jeudi 18 mars 2021

Il a voulu être président personne ne l'a obligé, c'est un fait établi car :

 

Covid-19 : la macronie piégée dans un « jour sans fin »

Un an après le premier confinement, la lassitude gagne le camp du président alors que se profilent de nouvelles mesures de restrictions en Île-de-France.

Je ne fais que revivre le même jour. Encore et encore… », se lamente Bill Murray, alias Phil Connors, présentateur météo narcissique et acariâtre coincé dans une bourgade de Pennsylvanie pour suivre le « jour de la marmotte » dans Un jour sans fin, la comédie de Harold Ramis. Entre une troisième vague de contaminations qui n'en finit pas de monter, un nouveau projet de fermeture de l'Île-de-France et une campagne vaccinale en danger, l'exécutif a le sentiment déprimant, un an après le premier confinement, d'être piégé dans un mauvais remake de ce film des années 1990 dont le héros, confiné dans une faille spatio-temporelle, est condamné à revivre indéfiniment la même journée. « Eh bien, moi, je crois que la dépression vous guette ! » lance un agent de police à Connors, le trouvant dans un état d'affliction avancée.

Des répliques d'une âpre ironie que ne renierait pas la macronie. Laquelle se laisse aller à quelques états d'âme un an après le début de la « guerre » au virus. « Rien ne nous sera épargné. À chaque journée sa merde ! » se désespère un conseiller du pouvoir. « Et bientôt, on va nous servir les 100 000 morts », appréhende un Marcheur. « Un jour sans fin, épisode 8 », soupire un proche d'Emmanuel Macron, résigné.

Coignard – Confinement : un an déjà !

Un « confinement aménagé » ?

Le chef de l'État en personne a livré ce lundi cet aveu édifiant, en marge d'un déplacement à Montauban (Tarn), largement pollué par la suspension à titre de précaution du vaccin AstraZeneca : tout Jupiter qu'il soit, il n'a plus le contrôle des horloges. « Le maître du temps, c'est le virus, malheureusement », a admis le président, qui promettait aux Français il y a un peu moins d'un an, le 13 avril exactement, le « retour des jours heureux ».

Le voilà aujourd'hui qui prépare les esprits des Franciliens à de nouvelles mesures de quarantaine, à l'issue d'un énième conseil de défense sanitaire – on ne les compte plus. Ce mardi soir, un an pile après l'allocution solennelle durant laquelle Emmanuel Macron avait annoncé le premier confinement du pays – sans jamais prononcer le mot –, c'est Jean Castex qui laissait entrevoir sur BFM un reconfinement de l'Île-de-France – toujours sans prononcer le mot – en évoquant des « dispositions » à venir pour la région capitale. Et ce, sur le modèle des confinements du week-end déjà mis en œuvre sur le littoral niçois, dans le Dunkerquois et le Pas-de-Calais.

Coignard – Confinement : le mot interdit

Tous les indicateurs ont viré au rouge vif en région parisienne en début de semaine : un taux d'incidence de 418 cas pour 100 000 habitants, quand le seuil d'alerte maximale est fixé par les autorités sanitaires à 250 ; et des services de réanimation à plus de 100 % de saturation. Difficile dès lors de justifier une différence de traitement avec le nord et le sud du pays. « On pourrait imaginer un confinement aménagé, avec des plages horaires un peu plus larges et un kilométrage plus important que cet automne pour sortir », esquisse un macroniste. Prudence ! Le président, qui déteste les fuites et traque les bavards au sein de l'appareil d'État, a la dernière main sur cet arbitrage.

Il joue son quinquennat !Un fidèle d’Emmanuel Macron

La décision de la France de suspendre la molécule du laboratoire suédo-britannique AstraZeneca, en attendant la décision jeudi des autorités médicales européennes, va-t-elle précipiter un reconfinement de l'Île-de-France ? Jusqu'alors, la montée en charge de la vaccination, si poussive soit-elle, avait justifié que ses 12 millions d'habitants ne soient pas placés à l'isolement. « Ça aura forcément des conséquences directes. Macron espérait se faufiler dans un trou de souris, mais il a disparu », souffle un fidèle, qui redoute l'impact de cette suspension dans l'opinion : « C'est une catastrophe, on va foutre en l'air la campagne de vaccination. Il joue son quinquennat ! »

Vaccin AstraZeneca : pourquoi le suspendre ?

