mercredi 30 septembre 2020

Mais le Hezbollah est une organisation terroriste reconnue par la communauté internationale, c'est un fait établi alors !?

 

Liban : le chef du Hezbollah rejette le « comportement condescendant » de Macron

Il salue toutefois « l'initiative française », qu'il espère voir réussir, tout en appelant « à reconsidérer la méthode, le travail et le langage ».

 

Les derniers propos d'Emmanuel Macron sur la crise au Liban n'ont pas été du goût du chef du Hezbollah. Lors d'un discours télévisé, Hassan Nasrallah est revenu sur l'initiative française menée dans le pays, en faveur de la formation d'un gouvernement réformateur. « Nous saluons toujours l'initiative française et sommes prêts au dialogue et à la coopération […] avec les Français et avec tous les amis du Liban […], mais la manière dont les choses ont été faites le mois écoulé, l'intimidation ayant eu lieu […] ne doivent pas se poursuivre, sinon nous ne parviendrons pas à un résultat », a déclaré Hassan Nasrallah.

« Nous espérons que cette initiative réussira. J'appelle à reconsidérer la méthode, le travail et le langage » utilisés, a-t-il ajouté. Le président français Emmanuel Macron avait fustigé dimanche la « trahison collective » de la classe politique libanaise, au lendemain du renoncement par le Premier ministre Moustapha Adib de former un gouvernement de « mission », exigé par Paris, sur fond de querelles politiciennes. « Nous n'acceptons pas que vous nous accusiez de trahison (…) Nous rejetons et condamnons catégoriquement ce comportement condescendant à notre égard et à l'égard de toutes les forces politiques au Liban », a répliqué mardi soir Hassan Nasrallah.

Le Hezbollah visé par Emmanuel Macron

« Nous n'acceptons pas ce langage […], le plus important est le respect », a-t-il ajouté. « Nous avons salué le président Macron lors de sa visite au Liban, mais pas sur la base qu'il soit le procureur, l'enquêteur, le juge […], le dirigeant et le gouverneur du Liban », a poursuivi le chef du Hezbollah. Les partis politiques libanais, y compris le Hezbollah, s'étaient engagés auprès d'Emmanuel Macron, venu à Beyrouth début septembre, à former un cabinet de ministres « compétents » et « indépendants » du landerneau politique dans un délai de deux semaines, condition pour le déblocage d'une aide internationale indispensable au redressement du pays en crise.

Le Hezbollah, obstacle à la médiation française au Liban

Mais samedi, Moustapha Adib, désigné le 31 août, a jeté l'éponge, mettant en avant l'érosion de ce consensus. Ses efforts ont notamment été entravés par les revendications du Hezbollah et de son allié Amal, dirigé par le chef du Parlement Nabih Berri, exigeant de désigner eux-mêmes le ministre des Finances. Mardi soir, Hassan Nasrallah est revenu à la charge, soulignant la nécessité que le Hezbollah fasse partie du gouvernement, par le biais de partisans ou pas, pour « protéger les arrières de la résistance ».

Arthur Chevallier – Le retour tant espéré de l'impérialisme français

Dans son discours incendiaire dimanche soir, Emmanuel Macron n'a épargné aucun parti, mais s'en est pris particulièrement au Hezbollah, qui « ne doit pas se croire plus fort qu'il ne l'est ». « Vous avez un système de terreur qui s'est mis en place et que le Hezbollah a imposé », a-t-il dénoncé. « Le président Macron, qui nous a accusés d'intimidation, est celui qui a pratiqué une politique d'intimidation à l'égard des chefs de partis afin » de former un gouvernement, a répliqué Hassan Nasrallah.

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Malgré cela E.MACRON (veut négocier) avec de tels criminels car les terroristes islamiques sont des criminels, comme DAESH par exemple ces individus se servent de l'ISLAM  et la fraction extrêmes de cette religion moyen orientale pour justifier leurs actes criminels !?

Notre président est incompréhensible à vouloir négocier avec n'importe qui de non fiable, car ces extrémistes purs et durs ne tolèrent pas ceux qui n'ont pas les mêmes dogmes religieux obscurantistes moyenâgeux qu'eux !

Surtout, ils avilissent les peuples faibles pour pouvoir prendre le pouvoir intolérant qu'ils veulent mettre en place !

Naturellement en plus contre les judéo-chrétiens de ce moyen orient instable et notamment au le Liban multi confessionnel !

Année de création : 1982

Le Hesbollah : Idéologie : chiite radical ; Établir une République islamique au Liban, éliminer Israël par la lutte armée, lutter contre l'hégémonie américaine et les forces capitalistes sauvages (selon les manifestes du Hezbollah de 1985 et 2009) 

Arsenal : 120 000 - 130 000 missiles, y compris des missiles à longue portée capables d'atteindre l'ensemble de l'État d'Israël !

Désignation en tant que groupe terroriste :

Toute l’organisation : la Ligue arabe, l'Argentine, Bahreïn, le Canada, la Colombie, l'Allemagne, le Conseil de coopération du Golfe, le Honduras, Israël, les Pays-Bas, le Paraguay, le Royaume-Uni et les États-Unis. 

l'Australie, l'Union européenne et la Nouvelle-Zélande.

 

Jdeclef 30/09/2020 15h46 CLP

L'exemple parfait de ces partis politiques qui ne servent plus à rien dans cette V eme république obsolète vieillissante !

 

Coignard – Groupe LREM à l'Assemblée : par ici l'armée mexicaine !

CHRONIQUE. La présentation du nouveau groupe majoritaire, autour de son nouveau président Christophe Castaner, fut un grand moment de bureaucratie.

C'est fait ! Ce mardi 29 septembre, le groupe LREM à l'Assemblée nationale a publié son organigramme. Moins les députés sont nombreux dans cette formation, plus les vice-présidents fleurissent. Ils sont désormais au nombre de cinq, moins bien placés dans l'ordre protocolaire toutefois que les deux présidentes déléguées, la première d'entre elles n'étant autre qu'Aurore Bergé, rivale malheureuse de Christophe Castaner pour succéder au malheureux Gilles Le Gendre. Un exécutif que l'on pourrait, par esprit de facilité, qualifier de pléthorique.

Mais ce n'est pas la seule curiosité de cette nouvelle organisation. Guillaume Vuilletet, ancien compagnon de route de François de Rugy, aujourd'hui député LREM du Val-d'Oise, a reçu à cette occasion une étonnante promotion. Il est désormais l'un des cinq vice-présidents du groupe auprès de Christophe Castaner. Certes, il n'est mentionné qu'en dernière place, mais c'est l'intitulé de sa fonction qui risque de le rendre célèbre. Il est, ce n'est pas une blague, « en charge de la coordination des coordinateurs ». On avait l'habitude de railler les galas pour les organisateurs de galas, mais cette fois, ce n'est pas une image, c'est une réalité très macronienne. Il faut, au sein du groupe qui a perdu la majorité absolue au Palais-Bourbon durant l'année écoulée, un « coordinateur des coordinateurs ». Ni Orwell ni Kafka n'avait osé !

