mercredi 28 février 2018

Les dictateurs qu'ils soient religieux ou non sont dangereux, car en fait, ils arrivent à entraîner des foules derrière eux !


Erdogan crée la polémique en incitant une fillette à mourir en martyr

VIDÉO. Lors d'un discours, le président turc a fait monter une fillette en pleurs sur scène. Il l'a consolée en lui souhaitant de tomber pour son pays, rapporte « Le Figaro ».


Voilà une nouvelle déclaration de la part du président Recep Tayyip Erdogan qui n'est pas passée inaperçue. Le 24 février dernier, lors d'un congrès de son parti (AKP) dans la ville de Kahramanmaras, au sud de la Turquie, il a décidé de faire monter sur scène une fillette. Apeurée, elle rejoint finalement le président turc habillée avec l'uniforme des forces spéciales du pays. C'est alors qu'Erdogan déclare : « Si elle tombe en martyr, elle sera recouverte d'un drapeau, si Dieu le veut », rapporte Le Figaro. Il a ensuite embrassé la fillette et a été vivement applaudi par la foule qui scandait : « Chef ! Amenez-nous à Afrine ! », alors que le président turc tenait un discours de soutien aux troupes turques engagées en Syrie.

De vives réactions

La scène, qui a été diffusée en direct sur la télévision nationale, a rapidement créé la polémique. « Faire venir une enfant sur scène devant des milliers de personnes et bénir la mort est une grande erreur. Aucun enfant ne devrait jamais avoir à être dans l'ombre des armes et le visage de la guerre », a déclaré Veli Agbaba, le vice-président du Parti républicain du peuple (CHP), principal parti d'opposition, au Daily Telegraph. Il a rapidement été rejoint par le Parti démocrate des peuples (HPD). Sur son compte Twitter, le parti a dénoncé les propos d'Erdogan.
Alors que l'ONU a déclaré une trêve humanitaire de 30 jours en Syrie depuis dimanche 25 février, dès le lendemain, le gouvernement turc a annoncé que de nouvelles unités de forces spéciales de la police avaient été déployées dans le nord-ouest de la Syrie. Une manœuvre qui laisse présager des affrontements urbains contre la milice kurde des Unités de protection du peuple (YPG). La Turquie a annoncé dimanche vouloir combattre les organisations terroristes en Syrie.
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Pour leur service à leur pouvoir et qu’on n’arrive pas éradiquer malgré les horreurs qu’ils commettent comme en Syrie par exemple et ailleurs !

Et quand on voit les dirigeants des pays démocratiques ne pas lever le petit doigt n’y même cette sacro-sainte ONU fantoche pour les empêcher de sévir !

On comprend mieux pourquoi, ils se croient intouchables à l’image du président turc et ne craignent rien soutenus par des peuples faibles qu’on a rendu aveugles et sourds et que l’on tient en laisse avec une poigne de fer !

Bien sur nos dirigeants de pays libres et démocratiques vocifèrent et protestent en poussant des cris d’orfraies, mais que fait-on à ces dictateurs qui poussent comme des champignons vénéneux rien, pire on commerce avec eux directement ou en sous-main !

On ne dirait pas que l’on a subi deux guerres mondiales à cause de personnages similaires comme ceux-là, on oublie vite dans notre monde aseptisé de bien-pensant hypocrite donneurs de leçon ?!

Jdeclef 28/022018 14h45

C'est désespérant ces échanges de menaces de la CGT pour ses manifestations et grèves!


CGT : « Si le gouvernement maintient ses positions, nous allons vers un mouvement très dur »

INTERVIEW. Catherine Perret, numéro deux de la CGT, explique au « Point » comment son syndicat compte se mobiliser contre l'« agressivité » du gouvernement.


Réforme du travail, de la SNCF, de la formation professionnelle, de l'apprentissage... Les sujets de mécontentement s'enchaînent pour les syndicats, et pour la CGT en particulier. Chargée du « revendicatif », Catherine Perret, secrétaire confédérale de la CGT, est la numéro deux du puissant syndicat de Montreuil. Elle répond aux questions du Point.

Le Point : Allez-vous signer l'accord sur la formation professionnelle, discuté entre les partenaires sociaux ?

