jeudi 30 juin 2016

L’acharnement contre Bernard TAPIE se confirme mais pourquoi ?!


Affaire Crédit lyonnais : la Cour de cassation confirme l'annulation de l’arbitrage en faveur de Bernard Tapie, qui devra rembourser 405 millions d'euros à l'État


La Cour de cassation a confirmé, jeudi 30 juin, l'annulation de l'arbitrage qui a soldé en 2008 le litige de Bernard Tapie avec le Crédit lyonnais sur la revente d'Adidas, en accordant 405 millions d'euros à l'homme d'affaires avec les intérêts. La défense de l'homme d'affaires s'était pourvue en cassation contre l'arrêt de la cour d'appel de Paris qui avait annulé les sentences arbitrales, le 17 février 2015.

Cela ne date pas d’aujourd’hui !

L’acharnement contre Bernard TAPIE se confirme mais pourquoi ?!

Il semble fichu, quelqu’un veut la fin de l'homme d'affaire c'est évident !

Jdeclef 30/06/2016 14h52
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Que les joueurs français ne laissent pas passer leur chance de gravir une marche de plus dans cet euro de foot pour redorer le blason terni de cette équipe de France !

Les supporters de l'équipe de France lors du 8e de finale contre l'Irlande, le 26 juin 2016 au Parc
Sport

Euro 2016: Le public de l'équipe de France est-il si mauvais que ça?


FOOTBALL Entre un soutien aléatoire pendant les matchs et les petites moqueries à destination des Irlandais dimanche dernier, le public français ne fait pas toujours tout pour se faire aimer...
Hormis les habituelles réflexions sur le fait qu’il y aurait pu avoir un peu plus d’ambiance, l’attitude du public français lors des matchs des Bleus ne nous avait pas interpellés plus que ça lors de la phase de poule de l’Euro. Et puis est arrivé ce 8e de finale face à l’Irlande. Et là, le malaise. Silencieux après l’ouverture du score précoce des Irlandais, ce qui peut à la rigueur se comprendre, le public s’est réveillé en même temps que Griezmann plantait avant de terminer en roue libre par des « olé » quand les Bleus faisaient tourner le ballon et des « et ils sont où les Irlandais ? ». Sympa pour les supporters adverses, fabuleux depuis le début de la compétition, et pour une équipe qui nous avait bien fait peur et qui terminait rincée, en infériorité numérique, avec trois jours de récupération en moins par rapport à la France dans les pattes.
On est un peu dur ? Peut-être. Les gens qui étaient présents dans les tribunes du Parc OL, dimanche, ont un avis plus nuancé. Fabien Bonnel, un des deux capos des Irrésistibles Français, estime même qu’il y a eu match avec les Irlandais. Pour lui, il ne faut pas sur-interpréter les chants de « chambrage » qui sont montés des tribunes en fin de match.
« Je ne crois pas que les Irlandais nous aient mis la claque annoncée. Si on les a entendus deux ou trois fois pendant le match, c’est le maximum, alors que les Albanais ou les Suisses avaient fait plus de bruit. D’ailleurs, je crois que c’est comme ça qu’il faut interpréter les chants quand on est passé devant. C’était un peu en réaction à tout ce qui s’était dit avant sur les supporters irlandais et le fait qu’ils allaient gagner le match des tribunes. « Et ils sont où les Irlandais », je n’aime pas, mais les gens avaient « morflé » avant dans les médias. Ça n’empêche pas qu’on respectait les Irlandais et leurs supporters. Les « olé » ne me choquent pas plus que ça, c’est une manière d’encourager les joueurs à garder la balle alors qu’il ne reste plus beaucoup de temps à jouer ».
On peut être d’accord ou pas avec ça, on retiendra en tout cas deux choses de l’attitude du public français dans cet Euro :

1- Il semble impliqué et chante de plus en plus

Ceci est le résultat d’un dialogue instauré depuis quelques années entre la FFF et les différentes associations de supporters. Le but était qu’il y ait plus d’ambiance lors des matchs de l’équipe de France, notamment au Stade de France. Pendant cet Euro, les joueurs ont souvent souligné le rôle qu’il a joué, même s’ils sont encore timides pour les remerciements au coup de sifflet final (mais ceci est un autre débat).

2- Il y a toujours ce côté « soutien sous condition ».