L'anti-choc de simplification

Comme ses prédécesseurs, Emmanuel Macron avait promis, lors de son arrivée au pouvoir, un choc de simplification. Il entendait aussi réformer l'État, le transformer, même, pour le rendre plus efficace et moins bureaucratique. Une résolution aujourd'hui bien oubliée, jusque dans la gestion du groupe parlementaire élu dans son sillage aux législatives de 2017. Avec un président, deux présidentes déléguées, cinq vice-présidents, les titres ronflants s'y multiplient à mesure que les troupes s'éclaircissent.

Entre Macron et LREM, le divorce

Grâce au « vice-président en charge de la coordination des coordinateurs », il est certainement permis d'espérer que, lors de l'examen de projets de loi potentiellement diviseurs, comme celui sur les « séparatismes », le groupe LREM saura parler d'une seule voix

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Et la REM parti fantôme en est un exemple !

20 mois vont passer sans qu'on s'en aperçoive pour retrouver les mêmes de cette classe politique de bien-pensant se regardant le nombril !?

A moins peut-être que les français versatiles veuillent vraiment un changement qu'ils réclament tant à chaque élection et qui n'arrive jamais !

Dans tout cela depuis des lustres et surtout depuis trente ans, rien ne change pour ces politiciens élus, car malgré le rejet de la majorité de ceux-ci en 2017, ils repointent tous leurs nez espérant « revenir aux affaires comme on dit »!

Car tous connaissent bien les français lambda gogos qu’ils manœuvrent à leur guise, car ce peuple râleur, frondeur à ses heures est en fait, des conservateurs qui se disent souvent, on sait ce que l’on perd, pas ce qu’on va retrouver ?!

Et comme avec E.MACRON cela n’a pas été probant, c’est le moins qu’on puisse dire, certains reprendraient bien ceux d’avant, pas si mauvais !

C’est pourquoi la France s’enferme dans son immobilisme de rentière sans avenir usée par cette Veme république ringarde pseudo monarchique style ancien régime d’une autre époque !

Car revoir une révolution française de 1789 qui n’a pas résisté si longtemps puisqu’on a eu l’empire Napoléonien après, les français à moins d’une extrême pauvreté ou une récession style 1929 ne changeront rien dans leur façon de voter et choisir leurs élus à la tête de l’état !

Car les français moyens sont encore trop gâtés et si la crise sanitaire perdurait peut-être par la chute induite de l’économie, nos dirigeants alors devraient se méfier de cette majorité silencieuse qui pourrait se réveiller, car l’hiver qui arrive risque d’être un juge de paix !

Jdeclef 30/09/2020 13h21LP

mardi 29 septembre 2020

Qu'il ait 18 ou 25 ans ça change quoi pour ce criminel lâche ?!

 

Attaque à Paris : le suspect a reconnu avoir 25 ans, et non 18

Le procureur a indiqué que l'enquête avait été confiée à des juges d'instruction pour « tentative d'assassinats » terroristes.

L'auteur présumé de l'attaque au hachoir vendredi 25 décembre devant les ex-locaux de Charlie Hebdo à Paris a reconnu s'appeler Zaheer Hassan Mahmoud et être né au Pakistan en 1995, et non en 2002, a annoncé, mardi, le procureur national antiterroriste lors d'une conférence de presse.

Le suspect affirmait initialement s'appeler Hassan Ali et être né en 2002 au Pakistan, identité sous laquelle il avait bénéficié de l'aide sociale à l'enfance à son arrivée en France en 2018. Confronté à un document pakistanais retrouvé dans son téléphone, « il a finalement reconnu qu'il s'agissait de sa véritable identité et qu'il était âgé de 25 ans », a déclaré Jean-François Ricard, qui a confirmé que le suspect « était totalement inconnu de l'ensemble des services de renseignements ».

Cette reconnaissance de ce qui apparaît comme sa véritable identité, qui n'a pas encore été définitivement authentifiée auprès du Pakistan, est intervenue vers la fin de ses quatre-vingt-seize heures de garde à vue, entamée vendredi midi au moment de son interpellation place de la Bastille peu après les faits et terminée mardi en milieu de journée.

Placement en détention provisoire requis

Le procureur a également annoncé que l'auteur présumé des faits a été déféré mardi au tribunal de Paris en vue de sa mise en examen pour « tentative d'assassinats » terroristes et « association de malfaiteurs terroriste ». Le Parquet national antiterroriste, qui a ouvert cette information judiciaire au terme de sa garde à vue, a requis son placement en détention provisoire, a ajouté Jean-François Ricard lors de sa conférence de presse, en précisant que les cinq dernières personnes de son entourage placées en garde à vue ont été remises en liberté mardi sans charges retenues contre elles à ce stade. Au total, outre Zaheer Hassan Mahmoud, dix personnes ont été placées en garde à vue jusque-là dans cette enquête. Cinq avaient déjà été relâchées entre vendredi et lundi.

Parmi celles-ci, le « deuxième suspect », « Youssef », un Algérien de 33 ans placé en garde à vue vendredi midi et relâché le soir même, et qui a fait « preuve d'un grand courage en tentant d'attraper le mis en cause pour l'arrêter », selon le procureur antiterroriste.

Un acte prémédité

Jean-François Ricard a confirmé mardi que l'assaillant s'était dit « en colère » après avoir regardé « ces derniers jours des vidéos en provenance du Pakistan » concernant la publication et la republication récente par Charlie Hebdo des caricatures de Mahomet.

« Charlie » persécuté, la République et ses élites en crise

Le procureur a aussi insisté sur le fait que l'intéressé avait bien prémédité son acte : multiples repérages les jours précédant les faits, achat le matin même du hachoir, mais aussi d'un marteau et de bouteilles de white-spirit, car son « projet initial était d'entrer dans les locaux du journal, si nécessaire à l'aide du marteau, et de les incendier grâce aux bouteilles de white-spirit ». « En arrivant devant la rue, et en apercevant les victimes, il a pensé que ces dernières travaillaient pour [Charlie Hebdo] et a décidé de les attaquer », a affirmé le procureur.

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On se pose trop de questions en France, quand on les arrête, il faut les juger sévèrement sans essayer de leur trouver des circonstances attenantes !

Car ces terroristes islamiques illuminés fanatisés n'ont aucun respect de la vie humaine puisqu'ils tuent n'importe qui n'importe où tout être humain qui ne respecte pas leurs dogmes religieux moyenâgeux !

Et voudraient en plus imposer leur religion extrémiste sans tolérance des autres !?

Pour supplanter la religion ancienne de 2000 ans d'un pays qui les accueille avec une culture forcement différente ! 

En ce qui concerne l’âge il n'était pas mineur de toute façon pour être par exemple pour être militaire, moi quand j'ai fait mon service j'avais 19 ans et la majorité était à 21 ans !

Cessons cette hypocrisie de la majorité des jeunes et de notre bienpensante donneuse de leçons hypocrite très en vogue chez nos dirigeants !

