militaires et scientifiques impliqués dans le développement du nouveau Hwasong-17, surnommé le « missile monstre » par les analystes militaires, capable d'atteindre le territoire continental des États-Unis. Ce missile balistique intercontinental (ICBM) a été testé le 18 novembre, tombant dans les eaux au large du Japon.

Le Hwasong-17 est « l'arme stratégique la plus forte du monde » et constitue « un magnifique bond en avant vers le développement de la technologie pour monter des ogives nucléaires sur des missiles balistiques », s'est enthousiasmé le dirigeant, cité dimanche par l'agence officielle nord-coréenne KCNA. Les scientifiques, militaires et responsables de ce programme ont contribué au « but de construire la plus forte armée du monde », s'est-il encore félicité.

Le nouvel âge du nucléaire

Renforcer son statut de puissance nucléaire

Kim Jong-un a souligné, dans son ordre récompensant les participants au programme d'armement, que le développement d'une force nucléaire avait pour objet de « protéger de manière fiable la dignité et la souveraineté de l'État et du peuple ». Il s'agit de « la plus grande et de la plus importante cause révolutionnaire, et son objectif ultime est de posséder la force stratégique la plus puissante du monde, la force absolue sans précédent dans le siècle », a-t-il proclamé.

Bombe atomique : une nouvelle crise de Cuba est-elle possible ?

Pour Hong Min, de l'Institut coréen pour l'unification nationale, la mise en avant par Pyongyang du tir d'essai du Hwasong-17 a eu pour objectif de renforcer son statut de puissance nucléaire. « Si le [lancement du] Hwasong-15 en 2017 visait à devenir une nation capable de menacer le territoire américain grâce à l'arme atomique, le dernier missile se concentre sur l'objectif de devenir l'État le plus puissant doté d'ICBM », a-t-il estimé.

Le quotidien officiel Rodong Simun a publié, également dimanche, plus d'une dizaine de photos montrant Kim Jong-un posant en compagnie de centaines de civils et militaires pendant la cérémonie, accompagné de « sa fille bien-aimée ». L'existence de cette dernière avait été révélée pour la première fois la semaine dernière, lorsque les médias nord-coréens avaient publié des photos d'elle assistant avec son père, main dans la main, au lancement du Hwasong-17.

« Le protecteur de la future génération »

Les photos de dimanche montrent l'adolescente, qui serait le deuxième enfant de Kim Jong-un et se prénommerait Ju-ae, habillée d'un manteau noir, bras dessus bras dessous avec son père. Certaines des images montrent le père et la fille posant ensemble devant le missile en compagnie de militaires en uniforme.

L'apparition soudaine de cette enfant a relancé les spéculations sur une future transmission du pouvoir dynastique en Corée du Nord, où Kim Jong-un a succédé à son père Kim Jong-il et à son grand-père Kim Il-sung. Les services de renseignements sud-coréens estiment que Kim Jong-un, qui s'est marié en 2009, a trois enfants.

Les Kim, la dynastie rouge de Corée du Nord

Pour Yang Moo-jin, professeur à l'Université des études nord-coréennes de Séoul, la présence de la fille de Kim Jong-un visait à dépeindre le Hwasong-17 comme « le protecteur de la future génération ». « Il semble qu'il va continuer à faire parader sa fille lors de diverses occasions et l'utiliser comme un instrument pour la propagande », a-t-il ajouté.

Une autocongratulation du régime

Outre les promotions accordées aux participants au programme d'armement, le régime a octroyé la distinction de « héros de la République populaire et démocratique de Corée » (RPDC, le nom officiel de la Corée du Nord) au véhicule ayant lancé le missile le 18 novembre, a ajouté KCNA dans une autre dépêche. Le lancement « a clairement prouvé au monde que la RPDC est une puissance nucléaire à part entière », a encore affirmé l'agence officielle.

Rapport de la CIA – Corée du Nord et Iran, l'obsession nucléaire

Cette série d'autocongratulations du régime intervient alors que les tensions sont à leur comble dans la péninsule coréenne, après une série record d'essais de missiles par Pyongyang et alors que Séoul, Washington et Tokyo ont renforcé leur coopération militaire et leurs manœuvres conjointes dans la région.

La Corée du Nord a proclamé en septembre que son statut de puissance nucléaire était « irréversible », fermant définitivement la porte à toute négociation sur son désarmement. Elle a par la suite menacé les États-Unis de riposte nucléaire en cas d'attaque. Séoul et Washington s'attendent par ailleurs à ce que Pyongyang procède sous peu à un essai nucléaire, qui serait le septième de son histoire et le premier en cinq ans.

