samedi 23 septembre 2017

J.L. MELENCHON a plus de trente ans de retard et c'est grave, car il entraîne derrière lui des français qui croient à ses utopies rétrogrades et ce n'est pas bien !

Réforme du Code du travail : Mélenchon espère mobiliser massivement

Le leader de La France insoumise, qui entend se poser en principal opposant à Emmanuel Macron, a d'ores et déjà prévenu qu'il y aurait d'autres manifestations.


À l'appel de Jean-Luc Mélenchon, des dizaines de milliers de manifestants sont attendus ce samedi à Paris pour protester contre la réforme du droit du travail. « La bataille de France est commencée », a lancé cette semaine le chef de file de La France insoumise (LFI), qui a qualifié de « coup d'État social » le projet gouvernemental.
Le président français a solennellement paraphé vendredi devant les caméras les cinq textes modifiant le complexe Code du travail français, qui compte plus de 3 000 pages. Ces cinq ordonnances ont été publiées officiellement samedi matin pour une entrée en vigueur immédiate. Cette réforme « d'ampleur » et « inédite », qui vise à accroître la flexibilité du marché du travail dans un pays miné par un taux de chômage de 9,6 %, a été « menée en un temps record », s'est félicité le chef de l'État, élu en mai.

Promise pendant sa campagne, cette première grande réforme sociale a été présentée par Emmanuel Macron comme le premier jalon de ses efforts pour « transformer » la France. Ce texte, qui facilite certains licenciements et permet aux entreprises de négocier plus directement avec leurs salariés leurs conditions de travail, a été longuement négocié pendant tout l'été avec les syndicats et le patronat. Sans convaincre ses détracteurs, pour lesquels il rabote des droits sociaux chèrement acquis.

Espace politique

En tête de la fronde, la CGT, l'un des principaux syndicats français, a organisé deux journées de grève et de manifestations dans toute la France les 12 et 21 septembre, avec un succès mitigé. Dopé par son score record à l'élection présidentielle - où il est arrivé en quatrième position avec près de 20 % des voix -, Jean-Luc Mélenchon espère bien faire mieux samedi : il a appelé à « une déferlante » des opposants à la réforme dans les rues de la capitale.
« La France est le dernier pays qui résiste sur la base des conquêtes sociales des lendemains de la guerre », a argumenté cet orateur pugnace de 66 ans, qui était parvenu à mobiliser des foules de partisans pendant sa campagne. Le champion de la gauche radicale dispose d'un espace politique inédit depuis que la victoire du centriste Emmanuel Macron à la présidentielle a fait imploser les partis traditionnels : le Parti socialiste a été laminé par les élections, la droite est divisée sur le soutien à apporter aux réformes du nouveau président et l'extrême droite est déstabilisée par la défaite de Marine Le Pen au second tour.

« On ne fait que commencer »

« L'enjeu pour Mélenchon est de s'imposer comme le principal opposant à Macron », souligne Frédéric Sawicki, professeur de sciences politiques à l'université Panthéon-Sorbonne, soulignant la portée symbolique de « l'image d'un leader entouré de milliers de gens » sur la place de la Bastille, symbole de la Révolution française de 1789. « Il s'agit de faire une démonstration de force, presque physique », a souligné Clémentine Autain, députée LFI. « Samedi, il va y avoir la masse... on ne fait que commencer », a prévenu Jean-Luc Mélenchon.
Face au défi, le pouvoir affiche sa détermination. « Je crois en la démocratie, mais la démocratie, ce n'est pas la rue », a asséné Emmanuel Macron en début de semaine. « Si je respecte ceux qui manifestent, je respecte aussi les électeurs français, et ils ont voté pour le changement », a-t-il insisté.
Au-delà de cette manifestation parisienne, où la mobilisation sera scrutée de près par le gouvernement, la grogne sociale va se poursuivre avec des barrages dressés dès lundi par des routiers en colère. Suivront un mouvement de protestation des retraités, le 28 septembre, ou encore des fonctionnaires, le 10 octobre.
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Car s'accrocher à des dogmes centenaires pseudo communiste d'un autre âge qui ont asservi dans le passé des peuples en ne les rendant pas plus heureux et mêmes moins, n'est pas honnête et surtout irréaliste !

Ce personnage, ex ministre socialiste d’un parti qu’il renie maintenant, car lui ne manque de rien, car il est fortuné de cette gauche caviar et pousse ses partisans à manifester contre ce changement qu’il n’a pas fait, quand il était aux affaires et cela a contribué indirectement certains français à voter indirectement pour E.MACRON en le confirmant via les législatives pour son gouvernement, car ils en avaient marre de ces  vieux politiciens et leurs anciens partis qui ne faisaient rien!

Ce n’est pas en aboyant Mr MELENCHON comme un tribun qu’il est, après coup, qu’il rattrapera ce fait que l’on aura pour 5 ans !

Ce politicien est comme ces vieux élus, il roule pour lui avant tout à 66 ans et il sera trop vieux en 2022, cela suffit car « les empêcheurs de tourner en rond » en France on en a déjà trop !

Tout comme le FN parti inutile de l’autre bord, car les français aussi n’en voulaient pas !

Ils votent pour les extrêmes pour protester depuis des lustres, mais pas pour les mettre au pouvoir (La France est conservatrice quoi que l’on fasse !)


Jdeclef 23/09/2017 13h41

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