Il n'y a pas d’âge pour des déséquilibrés comme aiment les appeler nos autorités dirigeantes !

Jdeclef 29/09/2020 18h38

La Turquie et surtout son président devient dangereux il serait temps dans le stopper !

 

« Après la Syrie et la Libye, la Turquie veut ouvrir un troisième front dans le Caucase »

ENTRETIEN. Gaïdz Minassian, enseignant à Sciences Po et spécialiste du Caucase, expose les raisons de la nouvelle flambée de violence dans le Haut-Karabakh.

Un conflit vieux de trois décennies embrase à nouveau le Caucase. L'Azerbaïdjan et les séparatistes arméniens du Haut-Karabakh s'affrontent à l'artillerie lourde. Ces combats, les plus meurtriers depuis 2016, ont fait déjà au moins 70 tués dans les deux camps.

À l'origine de la discorde, la volonté de Bakou de mettre la main sur la région montagneuse du Haut-Karabakh, majoritairement peuplée d'Arméniens et ayant fait sécession de l'Azerbaïdjan en 1991, au moment de la dislocation de l'ex-URSS. Face à la menace, Erevan a décrété la mobilisation générale.

Derrière les belligérants, la guerre met aussi en présence deux puissances : la Turquie, alliée au « frère » turcophone azerbaïdjanais et qui l'encourage à « prendre les choses en main ». Et la Russie, soutien de l'Arménie, qui appelle au cessez-le-feu « sans déterminer qui a tort et qui a raison ». Gaïdz Minassian, enseignant à Sciences Po, spécialiste de la région et auteur de « Les sentiers de la victoire » (édition: Passé composé), décrypte les rapports de force.

Le Point : Comment voyez-vous l'évolution de la situation ?

Gaïdz Minassian : Cette fois, je pense que les combats vont durer, car un nouvel acteur entre en scène : la Turquie. Or ce pays a l'intention d'ouvrir un troisième front dans le Caucase après la Syrie et la Libye. Le but de la Turquie est de provoquer le chaos dans la région avec l'envoi déjà confirmé de djihadistes, comme ils l'ont fait en Libye. À ses yeux, cette partie du Caucase appartient à l'ancien Empire ottoman, tout comme d'ailleurs la Méditerranée orientale sur laquelle Ankara a des visées.

Gernelle – Le programme national islamiste d'Erdogan

Quelle est la position de la Russie ?

La Russie est embarrassée, car les événements se déroulent sur des terres anciennement soviétiques où elle entend préserver ses intérêts. Deux solutions se présentent à elle. Soit elle joue la carte anti-occidentale et décide de coopérer avec la Turquie ; soit elle se rapproche du groupe de Minsk chargé de trouver une solution avec la France et les États-Unis et dans ce cas, elle s'oppose frontalement à la Turquie.

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Car il fait penser à l'expansionnisme d'un pays et de son dictateur qui dans les années 30 a voulu mettre à sa botte l'Europe et dont on a mis 5 ans de guerre mondiale à se débarrasser après des millions de morts et des horreurs sans noms !

Et indirectement après une paix militaire précaire en 1952 a créé à l'est un rideau de fer en 1961 entre les démocraties européennes et les pays autoritaires de l'ex URSS qui ont mis une guerre froide en place jusqu’à la chute du mur de BERLIN en 1989 et la réunification des deux Allemagne OUEST et EST !

Avec l'OTAN pour s'en protéger, mais la Turquie a été incluse dans ce dispositif car frontalière des ex républiques de l’ex URSS devenant fédération de Russie pour certaines jusqu'à ce jour et surarmée par les USA pour protéger l'Europe occidentale faisant de l’armée turque une puissance militaire importante !

On aurait dû faire sortir la Turquie de l’OTAN, surtout avec leur président nostalgique de l’ex empire Ottoman,1299/1923 car perdu et dissous en 1920 Guerre d'indépendance (1919-1923) : fin de l'Empire et Traité de Lausanne et création de la Turquie moderne !

Et par le fait qu’il veut faire une république islamique de son pays !

L’histoire n’est qu’un éternel recommencement et les européens et occidentaux devraient se souvenir et réagir rapidement avant qu’il ne soit trop tard en arrêtant sur sa lancée ce personnage vindicatif qui se prend pour un sultan Ottoman d’une autre époque !

Jdeclef 29/09/2020 14h55

Ça aurait été étonnant qu'E.MACRON ne se mêle pas de ce problème d'élection contestée dans ce pays de Biélorussie ?!

 

Biélorussie : Emmanuel Macron promet son aide à la médiation

Le président français a rencontré la candidate malheureuse à la présidence biélorusse et représentante de l'opposition Svetlana Tikhanovskaïa.

« Nous ferons de notre mieux en tant qu'Européens pour aider à la médiation. ». C'est ce qu'a déclaré, mardi 29 septembre, Emmanuel Macron après avoir rencontré l'opposante biélorusse Svetlana Tikhanovskaïa, qui lui a demandé une aide à la médiation dans la crise politique qui secoue la Biélorussie depuis la réélection contestée d'Alexandre Loukachenko, après avoir passé vingt-six ans au pouvoir. Emmanuel Macron a précisé qu'il comptait « revenir à la médiation de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) afin de progresser », organisation qui a proposé son aide à négocier la fin de la crise au Bélarus.

De son côté, Svetlana Tikhanovskaïa a déclaré que le chef de l'État français « a promis de tout faire pour aider à la médiation de cette crise politique dans (son) pays ». Cette rencontre était la plus importante de l'opposante depuis l'élection présidentielle du 9 août, dont elle réclame la victoire face à Alexandre Loukachenko. L'opposante a déjà rencontré les ministres des Affaires étrangères de l'UE et les dirigeants de la Pologne et de la Lituanie, deux États européens voisins du Bélarus qui soutiennent l'opposition contre le règne de Loukachenko.

Tikhanovskaïa, invitée au Parlement français

Emmanuel Macron « soutient l'idée de la médiation parce qu'il comprend que des pays puissants doivent être impliqués pour entamer des négociations avec Loukachenko. Il est prêt à apporter son aide sur ce point », a déclaré l'opposante biélorusse. « Je pense qu'il parlera du Bélarus avec la partie russe et qu'il fera tout son possible pour impliquer la Russie dans ces négociations », a-t-elle ajouté. Selon elle, la crise devrait être résolue « aussitôt que possible » et de nouvelles élections libres et équitables devraient être organisées avant la fin de l'année.

Biélorussie : Loukachenko, le caillou dans la chaussure de Poutine

Les manifestations de masse qui se poursuivent depuis l'élection sont violemment réprimées par le régime. Selon Svetlana Tikhanovskaïa, réfugiée en Lituanie depuis le vote, Emmanuel Macron a promis de « faire tout son possible pour libérer tous les prisonniers politiques » au Bélarus.« Pour Emmanuel Macron, ce n'est pas seulement de l'intérêt politique, il y voit de l'intérêt en tant qu'être humain car nos droits sont bafoués, nous avons une dictature. Il comprend les gens qui se battent pour leurs droits », a-t-elle ajouté. Elle a aussi déclaré à l'Agence France-Presse qu'elle avait accepté une invitation à s'exprimer devant le Parlement français. Elle sera auditionnée par la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale le 7 octobre à 11 h 30, à distance ou en présentiel, a-t-on indiqué à la commission, qui l'a invitée.

