mercredi 31 mars 2021

On a plusieurs problèmes, sociétaux en plus des crises sanitaires et économiques depuis 1 an et le début du quinquennat MACRON cela commence à faire vraiment beaucoup trop !?

 

Coignard – Emmanuel Macron et le syndrome du pays « à haut risque »

CHRONIQUE. Pressé de prendre des mesures en France, le président commence aussi à affronter la défiance de l’étranger à l’égard des voyageurs français.

Jamais, sur le front intérieur, la pression n'a été aussi forte pour Emmanuel Macron. Des médecins qui signent une tribune pour assurer que, sans reconfinement strict et immédiat, il faudra trier les malades. L'un des leurs qui déclare mardi matin sur France Inter que si l'exécutif ne sévit pas immédiatement, « on aura une situation à la lombarde, où les patients mourront sur les brancards ».

Des enseignants qui, non prioritaires pour les vaccins mais en première ligne face au virus, font jouer leur droit de retrait. Des statistiques de vaccination encourageantes, mais révélatrices : malgré le mot d'ordre martelé, on ne vaccine toujours pas « à tour de bras » le dimanche, jour où les injections sont cinq fois inférieures au reste de la semaine. Voilà qui n'est pas excellent pour la légitimité de la parole présidentielle !

Il est toutefois une variable qui n'a pas été examinée jusqu'à présent et qui risque de peser sur l'image du chef de l'État. Lui qui prononçait, en septembre 2017, à la Sorbonne, un discours remarqué sur sa vision de l'Union européenne risque de devenir, dans les jours qui viennent, le dirigeant d'un pays dont les ressortissants ne sont pas les bienvenus sur le continent comme ailleurs dans le monde. Face à la progression de l'épidémie dans l'Hexagone, les capitales étrangères sont de plus en plus nombreuses, ces derniers jours, à prendre des mesures pour protéger leurs populations de contaminations venues de France.

Fermeture des écoles : bientôt la fin de l'exception française ?

La France isolée

En 24 heures, le Maroc et le Portugal ont de fait fermé leurs portes aux voyageurs qui ont séjourné dans notre pays. Dès aujourd'hui, les Français devront observer une « quatorzaine » prophylactique à leur domicile ou dans un établissement désigné par les autorités de santé portugaises. Quant à ceux qui voudraient se rendre au Maroc, ils ont appris que depuis hier, les liaisons aériennes sont suspendues jusqu'à nouvel ordre.

Covid-19 : une troisième vague pire que la deuxième ?

L'Espagne a décidé, à compter d'hier, que les automobilistes qui franchissent la frontière depuis la France devront présenter un test PCR négatif. Et, depuis le 28 mars, la France est considérée par l'Allemagne comme « territoire à haut risque ». L'Irlande et le Royaume-Uni ne pratiquent pas encore un tel ostracisme, mais l'une comme l'autre préviennent que la liste des pays « rouges » peut être réactualisée à tout moment.

Ce n'est pas encore une hécatombe, mais c'est une épée de Damoclès supplémentaire qui pèse sur la stratégie présidentielle.

Et Les différents problèmes sociétaux qui s'enchainent depuis le début de son quinquennat avec les heurts qu'ils déclenchent périodiquement !

Et en plus notre président MACRON pseudo faux monarque sans couronne pleutre indécis qui procrastine sur les décisions à prendre pour combattre efficacement cette covid depuis des mois car totalement dépassé !

Au point que même les pays étrangers nos voisins se méfie de la politique inexistante menée par nos dirigeants et en viennent à la considérer hasardeuse, voire dangereuse et se protège contre nous !

Ça, c'est la réalité et tout cela parce que dans notre V eme république usée obsolète on a donné trop de pouvoir qu'il utilise mal à un seul homme petit bourgeois parvenu irresponsable aveuglé par ses incertitudes et son égo mal placé, mais vite dépassé par les problèmes trop gros pour lui !

Il n'est pas digne de diriger ou gérer cette France et tous ses français qui souffrent !

Car la, il ne s'agit plus de faire de la mauvaise politique politicienne habituelle, mais de la santé et de la vie des français dans leur totalité qui devrait être prioritaire !

Jdeclef 31/03/2021 10h55LP


mardi 30 mars 2021

Pour dire quoi : « j'ai raison » !? Ce petit bonhomme pas drôle qui joue avec la santé des Français?!

 

Covid-19 : Emmanuel Macron pourrait prendre la parole dès mercredi

Selon France Info et BFMTV, le chef de l’État envisage une allocution solennelle ce mercredi à l’issue d’un conseil de défense ou la semaine suivante.

Une semaine décisive, une de plus. Alors que la situation sanitaire ne cesse de s'aggraver et que le pic de la deuxième vague a été atteint (et dépassé) au niveau des réanimations, de nouvelles mesures de restriction pourraient se révéler inévitables. Selon les informations de BFMTV et de France Info, tout devrait se décider lors du prochain conseil de défense mercredi avec, le soir même ou la semaine suivante, une prise de parole du chef de l'État devant les Français.

Sur la table, plusieurs options pour lutter plus efficacement contre l'épidémie tout en insistant le plus possible sur la vaccination. La question de la fermeture des écoles est notamment au cœur des réflexions. L'exécutif envisage notamment de profiter des vacances de Pâques pour fermer les établissements pendant trois ou quatre semaines. « Si nous ne prenons aucune mesure, le risque, c'est que les écoles ferment toutes seules », estime un ministre auprès de France Info, alors que le nouveau protocole sanitaire exige la fermeture d'une classe dès l'existence d'un cas de Covid.

Sébastien Chenu : « L'arrogance du gouvernement paralyse la situation sanitaire »

Éviter le tri des patients

Si Emmanuel Macron compte lui-même prendre la parole, solennellement, c'est en général pour annoncer de nouvelles mesures, ou leur terme. Un pas serait franchi, donc, depuis les récentes annonces de Jean Castex et d'Olivier Véran, ajustements locaux d'une stratégie en place depuis plusieurs mois. « Si ce sont des mesures qui changent de doctrine, c'est le président », confirme une source au sein de l'exécutif à BFMTV.

Cotta – Crise sanitaire : retour à la case départ pour Emmanuel Macron

La crainte majeure pour le chef de l'État, la ligne à ne pas franchir, est avant tout le tri des patients. Dans deux tribunes distinctes au JDD et au Monde, des médecins hospitaliers ont donné de la voix dimanche pour alerter sur le spectre du tri des patients à la porte des réas. Des « choix terribles pour les soignants » que le ministre de la Santé Olivier Véran a assuré vouloir leur éviter, lors d'un entretien dimanche soir avec ces directeurs médicaux de crise. Si les chiffres montrent que les hôpitaux français n'ont pas encore atteint cette situation critique, le gouvernement estime notamment que les transferts de patients ne sont pas assez nombreux, dans trop peu d'endroits.