Catherine Perret : Depuis mardi 27 février, nous consultons l'ensemble de nos fédérations et de nos unions départementales, soit environ 120 organisations, pour leur demander leur avis. Nous leur avons adressé un document avec nos positions, celles de la confédération, qui ne sont pas toujours très favorables aux dispositions inscrites dans l'accord. Mais c'est à eux, à la fin, de décider : si à 50 % + 1 voix, ils disent « oui, on signe », nous signerons. Notre position sera fixée le 20 mars. Cela laisse le temps de créer le débat dans nos rangs.
Pensez-vous qu'un jour la CGT signera un accord sous l'ère Macron ?
Je ne sais pas ! Plus sérieusement, il faut que la politique change pour arriver à cela. C'est vrai que l'on entend toujours que la CGT ne signe rien. Mais dans les entreprises, nous signons 80 % des accords. Mais c'est vrai que nous ne signons que s'ils apportent des avancées aux salariés. Au niveau interprofessionnel, nous ne voyons pas d'avancées, donc nous ne les signons pas. Actuellement, les politiques, et plus particulièrement sous l'ère Macron, proposent d'individualiser, de fragiliser les droits des salariés. Nous sommes dans une opposition idéologique. L'idée est de créer un rapport de force pour changer cela. Mais je ne désespère pas de changer les choses et qu'il y ait plus de gens dans la rue.
La rue, c'est le seul moyen de bousculer ce gouvernement ?
Avant tout, cela passe par une mobilisation dans les entreprises, une prise de contact directe avec les salariés. Il y a des discussions dans des entreprises, et puis c'est à nous, au niveau national, de faire converger les initiatives pour donner plus de poids à la contestation. C'est ainsi qu'on crée un rapport de force. Nous ne sommes pas dans la contestation pour la contestation. Nous voulons construire du revendicatif. Il ne faut pas être dupes : on n'a jamais donné des droits aux salariés, ils les ont toujours demandés.
Comment construisez-vous vos revendications ?
Nous sommes quatre responsables nationaux chargés de la revendication. Nous discutons avec une cinquantaine de personnes du bureau au niveau national, et nous avons mis en place des collectifs de travail, qui mélangent des militants issus de fédérations, d'unions départementales, d'Île-de-France, de milieux ruraux, de métropoles. Ce travail de construction de propositions a commencé avec Bernard Thibault, mais cela s'est amplifié avec Philippe Martinez. Nous avons un triptyque : proposition, négociation, rapports de force. C'est notre ligne de conduite en fait.
Vous insistez beaucoup pour dire que la CGT est une force de proposition...
En effet, cela m'énerve toujours de lire que nous contestons, et point barre. Mais, avant tout, nous proposons, nous avons rédigé, en réponse aux ordonnances travail, un droit du travail du XXIe siècle. Chaque semaine durant la négociation sur la formation professionnelle, nous avons fait des propositions.
Oui, mais on retient vos appels à la grève, à manifester…
On ne vend pas bien notre communication. Nous devons faire des progrès, certes, mais peut-être que les médias aussi !
Pour vous, cette réforme du ferroviaire, c'est du pain bénit en termes de mobilisation ?
Je ne dirais pas cela. Cela va être violent pour les usagers. Mais nous sommes armés. Dans ce dossier-là aussi, nous avons bâti une série de propositions pour réformer le ferroviaire, améliorer le service public. Dans nos documents de travail, nous parlons très peu du statut des cheminots, nous nous préoccupons plus des petites lignes. Le gouvernement a beau dire qu'il n'y touchera pas, nous ne sommes pas naïfs, il y touchera, mais dans quelques mois.
À quoi s'attendre de la part de la CGT dans les prochaines semaines ?
Nous avons programmé depuis plusieurs semaines une manifestation le 22 mars, autour de la question des services publics. Concernant la réforme ferroviaire, si le gouvernement maintient ses positions, continue d'agresser les usagers et les salariés, nous allons vers un mouvement très dur. Mais nous ne voulons pas nous précipiter dans la contestation. On ne lancera une vaste mobilisation que si nous sommes majoritaires. Et c'est là que nous devons prendre du temps pour convaincre les citoyens, et ainsi les solidariser à la contestation.
Qui pourrait vous rejoindre dans la mobilisation contre le gouvernement ?
Cela fait un an et demi que, chaque jour, nous envoyons à nos organisations le détail d'une lutte gagnante en entreprise. La semaine dernière, nous avons invité deux cents syndicats d'entreprise CGT à notre siège de Montreuil pour qu'ils expliquent leurs initiatives, l'organisation de leur lutte, comment ils ont créé un collectif… Nous travaillons activement à une convergence entre privé et public, pour mobiliser le plus grand nombre.
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Et le gouvernement qui lui aussi menace avec ses ordonnances !

Réactions syndicalistes typiquement françaises, quand les autorités veulent changer la gestion des compagnies de service public sous contrôle de l'état qui a laissé celles-ci aller à vau l'eau au fil des années donc en partie responsable !

Souvent perturbées par des mouvements sociaux divers importants qui ont fait que les dirigeants élus politiques, ainsi que ceux de la SNCF ont tergiversé ou fait de mauvais choix voir lâché l'affaire comme en 1995 par exemple !

Le tout, en augmentant le gouffre financier de la Cie ferroviaire nationale !

Ce qui force maintenant le nouveau président Macron et le 1er ministre de prendre enfin le taureau par les cornes et transformer en profondeur la SNCF !

Parallèlement à cela la majorité des français semble plébisciter ces changements à venir, car ils sont lassés des problèmes récurrents sur tous les trains de voyageurs avec leurs incidents divers et aussi peut être aussi assez entendu les cheminots se plaindre trop souvent pour excuser ces dysfonctionnements !

Là, à la différence de 1995, il semble que la CGT syndicat puissant de la SNCF ne rencontrera pas les mêmes résultats positifs, mais plutôt des échecs !

De toute façon comme d’habitude, c’est les utilisateurs voyageurs au quotidien qui subiront ces mouvements sociaux s’ils ont lieu et çà ils le supportent de moins en moins !

Les français ont voulut changer de politiciens élus et de président pour le changement cela en fait partie !

Jdeclef 28/02/2018 13h34LP

Ca y est, cette poignée d’indépendantistes trublions corses on entrouvert une porte pour croire qu’ils ont obtenus à terme plus de liberté envers la France ?!


La Corse aura un article spécifique dans la Constitution

Le principe de l'inscription d'un article spécifique consacré à la Corse dans la Constitution a été acté ce mardi.


À l'issue d'une rencontre entre les élus nationalistes et la ministre Jacqueline Gourault, il a été conclu qu'un article spécifique consacré à la Corse serait inscrit dans la Constitution. « Il y a toujours des discussions mais nous sommes tombés d'accord (...) concernant la création d'un article spécifique » dans la Constitution, a déclaré à l'issue d'une réunion à la préfecture d'Ajaccio Jacqueline Gourault.