Comme quoi ces dictateurs hyper dangereux se portent bien et perdurent en menaçant du pire c'est à dire l'extinction de la vie humaine sur terre avec leur mégalomanie maladive qui ne peut que se soigner qu’en les éliminant car impossible à raisonner !

Mais hélas nos démocraties libres occidentales sont gouvernés par des bienpensants donneurs qui ne font que les exciter avec leurs discours et palabres creux et Kim Jung Un est peut-être le pire qui va reprendre prochainement ces essais nucléaires se sentant soutenu par la Chine depuis la guerre des deux COREES en 1953 pas terminée car tenant par un armistice fragile qui ne veut pas dire une paix en gestation mais pas définitive avec menace continuelle de la COREE du nord par la peur viscérale de son dirigeant qui a peur de l'Occident et de la COREE du sud mais surtout des USA qui la soutienne avec armement et soldats le long de la ligne de démarcation de ces deux états COREENS pourtant de culture ancestrale équivalente !?

Et même en CHINE totalitaire avec ce traitement arbitraire de leur politique de santé de XI Jing pin du tout COVID qui déclenche des manifestations de colère de la population qui ne veut plus être enfermée et se révolte ce qui est étonnant dans ce pays ou le peuple n'est pas libre et très encadré par le dernier parti communiste strict Chinois !

Tout cela démontre que le monde va mal à l'est et en Asie avec ces dictatures ou démocratures comme on les appelle endormies se réveillent et deviennent vraiment dangereuses ce qui ne semble pas beaucoup inquiéter nos dirigeants d'Europe occidentale et outre atlantique US qui proteste en discours démocratiques sans beaucoup d'effet tout comme pour la Russie poutinienne avec sa guerre Ukrainienne détonateur de ces bombes à retardement de ces nostalgiques d'empires perdus qu'ils veulent récupérer depuis la fin de la guerre froide en 1989 qui ont donné d'autres idées vindicatives de revanches à d'autres !

Ce qui est alarmant c’est que les Français lambda ne semble pas se rendre compte des dangers de la situation internationale et économique induite car pas encore assez touché par cette inflation car peut être anesthésié par nos dirigeants gouvernementaux jusqu’à la fin 2022 mais 2023 s’annonce mal !

Jdeclef 27/11/2022 13h34

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


L’hypocrisie que l’on appelle démocratie n’est que la bible de nos dirigeants bien-pensants donneurs de leçons !

 

FOG – Au secours, les tartuffes sont de retour !

ÉDITO. « Ocean Viking », Mondial au Qatar, affaire Hanouna-Boyard… Au temps de la post-vérité, le pays de Voltaire et de Molière se noie dans l’hypocrisie.

LES PEUPLES LIBRES ET DEMOCRATIQUES LIBRES ON DÉJÀ LA TETE SUR LE BILLOT AVANT QUE LA HACHE LEUR COUPE LE COU ?!

(Et en rire n’est pas la solution si c’est pour pleurer après !?)

Sale temps pour la vérité. Observez comment, sur beaucoup de sujets, elle a tendance à devenir un mensonge parmi d'autres. Et quand, par mégarde, on bute dessus, d'un coup de pied on l'écarte du chemin. C'est le réflexe de l'époque.

Signe d'une grande fatigue démocratique, sinon métaphysique, la politique française est tombée très au-dessous du niveau de la mer : un déluge de fadaises a chu sur nous, ces derniers jours, avec l'affaire des migrants de l'Ocean Viking, la guéguerre entre Cyril Hanouna et sa « monstrueuse créature », l'absurde Louis Boyard, le conflit russo-ukrainien ou encore la Coupe du monde de football au Qatar.

Tartuffe n'est pas seulement un traître de comédie sorti de la tête de Molière, le grand génie de la culture française - désolé de vous contredire, monsieur le président, il y a bien une culture française, et cet auteur-là l'incarne magnifiquement, comme l'incarnent aussi Rabelais, Montaigne, Voltaire, Houellebecq et beaucoup d'autres : c'est l'apothéose du mauvais esprit.

Tartuffe est aussi un métier, et il est aujourd'hui très en vogue, y compris au plus haut niveau de l'État, comme l'illustre la déclaration de Macron, à propos de la polémique sur le Mondial de football au Qatar : il ne faut pas, dit-il, « politiser le sport » . Et il ajoute qu'on avait le droit d'en parler au moment où le Qatar avait obtenu l'organisation de la Coupe du monde, mais plus maintenant.