« La difficulté en France est l’appropriation de la sélection. Il faut que ça gagne ou que ça joue bien pour qu’il y ait un vrai engouement, explique Nicolas Hourcade, sociologue spécialiste des supporters. La sélection est importante pour la population, mais il n’y a pas, pour l’instant, beaucoup de supportérisme actif. »
Selon le chercheur, qui était également à Lyon dimanche, la mutation (au profit du premier point) est en cours. « On voit des progrès, avec un noyau d’Irrésistibles Français qui lance des chants et de plus en plus de gens qui suivent, estime-t-il. On est en ce moment dans une période d’entre-deux, c’est-à-dire entre l’ancien public qu’on décriait, qu’on stigmatisait, et le nouveau que la FFF et les assos veulent développer. »
Que faut-il penser de ce public, alors ? « On peut donc voir le verre à moitié plein ou à moitié vide, reprend le sociologue. Plein, c’est cette ferveur qui monte, les nombreux maillots, les supporters qui font des efforts tout le match et un public qui commence à suivre. Vide, ce sont les chants qui ne prennent de l’ampleur que quand ça gagne et certains slogans beaufs. »
C’est là qu’on se souvient des cinq commandements édictés par Patrice Evra aux supporters, dont des représentants étaient venus à Clairefontaine avant le début de la compétition. Il s’était senti obligé de demander ceci :
  • Ne pas lancer des olas pendant le match et surtout à 0-0
  • Arrêter de chanter « Et 1, et 2, et 3-0 »
  • Scander le nom des joueurs après une belle action
  • Lancer plus de chants quand les Bleus sont menés
  • Mettre la pression sur les adversaires

Le défenseur des Bleus n’aurait pas eu à le faire avec un public anglo-saxon, direz-vous. « Quand on voit les Irlandais et les Gallois, ma bonne dame… ». C’est vrai, mais il faut comparer ce qui est comparable. « Le foot de club est moins développé là-bas, il y a donc une grosse mobilisation pour la sélection, reprend Nicolas Hourcade. Ils en profitent aussi pour voyager en Europe, pour faire la fête. Le foot est un élément d’un package global. »

En France, le message passe, petit à petit. « Ce n’est pas non plus l’extase totale mais ça colle avec ce qu’on voit sur le terrain, où l’équipe de France ne fournit pas des prestations exceptionnelles. Le spectateur lambda, pour s’amuser, il a besoin de réagir à ce qui se passe sur la pelouse, et l’équipe de France a gagné tous ses matchs à l’arraché, sans véritablement dominer, justifie Fabien Bonnel. C’est vrai que les gens pourraient chanter plus fort quand on est en difficulté, mais on n’a pas le pire public de l’Euro. »
Dimanche, les Français vont se frotter aux supporters islandais. Des gens qui n’ont pas hésité à annuler des vacances ou des vols retours pour aider leur équipe à poursuivre leur extraordinaire aventure. « Ils ont été impressionnants l’autre jour contre l’Angleterre, et ils vont être nombreux au Stade de France, ça va être dur de rivaliser, prévient le capo. Ça dépendra beaucoup du match de la France. » Antoine, Dimitri, on compte donc sur vous pour vivre un vrai grand moment de foot.
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Le public est dur avec l’équipe de France, car il en a marre depuis 2010 et le mauvais souvenir de cette coupe du monde honteuse de la part de joueurs indisciplinés mal élevés et leur entraineur de l’époque !

Et donc le comportement des joueurs comptent presque plus que leur qualités footballistiques, leur indiscipline ou leur manque d’éduction car se prenant pour des stars qu’ils ne sont pas, plus que d’autres joueurs étrangers bien meilleurs d’autres équipes européennes !

Donc il faut qu’ils gagnent avec modestie et panache !
D’ailleurs, il faudrait au moins qu’ils arrivent en finale pour remonter leur cote, et si par malchance, ils perdent contre les islandais, les fans de foot ne leur pardonneront pas, ni les français en général !

Une preuve de plus, s’il le fallait pour démontrer que N.SARKOZY ne change pas !

Politique

Exemple : le cumul des mandats: Sarkozy ne fait pas l'unanimité chez les Républicains


POLITIQUE L'ancien chef de l'État plaide pour le retrait de la loi qui interdit le cumul d'un mandat de fonctions exécutives locales avec le mandat de député ou de sénateur...
Nicolas Sarkozy rencontre de la résistance dans son propre parti avec son idée de supprimer la loi sur le non- cumul des mandats. Mercredi lors d'une convention des Républicains sur les institutions, l'ancien chef de l'Etat a de nouveau plaidé pour le retrait de cette loi, votée en janvier 2014 et qui entrera en vigueur en 2017. Elle interdit le cumul d'un mandat de fonctions exécutives locales avec le mandat de député ou de sénateur.
Bernadette Chirac est prête à «travailler» pour Nicolas Sarkozy pour les primaires (ce qui représente bien la vieille politique bourgeoise !)
«Des parlementaires qui n'auraient pas de mandat local, qui feraient la loi du lundi au dimanche sans un enracinement dans leur territoire, ce serait une erreur gravissime!», s'est exclamé Nicolas Sarkozy. «Avec le mandat unique, on augmente de 30 à 40% le nombre de membres de la classe politique alors que je pense qu'il faut la réduire», a-t-il encore argumenté.