Une volontée des Corses

« J'ai précisé aujourd'hui, a-t-elle poursuivi, que le président avait la volonté que cette réforme de la Constitution aboutisse. Ce n'est pas un vœu pieux mais quelque chose de concret. Quelque chose qui puisse être accepté, adopté par les deux chambres avec la majorité des trois cinquièmes ». Lors de sa visite sur l'île le 7 février, Emmanuel Macron s'était déclaré « favorable à ce que la Corse soit mentionnée dans la Constitution », répondant à l'une des principales revendications des nationalistes.
« L'habilitation générale et permanente » demandée par les nationalistes qui souhaitent intervenir par les voies législatives ou réglementaires dans des domaines stratégiques comme le foncier, la fiscalité, la langue et le développement économique, sans demander l'avis du gouvernement, reste toutefois à négocier. « C'est une impression mitigée », a réagi Gilles Simeoni, président de l'exécutif de la collectivité territoriale, en sortant de la réunion.

Tout le monde n'est pas convaincu

Jean-Guy Talamoni, président de l'Assemblée de Corse, a évoqué une réunion « longue mais qui n'a pas permis d'arriver à des résultats suffisamment audacieux à notre goût. Nous aurions voulu progresser davantage, cela n'a pas été le cas. Nous prenons acte de ces avancées timides et attendues (...). Nous espérons avancer davantage la semaine prochaine. » Les échanges doivent se poursuivre dans les deux prochaines semaines, alors que la date de transmission au conseil d'État du texte constitutionnel a été reculée « pour avoir le temps de travailler », a précisé Jacqueline Gourault.

Le gouvernement cède du lest comme MACRON et ses grands discours ?!

Mettre, la Corse dans la constitution mais ces indépendantistes ou autonomistes corses ne l’avait pas demandé et pour cause puisque c’est déjà une province française comme les 13 autres (appelé régions depuis longtemps ?)

Pour partie héritières d'anciennes provinces et régions historiques, les régions sont créées sous leur forme actuelle à partir de 1956 et la Corse bien sûr est comptée dans le lot !

La constitution  instituait un principe d'égalité entre tous les français. Alors on le met à bas ?

Et qui empêche à d’autres ayant des velléités d’indépendance ou d’autonomie chez les autres provinces de le demander (comme L’ALSACE, L’AUVERGNE, LE LANGUEDOC la BRETAGNE le pays BASQUE, LES ILES SAINT PIERRE ET MIQUELON etc.  ?)

Pour résumer ce n’est surement pas une poignée de politiciens corses de décider car cette ile ne pourrait ville seule économiquement sans la France !

Mais c’est aux corses à décider par référendum si l’on doit se séparer de cette ile, mais surtout de ces pauvres 330000 habitants et les laisser à leur sort aux mains de cette poignées de  politiciens, ce qui ne serait pas leur rendre service s’ils veulent y réfléchir car ceux qui espèreraient profiter de cette indépendance ce ne serait surement pas les iliens corses eux-mêmes mais cette poignée de trublions ! 

Mais sachons bien et là le gouvernement serait responsable si l’on fait cela, fera boule de neige et la France s’éparpillera façon puzzle  (comme pour paraphraser une réplique dans un film célèbre !)

Et la France deviendrait un état fédéral mais désuni la pire des choses !

Le président c’est montré ferme qu’il le reste car cette inscription dans la constitution de la Corse est une brèche inutile !

En résumé la CORSE est française comme toutes ses provinces ou régions qu’elle le reste c’est aux français de le dire !


Jdeclef 28/02/2018 10h41LP

mardi 27 février 2018

Rien d'étonnant 2018 année des réformes (ou transformations) comme dit le président !


Sondage : Macron et Philippe plongent

Selon Odoxa, la popularité du président et de son Premier ministre est au plus bas depuis leur entrée en fonction, en baisse respectivement de 6 et 7 points.


Les sondages ont souri à l'exécutif, ils font de nouveau grise mine. Les cotes de popularité d'Emmanuel Macron et d'Édouard Philippe chutent respectivement de 6 et 7 points en un mois pour atteindre leur plus bas niveau depuis leur entrée en fonction en mai 2017, selon un sondage Odoxa diffusé mardi.
Avec 43 % (- 6) des Français interrogés qui pensent qu'il est « un bon président de la République », le chef de l'État perd un total de 11 points depuis décembre. Une nette majorité (57 %, + 7) juge négativement son action. Emmanuel Macron se situe désormais 1 point en dessous de sa cote de septembre/octobre (44 %), jusqu'alors son plus bas niveau, selon cette enquête pour L'Express, La Presse régionale et France Inter.
Le chef de l'État entraîne le Premier ministre qui perd pour sa part 7 points, avec 43 % également d'opinions favorables. 56 % (+ 7) jugent désormais défavorablement son action.

Hulot en tête des personnalités politiques préférées des Français

Emmanuel Macron perd notamment en popularité auprès des sympathisants de gauche hors PS (- 6), de ceux de droite (- 4) et du Front national (- 10). Édouard Philippe perd sur l'ensemble de l'électorat, hormis les proches de La République en marche (+ 5).
La plupart des personnalités politiques pour lesquelles les Français éprouvent le plus de sympathie sont ce mois-ci en hausse. Avec en tête Nicolas Hulot (36 %, + 2), Alain Juppé (34 %, + 1), Jean-Luc Mélenchon (30 %, + 4) et Nicolas Sarkozy (28 %, + 4). Gérard Collomb perd 3 points à 20 % et Laurent Wauquiez en perd 1 à 14 %.
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Mais ces 2 dirigeants savent nager... (Si l’on peut dire…)

Et de toute façon changer les mauvaises habitudes prises depuis plus de trente ans ce n’est pas une chose facile !

Le président a dit aussi que réformer la France était mission impossible, car cela ne plait pas aux français !