Au sein de la majorité, beaucoup s'avouent interdits devant le choix de Paris d'emboîter le pas à Berlin. « Les Français qui veulent se faire vacciner sont en colère, et les complotistes voient leurs théories confortées. On navigue à vue ! Dimanche, le Premier ministre assurait que tout allait bien avec AstraZeneca, et le lendemain le président annonce qu'il le suspend », tonne un cadre de LREM. Et d'enchaîner, dépité : « Autant la décision de ne pas reconfiner le pays fin janvier était la bonne, autant la décision de suspendre le vaccin est une grosse connerie ! »

« C'est la galère »

Tous craignent que cette pause, fût-elle très temporaire, ne nourrisse la défiance contre ce vaccin en particulier. Un doute déjà alimenté par le président lui-même, lorsqu'il avait estimé fin janvier, sans éléments tangibles, qu'il était « quasi inefficace » pour les plus de 65 ans, avant de se raviser au vu des données scientifiques rassurantes. « Potentiellement, plus personne ne voudra se faire vacciner avec AstraZeneca, c'est la galère », redoute un cadre de la majorité.

Lors du petit déjeuner des responsables de LREM et du MoDem à Matignon ce mardi, le président de l'Assemblée Richard Ferrand a donc suggéré une piste : élargir le public cible de ce vaccin, de façon à le distribuer à des personnes qui n'ont pas de préventions à son propos. En clair : vacciner ceux qui le souhaitent. « Le Premier ministre ne s'est pas montré fermé à l'idée », glissent des participants. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, Jean Castex a assuré lors de cette réunion que l'objectif des 10 millions de Français vaccinés mi-avril restait à ses yeux tenable. À titre d'exemplarité, lui-même se fera injecter l'AstraZeneca dès l'accord des autorités européennes de santé. Si Paris se veut raisonnablement confiant sur ce feu vert, tous frémissent au sommet de l'État à l'idée du scénario inverse. Et remâchent peut-être cette autre réplique culte de Bill Murray dans Un jour sans fin : « En voilà une, de prévision : ce sera un hiver froid, ce sera un hiver gris et ce sera un hiver long. Vous en avez pour toute votre vie. »

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C'était un nouvel homme politique que les français ne connaissaient pas ou peu, alors, ils l’ont élu !?

Comme d’habitude qui promettait monts et merveilles en plus ce qui ne changeait pas par rapports à ses prédécesseurs avec une kyrielle de réformes à marche forcées et qui parlait bien, avec des discours alambiqués !

Mais un jour de 1er mai 2018 un certain Alexandre Benallachargé de mission, coordinateur de différents services lors des déplacements officiels et privés du président de la RépubliqueEmmanuel Macron est accusé d'avoir usurpé la fonction de policier, interpellé et violenté un couple de personnes qui a lancé des projectiles sur des CRS suivront d’autres affaires douteuses liées à ce personnage toujours en cours en action judiciaire écornant la confiance des français pour leur président par cet épisode rocambolesque touchant indirectement le président!

Après de multiples manifestations sociales suites aux réformes initiées par le gouvernement marconien se sont enchaînées jusqu’ à celle des gilets jaunes du 17/112018 jusqu’au 08/02/2020 avec celle contre la réforme des retraites !

Ensuite on est arrivé très vite vers le début de la pandémie le 29/2/2020 avec les premières restrictions et le 17/3/2020 le 1er confinement seule décision d’E.MACRON rapide et utile qui lui a fait croire avoir gagné la bataille contre le covid 19 !?

Ce qui lui a fait enchainer par la suite de multiples erreurs déplorables, de gestion de cette crise sanitaire et économique, ou il s’est noyé jusqu’à maintenant, ce n’est qu’un petit résumé de son quinquennat chaotique en cours !

Et ce n’est pas fini, donc résumons, ce n’est pas la « macronie » qui est piégée c’est lui notre monarque sans couronne, il ne risque que sa réélection, on n’exécute plus les rois sans couronne, comme pendant notre révolution en 1793, on est devenu plus civilisé et il est intouchable !?

Jdeclef 18/03/2021 14h26LP


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