L'œuvre
et les droits du rockeur sont entièrement légués à Læticia. Déshérités, Laura
et David contre-attaquent. Une bataille qui s'annonce acharnée.
Johnny Hallyday : révélations sur un testament
Aussi incroyable que cela puisse paraître, Johnny aurait choisi de laisser ses héritiers se déchirer après sa mort... Gravement malade depuis plusieurs mois, le rockeur avait tout le temps de régler au mieux sa succession pour donner à chacun de ses enfants des parts équitables. Mais cela n'est pas le cas, au vu de l'offensive menée aujourd'hui par ses deux aînés, Laura et David, qui s'estiment lésés par les dispositions testamentaires de leur père et entendent bien faire valoir leurs droits.
À en croire le communiqué publié par Laura, son père ne lui aurait rien laissé : « Ni bien matériel, ni prérogative sur son œuvre artistique, ni souvenir – pas une guitare, pas une moto et pas même la pochette signée de la chanson Laura. »
Testament de Johnny : Læticia Hallyday fait part de son « écœurement »
Une
procédure admise par le droit américain
Concrètement,
cela veut dire que David et Laura n'hériteraient d'aucun bien matériel (comme
les villas de Marnes-la-Coquette ou de Saint Barthélemy) mais ne pourraient pas
non plus jouir des royalties générées par le catalogue de leur père. Il s'agit
des droits d'auteur, d'édition, d'interprétation et des droits moraux, liés
notamment à l'image du chanteur, qui peuvent être engagés sur une publicité, un
film, etc. Tout cet héritage – évalué à
entre 50 et 80 millions d'euros – reviendrait donc
aujourd'hui à Læticia Hallyday. « Ce testament prévoit aussi qu'en cas de
prédécès de son épouse l'ensemble des biens et des droits de Jean-Philippe Smet soit
exclusivement transmis à ses deux filles Jade et Joy, à parts égales »,
précise le communiqué.
Un
testament en français, rédigé en France
Quelles
chances ont-ils de récupérer une partie de l'héritage ? Il va falloir
passer au crible les dispositions testamentaires en fonction du droit français
et anglo-saxon, avec l'aide d'avocats et de spécialistes en droit privé, ce qui
promet une sacrée bataille juridique.L'enjeu est de démontrer que la succession de Johnny, ou une partie, ne relève pas du droit californien mais du droit français. Selon nos informations, le testament ne fait que quelques lignes, il est rédigé en français, date de 2014, et aurait été signé à Marnes-la-Coquette, et non sur le territoire américain, faisant de Læticia l'unique héritière – les enfants étant complètement oubliés. Les avocats de David et Laura vont certainement tenter de démontrer qu'il est donc contraire aux lois françaises. Ils souligneront également que Johnny peut difficilement, ces derniers mois, être assimilé à un résident américain puisqu'il a passé la majorité de l'année en France, il a chanté sur le territoire, a été soigné dans l'Hexagone et enterré dans un sol français.
Laura a l'intention de ne rien lâcher. Elle l'a redit dans une lettre intime et émouvante adressée à son père et publiée par l'AFP. « J'ai choisi de me battre. J'aurais préféré que tout cela reste en famille. Malheureusement, dans notre famille, c'est comme ça... » Même après sa mort, la vie privée de Johnny se décline en feuilleton.
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Cela
ne doit pas leur suffire, car ces (ayant droits) sont loin d’être raisonnables
car habitué à toujours plus !
Quand
il s’agit d’héritage considérable avec des familles recomposées, de la masse
considérable de cet argent roi qui pourri tout et en plus dans le show byz
toujours hors norme par ses excès, c’est lamentable !
Après
tout le chanteur en a bien profité, espérons qu’il ne voit pas cela de là-haut
car c’est pitoyable !
Ceci
étant il est responsable du fait de ses domiciliations entre France ET USA avec
leur législation différentes en matière de succession !
Ceci
n’a aucun intérêt pour ses fans sauf pour les journaux spécialisés people (et
encore.. ?)
Jdeclef
03/02/2018 09h11LP
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