Il a raison, car il semble bien connaitre nos concitoyens, mais néanmoins s’y attelle !

Alors bien sur cela se ressent dans ces sondages inutiles qui ne semblent pas l’arrêter dans son élan !

C’est peut être mieux car les français voulaient du changement et comme le président n’a pas pour l’instant une vraie opposition unie, il peut faire ce qu’il a décidé et de ce fait ne traîne pas pour le faire !¨

Jdeclef 27/02/2018 14h08 LP

Les outrances médiatiques sont la plaie du monde des journalistes que cela en devient soûlant !


SNCF : la fabrique des outrances

Sitôt connus le rapport Spinetta et les intentions du gouvernement, la surenchère des syndicats et des Insoumis contre toute idée de réforme a commencé.

« La fin du statut des cheminots n'est qu'un gage pour l'ouverture à la concurrence. Des idéologues acharnés qui défont la France. Résistance ! » dénonce le député La France insoumise Adrien Quatennens sur Twitter. « Résistance » ? Rien que cela ! Et contre quoi ? Quelques vieux avantages que vont garder les agents déjà embauchés, et que personne en haut lieu ne songe à leur retirer !
En évoquant « la fin du statut », cet élu de la nation utilise d'ailleurs un regrettable raccourci. Il s'agit simplement de ne plus embaucher de nouvel arrivant dans cette entreprise publique en état de faillite virtuelle selon un cadre juridique qui date de 1920, une époque où chauffeurs et conducteurs de locomotive à vapeur travaillaient dans des conditions qui seraient aujourd'hui considérées comme insoutenables. La dernière motrice à charbon a disparu… en 1974, il y a plus de 40 ans ? Ce fait ne semble ébranler personne dans rangs des « résistants »
Lire aussi Coignard - Cheminots : le crépuscule des privilèges
La fabrique des fantasmes tourne en revanche à plein régime depuis qu'Édouard Philippe a annoncé, lundi 26 février, que le gouvernement procédera par ordonnances et reprend à son compte une des propositions le plus polémiques du rapport rendu quelques jours plus tôt par le haut fonctionnaire et ancien patron d'Air France Jean-Cyril Spinetta : la fin de l'embauche « au statut », déjà inscrite dans la loi de 2014 « portant réforme ferroviaire », mais finalement pas appliquée devant les cris d'orfraie des syndicats.

Le refus de l'évidence

L'outrance est immédiatement devenue une discipline de haut niveau parmi les défenseurs autoproclamés du service public et des acquis sociaux réunis. Le patron de la CGT-Cheminots Laurent Brun se prépare à la lutte finale : « Pour faire plier le gouvernement, il va sans doute falloir un mois de grève », prévoit-il sans sembler se soucier un quart de seconde des conséquences pour les millions de voyageurs. Même le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger, qu'on a connu plus modéré, a immédiatement fait rempart de son corps : « Je ne laisserai personne cracher à la figure des cheminots. »
Réforme de la SNCF - Unsa : « On est à la limite de la démocratie »
Cracher à la figure des cheminots, est-ce proférer, comme Édouard Philippe, une évidence que chacun peut constater : « Les Français, qu'ils prennent ou non le train, paient de plus en plus cher pour un service public qui marche de moins en moins bien » ?
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Et avec cette réforme/transformation de la SNCF, c'est loin d’être finie et cela ne fait que commencer !

Car c'est un baroud d'honneur pour les syndicats et notamment la CGT et son leader MARTINEZ et ses moustaches à la gauloise qui est à la ramasse et ne rêve hélas que d'un conflit pur et dur pour redorer son blason et celui de son syndicat !

Du fait du peu de retentissement qu'a eu la loi sur le travail et qui a peu mobilisé le public !

Cela risque d’être le chant du cygne des grands syndicats pour ce qu'il en reste, car les français sont pour une transformation de la SNCF, car les avatars, incidents divers et grèves intempestives, sans compter le gouffre financier que traine la Cie ferroviaire cela fait trop !

Un peu comme l'ancienne politique sclérosée et ces politiciens médiocres que les français avaient trop vus et entendus !

Jdeclef 27/02/2018 14h41

E.PHILIPPE enfonce le clou de la transformation de la SNCF sans mâcher ses mots !



SNCF : le gouvernement opte pour la guerre éclair

Édouard Philippe veut en finir avec le statut des cheminots pour les nouveaux embauchés de la SNCF et prépare l'ouverture à la concurrence par ordonnances.


Un nouveau « pacte ferroviaire français ». C'est ainsi qu'Édouard Philippe a présenté sa réforme du rail lundi, depuis Matignon. Le Premier ministre a dévoilé non seulement sa méthode et son calendrier, mais aussi les grands axes du plan de l'exécutif. Comme pour la réforme du marché du travail, il va légiférer par ordonnances. Le projet de loi d'habilitation sera présenté « à la mi-mars » au Parlement. Le président et son Premier ministre ont donc arbitré en faveur d'une guerre éclair pour éviter l'enlisement, au risque de provoquer les syndicats de l'entreprise publique. Une concertation de deux mois va s'ouvrir parallèlement dès cette semaine pour s'achever mi-mai, avec en ligne de mire une adoption au Parlement « avant l'été ». » Dans la mesure du possible, le texte d'habilitation sera enrichi au fur et à mesure par les arbitrages issus des concertations, de manière à clore aussi vite que possible le débat. Les ordonnances elles-mêmes devraient donc être réduites « aux seuls aspects techniques ».