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Alors que l'Europe s'en occupe semble-t-il ?!

Mais pour qui se prend-il n'y a-t-il pas quelques-uns de ses interlocuteurs internationaux qui puissent lui dire, mais de quoi vous mêlez vous ?!

Alors que pour les problèmes divers et nombreux que la France et les français subissent dans leur quotidien, il botte en touche ?!

Il est incurable, et a la tête qui enfle se prenant pour le sauveur du monde, ce donneur de leçons bien-pensant utopique !

C’est préoccupant, il fait exclusivement de la politique internationale en se dispersant tout azimut pour se montrer à la une des médias au détriment de son propre pays ?!

Jdeclef 29/09/2020 13h28

Le brexit c'est comme le serpent de mer du lac loc ness écossais on croit le voir mais c'est un fantôme, Il n'existe pas ?!

 

Brexit : une semaine décisive (une de plus !)

VIDÉO. Le négociateur britannique David Frost est attendu à Bruxelles. Après les crispations sur l'Irlande du Nord, l'UE espère un climat de détente.

L'Union européenne s'attend à ce que ce nouveau round de négociation, qui s'ouvre mardi 29 septembre, soit un moment pivot : soit le Royaume-Uni entame un vrai dialogue constructif et donne des gages de bonne volonté, soit la négociation s'oriente vers un échec et la perspective du « no deal » devient encore un peu plus probable. David Frost, le négociateur britannique, est attendu par son homologue Michel Barnier et ses équipes à Bruxelles, mardi. Les quatre sujets de blocage sont sur la table : la pêche, les règles de compétition équitable (le « level playing field », dont les aides d'État), la coopération judiciaire et policière, la gouvernance générale de l'accord (procédure de résolution des conflits)…

Ces dernières semaines, Boris Johnson a tenté un coup en introduisant un projet de loi qui ne s'interdit pas de réécrire unilatéralement une partie du protocole sur l'Irlande du Nord (attaché à l'accord de retrait), et ce, en violation du droit international. Pour Bruxelles, cette tentative relève du bluff et les 27 ont décidé de ne pas entrer dans l'escalade. Michel Barnier a bien pris soin de dissocier les deux branches des discussions avec les Britanniques : d'un côté la mise en œuvre de l'accord de retrait (sous la responsabilité du commissaire européen Maros Sefcovic), de l'autre les pourparlers sur les relations futures. Il fallait éviter de tomber dans le piège d'être à l'origine de la rupture dont Johnson aurait tiré parti sur le plan intérieur en rejetant la faute sur l'UE (le fameux « blame game »).

Le marécage de la Chambre des lords

D'abord, cette loi sur le marché intérieur – condamnée également aux États-Unis – n'est pas promulguée. Tant qu'elle n'a aucune existence juridique effective, l'UE ne la prend pas en considération. Le projet de loi devrait être adopté par la Chambre des communes, puis il passera chez les lords, où l'on s'attend à du filibustering (obstruction parlementaire). Si bien que le projet de loi sur le marché intérieur pourrait traîner jusqu'en novembre en s'enlisant dans le marécage de la Chambre des lords. C'est en tout cas les prévisions des proches de la négociation à Bruxelles.

Brexit : l'avertissement de Joe Biden à Boris Johnson

La date a son importance, car, entre-temps, Boris Johnson et les 27 ont un rendez-vous officiel à l'occasion d'un Conseil européen prévu mi-octobre. Autrement dit, la loi sur le marché intérieur pourrait encore être en suspens au moment où la négociation sur les relations futures doit se boucler au plus haut niveau. On pourra sans doute encore tirer sur les délais jusqu'à la fin octobre si des avancées remarquables sont constatées. Mais guère au-delà, assure-t-on à Bruxelles, dans la mesure où l'accord sur les relations futures doit ensuite être ratifié par l'ensemble des parlements européens avant le 31 décembre 2020.

Un « filet de sécurité »

À Londres, le ton a un peu changé. Boris Johnson était parti bille en tête en justifiant cette mesure législative en réponse à une prétendue menace de « blocus alimentaire » de l'Irlande du Nord par l'UE. Son ministre d'État au bureau du cabinet, Michael Gove, a arrondi les angles dans un entretien accordé à Sky, lundi 28 septembre : « Certains membres de l'Union européenne se sont inquiétés des clauses que nous avons insérées dans le projet de loi britannique sur le marché intérieur, mais j'ai pu souligner aujourd'hui – comme je l'ai fait à la Chambre des communes – que ces clauses constituent un filet de sécurité. » Donc on ne les utiliserait qu'au cas où… Et encore, le projet a déjà été amendé sous la pression des députés conservateurs : à l'origine, le gouvernement s'accordait seul le pouvoir de suspendre des dispositions du protocole sur l'Irlande du Nord ; désormais, la décision reviendrait au Parlement britannique.

Gérard Araud – Brexit : mais que nous réserve Boris Johnson ?

Sur l'Irlande du Nord, l'UE avait réclamé d'urgence une réunion du « comité mixte » chargée de mettre en œuvre l'accord de retrait afin d'examiner la situation. Maros Sefcovic et Michael Gove, les deux coprésidents, ont pu échanger lundi. Les travaux ont pris beaucoup de retard, la partie britannique n'étant pas assez diligente aux yeux de Bruxelles à moins d'une centaine de jours du 1er janvier 2021. « Il reste beaucoup à faire, souligne Maros Sefcovic. J'ai donc rappelé qu'il était urgent que le Royaume-Uni accélère ses travaux sur tous les aspects du protocole, notamment en ce qui concerne les contrôles sanitaires et phytosanitaires, les systèmes informatiques dans le domaine douanier et l'enregistrement des opérateurs économiques nord-irlandais aux fins de la taxe sur la valeur ajoutée. […] J'ai réitéré la demande de l'UE de retirer les parties litigieuses du projet de loi sur le marché intérieur avant la fin du mois de septembre. Nous maintenons que le projet de loi, s'il est adopté sous sa forme actuelle, constituerait une violation extrêmement grave du protocole, élément essentiel de l'accord de retrait, et du droit international. »

L'Irlande du Nord, le crash-test de Boris Johnson

Et après l'ultimatum, on fait quoi ?

L'ultimatum de l'UE va tomber mercredi soir… « Ces clauses seront maintenues dans le projet de loi », a répondu Michael Gove, opposant ainsi une fin de non-recevoir. Logique : si Johnson a tendu la situation, ce n'est pas pour se dégonfler quinze jours avant le dernier round. Il se doit d'aller jusqu'aux limites. En revanche, les autorités bruxelloises seront bien embarrassées jeudi 1er octobre quand elles constateront que le projet de loi litigieux n'a pas été retiré et qu'elles devront répondre à cet affront. La prochaine réunion du « comité mixte » devrait se tenir début octobre au plus tard. Une nouvelle occasion de calmer le jeu si, entre-temps, Michel Barnier et David Frost accomplissent enfin quelques progrès.