La « qatarisation » des esprits est en bonne voie. À en croire le président, il y aurait donc un temps pour tout : un temps pour la morale et un autre pour le plaisir du jeu. Tels sont les effets du cynisme, quand rien ne vaut rien et que tout se vaut. Surtout, ne troublons pas notre digestion. Macron croit-il vraiment qu'il faut s'asseoir sur ses convictions pour savourer, le fessier bien à l'aise, les buts ou les passes pendant la Coupe du monde ?

Rien ne nous interdit de faire deux choses en même temps : profiter du spectacle et ne pas oublier de nous souvenir que le Qatar est un pays où règnent, en sus de la bigoterie d'État, l'homophobie - l'homosexualité étant interdite, tout comme les relations sexuelles avant le mariage - et un esclavagisme « moderne » qui a causé, selon les ambassades de leurs pays d'origine, la mort de milliers de migrants asiatiques travaillant à rythme effréné par des températures de près de 50 degrés pour construire les stades du Mondial, des routes et des hôtels de luxe.

Le poutinisme se porte toujours bien. Il se dissimule (très mal) derrière le masque de la paix et a trouvé des porte-parole habiles qui, comme Jean-Pierre Raffarin ou Marine Le Pen, évoquent l'urgence de négocier, quitte à bousculer l'Ukraine qu'ils n'accablent pas, bien sûr, mais qui n'aurait pas cette priorité, que voulez-vous. C'est bien trouvé. Il suffisait d'y penser. Pourquoi la Tchécoslovaquie n'a-t-elle pas « négocié » en 1939, quand les troupes nazies l'ont envahie ? On aurait pu éviter la Seconde Guerre mondiale!

La mélenchonisation de la politique poursuit son cours. Pour preuve, la violence de la polémique entre Cyril Hanouna et son ex-chroniqueur Louis Boyard , désormais député LFI, qui, après avoir été à la soupe de l'émission TPMP (Touche pas à mon poste) a craché dedans avant de se faire insulter par l'animateur, qui s'est excusé ensuite. Sur quoi, l'Arcom , la gendarme de l'audiovisuel et du numérique, se manifeste. Étrangement silencieuse quand, en pleine campagne électorale, le temps de parole de la Nupes atteignait 70 % dans beaucoup de grands médias, la mal nommée Autorité envisage même des sanctions contre C8 et Hanouna. On se pince. Mais à quoi servent cette institution et ses 355 employés ? N'est-il pas temps de la supprimer ou de la céder à LFI pour un euro symbolique ?

Le laisser-aller est en train de devenir l'idéologie dominante de notre pays. Accablant est de ce point de vue le bilan de l'affaire de l'Ocean Viking, où le gouvernement a été humilié, ridiculisé. Alors que le Conseil d'État, « immigrationniste » comme jamais, s'interroge sur la nécessité des zones d'enfermement, la quasi-totalité des 234 migrants amenés à Toulon par le navire dit humanitaire de SOS Méditerranée se sont esbignés du centre de vacances du Var où ils étaient hébergés . La cour d'appel d'Aix a désavoué le ministre de l'Intérieur en laissant libres de partir la centaine de migrants qui, ne pouvant bénéficier du droit d'asile, devaient être expulsés. Quant aux mineurs, 26 sur 44 se sont déjà enfuis, à l'heure où nous écrivons ces lignes, de l'hôtel où ils avaient été transférés.

Mieux vaut en rire, de peur de n'avoir pas ri quand tout ira plus mal encore.

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Les biens pensant donneurs de leçons qui nous gouvernent et politiciens de tout bord français utilisent cette hypocrisie sans vergogne qu'ils qualifient de diplomatie parce que c'est plus correct ce qu'il font sans retenue en fait une culture du mensonge pour cacher leurs incompétences qui sert à gommer des vérités pas bonnes à dire ou à entendre et qui leurre le bon peuple lambda qui leur a fait confiance en les élisant et réélisant en leur donnant trop de pouvoir ceci dans les pays libres et démocratiques !

Dans notre pays qui est toujours là pour donner des leçons de bonne conduite nationale et internationale concours de faux jetons près à vendre leurs âmes pour conserver pouvoir puissance richesse et surtout les avantages qui les protègent par une constitution de cette Vème république usée obsolète monarchique faite pour eux qu'ils ne veulent pas changer car pourquoi le ferait-il ?!