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À savoir, si attendre mercredi comme de stupides gogos pitoyables, le bon vouloir de ce pseudo monarque sans couronne ne rend pas plus malade que la covid elle-mème!?

Car avec ses tergiversations que nous subissons sous tous ses gouvernements depuis le début de cette pandémie avec leurs cacophonies multiples constellées d'erreurs !?

En fait le constat lamentable de nos administrations kafkaïennes et leurs fonctionnaires bornés dirigées par des ministres médiocres, le tout chapeauté par nos dirigeants d'une incompétence remarquable !

La France régresse au point qu'on se croit revenus au IXXᵉ siècle!

Mais comme la honte et le manque d'amour-propre de ceux qui nous gouvernent est absent, on aura du mal à s'en sortir et si ces crises sanitaires et économiques cessent, car comme d'habitude, c'est les français lambda qui paieront pour ceux encore vivants (sans être cynique...)

Jdeclef 30/03/2021 13h24


Il n'y a pas besoin d'être un spécialiste pour dire que l'Afrique est l'épicentre de L'EI DAESH !

 

Djihadisme : « L’Afrique est devenue l’épicentre de l'EI »

ENTRETIEN. Wassim Nasr, spécialiste des mouvements djihadistes, analyse la montée en puissance de Daech au Mozambique et sur tout le continent africain.

Le monde entier avait été pris d'effroi en 2013 et 2014, en assistant aux prises de Raqqa (Syrie) puis Mossoul (Irak) par les djihadistes de l'organisation État islamique. Le groupe terroriste, rompu aux attentats et à la guérilla, comptait sur ces territoires conquis pour prouver sa capacité à administrer des régions. Sept ans plus tard, les combattants de Daech ont été chassés des villes d'Irak et de Syrie, ils sont contraints de se terrer dans des zones reculées du Levant, d'où ils mènent des attaques de moindre envergure.

Mais ils restent actifs sur d'autres fronts, notamment en Afrique. Mercredi 24 mars 2021, des combattants se proclamant de l'organisation EI ont investi Palma, une ville du nord du Mozambique. Un fait d'armes revendiqué de manière « officielle » ce lundi par l'organe de propagande de Daech. La ville est stratégique, elle servait de base à Total, en vue d'exploiter les gisements de gaz situés au large de la région du Cabo Delgado. L'entreprise pétrolière française a été contrainte de rapatrier à la hâte certains de ses employés, car la situation est confuse à Palma, comme dans toute la zone frontalière avec la Tanzanie. Wassim Nasr, journaliste à France 24, spécialiste des mouvements djihadistes et auteur du livre État islamique, le fait accompli (Plon, 2016), fait le point sur la force de frappe de l'EI en Afrique, au Moyen-Orient, mais aussi dans le reste du monde.

Le Point : Que sait-on des islamistes qui gagnent du terrain au Mozambique ?

Wassim Nasr : Depuis 2007, il existe des groupes de prédicateurs au Mozambique, avec des ramifications en Tanzanie. Ils prônent l'instauration de la charia. Ils ont commencé leurs actions violentes contre l'armée et les forces de l'ordre en 2017 puis ont prêté allégeance à l'EI en 2018. Ils se sont emparés de la ville de Mocimboa de Praia en août 2020, située à 80 kilomètres au sud de Palma. Mercredi dernier, ils ont attaqué cette ville, où sont basés des employés de Total, qui a un immense projet offshore au large du Mozambique.

Le Mozambique, nouveau sanctuaire des djihadistes

Ils ont prêté allégeance à Daech. Est-ce une alliance de circonstance ou existe-t-il des liens entre eux et les arcanes du groupe djihadiste ?

Ils sont liés, c'est certain, même s'il n'y a pas eu de « cérémonie officielle ». Al-Baghdadi, ou son successeur, ne s'est pas réveillé un matin en se disant « Tiens, je vais reconnaître les djihadistes du Mozambique ». Il y a eu un travail en amont qui porte ses fruits depuis 2019. Pas besoin de contact physique ou de poignée de main entre chefs. Mais l'EI leur a fourni une charte « clé en main » comme il l'avait fait avec Boko Haram au Nigeria, pour leur permettre d'améliorer leurs « performances » sur les plans militaire, administratif et idéologique. On le voit d'ailleurs dans la prise de Palma. Les djihadistes se sont attaqués à l'armée sur la route de Mocimboa. C'était un leurre pour leur permettre d'entrer dans la ville par l'ouest et le nord, tout en investissant rapidement les plages, afin d'empêcher les opérations d'exfiltration. Voilà une manœuvre militaire comme sait les enseigner l'EI. La maison mère apporte un savoir-faire immatériel. Autre exemple de transmission de savoir, des combattants sur les bords du lac Tchad ont trouvé un drone mais ne savaient pas le faire fonctionner. L'EI leur a montré comment s'en servir.

Les djihadistes du Mozambique représentent donc bien une branche de Daech.

Même le département d'État américain a fini par le reconnaître. Le 10 mars dernier, il a classé les groupes de République démocratique du Congo et du Mozambique sur la liste des organisations terroristes en lien avec l'EI. D'ailleurs, il vient de revendiquer, ce lundi, la prise de Palma via son organe de propagande habituel. Seule la commission montée par le Conseil de sécurité de l'ONU continue de douter des liens qui unissent l'EI et les djihadistes du Mozambique.

Conquérir un territoire est une chose, l’administrer en est une autre

Ils se sont emparés de la ville de Palma. Comptent-ils l'administrer comme autrefois Raqqa ou Mossoul ?

Difficile à dire. Les populations fuient les villes du Mozambique qui passent sous le joug des djihadistes, contrairement à une partie de la population de Mossoul ou Raqqa. En Syrie et en Irak, l'EI avait même fait travailler les fonctionnaires qui souhaitaient rester. Surtout, le Mozambique est un pays majoritairement chrétien, moins de 20 % de la population est musulmane. Conquérir un territoire est une chose, l'administrer en est une autre.

Où Daech contrôle-t-il des territoires aujourd'hui dans le monde ?

L'Afrique est devenue l'épicentre de l'EI. Ce n'est plus le Levant. Pour s'en rendre compte, il suffit de lire leur journal, c'est le continent africain qui fait désormais le plus souvent la une. Sur les bords du lac Tchad, l'EI en Afrique de l'Ouest est sa branche la plus puissante, elle a levé une armée de professionnels, pas de simples locaux qui se battent de manière sporadique. Au Nigeria, ils contrôlent des points de contrôle et font du racket pour amasser de l'argent. La situation rappelle celle de la Syrie en 2013-2014. Placée sous sa tutelle se trouve la branche au Sahel, qui parvient à nouveau aujourd'hui à attaquer l'armée malienne et les milices touaregs. Il y a la filiale en Afrique centrale : Mozambique, Congo, Tanzanie, puis celle au Sinaï, qui résiste à l'armée égyptienne malgré le soutien des Israéliens.

