samedi 31 décembre 2016

Malgré le mécontentement des français, ils ne sont pas encore assez courageux pour se lancer dans une aventure FN sans lendemain hasardeux !

Présidentielle : Marine Le Pen accepte 6 millions d'euros de son père


Après des mois de conflit, un accord a été trouvé entre le FN et Cotelec, l'organisme de financement dirigé par Jean-Marie Le Pen.

Ils ne se parlent plus et règlent leurs différends devant les tribunaux, mais ça ne les empêche pas de trouver des arrangements en famille. Marine Le Pen pourra disposer de l'argent de son père pour faire campagne aux élections de 2017. « Un accord constructif a été trouvé », a précisé vendredi l'entourage de Jean-Marie Le Pen, rapporte Le Parisien. Le montant du prêt s'élève à environ 6 millions d'euros, « avec libération progressive des différentes tranches », selon le directeur de campagne de Marine Le Pen, David Rachline dans une déclaration à l'Agence France-Presse. Le fondateur et président du Front national utilisera son organisme de financement, Cotelec (l'ex-Cotisations électorales Le Pen créé dans les années 80), pour subvenir aux besoins de sa fille.
Cette dernière, qui lancera officiellement sa campagne les 4 et 5 février à Lyon, peine à rassembler des fonds. Face au refus des banques françaises de lui prêter de l'argent, Marine Le Pen se tourne vers la Russie. Les services de renseignement américains se sont même inquiétés récemment d'un prêt de 30 millions de dollars accordés par Vladimir Poutine à la présidente frontiste.
C'est sûr, on préférerait se passer de lui
Une situation qui a poussé Jean-Marine Le Pen à venir à sa rescousse. En septembre déjà, il avait entrouvert la porte à un prêt. « Puisqu'elle ne trouve pas de financement ailleurs, qu'aucune banque n'accepte de prendre le risque de lui prêter de l'argent alors que tous les sondages la donnent en tête du premier tour, ce qui est un véritable scandale, Cotelec a décidé d'accéder à une partie de sa demande », avait-il déclaré lors du lancement du premier comité « Jeanne au secours ! » le 28 septembre à Mormant (Seine-et-Marne).
Un coup de pouce d'abord jugé encombrant par Marine Le Pen, qui souhaite couper les ponts avec son père. Début décembre, le secrétaire général du FN, Nicolas Bay s'est adressé aux sympathisants du FN pour les inviter à privilégier les dons directs au parti, sans passer par Cotelec. Une initiative jugée « grotesque » par Jean-Marie Le Pen. Mais puisque le parti d'extrême droite n'a toujours pas trouvé les 20 millions d'euros jugés nécessaires à sa campagne aux élections présidentielle et législatives, il a bien fallu se résoudre à accepter les sous du « Menhir ». La hache de guerre semble donc enterrée, même si ce n'est pas de gaieté de cœur, à en croire les confidences de Wallerand de Saint-Just, le trésorier du FN, rapportées par Le Parisien : « C'est sûr, on préférerait se passer de lui. »

L’argent en politique n’a pas d’odeur !

Il ferait mieux de garder son argent le vieux tribun du FN car les français n’éliront pas sa fille, nos concitoyens ne sont pas encore murs pour le FN, ils ont bien trop peur du lendemain !
Jdeclef 31/05/2016

Que peut-il dire dans ce genre de discours habituel, après qu’il est jeté l’éponge avant la fin de son quinquennat !

Politique

Que va bien pouvoir dire François Hollande lors de ses derniers vœux aux Français?