Sur le fond, Édouard Philippe a écarté toute privatisation de la SNCF. « La SNCF est un groupe public qui porte des missions de service public, elle est dans le patrimoine des Français et elle le restera », a lancé le Premier ministre. Il n'y aura pas non plus de réforme du régime spécial de retraite des cheminots. Le sujet sera traité dans le cadre d'une autre réforme, celle des retraites, conduite par Jean-Paul Delevoye. Enfin, il n'y aura pas d'annonce de suppressions de petites lignes. « Je ne suivrai pas le rapport Spinetta sur ce point. Je ne crois pas que l'on puisse décider de la fermeture de 9 000 kilomètres de ligne depuis Paris sur des critères administratifs et comptables », a justifié Édouard Philippe.

Une dette qui a plus que doublé en 20 ans

Pour autant, le Premier ministre a affiché sa détermination à avancer. Quitte à braquer. Pour justifier ses plans, il a décrit une « situation alarmante, voire intenable ». « Il faut 25 minutes de plus qu'il y a 40 ans pour aller de Limoge à Paris, et on met 1 h 25 pour faire 72 kilomètres entre Niort et Saintes », a-t-il cité pour illustrer le manque de rénovation du réseau classique au profit de l'investissement dans de nouvelles lignes TGV. Selon lui, le ferroviaire coûte pourtant « 14 milliards d'euros de soutien public par an », soit « plus que le budget de la police et de la gendarmerie réunis », et « 22 % de plus qu'il y a 10 ans ». La dette de la SNCF, quant à elle, a explosé de 20 à 50 milliards d'euros en 20 ans, ce qui nécessite le paiement de 1,5 milliard d'euros par an, notamment parce que faire rouler un train coûterait 30 % plus cher que chez nos voisins, a expliqué Édouard Philippe en citant le rapport Spinetta. « La dette menace d'engloutir tout le système […]. Si nous ne réagissons pas, elle devrait augmenter de 15 milliards d'euros dans les dix prochaines années. »
Que veut donc faire le gouvernement pour faire face au tableau apocalyptique qu'il brosse ? D'abord réformer la SNCF, pour lui redonner de l'efficacité. Cela passe par le rapprochement de ses différentes entités (SNCF réseau et SNCF mobilité). Au passage, la SNCF, qui est actuellement un établissement public, sera transformée en société nationale à capitaux publics, dont les parts dévolues à l'État seraient incessibles. Objectif : « sortir du piège d'une capacité d'endettement sans limite », et responsabiliser ainsi les dirigeants de l'entreprise et l'État. Bref, encourager l'entreprise à bouger.

La délicate question du statut des cheminots

La SNCF devra également entamer des négociations sociales pour réduire ses coûts et les aligner sur ses principaux concurrents européens, qui seraient de 30 % inférieurs, en améliorant notamment « la polyvalence des métiers » internes à l'entreprise. Un projet stratégique d'entreprise doit être présenté au gouvernement avant l'été. Une feuille de route devra être dévoilée dès le 15 mars. La pression est donc mise à Guillaume Pepy, le PDG de la SNCF.
Mais le chantier le plus médiatique et le plus sensible sera sans doute celui de la modification du statut des cheminots. Les nouveaux agents seront embauchés sur des contrats de droit privé. Le gouvernement accorde donc les « droits du grand-père » aux cheminots appartenant déjà à la SNCF. Cette négociation s'engagera mi-avril. Pour prendre en compte les contraintes spécifiques aux métiers ferroviaires, le gouvernement veut encourager une négociation interne à la branche professionnelle afin de définir un cadre social commun à toutes les entreprises, et éviter ainsi un dumping social des futurs concurrents de la SNCF.

Ouverture à la concurrence

En effet, l'objectif est bien de préparer l'entreprise à l'ouverture de la concurrence, programmée de longue date. « Partout où elle a eu lieu chez nos voisins, cette concurrence a provoqué une hausse de la fréquentation et une amélioration des services », a estimé Édouard Philippe. Le gouvernement veut organiser son développement, sur les lignes TGV, mais aussi sur les lignes opérées au travers d'une convention avec les régions, c'est-à-dire les TER (Train express régionaux), afin qu'elle se traduise par des effets positifs sur le service rendu aux usagers. Les régions, notamment, sont demandeuses d'une telle ouverture des lignes locales à la concurrence. En termes de calendrier, c'est la première concertation qui va s'ouvrir, au cours du mois de mars. Elle associera les régions et les organisations d'usagers, a expliqué la ministre des Transports, Élisabeth Borne. Le sujet du transfert des salariés de la SNCF, qui devront travailler pour un concurrent, sera particulièrement sensible. La concertation sur ce point précis s'ouvrira mi-mars. L'idée est de leur permettre de partir avec leur « sac à dos social ». Le statut de l'entité SNCF appelé « gares et connexion », qui devra être garant de l'équité de traitement des futurs opérateurs de lignes, fera également partie des débats.
Si les propositions sont suffisamment ambitieuses, alors l'État se montre prêt à faire un geste pour alléger le fardeau de la dette de la SNCF en en reprenant, probablement, une partie à son compte, « d'ici la fin du quinquennat ».

La concertation sera donc importante. Mais le gouvernement menace de passer en force en cas de blocage. « Si certains tentent de confisquer le débat ferroviaire pour le pervertir en débat idéologique déconnecté du besoin de mobilité des Français, alors le gouvernement prendra ses responsabilités. » 

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Des dirigeants et gouvernement qui ne tergiverse pas sur des sujets importants cela change des prédécesseurs !

(C’est peut être çà enfin le changement que les français attendent ?)

Cette Cie ferroviaire en avait besoin rapidement, d’ailleurs les français ne se sont pas trompé et plébiscite ces mesures pour la majorité d’entre eux !

Il n’a pas commis l’erreur de vouloir supprimer les petites lignes pour corriger un peu le tout TGV !

