vendredi 12 mars 2021

E.MACRON montre ces défauts et ce qu'il est depuis le début de son quinquennat !

 

Reconfiner l’Île-de-France ? Le dilemme d’Emmanuel Macron

Le président veut tout faire pour éviter un reconfinement de la région parisienne. Mais la hausse du nombre de patients en réa l’oblige à se préparer à cette éventualité.

Paris et sa région sont-ils arrivés à un dangereux point de bascule ? « On se donne encore quelques jours pour voir comment évoluent les chiffres, et si ça continue à se dégrader, il va falloir passer à l'action », indique une source au sommet de l'État. Si Emmanuel Macron veut agir jusqu'au bout pour éviter d'avoir à « remettre la cloche » sur l'Île-de-France et ses 12 millions d'habitants, l'inquiétante progression des entrées dans les services de réanimation hospitaliers depuis le début de la semaine dans la région capitale contraint l'exécutif à se préparer à un possible reconfinement, plus ou moins strict. De source officielle, on précise qu'il n'y aura pas de conseil de défense avant mercredi prochain à l'Elysée, seul cénacle habilité à prendre éventuellement cette décision. 

Ce 10 mars, 1 056 personnes se trouvaient en réanimation dans la région, soit un niveau de tension de 92,1 %. Ce qui signifie que les patients atteints du Covid-19 occupent presque la totalité des lits disponibles. Ces chiffres se rapprochent dangereusement du pic de la deuxième vague (1 138 patients en urgence vitale le 12 novembre) et la journée de mardi a fait l'effet d'une douche froide, marquée par une soudaine flambée des admissions en « réa ». Pour faire face, le gouvernement compte activer plusieurs leviers, évoqués ce mercredi en conseil de défense à l'Élysée : des transferts de malades vers d'autres régions moins touchées ; la mobilisation des lits de soins intensifs des cliniques privées ; et des déprogrammations d'opérations non urgentes, avec les conséquences sanitaires potentiellement gravissimes que cela peut impliquer pour des pathologies de type cancer. « Vous imaginez l'impact des images d'évacuations sanitaires au JT alors qu'on sera pile à un an du premier confinement le 17 mars ? » frémit un macroniste. Mais le président a passé la consigne : il faut tout tenter pour éviter de refermer. Il compte sur la montée en charge de la vaccination en particulier, freinée toutefois par le nombre insuffisant de doses à ce stade.

Vaccination, les sept péchés capitaux français

L'impact économique d'une telle mesure est un frein puissant pour l'exécutif. L'Île-de-France représente à elle seule un tiers du PIB du pays. Reste que le scénario d'un confinement de la région est sur la table. « Il y a deux hypothèses : un confinement du week-end, comme dans le Sud et le Nord. Et un confinement plus strict, a priori sans fermeture des écoles », dévoile une source. C'est Emmanuel Macron, réticent, qui arbitrera au vu des chiffres des prochains jours.

Une flambée de patients jeunes

Une donnée inquiète au plus haut point au sommet de l'État : des patients plus jeunes se retrouvent dans les services de réanimation, sans signaux avant-coureurs. « Il n'y a plus de corrélation entre le taux d'incidence, qui est plat, et l'explosion des réas, avec des gens de 40 à 60 ans touchés, sans qu'on sache pourquoi », décrypte un macroniste. Explications avancées, sans certitude : le variant britannique pourrait provoquer des formes graves chez des patients plus jeunes ; et le télétravail ne serait pas poussé au maximum, comme tendent à le montrer les chiffres de fréquentation des transports en Île-de-France. Parallèlement, la mortalité des plus âgés fléchit, sous l'effet probable de la vaccination.

Michèle Cotta – Covid-19 : une année en enfer

Les autorités sanitaires de la région poussent fortement dans le sens de mesures strictes, alarmées du niveau de saturation du système hospitalier. Lorsque le patron de l'agence régionale de Santé Aurélien Rousseau, le préfet de région Marc Guillaume et le préfet de police Didier Lallement lui avaient détaillé, il y a dix jours, leur plan de confinement du week-end pour l'Île-de-France – finalement écarté –, la présidente de la région Valérie Pécresse leur avait fait savoir qu'elle ne s'y opposerait pas, sous réserve que les mesures soient proportionnées et les secteurs touchés accompagnés. Ce mardi, le directeur général de la Santé Jérôme Salomon assurait que le confinement de la région « n'était pas d'actualité », tout en précisant : « Cette mesure de dernier recours serait proposée […] si nous avions l'impression que l'hôpital ne pouvait pas tenir et que nous étions en face d'un risque majeur de ne pouvoir accueillir les malades graves à l'hôpital. » Un élu francilien s'avoue un peu résigné : « On a toujours su que la date du 15 mars était très compliquée, parce que ça équivaut à quinze jours après les retours de vacances. Jusqu'à avril, ça va être très difficile. Il va falloir tenir le mois de mars… »

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Ses indécisions ou mauvais choix patents qu'il enchaine et pas seulement à cause de ces crises sanitaires et économiques !

Car il n'a pas pris (encore) la mesure de sa fonction de décider puisque cette V eme république et le peuple qui lui a donné ce pouvoir !

Se prenant, ce petit bourgeois parvenu pour un pseudo monarque sans couronne mais indécisif, qui quand il se trouve au pied du mur est perdu, et a beaucoup de mal à se prononcer en faisant trainer ses directives, car seul lui peut les prendre, en espérant que la situation sanitaire s’améliore par miracle !?

Car en plus, il s’est entouré sous ses 2 gouvernements de collaborateurs médiocres pas à la hauteur de leur tâche, car ne faisant que de la mauvaise politique même chez les scientifiques, au lieu de s’attacher à lutter contre cette pandémie !

Coté politique, ce président est imprévoyant depuis le début de son quinquennat avec le summum l’affaire Benalla toujours pas réglée et surtout ce mouvement des gilets jaunes hors normes de ce l’on connaissait en termes de manifestations sous ses prédécesseurs !

Notre pays va mal, mais on ne l’a pas forcé à être président, ce qu’il a fait, car spécialiste de beaux discours prometteurs qui ont pu aveugler une partie pas majoritaire des français lambda qui croient toujours à un hypothétique messie ou sauveur depuis des décennies, mais qui est élu par un système électoral à 2 tours qui met toujours les mêmes en lice !

La priorité d’action pour les français devrait être leur santé et ce n’est pas le cas, car nos élus ne pensent qu’a 2022 et notre président fait de même, donc il est responsable de cette gabegie qu’il l’assume !

Jdeclef 12/03/2021 10h01


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