Brexit : pourquoi Michel Barnier perd son temps avec Boris Johnson

Mais il ne faut pas se faire d'illusions, les marges de manœuvre sont faibles. L'UE, en posant comme préalable à tout partenariat futur un accord sur la pêche, ne peut pas se dédire. Le Royaume-Uni, qui revendique sa pleine souveraineté sur sa zone économique exclusive, obtiendra, de toute façon, une nette diminution des quotas de pêche européens dans sa sphère. En revanche, sur les règles de concurrence équitable, les Européens ne peuvent rien lâcher. Si l'on veut étroitement commercer au sein du marché unique sans quota ni tarif douanier, l'adoption de règles de concurrence équivalentes à celles de l'Union est un passage obligé. Les Suisses, dans une négociation parallèle, sont dans la même situation : aucun accord n'est possible sans acceptation des mêmes règles du jeu ou leur équivalent (écrire différemment les mêmes règles). C'est une question de loyauté et de protection des intérêts de l'Union, faute de quoi les États membres se verraient appliquer des normes, des contraintes dont s'affranchiraient les voisins hors l'Union, qui seraient dès lors mieux traités… Impensable ! Donc il n'y a rien à négocier sur ce plan. L'UE ne peut pas transiger sur les principes.

Brexit : Boris Johnson préparait son coup depuis… février !

La coopération judiciaire et policière nécessite que la protection des données personnelles soit là aussi équivalente. Enfin, il faut s'accorder sur un mécanisme de résolution des conflits qui soit juste, transparent, équitable, qui donne l'assurance aux parties qu'en cas d'infraction la partie lésée puisse légitimement obtenir une réparation du préjudice subi. La question de l'interprétation des règles européennes – jusqu'ici l'apanage de la Cour de justice de l'UE – est au centre des débats entre Michel Barnier et David Frost. Et nul ne veut lâcher.

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Une sacrée escroquerie internationale alimentée par le 1er ministre anglais Boris JOHNSON qui fit durer cette mauvaise histoire déclenchée par l'Angleterre ne l'oublions pas !

Alors il serait temps que l'Union Européenne mette au pas « la perfide ALBION » une fois pour toute !

Cela n'a que trop duré, si les anglais sont fermés comme des huitres à toutes négociations, il faut leur dire non, ça suffit, car ils sont trop exigeants en voulant le « beurre et l'argent du beurre », ils ont été trop habitués à avoir cela, quand il faisait partie de l'U.E., qu'ils prennent leur responsabilité, car c'est de leur faute de vouloir quitter l'Europe !

Jdeclef 29/09/2020 12h42

Ce petit Monsieur qui se prend pour un monarque sans couronne de l'ancien régime : (« qui se sent morveux se mouche » ) excuser ma trivialité !

 

Attaque à Paris : Emmanuel Macron explique son silence

« Le président de la République n'a pas vocation à commenter mais à agir » ?! 

A répondu le chef de l'État après l'attaque du 25 septembre.

C'est un silence qui a interloqué. Emmanuel Macron n'a pas officiellement réagi après l'attaque au hachoir qui a fait deux blessés à Paris vendredi 25 septembre. Interrogé à ce sujet lors d'une conférence de presse à Vilnius, où il a entamé lundi une visite de trois jours en Lituanie et en Lettonie, le président de la République a balayé les critiques.

« Le président de la République n'a pas vocation à commenter mais à agir », a souligné Emmanuel Macron, pour qui « il ne faut pas juger l'engagement du président de la République à hauteur de tweets ». Le chef de l'État a précisé que, « dans les heures qui ont suivi » l'identification des deux personnes blessées dans l'attaque, ses « proches collaborateurs ont pu prendre attache » avec leurs familles. « J'ai ensuite laissé l'enquête se mener et le gouvernement intervenir, je pense que c'est comme ça qu'il fallait faire les choses, mon rôle n'est pas de me précipiter et de participer à toutes les réactions », a-t-il poursuivi.

« Comme à chaque fois, nous en tirerons les conséquences »

Emmanuel Macron a assuré de son « plein soutien aux victimes et de la volonté déterminée que nous continuons d'agir et de nous mobiliser, comme nous le faisons depuis le premier jour contre le terrorisme sous toutes ses formes ». « Je reste très prudent, parce que l'enquête est en cours (…), mais les faits établis ces dernières heures nous permettent de dire que l'individu qui a été appréhendé dans les heures qui ont suivi avait bien des visées terroristes islamistes », a-t-il ajouté, souhaitant que « l'enquête se mène le plus rapidement possible ».

Attaque visant « Charlie Hebdo » : l'étrange silence d'Emmanuel Macron

« Comme à chaque fois, nous en tirerons les conséquences », a-t-il encore dit, rappelant que « plus de 32 attentats » ont été déjoués depuis trois ans « par le travail de nos services de renseignement, de notre justice, de nos forces de sécurité intérieure ». Trois jours après l'attaque, les enquêteurs tentaient lundi de faire la lumière sur la véritable identité de l'assaillant présumé, dont la garde à vue a été prolongée et qui s'est présenté jusqu'à présent comme un Pakistanais de 18 ans. Cet homme a reconnu avoir blessé gravement vendredi deux salariés de l'agence de presse Premières Lignes en pensant s'en prendre à des journalistes de Charlie Hebdo.

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Il se réfugie derrière sa fonction, car cela l’arrange, mais il oublie qu’il a des comptes à rendre au peuple qui l’a élu, puisque semble-t-il possède trop de pouvoir que lui confère cette V eme république obsolète pseudo monarchique qui ne correspond plus à ce que les français attendent de celle-ci et de ses institutions et ses dirigeants !

Reprenons sa réponse : « il n'a pas vocation à commenter mais à agir ; Comme à chaque fois, nous en tirerons les conséquences » !

Si cela avait été le cas, ces criminels y regarderaient à deux fois avant de commettre de tels attentats lâches en étant sanctionnés plus sévèrement par une justice laxiste et un code pénal inadapté !?

Car les problèmes qui perdurent et pourrissent la vie des français lambda, il les connait : le salafisme issu d’une religion intolérante connue qui s’infiltre dans la société française, le communautarisme dans des citées connues devenues zones de non droits au nombre de 800 selon les statistiques dont on nous abreuvent ou l’état n’entre plus et ne fait pas le ménage ou certains font leurs lois comme la charia connue et ou les trafics délinquance divers sont légions et bien sur l’augmentation galopante d’une immigration irrégulière et dont on n’est pas capable de refouler les migrants entrants illégalement et bien sur des apprentis terroristes qui se cachent dans ces lieux parmi leur population !

Quand on ajoute la politique de bien-pensant que Mr le président pratique en faisant du politiquement correct hypocrite « la cour est pleine » !