L'EI est toujours présent en Syrie et en Irak, mais il ne parvient plus à monter des opérations d'envergure. En Afghanistan, il a aussi des combattants, mais les Talibans, un temps menacés d'être débordés, ont finalement repris le dessus. Aux Philippines, ils ne contrôlent plus de territoire à proprement parler depuis 2017 et la bataille de Marawi.

Guerre en Syrie : comment tout a (vraiment) commencé

Qui dirige l'EI depuis la mort d'Al-Baghdadi ?

C'est Abou Ibrahim al-Hashimi qui a pris sa suite. Mais on ne l'a jamais vu depuis. Pour des raisons de sécurité, sans doute. Malgré cela, son autorité n'est pas tellement contestée. Un mois après l'annonce de sa « promotion », les groupes affiliés lui avaient tous prêté allégeance.

« Al-Baghdadi est plus important mort que vivant »

L'EI a-t-il toujours les moyens d'organiser des attentats d'envergure en Occident – et notamment en France ?

Il n'a plus les moyens logistiques pour monter une cellule comme celle du 13 Novembre, car il n'a plus de territoire à proximité de l'Europe depuis qu'il a été battu en Syrie et en Libye et que la Turquie bloque désormais le passage et retient les afflux de réfugiés. Il n'y a plus d'Européens aguerris prêts à revenir frapper leur pays comme lors du 13 novembre. La dernière cellule d'ampleur démantelée était celle de Reda Kriket, qui est jugé en ce moment même à Paris. Mais la volonté est toujours là, preuve en est l'attentat de novembre 2020 à Vienne, en Autriche.

Quoi de plus simple que de laver l’esprit de populations faibles pauvres et pas éduquées ?

Exemple nos soldats qui sont englués dans ce Mali et Sahel subsaharien immense à courir après ces djihadistes depuis 2013 (et après que la coalition occidentale est dite avoir vaincu DAESH EI !?)

Avec en plus que ce bon gros Hollande tout mou est crié victoire à Tombouctou en disant que c'est le plus beau jour de sa vie alors que l'on a subi les printemps dit arabes avec la Lybie ou Daesh s’est implanté et la Syrie qui subit 8 ans de guerre civile !

A ça, il faut ne faut pas oublier d’ajouter ces attentats islamiques qui perdurent en Europe et partout dans le monde jusqu’à ce jour, comme au Mozambique presque quotidiennement à cause des dirigeants occidentaux qui ne veulent pas frapper avec vigueur jusqu’à même chez eux pour extirper ces vers qui sont dans leurs fruits de nos sociétés et qui pourrissent la vie d’innocents qui vivaient en paix avant, mais surtout en sécurité, qu’ils ont perdus par des laxismes de bienpensant qui pratiquent le politiquement correct hypocrite !

Ce qui est une erreur de pleutres, car ses malfaisants lâches n’ont aucun respect de la vie humaine dans sa totalité envers hommes/femmes/enfants innocents !

Et pourtant on a eu plein d’exemple depuis 20 ans en France et de par le monde de cette infestation qui tuera encore aussi bien que la covid, après, car là il n’y a pas de vaccin, il faut simplement volonté et rigueur sans failles de nos autorités dirigeantes en ne cachant rien et nommant les responsables !

Jdeclef 30/03/2021 11h57


Résilience mot que l'on utilise à tout va de la part de nos dirigeants avec d’autres creux dont Mr MACRON soule les français !

 

Coignard – La « résilience » à toutes les sauces !

CHRONIQUE. Épidémie, économie, climat, rien ou presque n’échappe à ce nouvel « élément de langage » qui finit petit à petit par s’autodétruire…

 

La « résilience » était un concept inconnu des Français il y a encore quelques années. Popularisé par le neuropsychiatre Boris Cyrulnik à travers plusieurs de ses ouvrages à succès, ce terme désigne la capacité à surmonter un choc traumatique. Galvaudé au fil du temps, il a été vidé de sa substance pour être employé à tort et à travers, confondant les petits tracas de la vie avec les heures tragiques de l'Histoire. Puis est survenue, début 2020, une pandémie qui a bouleversé la marche du monde. Une nouvelle carrière s'est annoncée pour lui, pas toujours inspirée.

C'est le nom que choisit Emmanuel Macron, le 25 mars 2020 à Mulhouse, l'un des premiers foyers de l'épidémie, pour baptiser l'opération des armées pour lutter contre la première vague du virus. Une opération qui s'enlise.

Coronavirus : les détails de l'opération militaire Résilience

C'est encore le mot qu'emploie le ministre de l'Économie et des Finances Bruno Le Maire, le 5 juin 2020, alors que la France vient de sortir d'un confinement inédit : « Nous entrons dans une deuxième phase, la phase de résilience, comme l'a indiqué le président de la République, pour soutenir tous les secteurs qui sont les plus menacés par la crise. »

Une respiration estivale et la résilience reprend du service, cette fois dans un autre registre. « Résilience et volonté. Cet esprit fut incarné par Charles de Gaulle, engagé pour la France dans les moments de douleurs comme dans ceux de gloires. Cet esprit est un héritage, celui de la France », écrit Emmanuel Macron en visite à Colombey-les-Deux-Églises pour le cinquantenaire de la mort du général de Gaulle. L'allusion à la pandémie qui frappe de nouveau le pays, tout juste soumis à un nouveau confinement, n'échappe à personne.

Puis c'est l'Union européenne qui l'emploie très officiellement pour vanter les mérites du plan de relance adopté au forceps fin 2020 : « Une enveloppe globale de 1 800 milliards d'euros contribuera à reconstruire l'Europe de l'après-Covid-19 : une Europe plus verte, plus numérique et plus résiliente. »

De Gaulle n'avait pas de tels mots

Le problème, c'est que de Gaulle n'avait pas de tels mots en des circonstances autrement tragiques. Donner une touche psychologisante à de grandes déclarations n'a jamais permis de régler un problème. Le projet de loi intitulé « climat et résilience », examiné depuis ce lundi et pour trois semaines à l'Assemblée nationale, en est l'illustration. La contestation exprimée à la fois dans la rue, à travers diverses manifestations, et dans des instances telles que le Haut Conseil pour le climat, qui déplore le « manque d'ambition du texte », montre que les mots n'ont pas toujours un pouvoir performatif. Non seulement il ne suffit pas de décréter la résilience pour obtenir l'adhésion, mais l'utilisation abusive de ce terme finit par le transformer en tarte à la crème. Une loi « climat » aurait suffi. La résilience, c'est une tout autre chose…

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Dont la définition est la capacité à surmonter les chocs traumatiques !

Ce que notre pseudo monarque sans couronne dégonflé comme une baudruche crevée n’a pu surmonter car enfermé dans ces indécisions et procrastination !