Un référendum le jour du second tour des législatives

Sa proposition (ainsi que d'autres, comme la réduction d'un tiers du nombre de parlementaires) fait partie du projet des Républicains pour la présidentielle de 2017, qui sera soumis samedi au Conseil national du parti (son «parlement»), réuni à la Mutualité à Paris.
Avec la volonté affichée de «repenser notre modèle démocratique», l'ex-chef de l'Etat a également annoncé son intention de demander aux Français leur avis sur ces questions par référendum, qui se tiendrait «le jour du second tour des législatives suivant la présidentielle», tentant de démentir la prévision de Manuel Valls, Premier ministre, qui affirmait le 17 mai dernier: Sarkozy «ment» quand il promet de revenir sur le non-cumul.

«Retour à la vieille politique»

Mais dans sa propre famille politique, cette proposition est vivement décriée. «Totalement désepérant d'avoir pour première mesure en 2017 de revenir sur le non-cumul... Quel retour à la vieille politique!», s'est exclamé Bruno Le Maire, candidat à la primaire, dans un tweet.
«Je suis absolument, radicalement, contre le retour au cumul des mandats», affirmait le 22 juin Valérie Pécresse, présidente LR de la région Ile-de-France. «Je comprends bien que le député-maire était une figure de la Ve République, je comprends bien que c'est dur de renoncer», ajoutant même: «je ferai voter contre, tous ceux sur lesquels j'ai une influence».
Cette loi sur le non-cumul, «je ne veux pas qu'on revienne dessus», a également affirmé Nathalie Kosciusko-Morizet, mercredi à l'émission «Questions d'info» LCP-France Info-Le Monde-AFP. «Je crois que des propositions qui sont faites aujourd'hui d'aller faire des référendums en même temps que le deuxième tour des élections législatives sont absolument toxiques».
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Cela représente bien la mentalité de ce petit bourgeois de N.SARKOZY pour protéger ces politiciens déjà bien nantis surprotégés par déjà de nombreux avantages nombreux et boucliers divers juridiques en tant qu’élus !

(Exemple avec P.BALKANY un de ses amis, contraint à retirer sa candidature et dont le président des LR SARKOZY avait accepté celle-ci sans problèmes et il y en a d’autres…)
S’il lui arrive d’être réélu, on peut lui faire confiance pour faire le maximum pour border, protéger, conserver et améliorer tout avantage pour cette caste style ancien régime pseudo monarchique que l’on croyait révolue dont il fait partie en tant qu’ex président parvenu à égo démesuré, ivre de pouvoir, mais qui prospère toujours !

Et même si les français veulent changer de président qui a déçu à juste titre semble-t-il, qu’ils ne fassent pas l’erreur d’échanger « un cheval borgne ou pour un cheval aveugle » !

F.HOLLANDE est comme nos présidents depuis trente ans : bornés, beaux parleurs aux discours fumeux creux suivi de rien de concret qui ont bien profité des français et de la France !


Politique

Comment Hollande voit sa dernière année de mandat (en 15 points)


ANNONCES Dans une interview aux « Echos », François Hollande est revenu sur les grands enjeux socio-économiques du moment…

Alors qu’il est malmené dans les sondages, que le Royaume-Uni vient de décider de quitter l’Union Européenne et que la loi Travail ne passe toujours pas, François Hollande a donné ce mercredi une interview au journal Les Echos. Le chef de l’Etat revient sur les sujets économiques du moment et en profite pour faire quelques annonces, notamment sur une possible baisse de l’impôt sur le revenu en 2017. 20 Minutes vous livre les 15 points clé de cet entretien fleuve.