Puisqu'ils ont 68 millions de Français enfin ceux qui votent qui reprennent les mêmes car pour certains n'y comprenant rien d'autres n'y croyant plus ou s'abstenant et enfin le reste qui croient encore un messie hypothétique surtout s'il parle bien avec des discours creux alambiqués !

Le plus grave étant donné cette période à crises multiples internationales ou nationales très sérieuses s'il arrive des catastrophes annoncées là il sera trop tard pour s'en prendre à nos dirigeants de tous bords de cette classe politique pour l'instant on en est encore à l'épisode des jeux du cirque footballistique au Qatar et la France gagne ses matchs de début de compétition !

Alors tout va bien vive cette pauvre FRANCE tant pis pour ceux qui souffrent ou qui sont malheureux dont le nombre augmente que l'on laisse sur le bord du chemin dans le caniveau !

Mais pour tous il faut enfin se rendre compte que l'on est mal gouverné et surtout mal protégé !?

(En 1939 lors des prémices de la 2eme guerre mondiale on appelait cet attentisme de drôle de guerre et en juin 1940 on était envahi on n’a guère évolué et depuis février 2022 avec cette guerre Russo Ukrainienne aux frontières de l’Europe occidentale ou les dirigeants de cette époque ancienne funeste n’étaient pas meilleurs il faudrait nous réveiller nous Français lambda!?)

Jdeclef 27/11/2022 11h00

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


samedi 26 novembre 2022

Se montrer alors que certains pays se moque de lui ouvertement mais n'ayant aucun amour propre pour faire semblant d'être très occupé plutôt que de s'investir et agir pour le quotidien des Français !?

 

Hyperactif à l'international, Macron a-t-il un objectif caché?

LETTRE DU PALAIS. En un mois, le président a visité pas moins de six pays sur trois continents. Non sans arrière-pensées, estiment certains.

(S’IL EN A UN C’EST QU’IL EST BIEN CACHE ET CELA NE FAIT PLUS RIRE PERSONNE ?!)

Depuis la réélection d'Emmanuel Macron, les réunions d'agenda ne sont plus les mêmes à l'Élysée. Les chefs de pôle du Château se livrent toujours une féroce lutte d'influence, certes, pour récupérer à leur compte et pour leurs sujets ne serait-ce qu'un infime bout de planning du président. Mais la puissante cellule diplomatique a désormais pris un net avantage sur ses concurrents.

Tournée africaine cet été, voyage en Algérie à la rentrée, réception au Vatican, COP27 en Égypte, sommets internationaux en Asie, rendez-vous de la Francophonie en Tunisie et visite d'État à Washington début décembre… Le président consacre indéniablement une large part de son temps à l'international.

EXCLUSIF. Dans le QG de guerre d'Emmanuel Macron à l'Élysée

En un mois, il se sera déplacé dans six pays, sur trois continents différents. Sans compter les entretiens avec ses homologues étrangers à distance et les réceptions organisées au Palais. Et l'intervention devant l'Assemblée générale des Nations unies, fin septembre, reste incontestablement le discours le plus marquant de ce début de second mandat.

« Il faut bien comprendre que les demandes diplomatiques pleuvent. Beaucoup de chefs d'État sollicitent le président. L'Europe est en guerre, une première depuis 1945. Et la France est positionnée comme une puissance d'équilibre », justifie un conseiller élyséen.

Enjeux cruciaux

Traduction : Emmanuel Macron s'investit sur ce terrain parce que le moment est diplomatiquement grave. Les sommets internationaux ne sont plus l'occasion de « small talks » entre grands de ce monde, mais plutôt l'occasion de discuter d'enjeux cruciaux tels que le conflit russo-ukrainien ou le réchauffement climatique.

Ukraine : les coulisses de la rencontre entre Poutine et Macron

En poste depuis 2017, le jeune président fait figure d'ancien parmi les représentants des grandes nations. « Une chance pour le pays », note son entourage. « Vu la crise et le moment que nous vivons, c'est normal d'être sur l'international et l'Europe », approuve un responsable de la majorité.

Le président pourrait passer le réveillon de Noël sur le porte-avions Charles de Gaulle. Un déplacement en Chine est également prévu au début de l'année prochaine. Au cours de ses longues virées à l'étranger, il n'est pas rare que le chef de l'État en profite pour échanger longuement avec la presse.