Enfermé dans sa bulle confortable et dont tous ces pauvres gogos français attendent la bonne parole vide habituelle, sauf qu’il n’est pas un messie ou devin, voire avoir la science infuse loin de là, car comme on ne dépend que de lui et de ses décisions, il tient le destin des français dans ses mains comme nos anciens rois absolus de l’ancien régime !

Et à notre époque dans nos sociétés évoluées démocratiques, un seul homme dans des situations graves exceptionnelles ne doit pas décider seul, surtout en plus quand il n’est pas capable de décider influencé par des considérations purement électorales !

Il devrait se souvenir, ce n’est pas si loin, qu’il a été élu parce que les français avaient rejetés tous ses anciens dirigeants et politiciens ex élus de tous bords !

Cela peut se reproduire facilement ce rejet de sa personne, car il a perdu par la mauvaise gestion de cette pandémie (et des autres problèmes sociétaux annexes pas réglés) les français admettent les erreurs, mais pas quand elles sont bornées ou faites à cause d’égo démesuré de nos dirigeants !

Le trop, c’est trop, de ce parvenu bobo bienpensant donneur de leçon dédaigneux qui ne comprend pas depuis le début, les français lambda !

Car chez ces français, il y en a qui sont nettement plus intelligents que lui, mais ils ne font pas de politique, ils sont simplement utiles aux autres avec bon sens !

Jdeclef 30/03/2021 10h48


lundi 29 mars 2021

Certaines zones dites de non droits ou la délinquance et les lois ou les Règlements de la république ne sont plus respectés sont de plus en plus nombreuses en FRANCE !?

 

Yvelines : des policiers pris pour cible lors du tournage illégal d'un clip de rap

Sans masques ni respect des gestes barrières, une centaine de jeunes étaient présents dans la cité du Val Fourré, à Mantes-la-Jolie, rapporte « Le Parisien ».

Décor régulier des clips de rap, la cité du Val Fourré fait à nouveau parler d'elle. Ce samedi 27 mars, plus d'une centaine de jeunes de ce quartier de Mantes-la-Jolie (Yvelines) étaient rassemblés pour assister au tournage illégal d'une vidéo du rappeur Niaks, rapporte Le Parisien. À cette occasion, des policiers qui patrouillaient à proximité ont été pris pour cible. 

Issus de la commune, mais aussi des villes de Creil et d'Aubervilliers, les participants ne portaient pas de masques et ne respectaient visiblement pas les gestes barrières, selon plusieurs vidéos partagées sur les réseaux sociaux. 

Un incident qui dégénère en violences urbaines

Tout a commencé aux alentours de 17 h 30, quand les esprits se sont échauffés, pour des raisons encore obscures, relaie le quotidien francilien. Les fonctionnaires, qui passaient à cet instant, ont alors été visés par les jeunes qui participaient au clip, tourné sans autorisation. Aucun blessé n'est à déplorer et aucune interpellation effectuée, mais les incidents se sont poursuivis dans la nuit, avec de nouveaux épisodes de violences urbaines. Au Val Fourré, les policiers ont ainsi été pris à partie par une trentaine d'individus, peu avant minuit.

À Marseille, le dur quotidien de la première police municipale de France

La cité de Mantes-la-Jolie est réputée pour servir de décors aux tournages de clips de rap. En 2014, une quinzaine de policiers avaient déjà été pris pour cible par une cinquantaine de jeunes qui tournaient une vidéo dans le quartier, rappelle Le Parisien. Trois mineurs avaient été interpellés à cette occasion. En 2016, le rappeur Sosa Lossa avaient également tourné un clip au Val Fourré, qui avait été visionné pas moins de 325 000 fois sur YouTube. Aucun incident n'avait, en revanche, été à déplorer. 

Fourgon attaqué, tirs de mortiers, non-respect du couvre-feu...

Sans rapport avec le tournage du clip de rap, des incidents ont également enflammé plusieurs autres villes des Yvelines, dans la nuit de samedi à dimanche, rapporte toujours Le Parisien. À Meulan, des dizaines d'individus, mécontents d'avoir été chassés du stade en raison des mesures sanitaires, ont attaqué un fourgon de police en fin d'après-midi. À Sartrouville, La Celle-Saint-Cloud et aux Clayes-sous-Bois, des fonctionnaires ont reçu des projectiles. Des tirs de mortier ont également visé les forces de l'ordre à Carrières-sur-Seine et à Trappes, où un commissariat a été assailli vers 20 h 30.

« Le phénomène des bandes de jeunes n'est pas nouveau »

Au Pecq, un contrôle pour non-respect du couvre-feu a mal tourné, et un policier a été légèrement blessé. Des jeunes ont aussi tenté d'encercler des policiers à Plaisir et à Guyancourt, cinq jeunes tout juste majeurs ont été interpellés alors qu'ils étaient en train de commettre des dégradations sur des voitures, vers 3 heures du matin.

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D'ailleurs ces lieux, quartiers de villes sont connus ou l'état dit régalien n'est plus là !?

Et font souvent la une des médias et ou les incidents plus ou moins graves sont constants !

Ce qui est préoccupant, car cela n’est pas nouveau et perdure sous tous les gouvernements de tous bords depuis des décennies se dégradant depuis trente ans et sous les nouveaux derniers quinquennats qui n’ont rien changé pour lutter contre cette délinquance et violence urbaines !

Ce qui démontre que la gouvernance de notre pays n’est plus maitrisée par trop de libertés mal encadrées, car cela ne semble pas pris au sérieux par nos dirigeants qui ignore le peuple lambda qui vit de plus en plus dans l’insécurité !

Et qui sépare notre France en deux catégories de population, ces villes ou quartiers populaires et les quartiers bobos nantis, qui fait que l’on ne vit pas de la même façon en France ou « la liberté, égalité, fraternité » n’est plus qu’un titre sur le fronton de bâtiments publics, car le chacun pour soi prime !

Jdeclef 29/03/2021 18h13


Heureusement qu’il n’a pas dit le contraire, tout cela pour se faire mousser ( mais dieu est grand dit-on ..?!)

 

Dans une mosquée-vaccinodrome de Londres : « L’imam dit que le vaccin est sûr »

REPORTAGE. Au Royaume-Uni, des églises, synagogues et mosquées accueillent des centres de vaccination contre le Covid-19. Une manière de convaincre certains sceptiques.

 

L'entrée du centre de vaccination est discrète, dans une ruelle. Les patients, réservation à la main, pénètrent dans l'un des halls de l'East London Mosque, la mosquée la plus importante du Royaume-Uni et l'une des plus grandes d'Europe. Pour la deuxième fois en deux mois, elle a mis à disposition du NHS (National Health Service, le système de santé publique britannique) ce large espace pour la vaccination. Des bénévoles de St John Ambulance, une organisation caritative spécialisée dans les premiers secours, et le personnel du NHS s'affairent. Ils installent les patients, leur font remplir un questionnaire et, enfin, les vaccinent derrière des rideaux noirs. L'objectif de l'après-midi : administrer 300 piqûres d'AstraZeneca en trois heures.