Et il doit agir vite pour couper l’herbe sous le pied s’il le peut aux syndicats dont certains rétrogrades dogmatiques n’ont su au fil des ans que faire des mouvements sociaux à répétitions grèves ou autres qui ne gênent que les utilisateurs voyageurs et bloque le pays !

Sans compter les incidents récents importants devenus récurrents !

La SNCF doit redevenir un service fiable qui doit sortir de ses blocages syndico/politque et redevenir au service du public utile et pas réservé à ceux qui peuvent se payer des voyages dans de bonnes conditions et redescendre au niveau des voyageurs lambda qui l’utilise chaque jour en changeant de mentalité désuète et rétrograde !

Jdeclef 27/02/2018 8h48

lundi 26 février 2018

Oui il fait froid mais nous sommes encore en hiver en février et c'est un mois souvent froid !


Un froid glacial s'installe sur l'Hexagone

La vague de froid venue de Sibérie va faire descendre les températures jusqu'à - 10 °C. Le plan « grand froid » a été déclenché dans 37 départements.

Jusqu'à - 10 °C, ressenti - 18 °C : ces températures glaciales, à la dureté accentuée par un vent de nord-est, nous viennent de Sibérie. La vague de froid qui a gagné la France dimanche après-midi devrait s'intensifier lundi dans le Grand Est, selon Météo-France, faisant craindre notamment pour les sans-abri. Un homme de 35 ans a été retrouvé mort dimanche matin à Valence, où le thermomètre était descendu à - 3 °C dans la nuit. Les premières constatations laissent à penser qu'il est mort de froid alors qu'il dormait sous le porche d'une église, selon la préfecture de la Drôme.
Dans le quart nord-est du pays, le froid a commencé à s'accentuer dimanche. À Strasbourg, le centre d'hébergement d'urgence du Fritz Kiener était « quasiment rempli » toute la journée. « On a eu jusqu'à 60 personnes en même temps », a expliqué le responsable, Abdel Bourema. Parmi elles, Jean-Philippe Martin, trentenaire à la rue depuis quinze jours, soulagé d'avoir obtenu un hébergement pour la semaine à venir. « D'habitude, on essaye de trouver des endroits pour s'abriter, par exemple à la gare, mais on est si nombreux que cela a tendance à créer des problèmes », a-t-il raconté.

« Moscou-Paris »

Pour lundi, Météo-France annonce des températures minimales « glaciales », qui varient de - 6 à - 10 °C dans le Grand Est et Bourgogne-Franche-Comté. « Les maximales restent négatives sur un grand quart nord-est avec - 4 à 0 °C », a poursuivi l'institut. « Sur une grande moitié nord, le vent de secteur nord-est, qui se renforce jusqu'à 60 à 70 km/h, accentue nettement la sensation de froid », a-t-il précisé. Ce phénomène connu sous le nom de « Moscou-Paris » va ensuite se propager au reste du pays. Météo-France prévoit entre lundi et mercredi des minimales de - 6 °C à - 10 °C sur une grande moitié est (hors Méditerranée, entre 0 °C et - 4 °C) et de - 2 °C et - 6 °C sur l'Ouest. Mardi et mercredi devraient être les deux jours les plus froids.
Cet épisode de froid a poussé les autorités à déclencher dans 37 départements le plan « grand froid », avec plus de 3 100 places temporaires d'hébergement supplémentaires pour les sans-abri, dont 500 à Paris. « Nous avons donné pour consigne aux préfets d'ouvrir les lieux d'accueil », a rappelé le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb dimanche soir lors d'une maraude à Paris avec le préfet de police Michel Delpuech et la Brigade d'assistance aux personnes sans abri (Bapsa) de la préfecture de police. Dans les rues de la capitale, le ministre et le préfet ont surtout croisé des migrants qui, sans savoir à qui ils s'adressaient, tendaient des papiers d'identité parfois périmés et s'exprimaient dans un mélange d'anglais, de français et de gestes. « Les SDF habituels qui ne sont pas des migrants se sont mis à l'abri du froid », a expliqué à l'AFP un policier de la Bapsa.
Vendredi, un homme de 62 ans, qui vivait dans une cabane dans les bois dans les Yvelines, a été retrouvé mort. Son décès est dû en partie au froid, selon la gendarmerie.

Un épisode tardif, inédit depuis 2005

Mais les sans-abri ne sont pas la seule population à souffrir du froid. Les autorités sanitaires conseillent de garder nourrissons et personnes âgées à l'intérieur. Pour les autres, il vaut mieux limiter les efforts physiques et bien se couvrir pour éviter gelures, hypothermie, et aggravation d'éventuels risques cardio-vasculaires. Attention également aux risques d'intoxications au monoxyde de carbone.
L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) a appelé chacun à limiter sa consommation d'électricité, surtout entre 18 heures et 20 heures, soulignant que la production d'électricité lors des pics de froid était « la plus carbonée ».
Après un mois de janvier historiquement doux, et un début février neigeux, cet épisode de froid, qui serait banal en plein cœur de l'hiver, est notable en raison de sa date. La France n'a pas connu un tel froid tardif depuis fin février-début mars 2005.
Un épisode neigeux est attendu dans la nuit de dimanche à lundi sur la région Provence-Alpes-Côte d'Azur où Météo-France a placé trois départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes et Var) en alerte orange neige-verglas. Il pourrait perturber la circulation sur plusieurs axes autoroutiers, a précisé Vinci Autoroutes dans un communiqué. La neige pourrait remonter vers le nord jeudi, mais les prévisions météo ne précisent pas encore l'intensité de cet épisode.
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Rien de particulièrement anormal !