Présider plus que gouverner

En choisissant de se tourner vers l'action diplomatique et les désordres du monde, Emmanuel Macron s'inscrit dans la tradition des seconds mandats des présidents de la République. Depuis les grands voyages du général de Gaulle, aucun président réélu n'a résisté à l'attrait naturel de l'international comme terrain de jeu privilégié.

François Mitterrand s'est consacré au traité de Maastricht, a vécu la chute du Mur. On retient des cinq dernières années de Jacques Chirac à l'Élysée son refus de la guerre en Irak. Pour Emmanuel Macron, ce sera probablement sa volonté de s'imposer comme intermédiaire entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine dans le contexte de guerre entre la Russie et l'Ukraine, malgré une influence, pour l'instant, relative. Le 13 décembre, Paris sera l'hôte d'une conférence « pour la résistance et la résilience ukrainienne ».

Entre Rome et Paris, les confidences d'Emmanuel Macron

Au fond, ce choix stratégique d'implication maximale sur l'international revient à vouloir présider plus que gouverner. Depuis qu'il a perdu la majorité absolue, le président donne parfois l'impression de chercher à s'extraire de cet empêchement politique, laissant sa Première ministre à la manœuvre pour obtenir des compromis et faire passer les réformes.

« Il faut aussi comprendre qu'une fois qu'on a géré la guerre en Ukraine, traiter le budget de la Sécurité sociale, les retraites et recevoir les parlementaires, ça peut paraître insipide », excuse un proche. « Il ne va pas aller parler à Louis Boyard, à Raquel Garrido… ce n'est pas de son niveau. Élisabeth Borne assure la gouvernance locale et lui se positionne au-dessus  », décrit un conseiller.

« Il est comme paralysé »

Ses troupes s'en agacent. « Le président se concentre sur l'international parce qu'il n'y arrive pas sur le national, assène une députée Renaissance. Résultat, on prend le chemin d'un mandat à la Chirac 2. On patine dans la semoule sur la ligne. Les gens, même les pro-Macron, ne comprennent pas ce qu'on veut faire. Le président continue de faire comme si l'Assemblée ne comptait pas. J'ai beaucoup d'admiration pour lui, mais là, je ne comprends pas où il va. Ça devrait être le quinquennat de la prise de risque et en fait, il est comme paralysé. C'est dommage de chercher à préserver sa cote de popularité alors que c'est le moment de faire des choses. »

Aux yeux de certains, alors qu'une large part des élus dits « républicains » redoutent une victoire de Marine Le Pen en 2027, Emmanuel Macron devrait d'autant plus s'occuper en premier lieu des Français. « Il ne peut pas se permettre de faire que de l'international. Quand ça sent la poudre, il doit intervenir. Car quand c'est le bazar et qu'il n'est pas là, ça énerve les gens », pointe un fidèle, qui se remémore le retour d'Argentine, en décembre 2018, au lendemain d'un violent samedi de Gilets jaunes marqué par le saccage de l'Arc de Triomphe.

La solution aux méga-feux, à la sécheresse dans la Drôme, elle se trouve à Charm el-Cheikh. La question des prix du panier de la ménagère et de l’inflation, à BaliUn conseiller d’Emmanuel Macron

Raison pour laquelle les communicants veillent à ce que l'action internationale trouve une résonance concrète dans le quotidien des Français, avec plus ou moins de succès. « Il doit continuer à changer la vie des gens. Pour l'instant, il ne souffre pas de critiques en déconnexion. Ce n'est pas facile de gérer dix jours à l'étranger d'affilée, mais il a tenu, le G20 a bien atterri et la COP a eu une belle résonance sur le plan national », veut croire un conseiller officieux.

« La solution aux mégafeux, à la sécheresse dans la Drôme, elle se trouve à Charm el-Cheikh (là où s'est tenue la COP27, NDLR). La question des prix du panier de la ménagère et de l'inflation, à Bali (sommet du G20) », défend un autre.

« Une rockstar, pas un joueur d'accordéon »

Et malgré la distance, le président demeure sans cesse connecté, insiste son entourage. Même à douze heures de vol de Paris, Emmanuel Macron « reste toujours aussi impatient », ironise un ministre. Des messages envoyés en pleine nuit depuis l'Asie à ses conseillers sur la réforme des retraites, sur celle du lycée professionnel… « Il est tout le temps sur la balle », complimente-t-on au Palais.