À l'écart, le chargé de la communication de la mosquée, Khizar Mohammad, jubile en observant la scène. « C'est le fruit d'un effort commun entre le NHS, les autorités locales et la mosquée », dit-il. « Tout le monde peut se faire vacciner ici : hommes, femmes, musulmans, non-musulmans, athées… » Il désigne le personnel soignant et les volontaires présents, « issus de divers milieux. » Actuellement, les vaccins sont proposés aux plus de 50 ans, ainsi qu'aux plus jeunes considérés à risque et aux « travailleurs essentiels ». Parmi les patients installés sur les chaises, Gary, 33 ans, est policier. Se faire vacciner dans une mosquée ? Il hausse les épaules et répond, « c'est pratique, c'est sur le chemin de la maison après mon travail ». Oliver, 31 ans, a une comorbidité et présente toujours des symptômes depuis qu'il a attrapé le coronavirus en avril dernier. « J'espère que le vaccin me soulagera », dit-il, puis il ajoute, « c'est étrange de se faire vacciner dans une mosquée, mais c'est cool qu'elle soit mise au service de la santé publique ».

Pendant ce temps-là, le Royaume-Uni vaccine à tour de bras

Des bénévoles vaccinent dans une salle de la mosquée.

À 16 h 30, l'appel à la prière retentit. Les fidèles prient dans une salle attenante. Dans celle qui sert à la vaccination, la cadence ne décélère pas. L'utilisation de la mosquée comme centre n'est pas anodine. Hasnain Abbasi, le seul médecin dans la salle, explique : « On gère un centre de vaccination dans la municipalité, on s'est inquiétés du fait qu'une frange de la population ne venait pas, on a donc décidé de vacciner dans une mosquée. » Des études montrent que la communauté BAME, un acronyme communément utilisé en anglais désignant les populations noires, asiatiques et autres minorités ethniques, est plus vaccino-sceptique que la population blanche – dans les statistiques du Royaume-Uni, où il est autorisé de classer les personnes en fonction de leur ethnie. On sait ainsi, d'après une étude, que dans le groupe des personnes âgées entre 65 et 69 ans, par exemple, 92 % de population blanche ont reçu une première dose, contre 81 % d'origine sud-asiatique, et 63 % de population noire. « Chaque semaine, nous avons une liste mise à jour des personnes qui sont censées être vaccinées. Nous savons donc qui n'est pas venu à son rendez-vous et nous essayons de les faire changer d'avis. Une de nos infirmières a appelé tous ceux qui ont refusé le vaccin et elle a réussi à convaincre 49 personnes. Mais maintenant, ça va mieux qu'en janvier. Plus les personnes le reçoivent, plus la situation se banalise. »

Les leaders religieux disent que le vaccin est sûr

Joynen, 46 ans, travaille pour les sapeurs-pompiers de Londres. Il est « un peu nerveux » en attendant son vaccin. Britannique né au Bangladesh, il fait partie de la première vague des vaccino-sceptiques. « Si vous m'aviez posé la question en décembre, je ne pense pas que je serais venu, confesse-t-il. Il y avait beaucoup de désinformation sur les réseaux, beaucoup de gens disaient des choses différentes… Mais maintenant, même l'imam dit que le vaccin est sûr. Et ma famille m'a dit de le faire. » Le coronavirus n'a pas épargné certains de ses proches, alors il se dit « content d'être là ». Paradoxalement, les minorités ethniques sont les plus touchées par la pandémie. Selon le médecin et chercheur sur ces questions Mohammad Razai, « la population noire a par exemple quatre fois plus de risques d'être durement touchée par la maladie que la population blanche » pour des raisons le plus souvent de « pauvreté », en précisant que près de la moitié du personnel soignant et des chauffeurs de bus sont issus des minorités à Londres, donc plus exposés. « La vaccination chez les Afro-Caribéens, les Asiatiques, les Somaliens et les communautés défavorisées est historiquement faible, même chez les travailleurs sociaux à cause de raisons culturelles, ethniques, religieuses… Ils ne font pas confiance au gouvernement, alors, dans certains cas, le rôle des leaders religieux est essentiel. » Lorsque l'imam de la mosquée s'est fait vacciner, il a posté une vidéo de la piqûre sur les réseaux et a dit dans un message aux fidèles : « Tournez le dos aux ignorants, et faites confiance aux professionnels. Allez vous faire vacciner. »

IVaccinodromes : la croisade des maires face au retard français

Même le prince Charles et son épouse Camilla ont récemment visité une mosquée – vaccinodrome dans la capitale, tandis que le maire de Londres s'est rendu dans un temple hindou. Kate et William sont, eux, allés dans la prestigieuse cathédrale de Westminster Abbey, qui administre 2 000 doses chaque semaine. L'East London Mosque espère, elle aussi, ouvrir six jours par semaine. « Ici, c'est beaucoup plus grand que le centre habituel, explique le docteur Hasnain Abbasi, où on vaccine 300 personnes en cinq ou six heures, pas en trois heures. Si on est là toute la journée, on en vaccinera facilement un millier. Aujourd'hui, c'est juste un essai. » Il est 17 heures. 315 personnes ont été vaccinées. Certains, qui travaillent dans la mosquée, demandent aux soignants s'il reste des doses non utilisées. Mazida, qui porte le voile, est sur un nuage. Secrétaire dans un centre médical, elle administre des vaccins depuis janvier après avoir reçu une formation. « C'était super ! Les gens sont contents. Personne ne s'est plaint, même par rapport à AstraZeneca ! » se réjouit-elle. Le mois d'avril s'annonce plus délicat pour deux raisons : le ramadan et surtout un manque de vaccins disponibles.

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Faire des commentaires sur la fiabilité d'un vaccin !?

Il fait penser à notre roi Sans couronne qui décide de tout, sans rien savoir !

Pitoyables édiles divers qui ne savent rien, mais veulent toujours donner leur avis pour se faire remarquer !

Jdeclef 29/03/2021 08h51


L’UE aboie comme d'habitude ou comme l'ONU pour se donner bonne Conscience PITOYABLE !

 

Birmanie : l’UE condamne la « violence aveugle » de la junte militaire

Le chef de la diplomatie de l’UE a exhorté les militaires à quitter la « voie insensée » de la violence alors qu’au moins 107 personnes ont été tuées samedi.

Le VIeux Continent gronde. L'Union européenne, par la voix de son chef de la diplomatie, a en effet condamné, dimanche 28 mars 2021 dans la soirée, «  une escalade de la violence inacceptable  », «  une voie insensée  » choisie par la junte militaire birmane, au lendemain de la journée de répression la plus sanglante depuis le coup d'État du 1er février. Dans un communiqué, le haut représentant de l'UE, Josep Borrell, a qualifié cette journée de samedi de «  jour d'horreur et de honte  », alors qu'au moins 107 personnes ont été tuées dans des manifestations, dont sept enfants.

