FOG – Le
wokisme, ce socialisme des imbéciles !
ÉDITO. Pour
tout comprendre des ravages de l’idéologie woke, il faut lire le dernier livre
de la philosophe Bérénice Levet, « Le Courage de la dissidence ».
CHANGER LES HOMMES C’EST MISSION IMPOSSIBLE CAR
C’EST EUX QUI MENENT LE MONDE ET N’ACCEPTENT PAS LEURS DIFFERENCES !
« Dis pas ci, dis pas ça ». Ce sont les
commandements que l'on sera censé suivre sous la tyrannie douce qui vient, si
l'on ne veut pas être proscrit, désocialisé.
Tels sont les effets du wokisme, l'autre nom du
conformisme identitaire et bêtifiant qui ravage tant de cerveaux
en réduisant chacun d'entre nous à son passé, à sa culture, à sa couleur de
peau. Ennemi de l'esprit critique, il déboulonne les statues, éradique des
artistes, récrit l'Histoire, pilonne des livres, raye des mots du dictionnaire.
Que nous arrive-t-il ? Le wokisme est en marche, rien ne l'arrêtera, si l'on en croit Emmanuel Macron, qui l'a au demeurant béni en déclarant, il y a deux ans : « Je crois à une politique de la reconnaissance des identités. » Bonjour le multiculturalisme et ses surenchères victimaires. Sans doute la France n'est-elle pas encore assez divisée ; il est urgent de la subdiviser.
Notre décadence n'est pas seulement économique, mais
aussi politique. C'est unepitié de voir le pays de Molière
s'empêtrer dans le débat national affligeant qu'ont provoqué, la semaine
dernière, les mots lancés par un député RN, Grégoire de Fournas de Brosse,
pendant une intervention du député LFI Carlos Martens Bilongo, qui évoquait le
drame des migrants en Méditerranée.
Le niveau est tombé plus bas que terre à l'Assemblée nationale, devenue le terrain de jeu des braillards extrémistes de droite et de gauche. Jusqu'à présent, les premiers s'étaient à peu près tenus. Et voilà que l'un d'eux fait une grosse rechute xénophobe. Fournas a-t-il dit « qu'il retourne en Afrique » en s'adressant à son collègue noir ou bien, comme il l'assure, en désignant le navire humanitaire Ocean Viking évoqué par le député LFI ? Si l'on se penche sur son dossier, il est, comme l'écrit Le Monde, « obsédé par les migrants ». Ce qui laisse à penser qu'il parlait du bateau.
Au préjudice du doute, le bureau de l'Assemblée
nationale lui a infligé la sanction la plus lourde pour un député
: l'interdiction de paraître pendant quinze jours de séance, mais, au lieu
d'invoquer des propos « racistes », au nom d'une police de l'expression, il l'a
intelligemment condamné pour avoir troublé « l'ordre » et provoqué «
une scène tumultueuse » en interrompant Bilongo. Lequel, soit dit en
passant, n'est pas un ange : dans sa circonscription, les amis de ce militant
pro-voile sont les islamistes à la botte de la Turquie d'Erdogan et, pis
encore, l'organisateur de la manifestation antisémite de Sarcelles qui, en
2014, tourna au pogrom, aux cris de « Mort aux Juifs ! ».
« Sale Juif ! » Sale Blanc ! » « Sale Noir !
» « Sale Arabe ! » Voilà le genre de polémique identitaire qui nous attend
alors que le wokisme fait des pas de géant en France. La semaine de l'affaire
paraissait en France Le Courage de la dissidence (1), jubilatoire
essai aux accents finkielkrautiens de la philosophe Bérénice Levet : un jeu de
massacre et un manuel de combat alors que la crétinerie woke, en provenance des
États-Unis, commence à faire la loi dans nos grandes institutions :
l'université, l'Éducation nationale, les musées, l'Opéra, le cinéma, les
entreprises. Au nom de la diversité, il faut désormais y compter les Blancs,
les femmes, les homosexuels, etc.
Ce n'est plus la majorité qui doit gouverner, ce sont les minorités. À elles de refaire ensuite à l'infini le procès de la France, cet abominable pays raciste, colonialiste et totalitaire, qui leur a fait tant de mal. Du passé, faisons table rase, voilà le projet woke. Il n'est pas encore celui de la Terreur quand les têtes volaient sur l'échafaud, mais bon, nous ne sommes que dans la première phase, celle de l'effacement des noms, des images, des tableaux, comme Le Verrou, chef-d'œuvre de Fragonard. Jusqu'à présent, on croyait que cette toile représentait les égarements de l'amour mais d'après les néo-éco-féministes, il s'agirait, ô horreur, d'une scène de viol. Il faut le mettre au rebut en attendant de le « brûlions », comme dirait Sandrine Rousseau.
Pour endiguer la déferlante wokiste, la revigorante
Bérénice Levet croit à la force du rire, à la « liberté du pas de
côté ». La gaieté voltairienne, consubstantielle à notre pays, est le meilleur
antidote à l'obscurantisme chagrin qui monte. Elle nous maintiendra debout.
Parmi les autres pistes : la refondation de notre roman national, congédié au
siècle dernier, et aussi la fidélité à l'universalisme. Alors qu'on demandait à
Aimé Césaire, notre grand poète national des Caraïbes (et d'ailleurs), ce que
devait lire un jeune Martiniquais pour découvrir qui il était, il répondit : «
La culture universelle ! Tout doit l'intéresser : le grec, le latin,
Shakespeare, les classiques français, les romantiques, etc. »
Nous, les anti-woke, nous sommes tous des
enfants d'Aimé Césaire.
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Le wokisme nouveau mot que beaucoup de Français
lambda ne connaissait pas commence par W comme W.C. latrines d'un totalitarisme
doux à la mode de ces extrémistes de gauche /droite qui n'admet pas la
différence entre humains en les dressant les uns contre les autres ce qui est
simple en fait quand on connait les hommes depuis que le monde est monde il n'y
a qu'à voire cette guerre Russo Ukrainienne dont les peuples sont pourtant de
même culture avec ce dictateur qui veut reconstituer son ancien empire tsariste
voir cette ex URSS perdue ou d'autres comme lui car les dictatures ou
démocratures encore un nouveau mot pour faire croire à un totalitarisme plus
doux !?
Ou alors chez nous dans notre assemblée
nationale notre parlement qui ce déchire à cause de certains députés xénophobes
qui se lâchent car ne supportant pas que les hommes soient différents ce qui
est la spécialité de la (race) humaine encore un mot qui a été gommé pour faire
croire qu'ils sont égaux ce qui n'est pas le cas pour de multiples raisons ethniques
religieuses couleurs avec autres pouvoirs richesses ou territoires plus grands
etc ..!
Les animaux et les insectes ou infiniment
petits faisant partie de l'échelle des espèces dont les hommes par leur
arrogance que l’on appelle intelligents et par leur développement les place au
plus haut de cette évolution s'auto détruisent depuis toujours alors que le
reste des espèces (hors humaines bien sûr) ne font que se reproduire et se
nourrir pour survivre !
Donc les prédateurs sont les humains depuis qu'ils
sont sur cette terre qu'ils n'arrivent plus à se partager raisonnablement et
qui sont différents entre eux et çà il faut qu'ils le comprennent avant que la
sélection se fassent d'office à leur détriment d'ailleurs leur nombre commence
déjà à diminuer et à stagner par leurs orgueils démesurés défauts encore de ces
hommes incurables qui ne vivent pourtant que 80 ans en moyenne !
Jdeclef 12/11/2022 16h47
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