Mais arrêtons de faire du catastrophisme médiatique et arrêtons ces discours sur le réchauffement climatique dont personne en fait ne comprend rien tout comme ces savants du GIEC !

Je suis âgé oui ! Mais je me souviens dans les années 1950, il faisait bien plus froid et je me souviens de ma mère qui m’avait emmenée voir la SEINE qui était gelée que l’on pouvait la traverser à pied au pont suspendu à Alfortville dans le val de marne car c’était une curiosité nous avions du mal à nous chauffer dans notre appartement, ou il y avait un gros poil salamandre à charbon qu’il fallait remplir souvent en remontant le charbon dans un seau de la cave !

Mais aussi dans les années 1970 et 1985/86, en fait c’est cyclique et revient périodiquement tout comme les sécheresses été chaud et maintenant canicules comme celles en 1976/2003 etc. !

Ce qu’il faut faire c’est arrêter de se plaindre et plutôt s’atteler à secourir ceux qui vivent dehors pendant ces périodes en cessant de faire des statistiques débiles comme on n’en a entendu de certains élus et en essayant qu’il n’y ait plus de morts à cause de celles-ci par laxisme de l’état dans un pays comme la France tellement donneurs de leçons !

Jdeclef 26/02/2018 14h39

Le couple MACRON/PHILIPPE s'il veut vraiment réformer la SNCF ce mammouth gouffre qui devient sans fond encore tenu par ses syndicats doit tailler dans le vif !


SNCF : Philippe enterre le statut de cheminot, mais sauve « les petites lignes »

Jugeant la situation de la compagnie ferroviaire « alarmante, pour ne pas dire intenable », le Premier ministre a annoncé qu'il réformerait par ordonnances.

Édouard Philippe a dressé un sombre constat pour la SNCF lundi, avant de présenter des pistes de réforme. « La situation est alarmante, pour ne pas dire intenable. Les Français, qu'ils prennent ou non le train, payent de plus en plus cher pour un service public qui marche de moins en moins bien », a déclaré le Premier ministre lors d'une conférence de presse à Matignon.
Première annonce forte : « Aux nouvelles générations, aux apprentis, à tous ceux qui veulent s'engager dans la SNCF, nous disons qu'ils bénéficieront des conditions de travail de tous les Français, celles du Code du travail. À l'avenir, à une date qui sera soumise à la concertation, il n'y aura plus de recrutement au statut. »
Il a également confirmé que, comme l'avait laissé entendre Christophe Castaner, le gouvernement a choisi de procéder par ordonnances pour faire passer une réforme dont il entend faire voter les « principes-clés avant l'été ». « Nous voulons aller vite sans escamoter pour autant la concertation ou le débat parlementaire », a plaidé le Premier ministre, qui souhaiterait réduire « le contenu des ordonnances aux seuls aspects techniques ».

« Patrimoine »

Par contre, il ne sacrifiera pas les « petites lignes » : « Ce n'est pas une réforme des petites lignes, a-t-il précisé. Je ne suivrai pas le rapport Spinetta sur ce point. On ne décide pas la fermeture de 9 000 km de lignes depuis Paris sur des critères administratifs et comptables. Dans bien des territoires, le rail est au cœur de la stratégie des régions pour le développement des mobilités », a expliqué le Premier ministre.
« Ce n'est pas une réforme qui préparerait la privatisation de la SNCF, a tenu à souligner le Premier ministre. La SNCF est un groupe public qui porte des missions de service public. Elle est dans le patrimoine des Français et elle y restera. »
Le Premier ministre a conclu en assurant qu'il ne « [cherchait] l'affrontement avec personne. “Le temps est venu d'oser la réforme que les Français savent nécessaire. Je sais que certains prédisent le conflit, annoncent l'épreuve de vérité. (...) Ce n'est pas du tout mon approche. (...) Je ne cherche l'affrontement avec personne. Je crois que nous pouvons bâtir une réforme équilibrée, bonne pour tout le monde, pour le service public, pour les cheminots comme pour les usagers”, a déclaré le Premier ministre en présentant à Matignon “la méthode et le calendrier” de cette réforme.
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Il est certain que cela ne plaira pas à tous les cheminots, notamment les plus rigides à toutes modifications de cette entreprise qui datent d’après-guerre et qui donc logiquement doivent être revue !

Et ce comme d’autres par exemple pour les Télécom, la poste ou EDF etc.

Alors le gouvernement brandit l’utilisation des ordonnances comme sur la loi sur le travail et en profite après les incidents trop nombreux touchant la Cie ferroviaire surtout si les syndicats venaient à bloquer le trafic ferroviaire comme ils l’ont fait dans les années 95 et bien souvent après périodiquement souvent chaque années suivantes que cela devenait une habitude à chaque rentrée !

Et bien sûr en se basant sur les mécontentements des usagers de plus en plus nombreux notamment ceux qui prennent le train pour aller travailler en IDF et pas seulement ceux qui utilisent les TGV/TER de grandes lignes !

Il faut dépoussiérer une Cie SNCF auquel les français sont attachés car beaucoup prennent le train pour se déplacer un moyen de transport pratique et écologique en même temps comme c’est dans l’air du temps !

Après tout, les français ont demandé à leurs nouveaux élus le changement, alors il faut l’assumer, même si c’est presque mission impossible de transformer la France trop endormie dans ses vieilles habitudes comme l’a dit le président !

Jdeclef 26/02/2018 13h05 LP

C'est l'homme qui a créé des armes pour mieux s'entretuer et qui versent des larmes de crocodile après quand elles se retournent contre eux !


La NRA dans le viseur des anti-armes

De plus en plus nombreuses sont les entreprises qui annoncent mettre fin à leur partenariat avec le puissant lobby des armes à feu. Un tournant ?

