Jacques Chirac, l'homme à femmes
On le savait séducteur. Un livre de confidences de Daniel Le
Conte, son plus proche collaborateur, revient sur les aventures de l'ancien
président.
On le
surnommait « cinq minutes douche comprise ». Dans le livre Président, la nuit vient de tomber
(éd. du Cherche-Midi), où son confident Daniel Le Conte s'est
livré au journaliste Arnaud Ardoin et dont Paris Match
publie les bonnes feuilles cette semaine, on découvre un Jacques Chirac intime. De
la mairie de Paris à l'Élysée, son collaborateur pendant près de quarante ans
raconte le politique, la maladie, mais aussi l'homme, et notamment les frasques
libertines de l'ancien chef de l'État. « Des femmes qu'il chevauche sans
plus de préliminaires, parce que le temps presse, parce que la quantité a pris
l'ascendant sur la qualité », décrit le livre. « Lorsqu'il avait
rendez-vous avec une femme, c'était à la minute près », raconte son ancien
chauffeur. « Nous le déposions, et il nous donnait un horaire exact, il ne
fallait surtout pas être en retard. »
L'ex-président
peut compter sur toute une logistique dédiée à son plaisir personnel. « Il
utilise régulièrement une garçonnière dans l'immeuble du 241, boulevard
Saint-Germain (dont le premier étage abrite le siège départemental du RPR) pour
satisfaire ses plaisirs avec une collaboratrice du RPR ou une jeune ambitieuse
qui cherche la chaleur fugace du pouvoir », précise le livre. « Il y
a les régulières, les coups de cœur, les amuse-bouches
qui réussissent à franchir les cordons de sécurité pour approcher le président,
d'autres qui partagent le même avion que lui et qui attendent, nues, dans son
espace privé, brûlantes de désir. Elles sont députées, ministres, conseillères,
bourgeoises provinciales, des inconnues qu'on lui apporte sur un plateau... »
Une
seule a failli le pousser au divorce
L'ouvrage
rapporte à ce sujet une anecdote lors d'un voyage à La Réunion au début du
septennat : « Une femme l'aborde et lui demande une dédicace sur l'un
de ses livres qu'elle tient à la main, raconte un ancien garde du corps. Le
président s'approche et lui dit, avec un culot incroyable : Montez dans ma chambre si vous voulez ?
Et la femme de suivre Jacques Chirac, tout sourire. »
Dans son
livre Les Amazones de la
République (éd. First), le journaliste Renaud Revel avait révélé comment
Chirac, alors maire de Paris, se montrait très organisé, avec notamment un
fameux minibus aux vitres teintées qui l'accompagnait dans tous ses
déplacements pour lui permettre de rejoindre les favorites du moment... Dans
cette longue liste, toujours selon Renaud Revel, une seule a failli le pousser
au divorce : la journaliste Jacqueline Chabridon, du Figaro, dont Chirac était fou
amoureux. Mais il restera toujours avec Bernadette, son épouse.
Celle-ci a
fini par confier, une fois à l'Élysée, que les filles « galopaient »
autour de son mari. L'an dernier, dans un documentaire qui lui était consacré
sur France 2, Bernadette Chirac
l'expliquait ainsi : « Les papillons tournaient autour de la lampe.
Et j'en ai eu des inquiétudes et du chagrin même... Tous les hommes qui ont du
pouvoir ou une très grosse fortune attirent les femmes. Au début, ça a été dur,
j'ai eu beaucoup de chagrin. Puis après, je m'y suis faite. Je me suis dit que
c'était la règle et qu'il fallait la subir avec autant de dignité que possible. »
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Concubines
ou favorites, voire femmes de passages, il semble que le pouvoir et l’argent attire
ces dames et facilite les pratiques de ces messieurs !
Car
il n’y a pas que le physique qui compte, naturellement J.CHIRAC était bel homme
et cela favorisait son attirance pour le beau sexe et ses conquêtes !
Mais
quand on voit les derniers présidents de ces 30 dernières années et leurs
frasques amoureuses, ce n’était pas tous des prix de beauté masculine, ne
citons pas de nom pour vexer personne !
Jusqu’à
bien sur l’affaire DSK le libidineux, ce qui lui couté semble-t-il son élection
à la présidence, mais là, il y avait limite qu’il a dépassé en commettant des actes
plus que douteux (D’ailleurs on ne peut s’imaginer
ce qui se serait passé à l’Elysée, s’il avait été élu président de la
république ?!)
Et
comme en France pays latin, on pardonne facilement ces écarts et qu’on n’attache
que peu d’importance à nos dirigeants, car cela fait partie de leurs vies
privées et cela fait partie de l’histoire indirecte de notre pays et quand cela
n’empêche pas l’exercice du pouvoir et la gestion du pays, cela n’intéresse que
les magazines people ou la presse spécialisée à paparazzis, férue de scandale !
Comme
un peu pour les stars du show byz !
Et
puis comme on dit « quand c’est fait entre
adultes consentant » il n’y a pas faute et ce sont des hommes qui ne
se transforment pas en moine du fait de leurs fonctions !
Il
faut simplement que cela soit fait dans la discrétion pour ne pas choquer la
kyrielle de bien-pensants hypocrites qui polluent notre société actuelle !
Jdeclef
30/09/2017 10h21 LP