BONNE ANNÉE Le chef de l’État « aura à cœur de soigner ces derniers vœux du quinquennat avec un texte très personnel qu’il écrira de la première à la dernière ligne »...
Derniers vœux et puis s’en va.
Le président François Hollande présentera ce samedi à 20h ses ultimes vœux du Nouvel An aux Français, un exercice traditionnel qui prendra cependant valeur de test de sa popularité, un mois après son renoncement à une candidature en 2017.
L’audience de ces vœux en donnera un premier indice, trois jours après la grâce très commentée accordée à Jacqueline Sauvage et avant la prochaine vague de sondages, ceux de décembre ayant été marqués par un regain de popularité. Mais quels vont être les sujets abordés par le président ?
Des vœux personnels. Sur la forme, explique-t-on à l’Élysée, le Président s’en tiendra à la tradition : une déclaration de moins de dix minutes enregistrée peu avant sa diffusion sur les chaînes de radio et de télévision dans le salon Alexandre III du palais présidentiel.
Le chef de l’État, poursuit-on, « aura à cœur de soigner ces derniers vœux du quinquennat avec un texte très personnel qu’il écrira de la première à la dernière ligne ».
Quant au fond, il devrait s’articuler autour d’un triple message.
Un bilan de l’année. Premier message : le retour sur l’année 2016, « une année d’épreuves, avec la guerre en Syrie, en Irak et aux portes de l’Europe, en Ukraine ou au Sahel, et les attentats de Magnanville, de Nice, de Saint-Etienne-du-Rouvray ou de Berlin ». Cette année, devrait également relever François Hollande, restera marquée aussi « par la montée des populismes en Europe et dans le monde et les incertitudes nées du Brexit ».
Second message : « les réformes commencent à porter leurs fruits ». Le chef de l’État en voudra pour preuve, explique-t-on, « la reprise économique qui a commencé à s’affirmer et le chômage qui a commencé à baisser ».
Quant au troisième message, il portera sur « les enjeux pour 2017 ».
L’exécutif « continuera d’utiliser chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde de son mandat pour protéger les Français, préparer l’avenir qu’il s’agisse de la lutte contre le terrorisme et contre le chômage ou de la relance de l’investissement », souligne-t-on à l’Élysée.
Les élections en ligne de mire. Mais 2017 sera aussi et surtout une année électorale avec la primaire de la gauche, les 22 et 29 janvier, la présidentielle, le 23 avril et le 7 mai, puis les législatives des 11 et 18 juin. Et à ce propos, souligne un proche, le président « sera très vigilant sur les valeurs républicaines, la défense de nos valeurs sociales et du service public ».
Depuis quelques semaines, le chef de l’Etat cible sans le nommer François Fillon dans pratiquement tous ses déplacements, pointant à demi-mot le libéralisme de son programme.
François Hollande ressent « une inquiétude face à la force de l’extrême droite et le programme de la droite, la plus dure, libérale et réactionnaire », confie un intime. Mais il s’alarme aussi de « ce qui menace la gauche : l’élimination au premier tour de la présidentielle dans un premier temps et sa disparition dans un second temps ».
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Un peu de modestie de ce « faux monarque » déchu serait le moins qu’il puisse faire !

Quand on n’a pas eu le courage de finir son quinquennat comme un président qui se disait normal et qui de fait ne l’était pas, tant il a été médiocre, qu’il nous épargne d’un discours trop long de vœux convenus, dont il ne pense pas un mot !

Ces sondages médiatiques pernicieux continuent à déverser leur mauvais présages pour troubler toutes les élections en France et çà passionne les français gogos ?!

Politique

Macron, personnalité politique en qui les Français ont le plus confiance


SONDAGE La cote de confiance de François Hollande remonte. En revanche, un mois après sa victoire à la primaire de la droite, celle de François Fillon chute de 8 points...
 
Et hop, Emmanuel Macron vient de se hisser en tête du classement des personnalités politiques auxquelles les Français font le plus confiance. Selon un sondage Harris Interactive* diffusé ce vendredi, l’ancien ministre de l’Economie, en campagne pour la présidentielle, recueille 41 % d’opinions positives (+2).
Emmanuel Macron profite du recul d’Alain Juppé (37 %, -6), jusqu'ici premier. Et François Fillon, qui avait gagné neuf points fin novembre dans l’euphorie de sa victoire à la primaire, en perd huit et retrouve son niveau du mois d’août à 31 %.
Un mois après sa décision de ne pas briguer un second mandat, la cote de confiance de François Hollande continue quant à elle de progresser (+3 points).
Avec 25 % d’opinions positives, le chef de l’Etat retrouve son niveau de décembre 2015, au lendemain des attentats de Paris et Saint-Denis, mais 74 % (-4) des personnes interrogées continuent de ne pas lui faire confiance, selon cette enquête pour le site Délits d’opinion. François Hollande progresse notamment auprès des proches du PS (73 %, +16) et du Front national (+4).

Cazeneuve en bonne position

Pour sa première apparition dans ce baromètre depuis son arrivée à Matignon, Bernard Cazeneuve obtient la confiance de 40 % des Français, contre 59 % d’un avis contraire. 44 % des personnes interrogées lui faisaient confiance en novembre en tant que ministre de l’Intérieur.
Jean-Yves Le Drian (Défense) est le ministre auquel les Français font le plus confiance (47 %, -2) devant Jean-Marc Ayrault (Affaires étrangères) en légère hausse (29 %, +2) et Ségolène Royal (Environnement) en baisse (29 %, -6).
François Bayrou gagne un point à 31 %, Jean-Luc Mélenchon un à 26 %, Marine Le Pen en perd deux à 22 %. Benoît Hamon, en hausse (+4), est au coude à coude avec Arnaud Montebourg (-1) à 24 % et Manuel Valls, qui fait son entrée avec 23 % d’opinions positives. Egalement candidat à la primaire socialiste, Vincent Peillon n’a pas été testé.
 