L'intérêt grandissant pour l'étranger ne serait pas non plus dénué d'arrière-pensées plus politiques et personnelles. Obsédé par la trace qu'il laissera dans l'Histoire, le président cisèle sa stature internationale. « Être le président de la guerre, c'est une façon d'entrer dans l'Histoire, note un observateur. Ses erreurs ne lui ont pour l'instant pas coûté. Il veut être le grand président d'Europe, même si ça n'en prend pas le chemin. »

Textos, rendez-vous secrets, marches… Les nuits d'Emmanuel Macron

« Si on dit que la France a montré l'exemple sur l'écologie, il sera content », confie un intime. Ces derniers temps, le chef de l'État soigne particulièrement son discours en la matière.

« Il adopte une trajectoire à l'international, parce que son avenir est plus global que français », croit savoir un compagnon de route, rappelant qu'Emmanuel Macron, ne pouvant se faire réélire en 2027, pourrait viser des responsabilités au niveau européen ou mondial. « Après deux quinquennats, Emmanuel Macron sera une rockstar, pas un joueur d'accordéon. Il ne va pas aller faire le tour des lycées, ce n'est pas un député !  »

En campagne… pour le Nobel ?

Et si le président était tout simplement de retour en campagne ? Le bruit monte dans les coulisses du pouvoir. À force d'envolées humanistes, universalistes et de vouloir se poser en médiateur de guerre, Emmanuel Macron a semé le doute autour de lui. De plus en plus le soupçonnent de viser… le prix Nobel, comme Barack Obama, Jimmy Carter ou Nelson Mandela avant lui.

Réception des femmes iraniennes à l'Élysée, défense de l'Arménie face à l'Azerbaïdjan, lien avec les pays non alignés du Sud, aide d'un milliard d'euros à l'Afrique du Sud pour accompagner sa transition écologique, visite au pape… Autant de signaux qui ne trompent pas, selon un membre du premier cercle du président.

Emmanuel Macron ou la diplomatie du coup d'éclat

Sans oublier l'accueil du navire Ocean Viking et de ses 234 migrants. « La querelle du bateau avec l'Italie intervient dix jours après le passage à Rome, où il a été reçu par la communauté de Sant'Egidio, le bras armé du Vatican. Ce sont des gens qui organisent des couloirs humanitaires, qui défendent une position favorable à l'accueil des migrants », signale cet interlocuteur averti.

« Le Nobel, c'est opportun et jouable. On sent qu'il se réactive là-dessus, qu'il y met toute son énergie, comme quand il visait l'Élysée depuis Bercy. Ça donne un sens, un chemin à ses messages, ses rencontres. C'est un objectif à sa hauteur, un viatique pour la suite, qui te permet de rentrer dans le club très fermé des grandes figures du monde, d'avoir ton passeport international pour être sur toutes les estrades. Et ça compte en France », détaille ce macroniste. Qui conclut : « La politique domestique, ce n'est plus son sujet, Emmanuel Macron veut influencer le monde. »

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Qui en ont marre de ses procrastinations improductives de petit monsieur parvenu se prenant pour un monarque élu et réélu par défaut par des français perdus dont la souffrance va augmenter en 2023 qu'il ne sait gérer !

Il ne sert plus à rien ce président avec une assemblée qu'il ne maitrise plus car n'ayant qu'une majorité relative et qui devient ingérable avec des députés extrémistes trublions aboyeurs de foire qui se croient au cirque en vociférant contre tout semant le trouble ce qui ne fait pas avancer un pays qui continue à régresser dans des situations de crises internationales tendues à nos frontières européennes et nationales induites économiques inflationnistes énergétiques !

S'il doit dissoudre cette assemblée cul par-dessus tête comme il l'a dit qu'il le fasse très vite pour essayer de reconstituer un gouvernement plus fiable que celui actuel dans cette Veme République monarchique usée obsolète comme l'était l'ancien régime dont on ne peut se débarrasser comme un vieux chewing-gum collé à notre chaussure et faire du neuf avec du vieux en 2023 s'il en est capable ce qui est loin d'être sur le connaissant mais pour le Français n'ayant que ce choix batard car lui étant indéboulonnable jusqu'en 2027 avec le trop de pouvoir que lui ont donné les Français du fait de notre constitution ce qui est la principale erreur d'en trop donner à un seul homme que ce soit même en démocratie libre et bien sûr encore plus en démocratures voire dictatures qui perdurent dans le monde sans beaucoup d'opposition de peuples asservis et craignant le lendemain s'habituant à baisser la tête préférant des dirigeants forts pour les protéger encore plus quand c'est le mystique religieux obscurantiste qui est au pouvoir !?