1. Le Brexit


Le chef de l’Etat reconnaît que le Brexit « n’avait pas vraiment été anticipé » mais précise que le départ du Royaume-Uni est irréversible. Il ajoute qu’il « n’y aura pour la Grande-Bretagne d’accès au marché unique que si les libertés de circulation des biens, des services, des capitaux, et des personnes sont garanties. On ne peut transiger là-dessus. »

2. L’impact du Brexit sur la croissance française


On peut être inquiet mais pas trop. « Le Brexit aura surtout un impact défavorable pour le Royaume-Uni, explique François Hollande, et c’est par le biais d’une éventuelle récession outre-Manche qu’il peut y avoir un risque pour la zone euro et pour la France. »

La Bourse de Paris toujours en berne

3. Un référendum en France sur la sortie de l’UE


Le président n’en veut pas et affirme que « le rendez-vous démocratique sur l’Europe, il aura lieu en France lors de la prochaine présidentielle ».

 Un référendum sur la sortie de l’UE est-il possible en France?

4. Son programme pour l’UE


François Hollande a « demandé que l’Europe se concentre sur la sécurité, le contrôle des frontières extérieures, la lutte contre le terrorisme, la défense de notre continent, car les citoyens veulent d’abord être protégés ». Il souhaite également « bâtir une Europe puissante autour de la croissance, des investissements et de l’emploi dont la jeunesse doit être la première bénéficiaire ». Au sujet de zone euro, il veut « engager notamment avec l’Allemagne une harmonisation sociale et fiscale » pour en finir avec les « distorsions de concurrence en commençant par l’impôt sur les sociétés ». Enfin, il appelle à « une gouvernance économique sous le contrôle d’un Parlement de la zone euro ».

5. Taxe sur les transactions financière


Le projet est en discussion avec plusieurs pays dont l’Allemagne. « Certains nous disaient que, si on introduisait cette taxe, des activités allaient partir à Londres, cet argument ne tient plus », assure François Hollande

6. Une baisse d’impôt


Le chef de l’Etat annonce qu’une « baisse fiscale de 2 milliards d’euros » au maximum pourrait concerner les ménages en 2017, si la croissance du PIB est bien de 1,7 % cette même année, et sous réserve d’avoir un déficit public de 2,7 %. Par ailleurs, cette baisse d'impôts pourrait concerner les classes moyennes.

7. Loi El Khomri


Le président est très clair. Malgré les demandes des syndicats CGT et FO, « l’article 2 sera maintenu dans sa rédaction actuelle ». De même, François Hollande assure que « la loi sera votée et promulguée dans les délais prévus », sans écarter le recours « à l’article 49-3 ».

Aux promesses du gouvernement, parlementaires et syndicalistes disent «Oui, mais...»

8. Pacte de responsabilité


Les 41 milliards d’allégements de prélèvements prévus seront respectés « mais afin de muscler les créations d’emplois générées par la reprise, [le Président] a décidé de consacrer les 5 milliards restants au relèvement du Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi et à la baisse de l’impôt sur les sociétés des PME ». Mais François Hollande attend des contreparties de la part du patronat et le met en garde : « Quant au Medef, il a manqué à ses responsabilités sur l’Unedic et prend une position dangereuse en n’appliquant pas la loi sur le compte pénibilité. »

Sur le compte pénibilité, Gattaz annonce qu'il «n'appliquera pas la loi», Touraine le rappelle à l'ordre

9. Moderniser l’économie française


A la question de savoir ce qu’il restait à faire pour moderniser l’économie française, le président se contente de vanter son bilan sans avancer d’autres mesures possibles. Sans doute les garde-t-il pour son futur programme présidentiel.

10. Le programme économique de l’opposition


Sans surprise, François Hollande le taille en pièces. « L’originalité n’est pas leur marque de fabrique, assène-t-il. A croire qu’ils ne sont que la reproduction en plus brutal de programmes déjà présentés à l’occasion de scrutins parfois lointains. »

 Alain Juppé vise le «retour au plein emploi» avec des mesures «pas rock'n'roll»

11. L’accusation de trahison de la gauche


Pour le chef de l’Etat, elle n’est pas justifiée. Pour s’en convaincre, il énumère les mesures sociales mises en place depuis 2012 et assure que « la trahison, c’eut été de laisser le pays dans l’état où [il l’a] trouvé ».

12. Emmanuel Macron


Pour François Hollande son rôle est clair : « Emmanuel Macron met en œuvre ces orientations [celles du gouvernement, ndlr] dans la fonction qui est la sienne. » Fin du débat.

13. L’aéroport de Notre-Dame-des-Landes


Conforté par la victoire du oui au référendum, le président assure que « les travaux s’engageront prochainement dans le respect du droit et la ZAD sera donc évacuée ».

