lundi 21 septembre 2020

Mais non le gouvernement ne joue pas sa crédibilité, il l’a déjà perdue :

 

Coignard – Covid-19 : à l'école, le gouvernement joue sa crédibilité

CHRONIQUE. Après les masques introuvables et les tests ingérables, la stratégie sanitaire dans les établissements scolaires est décisive.

Inutile de revenir sur la communication calamiteuse à propos du port du masque en population générale pour lutter contre l'épidémie. Tout le monde en connaît désormais les raisons – la pénurie que l'exécutif tentait maladroitement de cacher – et les ravages – l'incompréhension et la perte de confiance d'une partie des Français.

La gestion des tests sur la contamination au coronavirus demeure en revanche un sujet hautement inflammable. Fin juillet, le ministre de la Santé, Olivier Véran, déclarait, d'un ton triomphant, que chacun pourrait se faire dépister sans ordonnance tout en étant remboursé à 100 % par l'Assurance maladie. L'encombrement qui en a résulté a contraint le gouvernement à annoncer une « priorisation » de l'accès aux personnes symptomatiques, aux cas contacts et au personnel soignant. Soit. Mais dix jours plus tard, c'est toujours la pagaille. Dans une interview au Monde, le Dr Jean-Claude Azoulay, vice-président du Syndicat national des médecins biologistes, parle même de « marasme » et exprime sans détour ses doutes sur l'utilité de réaliser un million de tests par semaine : « Rendre le résultat d'une PCR faite il y a une semaine ne sert plus à rien. Si la personne était positive, elle a eu le temps d'en contaminer d'autres et, huit jours après, elle est probablement redevenue négative. » Il propose, ni plus ni moins, de ne pas traiter les prélèvements datant de plus de quatre jours pour « remettre les compteurs à zéro ».

Comment la stratégie de traçage des cas contacts du Covid-19 prend l'eau

Le spectre des fermetures d'écoles

Trois semaines après la rentrée scolaire, l'exécutif ne peut donc pas se rater sur une troisième épreuve, la gestion de l'épidémie en milieu scolaire. Si les fermetures d'établissements se multipliaient, ce serait pour lui une triple faillite. Politique, qui mettrait crûment en lumière son incapacité à combattre la crise sanitaire avec des mesures graduées et appropriées. Éducative, qui nuirait à la continuité de l'apprentissage et éloignerait encore un peu plus les élèves les plus en difficulté du milieu scolaire. Économique, car faire revenir les enfants à la maison a un fort impact sur l'activité des parents.

Le triste bilan scolaire du confinement à la française

S'appuyant sur les nouvelles recommandations émises par le Haut Conseil de la santé publique (HCSP), les autorités ont donc décidé d'alléger le protocole sanitaire à respecter en milieu scolaire, avec une définition plus souple des « cas contacts à risque », laquelle permettrait de maintenir plus de classes ouvertes. Alors que 89 établissements sur plus de 60 000 sont aujourd'hui fermés, ce nouveau revirement ressemble à celui de la dernière chance.

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Car avec cette pandémie du Covid 19 que ce soit pour lutter contre ce virus, il n'a pas avancé et ne sais rien de plus qu'au début !?

Car la communication à tout va depuis mars, a été un fiasco retentissant !

D'ailleurs on n'entend moins les scientifiques, car ils n'ont plus de nouvelles annonces sur l'avancé de cette lutte et cette crise sanitaire, ils en ont tant fait d’imprécises !

« Ils courent après leurs queues comme des chiens perdus » excuser ma trivialité port du masque ou pas port du masque, on en a maintenant assez, tests on en fait de toutes sortes jusqu'à encombrer les labos, mais cela ne permet pas de gérer les contaminations, car les cas asymptomatiques brouillent les cartes et les français n'y croient pas et ne sont pas tranquillisés, de plus certains sans symptômes justement préfèrent ne pas faire de test plutôt que de finir enfermés reconfinés ou finir à l’hôpital, ou ils ne sont pas sur d'en ressortir !

Pour les enfants, c’est pareil ils semblent moins touchés et moins gravement tant mieux une rare bonne nouvelle, alors les parents les mettent à l’école au jour le jour en fonction des alertes de contaminations dans les établissements scolaires ou vont leurs enfants et s’organisent comme il peuvent pour les faire garder !

Les personnes âgées, j’en fais partie elles font attention, mais la vie dans leurs villes ou quartiers ne changent pas vraiment leurs habitudes il faut bien vivre, et tous ne portent pas de masques, car ils deviennent fatalistes !

Alors que l’on nous excuse, mais les états d’âmes de ce gouvernement qui patauge lamentablement avec leurs discours creux et mesures qui n’ont pas évoluées, ils s’en fichent en priant de ne pas attraper ce virus et maintenant on nous parle du vaccin pour la grippe saisonnière dont certains demandent la gratuité comme si l’argent roi guérissait c’est pitoyable !?

Car là, Messieurs les élus de tous bords ce n’est plus de la politique, c’est la réalité !

Jdeclef 21/09/2020 15h48

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