«  Je réitère la condamnation par l'UE de la violence aveugle exercée contre le peuple du Myanmar et j'exhorte les dirigeants militaires à abandonner cette voie insensée. Cette tragédie doit cesser  », écrit le responsable espagnol. «  Nous continuerons à utiliser les mécanismes de l'UE, y compris les sanctions, pour cibler les auteurs de ces violences et les personnes responsables du retour en arrière sur la voie de la démocratie et de la paix  » dans ce pays asiatique, ajoute-t-il. «  Les auteurs de ces graves violations des droits de l'homme doivent être tenus responsables de leurs actes éhontés  ». « C'est terrible », a, quant à lui, déclaré dimanche le président américain Joe Biden à des journalistes. « C'est absolument scandaleux et d'après les informations que j'ai reçues, beaucoup de personnes ont été tuées de manière complètement inutile. »

Répression meurtrière

Les militants pour le rétablissement de la démocratie en Birmanie avaient appelé à de nouvelles manifestations samedi, jour où l'armée organise tous les ans un gigantesque défilé devant le chef de l'armée, désormais à la tête de la junte, le général Min Aung Hlaing. Ces manifestations ont donné lieu à une répression meurtrière, ce qui a suscité un tollé international. Les Nations unies ont estimé le nombre de morts de samedi à 107 personnes, dont sept enfants, mais s'attendent à ce que ce bilan augmente encore. Les médias locaux font état de 114 morts, alors qu'une chaîne de télévision gérée par l'armée a évoqué un bilan de 45 morts et 552 arrestations.

Le 22 mars, à l'occasion d'une réunion des chefs de la diplomatie des 27 États membres, l'UE avait sanctionné onze responsables birmans, des gradés de l'armée et de la police, impliqués dans la répression meurtrière menée depuis le coup d'État. Les sanctions sont nominatives, ciblées et consistent en une interdiction de visa et un gel des avoirs dans l'UE. Par ailleurs, la Birmanie est sous le coup d'un embargo sur les armes et les matériels pouvant être utilisés pour la répression et quatorze militaires et policiers avaient déjà été sanctionnés par l'UE en 2019 pour les persécutions contre la minorité musulmane des Rohingyas.

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Ce n'est pas nouveau ces pays, sous le joug de gouvernements totalitaires dans le monde et nos bienpensants moralisateurs s'offusquent hypocrites ne font rien, car ces pays sont souverains chez eux on a tendance à l'oublier, même si cela nous choque !

Et même dans d'autres pays plus fréquentables du style démocratures ersatz de dictatures !

Et la liste est longue, mêmes dans des pays hyper développés, car l'hypocrisie des dirigeants n'est pas belle à voir !

Cela va jusqu'à la chrétienté catholique donneuse de leçons avec le pape !

Tous sont de grands bavards, mais finalement, c'est aux peuples à se débarrasser de leurs tortionnaires, la France la fait en 1789 avec sa révolution, mais pas sans heurts pour en arriver à nos républiques encore fragiles !

Jdeclef 29/03/2021 09h48CLP


dimanche 28 mars 2021

l'INDONESIE est un grand pays hyper musulman ou cette religion l’islam est majoritaire !

 

Indonésie : plusieurs blessés dans un attentat-suicide près d’une cathédrale

L’attaque s’est produite après la messe des Rameaux. Les deux individus qui ont mené l’attaque ont été tués, rapportent les autorités.

Scènes de chaos, dimanche 28 mars, dans la ville indonésienne de Makassar, en Sulawesi du Sud. Une explosion a eu lieu tout près de la cathédrale de la capitale de cette province de l'archipel, après la messe des Rameaux, célébration qui marque pour les chrétiens le début de la Semaine sainte. Plusieurs personnes ont été blessées,au moins 20, selon les annonces des autorités locales. L'extérieur de l'édifice du sud de l'île de Célèbes était jonché de morceaux de corps humains à la suite de cette puissante déflagration qui s'est produite vers 10 h 30 (3 h 30 GMT).

La déflagration s'est produite alors que la messe venait de s'achever dans la cathédrale du Sacré-Coeur-de-Jésus, siège de l'archidiocèse de Makassar, dans le sud de l'île de Célèbes. Il s'agissait d'un attentat-suicide, a annoncé le ministre coordinateur de la Sécurité, Mahfud MD. Les deux assaillants qui ont mené l'attaque ont été tués, a précisé le responsable. Un peu plus tôt, la police de la province de Sulawesi du Sud, dont Makassar est la capitale, avait indiqué qu'un assaillant au moins avait péri. « Il y a beaucoup de lambeaux de corps humains près de l'église et aussi dans la rue », a déclaré de son côté Mohammad Ramdhan, le maire de cette ville portuaire de 1,5 million d'habitants.

Les églises déjà ciblées en Indonésie

De nombreux véhicules étaient endommagés autour de l'édifice, autour duquel la police établissait un cordon de sécurité, selon un photographe de l'Agence France-Presse sur place. « Nous avions terminé la messe et les gens rentraient chez eux quand cela s'est produit », a déclaré à la chaîne Metro TV un homme présenté comme un prêtre et identifié sous l'unique nom de Willem. La police a affirmé qu'un agent de sécurité avait tenté d'empêcher la moto d'entrer dans le périmètre de la cathédrale du Sacré-Coeur-de-Jésus, siège de l'archidiocèse de Makassar, juste avant la déflagration, qui est intervenue après la fin de la messe.

Les églises ont par le passé été la cible d'extrémistes en Indonésie, qui est le pays à majorité musulmane le plus peuplé au monde. En mai 2018, une famille de six personnes, dont deux filles de 9 et 12 ans et deux fils de 16 et 18 ans, avait déclenché des bombes contre trois églises de Surabaya, la deuxième ville du pays, tuant plus d'une dizaine de fidèles.

Une coexistence religieuse mise à mal ces dernières années

Le même jour, une deuxième famille a fait exploser, apparemment par accident, une bombe dans un appartement et le jour suivant une troisième a commis une attaque suicide contre un poste de police. Ces attentats, qui avaient fait au total 15 victimes et 13 morts chez les assaillants, dont cinq enfants, avaient été les plus meurtriers en plus d'une décennie dans l'archipel.

Kamel Daoud – Pourquoi les islamistes aiment l'école

Les trois familles radicalisées étaient liées au mouvement radical Jamaah Ansharut Daulah (JAD), qui soutient le groupe État islamique (EI). Et les attaques avaient été revendiquées par l'EI. La tradition de tolérance de l'Indonésie a été mise à l'épreuve ces dernières années par un développement des courants islamiques conservateurs, voire extrémistes, et les minorités religieuses, chrétiennes mais aussi bouddhistes et hindoues s'inquiètent pour la coexistence religieuse.