Le verdict des urnes est «incontestable», insiste Valls

14. La réforme des institutions


« Nous vivons une crise de la démocratie », estime François Hollande qui avance plusieurs remèdes : « La représentation politique doit être diversifiée, le non-cumul dans le temps introduit, les citoyens doivent être associés aux décisions qui les concernent. » Il rejette néanmoins l’idée d’une VI République et de supprimer le poste de Premier ministre.

15. Donald Trump


Son arrivée à la Maison Blanche serait « dangereuse » pour le président français. « Ses slogans diffèrent peu de ceux de l’extrême droite en Europe et en France », estime François Hollande.

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F.HOLLANDE parle de la dernière année de son quinquennat et bien elle est terminée, car elle se résumera en une campagne électorale pour son éventuelle réélection (hypothétique) pour les 10 mois restants !

De plus, il est comme ses prédécesseurs et notamment le dernier, satisfait de lui, droit dans ses bottes persuadé d’avoir fait le maximum pour le pays et les français alors qu’il n’a pas fait le minimum et persuadé que ses convictions (s’il en a eu ce qui n’est pas démontré) étaient les meilleures ?!

Seul constat auquel on peut être en partie d’accord avec lui, c’est que la droite et ses candidats y compris l’ancien président avec leurs programmes (quand ils en ont un) ne sont pas nouveaux, loin de là et ce n’est pas étonnant !

Car toute la classe politique actuelle est médiocre, conséquence logique, pour qu’un maximum de français s’en désintéresse et que l’abstention augmente et que d’autres se tournent vers les extrêmes !

Il faudrait changer cette V eme république et ses institutions (partis politique, votation etc.) car elle n’est plus au fait du changement mondial, mais pour 2017, c’est trop tard !

Et les français versatiles, râleurs, mais conservateurs en fait endormis par une époque confortable passée, mais révolue, reprendrons hélas les mêmes politiciens ringards quel que soit leurs bords politiques, car cela n’est pas ça qui a de l’importance !

mercredi 29 juin 2016

Audimat télévisuel à qui fera le plus mauvais, mais qui rapportera le plus ? On devrait couper toutes émissions télévisées pendant 24 h sur toutes chaines pour voir l’effet que ça produirait sur la population ?!

Télévision

Palmarès TV Notes 2016: Carton plein pour D8 et TF1


TÉLÉVISION Les deux chaines sont les grandes gagnantes de l'enquête réalisée par «20 Minutes» en partenariat avec Pure Médias et RTL, dont les résultats sont dévoilés ce mercredi…
Nouveau triomphe pour la petite chaîne qui n’en finit plus de monter : D8 est sacrée meilleure chaîne de la TNT de ce nouveau palmarès TV Notes 2016.
Comme chaque année, 20 Minutes, Pure Médias et RTL  ont invité les internautes à voter pour leurs animateurs, chaînes de télévision et émissions préférées. Et le vote des 740.000 participants de cette édition 2016 est sans appel :  l’animateur star de D8, Cyril Hanouna, alias « Baba », est sacré meilleur présentateur pour la 5e année consécutive et son émission Touche pas à mon poste domine le classement dans la catégorie « talk-show de la saison » avec un score écrasant de 56,2 %.
Et la moisson de D8 ne s’arrête pas là puisque l’animatrice Estelle Denis qui officie également sur D8 dans Touche pas à mon sport remporte quant à elle la palme de « l’animatrice préférée » de la saison, L’œuf ou la poule celle de « jeu préféré » et Camille Combal, pilier de TPMP et « jeune marié » de Cyril Hanouna, celle de « chroniqueur préféré ».

TF1 au top 

Du côté des grandes chaînes, c’est TF1 qui rafle la mise cette année : élue « chaîne historique de la saison », elle domine également la catégorie des « émissions de téléréalité de la saison » avec trois programmes sur les trois premières marches du podium : Koh Lanta, The Voice et Danse avec les stars.
En matière de séries, ses choix ont aussi séduit les téléspectateurs, avec Clem en première place et le carton d’audience surprise Sam en troisième place de la catégorie « Séries françaises ». A cela s’ajoute un nouveau sacre pour la saison finale de Grey’s Anatomy dans la catégorie « Séries étrangères ».
Le grand concert des Enfoirés diffusé le 11 mars sur TF1 reste aussi « l’émission événementielle » préférée des Français, Ce soir tout est permis d’Arthur leur « émission de divertissement » favorite et Jean-Pierre Pernaut leur « animateur de JT » chouchou.

