jeudi 3 septembre 2020

N.HULOT a peut être compris que d'être une vedette médiatique de télévision ne suffisait pas ?!


Nicolas Hulot revient avec amertume sur son passage au pouvoir

Dans un entretien à « Paris Match », l'ex-ministre de la Transition écologique juge n'avoir été qu'un « exécutant », pointant un conservatisme du gouvernement.

NICOLAS HULOT s’épanche sur son expérience au gouvernement. Dans une interview à Paris Match jeudi 3 septembre, l'écologiste tire un bilan amer de son bref passage au pouvoir en tant que ministre de la Transition écologique d'Emmanuel Macron (2017-2018), une année pendant laquelle il juge n'avoir été « qu'un exécutant, submergé ». « À Matignon, les énarques autour [du Premier ministre Édouard Philippe] me regardaient comme l'écolo de service. Pour eux, les éoliennes, c'étaient des moulins à vent pour les bobos », rapporte-t-il à l'hebdomadaire, dans un long article accompagné de photos de l'ancien homme de télévision, âgé de 65 ans, dans sa propriété bretonne.
L'ex-ministre pointe un conservatisme et une sensibilité aux lobbys des conseillers du pouvoir : « Tous ces gens étaient bien plus jeunes que moi, mais leurs logiciels étaient parfois obsolètes. […] J'ai vu des conseillers à l'Agriculture plus rigides que la patronne de la FNSEA. »

« Ils voulaient soigner une bronchite, moi un cancer généralisé » Son passage au gouvernement, après avoir dit non successivement à Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande, s'est résumé selon lui à une succession d'arbitrages perdus : « Il faut le reconnaître, tout se joue à Matignon. Par contre, je suis responsable des non-décisions ou des mauvaises. Je n'étais qu'un exécutant, submergé. Au début, j'ai cru que je n'étais pas au niveau ou mal organisé, avant de comprendre qu'on était structurellement sous l'eau. » Et de conclure : « Quand je parlais d'une mutation sociétale, eux pensaient adaptation, moi transformation du système. C'est là l'immense malentendu : ils voulaient soigner une bronchite, moi un cancer généralisé. »
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Car faire de l'écologie politique utopique à marche forcée pour changer trop vite les façons de vivre et le fonctionnement quotidien d'un pays ne peut se faire rapidement en bouleversant tout et quelquefois en régressant sur un progrès industriel ou technique qui apporté du mieux vivre tout en coûtant moins de profit moteur de nos sociétés capitalistes !

Car l'écologie est bien sur utile si elle est raisonnable, mais ne peut se faire que si elle ne freine pas trop le progrès et ce sur des décennies voir des siècles, car la vie humaine étant de 80 ans en moyenne pour les populations c'est forcément une utopie pour ceux qui ne profiteront pas de celle-ci et surtout une forme de frein aux libertés érodés par des illuminés extrémistes !

Bien entendue elle est utile si raisonnable, mais n'oublions que c'est mère nature qui gère notre vie sur terre notamment pour ce changement climatique que l'on agite comme un épouvantail, ou la pollution généré par les humains, alors bien sur une discipline raisonnable de chacun pour « ne pas bruler la chandelle par les deux bouts » peut être bénéfique au niveau d'un pays, mais pas au niveau du monde qui n’arrive pas à s’entendre sur bien de sujets de sociétés !

Pour résumer en FRANCE nous avons subi quantité de ministres de l’écologie plus nuls les uns que les autres, ce qui prouve que l’écologie politique « d’empêcheurs de tourner en rond illuminés » ne marche pas, même si c’est la mode pour se donner bonne conscience, chez nos bien-pensants donneurs de leçons !

Jdeclef 03/09/2020 11h18LP

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