Et disons-le tout net Mr MACRON n’est pas à la hauteur de sa tache et de sa fonction ce n’est qu’un bavard qui s’écoute parler et qui se moque des français d’en bas qu’il n’aime pas, il ne mérite pas d’être notre président !

Quand il ouvre la bouche c’est pour dire des inepties ?!

Tant pis pour ceux qui y croient encore !?

Jdeclef 29/09/2020 11h06

lundi 28 septembre 2020

Mr DUPOND-MORETTI fera comme d'autres avant lui, peu de vrai changement !

 

Éric Dupond-Moretti veut « une justice filmée et diffusée »

VIDÉO. Le ministre de la Justice déclare dans « Le Parisien » qu'il souhaite porter une réforme sur le sujet d'ici la fin du quinquennat d'Emmanuel Macron.

Les procès filmés, qui restent une exception en France, pourraient devenir la norme à l'avenir. Dans une interview accordée à des lecteurs du Parisien, le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti se déclare « pour que la justice soit désormais totalement filmée et diffusée ». Selon lui, « la justice doit se montrer aux Français ». « La publicité des débats est une garantie démocratique. On y réfléchit avec mes services. J'aimerais porter cela avant la fin du quinquennat », ajoute-t-il.

Autre annonce, concernant les violences conjugales : dans le prochain budget de la justice, en hausse de 8 % en 2021, « 20 millions d'euros seront consacrés à la lutte contre les violences conjugales par une amélioration de la prise en charge médico-légale », déclare le ministre.

Quid des djihadistes français retenus en Syrie ?

Par ailleurs, Éric Dupond-Moretti a indiqué qu'il souhaite, durant le temps qu'il occupera le fauteuil de ministre, changer la vision qu'ont les Français de la prison. « Si j'envisage de laisser une trace dans ce ministère, c'est aussi pour que l'on parle de la prison de façon différente, de façon plus intelligente. J'exprimerai bientôt le détail de ma politique pour aller plus loin sur ce sujet », a-t-il déclaré, revenant sur les 13 000 détenus libérés ces derniers mois.

Coignard – Dupond-Moretti, mauvais camarade

Concernant le rapatriement des djihadistes français actuellement emprisonnés en Syrie, Éric Dupond-Moretti a pu exprimer par le passé une opinion semblable à celle de sa prédécesseure place Vendôme, Nicole Belloubet. « Il faut les juger en France. C'est ce que je disais quand j'étais avocat », déclare-t-il au Parisien. Une position que ne partage pas le ministère des Affaires étrangères. « Dans un gouvernement, on n'est pas seul et aujourd'hui, j'appartiens à une équipe gouvernementale. On discute de ces sujets ensemble et de la question des enfants. Ce n'est pas encore tranché », a ajouté Éric Dupond-Moretti.

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Dans notre justice poussiéreuse vétuste qui a besoin d'une réforme en profondeur, car il ne fait que passer comme d’autres avant lui !

Et surtout, il est nommé par le pouvoir en place et c’est là que le bas blesse !

Alors filmer les procès c'est déjà du théâtre, cela fera du cinéma en plus car cet ex avocat est déjà un théâtreux et a déjà fait du cinéma dans des séries télé!

Il faut moderniser notre justice d’un autre âge pas seulement en la mettant des nouveaux locaux comme ce nouveau palais de justice, mais aussi en secouant la poussière qui se dépose sur les fonctionnaires ronds de cuir de son ministère et en boostant son informatique avec du matériel récent pour communiquer rapidement sans erreur pour évier de relâcher par erreur certains détenus pour vice de forme !

Parallèlement il faut dissocier la pénitentiaire du ministère de la justice en y mettant un secrétaire d’état dépendant du ministère de l’intérieur, car la justice ne doit faire que de la justice, pas du gardiennage de condamnés, les prisons ou établissements pénitenciers doivent être indépendant de celle-ci et avoir un budget dédié !

Il faut surtout que les délais de justice entre les différentes cours de justice d’appels, cassation etc. soit réduit pour éviter que les procès trainent en longueur surtout quand il s’agit de justiciables politiciens élus qui profitent trop d’arguties judiciaires pour échapper trop longtemps aux jugements et les engorgements des tribunaux !

Et revoir les élections des juges et procureurs plus démocratiquement que par des castes d’un autre âge qui soient vraiment indépendant du pouvoir !

Surtout que notre justice ne soit plus laxiste en revoyant notre code pénal pas assez sévère, car tout le monde s’en plaint !

Mais ne rêvons pas dans notre V eme république, elle-même obsolète rien ne bougera vraiment pour cette administration vieillissante !

Car les ministres de tous bords passent et rien ne bouge et même certains suppriment ce qui a été fait avant par leurs prédécesseurs !

Jdeclef 28/09/202014h49

On est tellement habitué à supporter ses discours alambiqués divers que qu'en il ne dit rien :

 

Attaque visant « Charlie Hebdo » : l'étrange silence d'Emmanuel Macron

Le chef de l'État ne s'est toujours pas exprimé publiquement après l'attaque qui a fait deux blessés devant les anciens locaux du journal satirique, explique BFM TV.

C'est un silence qui pèse lourd et qui dure depuis maintenant plus de 48 heures. Après l'attaque au couteau qui a fait deux blessés devant les anciens locaux de Charlie Hebdo, Emmanuel Macron n'a toujours pas fait de déclaration officielle. Habitué à réagir rapidement après un événement qui se déroule en France ou à l'étranger, que ce soit via un tweet ou un communiqué officiel transmis par l'Élysée, le chef de l'État se garde pour l'instant de réagir.

Selon l'entourage du président de la République, interrogé par BFM TV, il n'y aurait là aucune forme de détachement de la part d'Emmanuel Macron. « Il suit la situation au plus près depuis la première minute », affirme l'un de ses proches à BFM TV. Un « pilotage en temps réel depuis l'Élysée en coordination avec le ministre de l'Intérieur et le Premier ministre » aurait été mis en place.

Macron a contacté les familles des victimes

Du côté de l'Élysée, on justifie cette absence de déclaration publique par le fait que le président de la République n'a pas souhaité s'étendre sur le sujet et a gardé ses mots pour les familles des victimes. Un coup de téléphone aurait été passé afin de leur afficher son « soutien », sa « solidarité » et leur assurer de son « émotion ». Lors de l'attentat à la préfecture de police de Paris en octobre 2019, qui avait fait quatre morts, Emmanuel Macron s'était rendu sur place « pour témoigner son soutien et sa solidarité à l'ensemble du personnel ».

Attentats de janvier 2015 : à la barre, la vie « normale » des époux Kouachi

Selon son entourage, cité par BFM TV, il « ne souhaite pas tomber dans la tyrannie de l'immédiateté, dans la tyrannie du tweet facile ». Le chef de l'État ne compte cependant pas rester muet. Lors de son discours très attendu sur le séparatisme qu'il doit prononcer vendredi, Emmanuel Macron s'exprimera pour la première fois sur l'attaque survenue dans le 11e arrondissement. L'opposition avait dénoncé ce week-end l'inaction du président de la République. « Le président de la République ne peut pas continuer à se taire sur l'attentat islamiste d'hier. Pendant qu'il alimente un débat sémantique sur les séparatismes, l'islam radical continue de faire des victimes. Il est temps de sortir du silence et de l'inaction », avait lancé sur Twitter le sénateur LR Bruno Retailleau.