M6 en embuscade

Du côté des challengers, c’est M6 qui tire son épingle du jeu en trustant le podium dans la catégorie « docu-réalité ou série-réalité » avecCauchemar en cuisine, le nouveau programme Garde à vous et L’amour est dans le pré. Son « magazine de reportage » 66 Minutes est également plébiscité.
Enfin, petit clin d’œil aux (déjà ?) nostalgiques, le Petit Journal version Canal +  qui a diffusé jeudi son dernier épisode avec Yann Barthès aux manettes a été désigné « le magazine société » préféré des Français en 2016. Son successeur Cyril Eldin saura-t-il reprendre le flambeau la saison prochaine ? Ce sera à vous de nous le dire dans l’enquête TV Notes 2017 !
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Ce ne sont que des sondages bien sûr, mais confirme l’abêtissement de certains télé spectateurs par les contenus télévisuels de certaines chaines notoirement connues et en tête TF1 bien sûr, qui en plus est hachée dans ces diffusions par de la publicité omni présente et indigeste, (mais ces chaines privées sont des pompes à fric tellement juteuses qui ne recherche que le profit) et tant pis pour la culture dont on parle beaucoup, mais que l’on voit peu en fait !
Il faut avant tout plaire et distraire, même si c’est d’un niveau débile, du moment que ça rapporte en niveau d’audimat et économique et en lavant au passage les cerveaux des français lambda, ajouter à cela que cette télévision arrive par tous canaux et bien sûr aussi avec les réseaux sociaux, ne ditons pas que c’est le nouvel opium du peuple les médias ?!

Pauvre TURQUIE prise entre les deux feux du totalitarisme d’ERDOGAN et du terrorisme islamique de DAESH par ses positions politiques ambivalentes et ambigües!


Un policier turc met en place une zone de sécurité à l'aéroport Atatürk, le mardi 28 juin.



EN DIRECT. Attentat à l'aéroport d'Istanbul: 36 morts et 147 blessés... L'aéroport rouvre déjà...


 

·         Un attentat suicide a frappé l’aéroport Atatürk d’Istanbul

·         Trois kamikazes se sont fait exploser à l'entrée du terminal international

·         Au moins 36 personnes ont été tuées et 147 autres blessées selon un bilan provisoire

·         L'attaque n'a pas été revendiquée mais Daesh, qui avait envoyé au moins 35 djihadistes avant le ramadam, est suspecté

·         Monde
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Pour l’instant hélas nul n’est à l’abri pour voyager ou simplement vivre dans le monde, tant que l’on n’aura pas réuni une extrême volonté ferme de coopérer en mettant enfin à part, le coté religieux sans états d’âmes et arrière-pensée et considérer enfin que ces barbares lâches sont des criminels rien d’autres et irrécupérables, sans la moindre excuse même idéologique ou mystique !

Il faut traiter ce mal comme une maladie endémique et l’éradiquer de toutes les façons et arrêter « le politiquement correct de façade et l’hypocrisie des bien-pensants » et enfin se dire que c’est une guerre et alors que les terroristes islamiques et tous ceux qui se recommande du djihad sont nos ennemis, car eux, ne se posent plus de question, ils veulent notre perte et remplacer notre civilisation par un obscurantisme moyenâgeux !

L’EUROPE et le monde vont mal, seul le terrorisme islamique va bien et prospère, malgré les soit disant progrès avec la lutte contre DAESH  en Syrie et Irak, l’E.I. est toujours là, et frappe partout !

En ce qui concerne la Turquie avec ses relations et positions politiques ambivalentes de son président totalitaire ERDOGAN qui voudrait un islam plus rigoriste dans son pays quitte à limiter au maximum la laïcité et réduisant les libertés se prenant pour un sultan, auto proclamé, DAESH n’en n’a cure, car la Turquie fait partie de L’OTAN et même de la coalition occidentale !

mardi 28 juin 2016

Le parlement européen veut la sortie de l’Angleterre rapidement de l’U.E. oui mais :

Brexit : l'UE prête à divorcer "même dès aujourd'hui", assure Tusk


"Celui qui sort de la famille ne peut pas s'attendre à ce que tous ses devoirs disparaissent et que ses privilèges soient maintenus", annonce Angela Merkel.