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Et où il y a déjà eu déjà des attentats, car quoi que l'on dise, cette religion n'est pas tolérante envers les autres religions et veut imposer ces dogmes extrémistes moyenâgeux ou elle prospère !

Et notamment contre les religions judéo-chrétiennes, et autres, d'ailleurs la majorité de ces attentats barbares et lâches sont islamistes !?

Il faut avoir le courage de l'admettre puisqu'elle s'infiltre partout dans le monde depuis 20 ans avec son lot d'attentats divers !

N'en déplaise à nos bienpensants donneurs de leçons partisans du politiquement correct hypocrite !

Vouloir pratiquer la politique de l'autruche dans nos démocraties laïques qui ne nous protègent pas est une erreur qu'il faut corriger, car l'islam et ses 700 ans de retards veut rattraper celui-ci sur les religions judéo chrétiennes pour prendre le pouvoir dans le monde entier et plus on cèdera sur leurs dogmes moyenâgeux d'un autre âge obscurantistes, plus ils en demanderont pour abêtir et avilir les plus faibles jusque dans nos pays démocratiques libres !

Les attentats moyen-orientaux de 2013 et avant en Europe et occident n'ont pas servi de leçons aux occidentaux que l’on ne compte plus ont rendu le monde dangereux pas ce mysticisme fanatique !

Mais chez nous en France nos dirigeants pleutres bienpensant n’ont pas encore tiré un trait sur un monde idyllique croyant que tous les peuples sont des bisounours beaux et gentils, alors qu’en fait, ils gagnent en dangerosité fanatique à cause de religions qui les divisent ! !

Jdeclef 28/03/2021 15h58


Pauvre France et ces politiciens élus ou ex élus d'une médiocrité lamentable !

 

Michel Richard – Lettre au tout frais candidat Xavier Bertrand

CHRONIQUE. À droite, il est le premier à sortir la tête de la tranchée. Il ne va pas être déçu ! D’où ce courrier comme viatique pour son voyage en terre ennemie.

Cher monsieur Bertrand,

Enfin un qui ose, et c'est vous. Vous qui prenez votre risque, vous qui mettez fin aux tergiversations, frilosités et autres minauderies du sur-place dont votre camp, la droite, abonde, ira, ira pas, ira peut-être, ira si, ira sinon, ira sauf. Vous, vous irez.

Je ne sais pas – qui le sait ? – ce qu'il adviendra de vous, si les petits cochons roses des Républicains vous mangeront ou non en cours de route, si Jacob, Hortefeux et quelques autres qui ne vous aiment pas vous pardonneront ou non d'avoir trahi la famille en quittant le parti, si vos concurrents aux aguets, les Pécresse, Wauquiez, Barnier, Retailleau, regarderont ou non votre échappée en solitaire comme le lièvre la tortue, avec commisération. S'ils crieront à l'indécence d'une candidature en pleine vague de Covid ou s'ils joueront l'indifférence blasée.

Mais quoi ! c'est la vie en politique, vous n'en ignorez rien et vous avez osé faire de vous la première cible en mouvement. C'est culotté. Vous ne serez pas déçu.

2022 : Xavier Bertrand en piste

Mais attention de ne pas vous embourber inutilement dans quelques pièges, si vous permettez. Ainsi, on a trouvé dans l'interview au Point, où vous vous déclarez candidat à la présidence de la République, des mots par trop ronflants ou convenus. Le coup du devoir devant lequel on ne peut se soustraire tant la nation est en péril, la posture du sauveur, le don de soi à la patrie, monsieur Bertrand, par pitié, n'en abusez pas. Je sais bien qu'il faut en passer par des formules un peu rituelles, se dire vouloir être le président des Français en même temps que celui de la France, incarner l'autorité, restaurer la sécurité, faire les gros yeux aux méchants et montrer ses muscles, sans quoi on n'a rien dit. Mais les Français, par les temps qui courent, bâillent vite. Et des candidats qui veulent incarner le redressement contre le déclin et se réclament d'une France forte et juste, égalitaire et solidaire et tout et tout, il n'y a que ça sur le marché, n'est-ce pas ?

N'en faites pas trop ! Vos critiques implacables contre la politique d'Emmanuel Macron – « l'aventure macroniste », dites-vous, diable ! – apparaissent ainsi d'un systématisme suspect, comme une tentative de vous hisser à son niveau ou le souci de vous démarquer de lui d'autant plus bruyamment qu'on imagine que vous pourriez vous entendre sur tant de points.

Ne reniez rien du peuple […] mais n'en faites pas une coquetterie

N'en faites pas trop sur votre parcours. N'en ayez aucune honte, bien sûr, d'autant que d'innombrables imbéciles, petits marquis de tous poils, nourriront toujours de la condescendance pour un assureur de Flavy-le-Martel. Notre mépris pour eux est à la mesure de leur mépris pour vous. Ne reniez rien du peuple et du milieu dont vous êtes, bien sûr, n'oubliez rien de lui, bien sûr, mais n'en faites pas une coquetterie, un brevet, une garantie. Ce que vous êtes devenu nous intéresse plus que ce que vous étiez.

Une dernière chose, monsieur Bertrand, m'inquiète davantage. Votre dévotion aux bienfaits et vertus supposés du localisme, cette République des territoires que vous prônez, cette « révolution par les territoires » que vous prêchez. J'entends bien que l'État est trop jacobin et Emmanuel Macron trop vertical, oui c'est un gâchis de ne pas mettre davantage les élus locaux à contribution, oui ils savent mieux faire que l'État en beaucoup de domaines. De là à changer de régime… De là à penser que la crise du Covid a discrédité le centralisme et prouvé que les réponses à trouver n'étaient pas ailleurs que dans les territoires… Vous croyez vraiment que tous les maires auraient eu le courage de fermer restaurants et magasins de leurs villes, « à portée de baffes » de leurs électeurs ? Les tristes palinodies du fédéralisme allemand ne vous troublent pas ? L'impuissance d'une Angela Merkel désarmée, non plus ? Ne confondez-vous pas dans un même faux procès la verticalité nécessaire de l'État et l'absurdité déprimante de la bureaucratie ?

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Incapable de s'unir pour essayer de redresser note pays qui régresse au fil des ans et des quinquennats médiocres que l'on a subi depuis des décennies et même avant depuis plus de trente ans !

Ces caciques de cet LR en déconfiture comme ce PS son adversaire de toujours et les autres partis inutiles PC LFI, EELV, les verts sans oublier le RN de M.LEPEN que l’on revoit à chaque élections avec les même leaders que l’on connait gonflés d’orgueils arrogants dont les français n’arrivent toujours pas à trouver les remplaçants pour essaye de rénover vraiment la fausse démocratie de cette V eme  république obsolète qui désigne par leurs votes et qui capote immanquablement par ce système d’élection à deux tours qui remet toujours les mêmes face à face avec une fausse majorité tronquée, loin de représenter tous les français équitablement !?

