mercredi 2 septembre 2020

Le périple en moyen-orient continue pour le président qui se prend pour un dirigeant important du monde occidental en visitant l’IRAK !?


Emmanuel Macron commence sa première visite en Irak

Le chef d'État a atterri à Bagdad, la capitale irakienne, vers 10 heures ce mercredi. Il souhaite renforcer la souveraineté du pays.


Ce mercredi 2 septembre, vers 10 heures, le président français Emmanuel Macron est arrivé à Bagdad pour effectuer sa première visite en Irak, avec l'intention d'aider ce pays à affirmer « sa souveraineté » à l'écart des vives tensions entre ses deux alliés, Washington et Téhéran. En provenance de Beyrouth, le chef de l'État ne passera que quelques heures dans la capitale irakienne, où il sera reçu par les principaux responsables du pays. Il sera le premier chef d'État étranger à se rendre en Irak depuis la nomination, en mai, d'un nouveau Premier ministre, Moustafa al-Kazimi. Pour des raisons de sécurité, la présidence française n'a confirmé qu'à la dernière minute cette visite, qui avait été annoncée par des responsables et des médias irakiens.
En l'officialisant lundi soir à Beyrouth, Emmanuel Macron a précisé qu'il lancerait à Bagdad, « en lien avec les Nations unies, une initiative pour accompagner une démarche de souveraineté ». Ce « combat pour la souveraineté de l'Irak est essentiel » pour permettre à « ce peuple et ce pays qui ont tant souffert » de « ne pas céder à la fatalité qui serait la domination par les puissances régionales et par le terrorisme islamiste », avait-il expliqué vendredi à Paris. « Il y a des dirigeants et un peuple qui sont conscients de cela et qui veulent prendre leur destin en main. Le rôle de la France est de les y aider », a-t-il ajouté.

Entretiens avec le Premier ministre et le président

Ce pays est pris en étau depuis des années entre ses deux partenaires les plus influents, Washington et Téhéran, une position qui est devenue encore plus difficile à tenir à partir de 2018, avec la campagne de « pression maximale » exercée par les États-Unis de Donald Trump contre l'Iran. L'Irak, qui a vu l'émergence l'an dernier d'un puissant mouvement de contestation populaire, est aussi confronté à une conjoncture économique délicate. Deuxième plus important producteur de l'Opep, il a été fortement touché par la chute des prix du pétrole et la pandémie de coronavirus a encore aggravé les difficultés.
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À Bagdad, Emmanuel Macron devrait s'entretenir avec le Premier ministre Kazimi, mais aussi avec le président Barham Saleh, avant un déjeuner partagé avec d'autres responsables. Son message devrait faire écho à celui de son chef de la diplomatie, Jean-Yves Le Drian, qui a souligné, lors d'une visite en juillet, la nécessité pour l'Irak de « se dissocier des tensions de son voisinage ». Le 27 août, la ministre française des Armées, Florence Parly, a elle aussi mené des entretiens à Bagdad et Erbil, capitale de la région kurde (au nord), rappelant notamment l'importance de poursuivre la lutte contre le groupe djihadiste État islamique (EI). « Nous sommes convaincus que le combat contre Daech [acronyme arabe de l'EI] n'est pas terminé. Nous sommes à vos côtés », a-t-elle déclaré.

11 Français condamnés à mort

En janvier, Emmanuel Macron avait appelé à « la désescalade » après la mort d'un puissant général iranien, Qassem Soleïmani, et de son lieutenant irakien dans une frappe de drone américain à Bagdad. Téhéran avait répondu par des frappes contre les troupes américaines présentes dans l'ouest de l'Irak. Cette visite intervient en outre alors que le président américain Donald Trump a réaffirmé le 21 août sa volonté de retirer les troupes américaines d'Irak, mais sans préciser de calendrier. Quelque 5 000 soldats et diplomates américains y sont encore déployés. Le grand voisin iranien dispose sur le sol irakien du soutien crucial du Hachd al-Chaabi, une coalition de paramilitaires intégrée à l'État et qui réclame au Parlement l'expulsion des troupes américaines. Contrairement à la plupart des responsables étrangers en visite en Irak, Emmanuel Macron ne se rendra pas à Erbil, la capitale du Kurdistan irakien, et espère rencontrer les leaders kurdes à Bagdad, selon des sources irakiennes.
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Interrogé à Beyrouth sur la présence de djihadistes présumés français emprisonnés en Irak, Emmanuel Macron a réaffirmé que ceux qui « font le choix libre d'aller combattre sur des théâtres extérieurs et se rendent coupables d'actes terroristes dans un État souverain « ont vocation à « être judiciarisés dans cet État ». Sur les 150 Français arrêtés pour avoir appartenu au groupe État islamique (EI), la quasi-totalité sont détenus dans les camps et prisons sommaires des Kurdes du nord-est de la Syrie. Et 11 Français sont détenus en Irak, où ils ont été condamnés à mort.
Gesticulations macroniennes
Incapable de terminer la guerre du Mali qui devait durer 6 mois et qui dure depuis 6 ans, Macron est à la recherche d'un nouvel échec pour sa politique extérieure qui ne pèse pas lourd dans le fonctionnement du monde.
Souhaitons que les irakiens ne nous demandent pas un soutien militaire, car pour le reste, il resteront quoi qu'en dise Macron, sous l'influence islamiste.
Les américains ayant opté pour retirer leurs troupes de ce pays soumis aux islamistes fanatisés qui n'hésitent pas à commettre des attentats,
Un peu plus d'humilité conviendrait bien à Macron, car pour ce qui est de son influence en Irak, c'est plutôt epsilon.
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Les USA se sont retirés de ce bourbier irakien encore infesté par des islamistes, espérons qu'il ne demande pas d'aide militaire !?

Car après l'échec du MALI et la pétaudière dans lequel se sont fourré nos présidents HOLLANDE et maintenant MACRON qui se sont investis avec notre armée qui coure après le fantômes djihadiste qui sont chez eux sur leur terrain!

Car il est passé avant au LIBAN pour jouer au grand frère souteneur donneur de leçons !?

Sans oublier notre marine qui joue à cache-cache avec la Turquie pour protéger la Grèce et après les insultes du président Erdogan envers la France et lui-même !?

Il serait donc bien qu'il revienne en France pour faire son travail de président de la république française au lieu de se disperser à l'étranger sans vraiment d’intérêt, car peu ne l'écoute, ni la petite France ?!

Et qu'il cesse de faire comme "la grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf" car a été élu pour diriger le pays qui ne va pas bien actuellement, il faudrait qu’il redescende sur la terre de FRANCE !

Bien qu'il ne semble pas indispensable semble-t-il, car n'ayant pas de vraies solutions pour les problèmes de notre pays qui deviennent urgents !

Certains diront qu'il reste ce bon CASTEX ..?!

Jdeclef 02/09/2020 16h22

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