 
Assumer le "Brexit" et ne pas tergiverser : les dirigeants de l'Union européenne ont mis le Royaume Uni au pied du mur l'invitant à enclencher son départ "rapidement" et sans négociation "à la carte". "L'Union européenne est prête à débuter la procédure de divorce du Royaume-Uni "même dès aujourd'hui", a martelé Donald Tusk, président du Conseil européen.
"L'UE est assez forte pour surmonter le départ de la Grande-Bretagne, elle est assez forte pour continuer à aller de l'avant même à 27 membres", a lancé la chancelière allemande Angela Merkel à quelques heures d'un sommet crucial à Bruxelles. Merkel a douché tout espoir de Londres de pourparlers "à la carte" sur l'avenir de ses relations avec l'Union. "Celui qui sort de la famille ne peut pas s'attendre à ce que tous ses devoirs disparaissent et que ses privilèges soient maintenus", a-t-elle tranché devant le Bundestag.

"Tirer les leçons"

Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a renchéri en excluant de son côté la moindre "négociation secrète" sur les modalités et le calendrier du divorce. "C'est nous qui décidons de l'ordre du jour, pas ceux qui veulent quitter l'UE", a-t-il averti devant le Parlement européen. L'onde de choc du référendum britannique continue de se propager cinq jours après et l'inquiétude sur les conséquences du divorce à venir est manifeste chez les Européens, obligés de "tirer les leçons" du scrutin avec le souci d'éviter une contagion à d'autres Etats membres.
L'Allemagne, la France et l'Italie refusent toute négociation avec le Royaume-Uni tant que Londres n'aura pas formalisé sa demande de sortie. Les trois poids lourds fondateurs de l'UE - principales économies de la zone euro - veulent aussi donner une "nouvelle impulsion" au projet européen. Le Premier ministre britannique David Cameron aura fort à faire pour livrer les "explications" post-mortem de son échec lors d'un dîner devant ses homologues mardi.

Clarifier la position

Selon un diplomate de haut rang, "quelques principes devraient ressortir de cette discussion: prendre acte du résultat du référendum, insister sur le fait que dans cette situation le traité de Lisbonne définit un cadre juridique ordonné", à savoir l'article 50 ou "clause de retrait" d'un Etat membre. "L'éventail des formules est large pour le statut futur: cela peut aller du statut de la Corée du Nord à celui de la Turquie", a ironisé le même diplomate, mais "tant que que la procédure de l'article 50 n'est pas déclenchée, aucune négociation d'aucune sorte n'est possible".
Jean-Claude Juncker a exhorté mardi le Royaume-Uni à "clarifier le plus rapidement possible" sa situation, arguant que l'UE ne pouvait s'"installler dans une incertitude prolongée". "Pas de notification, pas de négociation", a-t-il martelé. Quant au Premier ministre belge Charles Michel, il a exprimé son refus d'une "prise d'otage" des Européens par Londres.
Réuni en session extraordinaire, le Parlement européen a massivement adopté à la mi-journée une résolution enjoignant Londres de notifier "immédiatement" son futur départ. Selon une source gouvernementale britannique, David Cameron entend réitérer à Bruxelles sa position, à savoir qu'enclencher la procédure de divorce incombera à son successeur, dont le nom devrait être connu d'ici le 2 septembre.

Temporisation chez les Britanniques

A Londres, le Premier ministre conservateur démissionnaire n'est pas seul à temporiser. Le chef de file des partisans du Brexit, Boris Johnson, qui vise sa place, joue désormais la conciliation, assurant que le Royaume-Uni fait "partie de l'Europe" et que sa sortie de l'UE n'interviendra "pas dans la précipitation". Ce n'est que mercredi, au petit-déjeuner, que le président du Conseil européen, Donald Tusk, réunira de façon "informelle" les 27 autres dirigeants, sans David Cameron, afin de parler de l'avenir des relations de l'Union avec le Royaume-Uni.
"Le but doit être d'arriver à un résultat commun au plus tard pour le 60e anniversaire du traité de Rome en mars de l'année prochaine", a expliqué Angela Merkel mardi, en référence au traité fondateur du projet européen. Lundi, la chancelière allemande, le président français François Hollande et le chef du gouvernement italien Matteo Renzi ont dit vouloir proposer une "nouvelle impulsion" du projet européen notamment dans les domaines de "la défense, la croissance, l'emploi et la compétitivité".