Ce qui a mis au pouvoir en 2017 (sorti du même ancien moule) avec ce faux dégagisme de cette ancienne classe politique sclérosée un inconnu comme MACRON pas à la hauteur de la tache avec des crises sanitaires et économiques qu’il n’a pas su gérer correctement « la cerise pourrie sur ce gâteau déjà empoisonné » comme le reste des problèmes sociaux qui se sont succédés pendant son quinquennat !

Alors bien sur quand un politicien chevronné ex LR élu, et président de région veut concourir, il est du même acabit, alors cette fausse opposition minable se ligue contre lui car vexée dans leurs égos !

Le plus triste c’est que tous les français n’arrivent pas à comprendre ce mauvais jeu de chaise musicale de ses politiciens, pourtant ils votent et toujours aussi mal et donc le pays France va de plus en plus mal !

Les français ont changé, mais ont perdu bon sens et intelligence depuis 40 ans !?

Jdeclef 28/03/2021 13h32


En fait c'est lui le malade, car la covid lui a monté à la tête !?

 

Covid-19 : nouveau tour de vis en perspective ? Macron toujours indécis

Auprès du « Journal du dimanche », le chef de l’État affirme que, pour l’instant, rien n’a été décidé quant à un renforcement des restrictions en place.

 

La question est sur toutes les lèvres depuis plusieurs jours : va-t-on pouvoir échapper à un renforcement des mesures de restriction sanitaire en place sur le territoire français ? Et ce, alors que l'épidémie de Covid-19 ne semble pas encore faiblir. Jeudi 25 mars, à l'issue du Conseil européen, Emmanuel Macron affirmait que les semaines qui s'annonçaient allaient être difficiles et que de nouvelles mesures seraient à prendre. Mais, pour l'instant, le chef de l'État semble encore indécis. Auprès du Journal du dimanche du 28 mars, il a ainsi expliqué : « Pour les jours qui viennent, nous allons regarder l'efficacité des mesures de freinage et nous prendrons si nécessaire celles qui s'imposent. Mais à cette heure rien n'est décidé. »

Comme lors de sa conférence de presse jeudi soir à l'issue du sommet européen, Emmanuel Macron défend son choix de ne pas avoir reconfiné fin janvier, contre l'avis de nombreux scientifiques. « L'unanimité scientifique n'a jamais été au rendez-vous. Et parfois, les faits du lendemain viennent contrecarrer les certitudes de la veille. Certains nous disaient : “En février, vous allez prendre le mur.” On ne s'est pas pris le mur. […] On a pris des mesures proportionnées à la situation. »

Emmanuel Macron confirme : la fermeture des écoles est un « ultime recours »

Concernant les établissements scolaires, le chef de l'État répète que « la fermeture complète des écoles ne saurait être un tabou, mais elle doit demeurer un dernier recours et une mesure limitée au maximum dans le temps ». Emmanuel Macron « assume totalement » par ailleurs la stratégie française de déployer le vaccin par catégories d'âge, alors que la vaccination a été ouverte au plus de 70 ans samedi.

Cotta – Crise sanitaire : retour à la case départ pour Emmanuel Macron

« Si j'ouvrais à toutes les tranches d'âge d'un coup, il y aurait des inégalités sociales et territoriales dans l'accès au vaccin. Ce serait un mauvais choix politique et sanitaire », dit-il, même si « certaines professions plus particulièrement exposées », comme les enseignants, pourraient être vaccinées plus tôt, comme il l'avait déjà indiqué.

Demorand – Et Macron inventa le confinement « en même temps »

Alors que la France aura « de plus en plus de doses », Emmanuel Macron mise sur « des mégacentres » pour remplir les objectifs de l'exécutif : dix millions de Français vaccinés mi-avril, 20 millions mi-mai, 30 millions mi-juin. Il assure être en mesure de tenir son engagement de « proposer un vaccin à tous les adultes qui le souhaitent avant la fin de l'été ».

Nous, Européens, aurons livré à la mi-juillet l’équivalent de 300 millions de dosesEmmanuel Macron

Le chef de l'État se dit ainsi persuadé que « dans quelques semaines, on aura totalement rattrapé les Britanniques ». Engagé depuis décembre dans une campagne massive de vaccination, le Royaume-Uni a administré près de 30 millions de premières doses de vaccin, contre 7,5 millions à la France. Mais l'écart est nettement moins grand s'agissant du nombre de personnes ayant déjà reçu leur seconde injection. « Nous, Européens, aurons livré à la mi-juillet l'équivalent de 300 millions de doses » et « pour la fin 2021, nous atteindrons une capacité de production annuelle de deux à trois milliards de doses », dit encore le chef de l'État, indiquant que « 52 usines européennes seront mobilisées » par ce programme.

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Mr MACRON par son ego démesuré, il ne raisonne même plus et reste buté, car bloqué par un infiniment petit virus qui pour l'instant gagne toutes les batailles si mal gérées par lui et sa clique de pattes cassées gouvernementales !

Alors il espère que cette vaccination miracle elle aussi si mal organisée donnera la solution avant 2022 à cette pandémie !?

Dont en plus s'il elle disparaît avant car il en tirera bénéfice pour son hypothétique réélection, car c'est lui hélas qui prend toutes les décisions plutôt indécisions et procrastination bornées !

Là on a la preuve de ce que donne le fait de cette Veme république qui donne trop de pouvoir à un seul homme « d'état » qui n'en n'a pas l'envergure et monte ses limites !

Il faut que les français en tirent des leçons quand ils iront voter, car pour l’instant ils en sont réduits à faire la queue aux vaccinations et encore quand ils ont des rendez vous et à compter les morts dont la liste s’allonge, car certains n’ayant pas eu assez de chance pour rentrer dans les bonnes cases d’âges débiles éligibles, sans compter ceux vaccinés mêmes trop tard qui ont été rattrapés par la contamination !

Merci messieurs dirigeants de notre pays souvent donneurs de leçons :

Conseillers vertueux ! Voilà votre façon
De servir, serviteurs qui pillez la maison !
Donc vous n’avez pas honte et vous choisissez l’heure,
L’heure sombre où la France agonisante pleure !
Donc vous n’avez pas ici d’autres intérêts ?

Pauvre pays tombé si bas et qui continue à glisser vers le fond, car on peut toujours faires des comparaisons avec des pays Européens et autres on est mauvais partout dans toutes les phases de lutte contre cette pandémie mondiale pour un pays soi-disant moderne et évolué ceci étant ce n’est pas un concours morbide à qui perd gagne!?

Jjdeclef 28/03/2021 10h56