La première à avoir « dégainé », c'est une banque. Huit jours après la fusillade du lycée de Floride qui a fait dix-sept morts, The First National Bank of Omaha a annoncé qu'elle arrêtait de proposer une carte Visa pour les membres de la National Rifle Association (NRA). Dans la foulée, plus d'une douzaine d'entreprises ont pris leurs distances avec le lobby des armes. L'organisation offre à ses 5 millions de membres une foule d'avantages, des discounts sur les voyages aériens à des réductions sur les contrats d'assurance auto en passant par l'achat de voiture.
Les loueurs de voitures Avis, Hertz et Enterprise Rent-A-Car ont annoncé qu'ils n'offriraient plus de ristourne. Idem pour Symantec le fabricant du logiciel antivirus Norton, MetLife l'assureur, Delta Air Lines, ou encore Starkey, un fournisseur d'appareils auditifs.
United Airlines a déclaré qu'elle ne proposerait plus désormais de tarifs préférentiels aux membres pour leur voyage au grand congrès annuel du lobby.
Même des chaînes d'hôtel qui n'ont plus de liens avec la NRA en ont profité pour faire des communiqués. Les hôtels Wyndham ont annoncé qu'ils avaient mis un terme à leur partenariat en 2017. Et les hôtels Best Western ont rappelé à leurs clients qu'ils n'avaient pas « d'affiliation » avec la NRA.

Pestiférée

Le lobby n'a évidemment pas apprécié et s'est fendu d'un communiqué vengeur. Il a qualifié ces réactions « d'étalage honteux de lâcheté politique et civique ». « Au fil du temps, ces marques seront remplacées par d'autres », a-t-il affirmé. « La perte de tarif préférentiel ne va ni effrayer ni détourner un seul membre de notre mission qui est de se dresser pour défendre les libertés individuelles. »
Le phénomène est inédit par son ampleur. Certes, à chaque fois que se produit une fusillade de masse, l'opinion se mobilise, les exhortations à limiter le port d'arme se multiplient. Puis la NRA campe sur ses positions, les élus font le gros dos et les choses se tassent. Mais, cette fois, la fusillade au lycée de Parkland, en Floride semble avoir changé les choses. Du moins pour l'instant... L'appel au boycott a très vite été lancé sur Twitter et Facebook, sans doute parce que les victimes sont jeunes et manient parfaitement les réseaux sociaux. La NRA s'est retrouvée soudain au rang des pestiférés. Des listes d'entreprises ayant des accords avec le lobby ont commencé à circuler sur Facebook. #BoycottNRA était le premier sujet sur Twitter en fin de semaine aux États-Unis.
D'autres entreprises font de la résistance. Ainsi de Fedex. Dimanche soir, le transporteur refusait toujours de mettre un terme à leur partenariat, malgré les critiques de célébrités comme Juliane Moore.

Hypocrisie

C'est un casse-tête pour les entreprises. Il y a un an, des activistes ont appelé à boycotter la chaîne de magasins Nordstrom qui vendait la marque Ivanka Trump. Le grand magasin a discrètement arrêté de la distribuer. Mais il s'est retrouvé alors face à une nouvelle menace de boycott, cette fois des pro-Trump. Difficile, selon les spécialistes de marketing,de déterminer l'impact de ce genre d'action. À en juger par les commentaires furieux qui ont inondé leur site, un certain nombre de clients de The First National Bank of Omaha n'ont pas aimé sa prise de position anti-armes et ont annoncé la fermeture de leur compte.
Mais le plus souvent, le consommateur finit par oublier avec le temps. Et les entreprises abandonnent leurs prétentions de bon samaritain. Après le massacre de l'école primaire de Sandy Hook en 2012 qui a tué vingt-six personnes, le magasin de sport Dick's Sporting Goods avait suspendu la vente de fusils d'assaut. Six mois plus tard, il les a remis en rayon.
David Hogg, l'un des élèves du lycée de Parkland a remercié les entreprises et appelé les autres à suivre leur exemple. Pour que cette fois, le soufflé ne retombe pas...
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Mais les USA sont au comble de l’hypocrisie a l’exemple de leur président TRUMP qui soutient les lobbies en faveur de cette NRA car sa rapporte au pays de l’argent roi et favorise en plus l’élection de ses présidents !

C’est aussi aux américains eux-mêmes de dire non à cette partie de leur constitution anachronique qui autorise à posséder des armes pour soit disant se défendre une paranoïa bien entretenue depuis plus de 200 ans !

Mais quand on voit comment les hommes réagissent en période de guerre comme en Syrie par exemple ou un dictateur réduit une partie de sa capitale en tas de ruine en écrasant sous des tapis de bombes des innocents femmes enfants et vieilles personnes de son pays !

Et surtout le reste de la communauté mondiale  et ONU fantoche qui s’offusquent bien sûr, ça ne coûte rien, mais qui détourne les yeux sans ne rien faire !

En fait c’est l’homme qui est le plus dangereux et qui arrivera à s’auto détruire en fait les USA champion du va-t- en guerre depuis plus d’un siècle en sont restés à la conquête de l’ouest de leur pays aux IXX eme siècle ou chacun réglait ses comptes à coups de pistolets et certains états du sud n’en sont pas vraiment sortis !

Ajouter à cela les déséquilibrés ou malades divers qui traînent à l’échelle de ce grand pays pourtant libre (peut être trop) et démocratique, cela ne risque pas  de s’améliorer !
Ceci étant des mouvements de jeunes plus nombreux protestent sur celle législation mortifère, c’est peut-être l’ébauche d’un progrès !

Jdeclef 26/02/2018 9h45