L'opposition au bord de l'implosion

Eviter la contagion du Brexit ailleurs en Europe est une préoccupation majeure pour plusieurs pays, notamment la France, l'Italie ou les Pays-Bas, où l'extrême droite et les mouvements populistes ont le vent en poupe. Le Brexit, voté par 52 % des Britanniques, a toujours du mal à passer chez ses opposants au Royaume Uni. La tourmente politique dans laquelle est plongé le pays est d'autant plus dévastatrice que revient au premier plan la menace d'une sécession de l'Ecosse, qui a voté à 62 % en faveur d'un maintien dans l'UE.
L'opposition travailliste était au bord de l'implosion mardi: fragilisé à l'extrême, son chef Jeremy Corbyn, faisait face à une motion de défiance après avoir perdu le soutien des deux tiers de sa garde rapprochée. Les rebelles l'accusent de ne pas avoir assez milité pour un maintien dans l'UE. Dénonçant un "coup d'Etat de couloir", ce vétéran de l'aile gauche du parti a annoncé qu'il ne démissionnerait pas, se targuant du soutien des militants, dont près de 10 000 ont manifesté lundi soir en sa faveur.
Cruauté supplémentaire, l'Angleterre est sortie lundi soir... de l'Euro-2016, battue par l'Islande (2-1) en huitièmes de finale.
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En fait L’Angleterre fera ce qu’elle veut comme d’habitude « empêcheuse de tourner en rond » pour faire durer au maximum les délais, car du fait de cet article N°50 ou c’est le pays qui veut sortir de l’union européenne qui doit le demander expressément, cela montre simplement dans cette Europe étatique kafkaïenne de Bruxelles et arrogante que l’on ne croyait pas que cela pouvait se produire !
De plus le fameux couple franco-allemand dont on nous serine l’importance HOLLANDE/MERKEL actuellement n’est comme d’habitude pas d’accord, quelle triste mascarade, car leurs peuples dans tout cela, ils les oublient !
Jdeclef 28/06/2016 14h01

Une image de ce monde politique insupportable que l’on ne devrait plus voir, s’il y avait vraiment des règles déontologiques strictes pour nos élus !

Politique

Législatives: Patrick Balkany ne se représentera pas dans les Hauts-de-Seine


POLITIQUE L'investiture du maire de Levallois-Perret, quatre fois mis en examen, avait fait grand bruit, même au sein du parti des Républicains...
La Commission nationale d’investiture du parti Les Républicains a donné dimanche son feu vert à plusieurs centaines d’investitures, dont celle de Patrick Balkany, malgré ses quatre mises en examen.
La règle générale, qui veut que le parti réinvestisse tous les sortants, a donc sur le papier été respectée, malgré les remous suscités par cette décision jusqu’au sein du parti.
Oui mais voilà, Patrick Balkany ne sera finalement pas dans la course, affirme L’Obs ce mardi. Cette information a été confirmée dans la matinée par le vice-président de la commission nationale d’investiture des Républicains, Patrick Karoutchi.

Une « jeune femme blonde » à la place de Balkany

« A la demande express de P. Balkany je présenterai ce jour la candidature d’Agnes Pottier Dumas pour la circonscription de Levallois/Clichy (sic) », a-t-il tweeté.
« Parmi les sortants investis, comme moi, nombreux sont les députés-maires qui, en raison de la loi sur le cumul, devront choisir entre leurs deux mandats », explique le député-maire.
« Tous ceux qui me sont proches, mais aussi toute l’équipe municipale et, surtout, l’ensemble des Levalloisiens, savent que la question ne s’est pas posée un instant pour moi : jamais je n’abandonnerai mon mandat de Maire de Levallois ! », poursuit-il.
Selon le magazine, le maire de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) avait confié à l’un de ses très proches : « Je veux qu’on mette mon nom pour le moment, mais ça ne veut pas dire que ce sera moi à l’arrivée. Ce sera une jeune femme blonde ! »
Et l’hebdomadaire de nommer Agnès Pottier-Dumas, 31 ans, conseillère municipale de Levallois-Perret et collaboratrice de Valérie Pécresse au conseil régional d’Ile-de-France.
L’intéressée avait d’ailleurs confirmé l’information à L’Obs, leur déclarant : « Vous êtes bien renseignés. Il me l’a effectivement dit depuis un petit bout de temps. »
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Enfin une bonne nouvelle dans ce monde politique sclérosé, il a enfin passé la main sous la pression ce « triste sire » (exemple parfait de politiciens que l’on devrait pouvoir appeler « ripoux » comme certains fonctionnaires..!)

Il a fallu pétition et protestation même dans son propre camp pour le forcer à renoncer à sa candidature, mais en fait, c’était déjà à son groupe politique LR de ne pas le coopter !
Ceci étant, il a nommé pour le remplacer  Agnès Pottier-Dumas, 31 ans, conseillère municipale de Levallois-Perret ce qui n’est pas forcément une garantie de neutralité non inféodée au clan BALKANY !