Car ce n'est pas que la FRANCE et l'Europe occidentale qui va mal mais le monde entier !

Jdeclef 26/11/2022 15h55

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


vendredi 25 novembre 2022

L’Assemblée nationale est le royaume des aboyeurs de foire de députés mécontents mal élevés improductifs !

 

À l’Assemblée nationale, menace sur la liberté d’expression ?

Le débat sur la liberté de parole au sein du Palais-Bourbon a été remis au goût du jour après une épidémie de sanctions disciplinaires visant plusieurs députés.

LE NIVEAU DES DEPUTES A L’ASSEMBLEE NATIONALE DEVIENT CELUI DES CANIVEAUX DE LA MAUVAISE POLITIQUE POLITICIENNE STERILE !

Peut-on tout dire à l'Assemblée nationale ? Les instances du Palais-Bourdon multiplient les sanctions disciplinaires ces dernières semaines. Certaines font suite à des déclarations explosives. Grégoire de Fournas, député du Rassemblement national (RN), a été censuré et exclu 15 jours du Palais-Bourbon pour le « tumulte » provoqué après avoir clamé « qu'il(s) retourn(ent) en Afrique » pendant que le député de La France insoumise (LFI) Carlos Martens Bilongo interrogeait le gouvernement sur le danger encouru par un navire transportant des migrants en Méditerranée.

D'autres sanctions sont intervenues, quelques jours plus tôt, après l'emploi de qualificatifs jugés inappropriés. Le 11 octobre, le député Alexandre Loubet (RN) a écopé d'un rappel à l'ordre pour avoir traité de « lâche » le ministre de l'Économie Bruno Le Maire au sujet de la vente du groupe industriel Exxelia. Même punition pour Frédéric Boccaletti (RN) qui, quelques minutes plus tard, a qualifié le ministre de l'Éducation nationale Pap Ndiaye de « communautariste ». Toujours le 11 octobre, la députée Renaissance Astrid Panosyan-Bouvet s'est vue infliger un rappel à l'ordre pour avoir dénoncé « l'ADN xénophobe vieux de 50 ans » du RN.

Parole corsetée ?

Cette épidémie de réprimandes inquiète certains députés, qui voient en elle une entrave à la liberté d'expression. La présidente du groupe LFI Mathilde Panot a alerté sur la « dérive » qui reviendrait à sanctionner l'usage de caractéristiques politiques telles que « xénophobe ». À la suite de l'affaire Fournas, la cheffe de file du groupe RN, Marine Le Pen, a estimé que si « l'idée politique est condamnée » (renvoyer les migrants en Afrique) alors on « s'éloigne totalement de la liberté d'expression ».

« Qu'il retourne en Afrique » : la « dédiabolisation » du RN mise à mal à l'Assemblée

Le libre discours est-il réellement entravé dans l'hémicycle ? « Il faut raison garder. Ces peines disciplinaires relèvent du règlement intérieur de l'Assemblée nationale et donc d'une décision de nature démocratique, prise soit par le président de séance, soit par le bureau composé de 22 membres », tranche un spécialiste des arcanes législatifs. Les troubles à l'ordre, les tumultes, les injures, les menaces ou encore les outrages sont en effet prohibés. L'historien Jean Garrigues écarte, lui aussi, toute atteinte à la liberté d'expression : « Le Rassemblement national joue la survictimisation après les propos surinterprétés de Grégoire de Fournas. »

Ligne de crête

Quoi qu'il en soit, les instances de l'Assemblée nationale avancent sur ligne de crête pour maintenir le débat d'idées et éviter que celui-ci ne s'envenime. Le contexte politique explique pour beaucoup cette inconfortable et nécessaire posture d'équilibriste. D'un côté, l'absence de majorité absolue intensifie le rapport de force entre le groupe présidentiel et les oppositions, rendant les échanges électriques. De l'autre, La France insoumise assume depuis le début de la mandature sa stratégie du coup d'éclat. « En conséquence, il y a peut-être la tentation de faire preuve d'une plus grande sévérité vis-à-vis de ces actes pour calmer le jeu », analyse Jean Garrigues.

Raphaël Enthoven : « Nous vivons sous le régime des plaintifs »

L'Assemblée nationale, comme le prouve l'histoire, est pourtant habituée aux grands débats houleux et aux dérapages verbaux. « C'est le lieu où l'on peut normalement tout dire. Ce qui est étrange, aujourd'hui, c'est que les députés se disent tout – s'invectivent même –, mais se condamnent ensuite… », observe le philosophe Jean-François Braunstein. Cette focalisation sur l'écume du débat, et non pas sur le fond, est pour le professeur à la Sorbonne le symptôme d'une Assemblée en « panne d'idées » et qui « refuse l'argumentation ».