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Sur ce type de sujet touchant la vie des français lambda dans leur quotidien qu’on s’étonne de son silence :

Il doit considérer que c’est un fait divers de plus dans notre société qui va mal, et qu’il faut vivre avec comme avec d’autres, la crise sanitaire et économique par exemple !

Et que commenter sur cet attentat marginal de plus fait partie d’un tout dont il n’a pas de solution pour notre pays !?

Alors il préfère donner son avis et des leçons à l’international notamment au LIBAN ou faire le redresseur de tord en méditerranée pour ce conflit larvé entre la Turquie et la Grèce, voire dans les opérations extérieures sans fin ou la France qui est engagée au MALI et régions sahéliennes depuis des années !

Et dernièrement avec l’affaire de ce conflit au Karabakh de ces pays l’Arménie et l’Azerbaidjan avec encore la Turquie impliquée indirectement et son président vindicatif qui ne se cache pas d’insulter l’Europe et la France ?!

Croyant peut-être que les belligérants l’écoutent Mr MACRON qui se prend pour un ministre des affaires étrangères ce n’est pas ce que les français lui demandent ?!

Car ne pouvant rien faire pour la France et ses problèmes sérieux divers et variés dans la politique intérieure de notre pays, croyant peut-être que cela ne suffit pas, car n’ayant pas de solutions fiables semble-t-il ?!

Alors pour Mr le président MACRON excusons nous de nous poser la question à quoi sert-il, car il a été élu pour gérer et diriger la France et ses habitants qui souffrent en ce moment et cela ne va pas et ne s’améliorant pas !?

Peut-être qu’il est préoccupé par son éventuelle réélection en 2022, mais là, il s’y prend mal ?!

Jdeclef 28/09/2020 10h15

dimanche 27 septembre 2020

Que MACRON cesse de vouloir jouer au redresseur de tort !

 

Combats au Karabakh : l'UE appelle au « retour immédiat des négociations »

Ce dimanche 27 septembre, des combats ont éclaté entre les forces azerbaïdjanaises et la région séparatiste du Nagorny-Karabakh soutenue par Erevan.

Un conflit que Paris et Bruxelles condamnent. La France s'est dite dimanche 27 septembre « vivement préoccupée par les affrontements d'ampleur en cours au Haut-Karabakh », appelant les belligérants à « cesser immédiatement les hostilités et à reprendre le dialogue ». Dans un communiqué publié par le ministère des Affaires étrangères, Paris, « avec ses partenaires russe et américain, réitère son engagement en vue de parvenir à un règlement négocié et durable du conflit » dans cette région, « dans le respect du droit international ».

De son côté, le président du Conseil européen, institution représentant les États membres de l'UE, Charles Michel, a appelé dimanche à la cessation des hostilités entre les forces azerbaïdjanaises et les séparatistes de la région du Nagorny-Karabakh, et au « retour immédiat aux négociations ». « Les informations concernant les hostilités au Nagorny-Karabakh sont la source des plus graves inquiétudes », a indiqué Charles Michel sur Twitter. « L'action militaire doit cesser, de toute urgence, pour empêcher toute escalade (de la violence). Un retour immédiat aux négociations, sans condition préalable, est la seule voie possible. »

Une femme et un enfant tués, selon Erevan

L'Arménie et l'Azerbaïdjan sont au bord de la guerre dimanche, des combats meurtriers ayant éclaté entre les forces azerbaïdjanaises et la région séparatiste du Nagorny-Karabakh soutenue par Erevan. Les belligérants ont fait état de victimes militaires et civiles. Selon la partie arménienne, une femme et un enfant ont été tués. L'Azerbaïdjan a annoncé avoir conquis une demi-douzaine de villages sous contrôle arménien lors de combats le long de la ligne de front, informations démenties par son ennemi arménien.

Un conflit majeur impliquant l'Azerbaïdjan et l'Arménie pourrait entraîner l'intervention des puissances en concurrence dans la région du Caucase, la Russie et la Turquie. Le conflit autour du Nagorny-Karabakh, qui a fait sécession de l'Azerbaïdjan avec le soutien arménien, nourrit les tensions régionales depuis trente ans.

Jérusalem : la petite Arménie

Après l'annonce des premiers combats dimanche matin, le Premier ministre arménien, Nikol Pachinian, a décrété « la mobilisation générale » et l'instauration de « la loi martiale », tout comme les autorités du Karabakh. « Soutenons fermement notre État, notre armée (…) et nous allons vaincre. Longue vie à la glorieuse armée arménienne ! » a-t-il écrit sur Facebook. Le président azerbaïdjanais, Ilham Aliev, a lui aussi promis la victoire.

« L'armée azerbaïdjanaise combat aujourd'hui sur son territoire, défend son intégrité territoriale, porte des coups dévastateurs à l'ennemi. Notre cause est juste et nous allons vaincre », a-t-il dit, dans un discours à la télévision. Moscou a appelé dès dimanche matin « à un cessez-le-feu immédiat » et à des pourparlers, alors que les deux camps se rejettent la responsabilité des hostilités.

La France, médiatrice du conflit avec la Russie et les États-Unis dans le cadre du Groupe de Minsk, a aussi appelé à « cesser immédiatement les hostilités ». Un porte-parole du président turc Recep Tayyip Erdogan, allié traditionnel de Bakou, a lui dénoncé sur Twitter une « attaque de l'Arménie ». Le ministère azerbaïdjanais de la Défense a indiqué pour sa part avoir lancé une « contre-offensive sur toute la ligne de front » du Karabakh, afin de « mettre fin à des activités militaires des forces armées de l'Arménie ».

Victimes civiles et militaires

« Des morts et des blessés ont été rapportés parmi les civils et les militaires », a ajouté la présidence azerbaïdjanaise, tandis que le médiateur public du Karabakh a déclaré qu'il y avait « des victimes civiles ». Aucun bilan chiffré n'a été avancé, tandis que le ministère de la Défense du Karabakh a dit avoir infligé « de lourdes pertes » à l'adversaire. L'Azerbaïdjan avait auparavant indiqué qu'un de ses hélicoptères avait été abattu, mais que son équipage était sain et sauf. Il affirme avoir détruit douze batteries anti-aériennes.

« Tôt ce matin, la partie azerbaïdjanaise a lancé des bombardements (…) nous appelons la population à se mettre à l'abri », a pour sa part indiqué le porte-parole de la présidence séparatiste sur sa page Facebook. Le Nagorny-Karabakh est une région sécessionniste d'Azerbaïdjan, peuplée majoritairement d'Arméniens et soutenue par l'Arménie.

