jeudi 25 mars 2021

E.MACRON confirme sa contradiction bornée sur le confinement pas utile selon lui!

 

Covid-19 : une troisième vague pire que la deuxième ?

CARTES. Alors que l’exécutif tente de gagner du temps, les hôpitaux débordent. Dans plusieurs régions, il y a déjà plus de patients qu’à l’automne.

L'épidémie s'accélère. Alors que l'exécutif a pris des mesures de restriction supplémentaires dans 16 départements (ceux de l'Île-de-France et des Hauts-de-France, des Alpes-Maritimes, de l'Eure et de la Seine-Maritime), d'autres devraient suivre, a prévenu le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, mercredi 24 mars. Emmanuel Macron veut gagner du temps pour éviter le confinement, mais les médecins alertent : la stratégie de « freiner sans enfermer » pourrait ne pas suffire face à une troisième vague qui s'annonce pire que la dernière à l'automne.

En une semaine, le nombre de contaminations a flambé. De 24 082 cas quotidiens en moyenne – lissée sur sept jours – le 15 mars, on est passé à 31 466 cas par jour le 22 mars, puis à un début de baisse le 23 mars (29 281). Certes, les tests réalisés ont largement augmenté – on en a fait 400 000 par jour en moyenne la semaine du 15 au 21 mars, contre 310 000 par jour au début du mois –, et plus on cherche, plus on trouve. Le taux de positivité reste donc stable, autour de 8 %, bien loin des 16 % au moment du reconfinement fin octobre.

Un tiers des patients hospitalisés en Île-de-France

Dans les régions les plus touchées, notamment en Île-de-France, le taux d'incidence flambe lui aussi. En Seine-Saint-Denis, il atteint même 701 cas pour 100 000 habitants sur les sept derniers jours au 21 mars. Le Val-d'Oise n'est pas loin avec un taux d'incidence de 663,7. C'est plus qu'au pic de la deuxième vague (les taux d'incidence étaient respectivement de 538,6 et 611,9 au 1er novembre). Là aussi, on teste plus qu'à l'automne. Le taux de positivité n'est « que » de 13 à 14 % quand il était supérieur à 20 % dans ces départements début novembre.

Difficile, toutefois, de comparer les indicateurs dans le temps. Le nombre de tests évolue, tout comme la stratégie et les personnes appelées à se faire dépister. Autant de variables qui peuvent influer sur le taux de positivité et celui d'incidence. Mais, pour se faire une idée de la violence de cette troisième vague, il y a bien un indicateur qui ne trompe pas : le nombre de patients hospitalisés en réanimation pour Covid-19. Il augmente très rapidement (+ 400 patients en une semaine) et se rapproche du pic de la deuxième vague : ils étaient 4 634 au 21 mars, contre 4 919 au 16 novembre.

En Île-de-France, c'est déjà une réalité : l'hôpital se prend de plein fouet une troisième vague pire qu'à l'automne. En novembre, jusqu'à 1 138 patients ont été hospitalisés en réanimation en raison du Covid-19 dans les hôpitaux franciliens. Ce mercredi 24 mars, ils étaient déjà 1 386. Le pic est aussi dépassé dans les Hauts-de-France (598 patients en réanimation contre 513 au plus fort de la deuxième vague) et il est sur le point de l'être en Provence-Alpes-Côte d'Azur (505 contre 511).

Nouvelles restrictions

Trois autres départements sont sous la menace des « mesures de freinage renforcées », a annoncé Gabriel Attal : l'Aube, la Nièvre et le Rhône. Dans ces trois territoires, le taux d'incidence flambe : il est de 329,2 dans la Nièvre (+ 40 % en une semaine), de 385,8 dans le Rhône (+ 35 %) et de 453 dans l'Aube (+ 30 %). Le taux de positivité est proche de la moyenne dans les deux premiers (7,8 % dans la Nièvre et 8,3 % dans le Rhône), mais il atteint 10,4 % dans l'Aube. Des concertations ont été engagées avec les élus locaux pour définir les mesures à mettre en place dans les jours à venir.

Les hôpitaux débordent et l'étau se resserre un peu partout. Même aux Antilles, relativement épargnées jusque-là, de nouveaux cas ont conduit les autorités à durcir les mesures. Après la Guadeloupe, la Martinique sera à son tour soumise à un couvre-feu dès ce vendredi 26 mars. Emmanuel Macron veut éviter à tout prix un confinement strict du pays, et pousse pour accélérer la vaccination pour gagner du temps sur l'épidémie. Reste à savoir combien de temps cette stratégie peut encore tenir.

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Cet homme est irresponsable, car il ne veut pas admettre ses erreurs et mauvaises décisions, il est dangereux pour la vie quotidienne des français !

Car il n'est ni médecin, ni scientifique qui eux ont déjà du mal à se mettre d'accords entre eux !

Et il s'enferme dans « une course à l'échalote ou comme des chiens perdus qui courent après leurs queues » !

Pour la campagne vaccinale et la gestion de celle-ci c'est un fiasco retentissant, il ne reste qu'aux français qui ne sont pas encore touchés par ces virus à espérer de ne pas être contaminés prochainement !

De plus maintenant, ces contaminations touchent les tranches d’âges plus jeunes et donc les enfants ou de nombreuses classes sont déjà fermées dans certaines écoles, encore une décision de plus à prendre pour les mesures de restrictions pour l’enseignement public !?

On peut s’attendre au pire de la part de nos dirigeants en dessous de tout !?

Une gestion aussi déplorable de cette crise sanitaire dépasse l’entendement en France ou l’on ne sait faire que des statistiques qui ne servent rien, car il y en a trop dont nos autorités de tiennent pas compte ou ne savent pas les interpréter pour (essayer d’agir ..!?)

Jdeclef 25/03/2021 12h55


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