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------

À l'Assemblée nationale il faut faire le différence entre la liberté d'expression ou les accrochages houleux voire hautement mal élevés impolis irrespectueux à la limite du pugilat de trublions toujours les mêmes de certains députés de partis extrémistes connus mais élus par le peuple qui ne savent pas se contenter de discutions productives pour simplement freiner les lois débattues et votées dans le parlement de la FRANCE si donneuse de leçons qui devrait faire le ménage plus rigoureusement dans les rangs des députés qui dérapent en se comportant comme des garnements dans une cour d'école primaire !

Et ses députés élus par les Français et qu’on paye pour vociférer sans retenue dont une partie ne servent à rien puisque que disant non systématiquement à tout quand ses lois ne sont pas issues de leurs camps et même si elles sont quelque fois utiles !?

Pauvre FRANCE ingouvernable par nos élus de tous bords (y compris nos dirigeants) sans oublier les Français lambda frondeurs incapables d'un minimum de discipline et de cohésion depuis ses derniers quinquennats et depuis + 30 ans qui regardent leur pays péricliter et désabusés en essayant de survivre au jour le jour pour certains de plus en plus nombreux !?

La Veme république monarchique usée obsolète telle qu'elle est ne fonctionne plus il faut vraiment la changer et c'est aux français à le faire !

Jdeclef 25/11/2022 13h28

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


Un président qui ouvre le parapluie de son immunité présidentielle logique dans la panoplie de président de notre V eme république !?

 

L'Élysée réagit à l'enquête du PNF sur les comptes de campagne de Macron

La présidence a réagi à l'ouverture de deux informations judiciaires au sujet des campagnes électorales d'Emmanuel Macron en 2017 et 2022.

MAIS LE PRESIDENT SI BAVARD D’HABITUDE NE DIT RIEN SE REFUGIANT DERRIERE SON IMUNNITE PRESIDENTIELLE (COMME D’AUTRES AVANT LUI !?)

Élysée a affirmé jeudi qu'il revenait à la justice d'enquêter « en toute indépendance », après l'annonce de l'ouverture d'informations judiciaires sur l'intervention des cabinets de conseil dans les campagnes électorales de 2017 et 2022 à la suite d'accusations visant Emmanuel Macron sur ses liens avec McKinskey. La présidence a dit à l'Agence France-Presse avoir « pris connaissance de la communication du parquet national financier concernant l'ouverture de deux informations judiciaires à la suite notamment de plaintes d'élus et d'association ». « Il appartient à la justice de conduire ces investigations en toute indépendance », a ajouté l'Élysée.

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Encore une histoire de gros sous écœurante qui devient si commune à nos dirigeants au plus haut de l'état et nos politiciens élus de tous bords dans cette classe politique sclérosée pourrie par l'argent roi et la quête du pouvoir puissance et avantages divers digne de l'ancien régime monarchique dont on n’arrive pas à se débarrasser car trop ancien dans notre histoire millénaire !

Malgré un épisode révolutionnaire de 185 ans et le sacre napoléonien et empires constellées de révolutions 1830/1848 pour retrouver des républiques instables entachées de 2 guerres mondiales pour se stabiliser en V eme république Gaullienne en 1958 devenue monarchique mais avec des présidents élus par les Français qui se prennent pour des monarques sans couronne surtout le dernier en place élu et réélu par défaut par des Français perdus ne sachant plus pour qui voter depuis 40 ans et en plus suite aux situations de crises nationales et internationales commençant déjà en 2019 avec celle sanitaire du COVID mal gérée accompagnée de manifestations de mécontentements qui glissent sur lui comme sur les plumes d'un canard !

Notre président faisant le dos rond sur cette affaire douteuse Mc Kinskey au sujet de ses campagnes électorales car protégé par son immunité parlementaire de chef d'état!?

Problème déjà connu de ces prédécesseurs dont certains pas encore jugés !

Ce qui montre que la France ne change pas ni les Français qui cultivent leur chacun pour soi et individualisme dévastateur aidé par une classe politique de tous bords d'une médiocrité lamentable !

Changer nos concitoyens et la FRANCE devient vraiment mission impossible tant pis pour eux ils ont ce qu'ils méritent !

Jdeclef 25/11/2022 10h48