Trente ans de conflit

Elle a été le théâtre d'une guerre au début des années 1990 qui a fait 30 000 morts, et depuis lors, les autorités azerbaïdjanaises veulent en reprendre le contrôle, par la force si nécessaire. Des pourparlers de paix sont dans l'impasse depuis de longues années. Des combats opposent régulièrement séparatistes et Azerbaïdjanais, mais aussi Erevan et Bakou. En 2016, de graves heurts avaient déjà failli dégénérer en guerre au Karabakh, et des combats meurtriers ont aussi opposé en juillet 2020 Arméniens et Azerbaïdjanais à leur frontière nord.

Manifestations en Arménie : « Il ne faut pas y voir un enjeu géopolitique »

Les deux camps ont l'habitude de se rejeter la responsabilité de ces flambées de violence. Le président Aliev avait menacé vendredi l'Arménie de représailles, en raison de son « comportement agressif », et accusé Erevan de « faire échouer à dessein les négociations » de paix sur le Karabakh. Il avait estimé que l'Arménie préparait des « dizaines de milliers d'hommes » pour attaquer l'Azerbaïdjan.

Bakou a profité de ses réserves immenses de pétrole pour dépenser sans compter en matière d'armement. L'Azerbaïdjan peut aussi compter sur le soutien du président turc, qui considère l'Arménie comme une menace pour la stabilité du Caucase. L'Arménie, bien plus pauvre, est par contre plus proche de la Russie, qui y dispose d'une base militaire. Erevan appartient aussi à une alliance politico-militaire dirigée par Moscou, l'Organisation du traité de sécurité collective. Le Kremlin, qui se positionne en arbitre régional, livre des armes aux deux pays.

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Cette manie de vouloir se mêler de ce qui ne nous regarde pas avec notre président bien-pensant donneur de leçon, la France n'a qu'à laisser la Russie s'occuper de ce conflit surtout si elle fournit les deux belligérants en armements en plus !

Il faudrait enfin que MACRON comprenne il y a déjà bien assez à faire sur notre territoire national ou dans des opérations extérieures africaines sans compter l'affaire gréco turque ou notre marine est impliquée !

Et bien sûr le LIBAN cerise sur un gâteau empoisonné !

Il faut que notre président arrête de se disperser, la France n'a pas à faire le gendarme dans ce monde instable sans oublier ce Moyen-Orient avec en fond de terrorisme islamique qui est bien toujours présent !

Mais le défaut de nos derniers présidents est souvent de vouloir se prendre pour des petits napoléons ou césars à petit pied !?

Alors que la situation nationale intérieure de la France n’est pas florissante loin s’en faut !

Jdeclef 27/09/2020 16h46

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Il est facile pour un ministre de l'intérieur de faire ce genre de réflexion à postériori !?

 

Darmanin reconnaît que les dirigeants ont « peut-être » délaissé la menace terroriste

Deux jours après l'attaque au hachoir à Paris, le ministre de l'Intérieur a annoncé que la sécurité allait être renforcée sur un bon « nombre de sites ».

Ce dimanche 27 septembre, Gérald Darmanin a évoqué l'attaque au hachoir qui a fait deux blessés graves devant les anciens locaux de Charlie Hebdo à Paris il y a deux jours. Le ministre de l'Intérieur reconnaît que les Français et leurs dirigeants avaient « peut-être (…) collectivement » mis derrière eux la réalité du « terrorisme islamique ».

« Le ministre de l'Intérieur est là pour rappeler la réalité aux Français. Nous sommes dans une situation extrêmement critique, nous sommes en guerre contre le terrorisme islamique et peut-être que nous l'avons collectivement un peu mis derrière nous », a-t-il déclaré lors d'un point presse à l'occasion d'une visite de synagogue à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) pour la fête juive de Yom Kippour. Il a rappelé que « 32 attentats » avaient été déjoués depuis trois ans. « C'est à peu près un par mois », a-t-il insisté.

« Les juifs sont particulièrement la cible »

« J'ai demandé au préfet de police de Paris de renforcer la sécurisation d'un nombre de sites, y compris de sites qui peuvent être symboliques », comme les anciens locaux du journal satirique, a-t-il dit. « Les juifs sont particulièrement la cible des attentats islamistes », a-t-il ajouté, parlant de « 774 points » (écoles, synagogues) qui sont protégés » et plus de 7 000 policiers et militaires mobilisés ce dimanche pour Yom Kippour.

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Surtout quand on fait partie d'un deuxième gouvernement MACRON qui n'en fait pas plus que ceux d'avant depuis les attentats de 2015 car les nouveaux attentats sporadiques jusqu'à ce dernier sont moins spectaculaires d’une autre forme, que certains banalisent en plus !?

Mais qui devraient bien au contraire forcer nos gouvernements et dirigeants de tous bords pour intensifier cette lutte contre ce terrorisme islamique et investiguer plus au fond de ces zones ou ces genres malfaisants criminels vivent parmi la population en faisant le ménage avec beaucoup plus de rigueur, car certains se dissimulent parmi cette petite délinquance comme nos autorités les appellent !

Car l’insécurité est bien présente insidieuse et pas seulement un sentiment peu important comme on veut nous faire croire pour pousser la poussière sous le tapis !

Jusqu'au président qui préfère éluder ces problèmes de salafismes religieux qui s'infiltrent dans notre pays en faisant leurs lois dans certains quartiers de villes connue voire par des prêches dangereux appelant à la désobéissance civile au mieux mais voire pire leurs lois comme la charia !

Faut-il qu'il y en ait d'autres de ces actes criminels lâches on se le demande, peut-être que parce qu'il y a déjà la crise sanitaire qui ressurgit car mal évaluée au début de celle-ci (encore un manquement et laxisme de nos gouvernements!?) 

Diront qu'ils ne peuvent tout faire, ce qui n'est pas faux, mais n’excuse pas tout, car ces types d’actes criminels ne date pas d’hier et perdure, quand on voit le déroulement du procès des attentat de 2015 ou ces accusés ne semblent pas savoir pourquoi ils sont là ?!

Là, cela met en exergue la faiblesse de notre justice qui s'est délité au fil du temps de par les ministres de la justice qui se sont succédés, comme le dernier en date en faisant de la mauvaise politique de bien-pensant donneurs de leçons jusqu'au point de ne plus sanctionner sévèrement les faits de crimes et délits voire de terrorisme islamique à la hauteur des faits reprochés avec un code pénal inadapté car le monde a changé mais « tout le monde n’est pas forcement beau et gentil » !

Si au moins, ce dernier attentat pouvait servir à resserrer fermement les boulons de cette justice vieillissante avec un vrai renforcement de cette lutte ne serait que pour rendre hommage aux victimes innocentes, mais même là, on n’est pas sûr, que des progrès soit fait dans ce sens !?

Il vaudrait mieux que nos dirigeants gouvernements et leurs ministres agissent au lieu de pérorer sans cesse, mais ce n’est pas faute de le demander à chaque fois qu’il y a ce type de faits divers criminels !?

Jdeclef 27/09/2020 13h05

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