Les français sont ambivalents, versatiles et surtout conservateurs, pleutres en fait depuis des décennies, ils votent toujours pour les mêmes que l’on revoit immanquablement à chaque élection présidentielle et avec de fausses alternances qui ne changent en rien !

Ho bien sûr, ils râlent sans cesse demandent du changement à chaque fois, mais ne font rien pour cela et s’étonne après des résultats !

E.MACRON c’est électron libre, il est la seule nouveauté, alors pourquoi pas la jeunesse, le dynamisme, ce n’est pas un illuminé, comme l’extrême droite ou gauche et n’est pas issu de ces castes de partis politiques ringards poussiéreux, c’est peut être une alternative à toute cette classe politique française sclérosée !?

Peut-être qu’il pourrait renverser cette table lézardée et usée de nos politiciens élus ringards souvent trainant en plus des casseroles et protégés derrière des boucliers et privilèges divers d’un autre âge !?

Exemple : F.FILLON le nanti bourgeois sarthois hobereau, soit disant en tête de ces sondages (suite à sa victoire à la primaire de la droite LR) ce qui devraient être interdit en période électorale, il n’a rien de nouveau, un vieux politicien ,ex ministre et 1er ministre pour résumer, il veut faire une politique d’extrême rigueur à marche forcée en demandant au plus pauvres et basses classes moyennes majoritaires dans notre pays de se serrer la ceinture et en privilégiant les classes aisées riches dont il fait partie, il n’y a pas besoin de sortir de grandes écoles d’administrations pour faire cela en renvoyant les français dos à dos et en coupant la France en deux !

Ca fait plus de trente ans que l’on fait cela !

Oui mais pour cela il faudrait que les français retrouvent leur courage et leur imagination et ne pense pas « au chacun pour soi » leur principal défaut et qu’ils se prennent en main pour changer cela !

(Certains disent que l’on prend les français pour des débiles, nous aurons la réponse en mai 2017 !?)

vendredi 30 décembre 2016

Ce leitmotiv bla-bla gouvernemental est rabâché depuis le 1er attentat (important) en 2015, c’est évident !

Le Premier ministre Bernard Cazeneuve lors d'un déplacement au Tchad, le 29 décembre 2016 –

Politique

La guerre contre le terrorisme sera «longue», affirme Bernard Cazeneuve


DÉFENSE « Notre pays devra continuer à faire des choix budgétaires ambitieux et lucides au profit de nos armées », a-t-il estimé…
La France doit se préparer à une « guerre longue » contre le terrorisme. Dans cette optique, il faudrait « amplifier » l’effort financier en faveur des armées dans les prochaines années, a estimé ce jeudi le Premier ministre Bernard Cazeneuve, en déplacement à N’Djamena, au Tchad.
« Notre pays devra continuer à faire des choix budgétaires ambitieux et lucides au profit de nos armées. Il devra soutenir de façon durable l’effort qui a été engagé sous ce quinquennat en faveur de la défense et de la sécurité de la France », a déclaré Bernard Cazeneuve lors d’une visite aux soldats de la force Barkhane au Sahel.

Combattre avec « obstination »

« Nous devons nous préparer à une guerre longue dans un environnement stratégique profondément modifié et aucun gouvernement ne pourra jamais s’exonérer d’une telle responsabilité », a-t-il ajouté.
« Partout nous devons combattre [les groupes terroristes] avec obstination jusqu’à leur défaite complète », a poursuivi le chef du gouvernement.
L’armée française est engagée sur deux fronts contre le terrorisme, en Irak et en Syrie face à l’organisation Etat islamique et au Sahel où elle mobilise 4 000 hommes sur cinq pays (Mauritanie, Niger, Mali, Burkina Faso, Tchad).
Bernard Cazeneuve a insisté sur le bilan du président François Hollande en la matière, en soulignant qu’il avait été le premier à stopper les suppressions d’effectifs et à relever le budget des armées au lendemain des attentats de 2015, après des années de vaches maigres.

Des « efforts supplémentaires » dans les prochaines années

« C’est le président de la République qui a donné à nos armées les ressources nécessaires à l’accomplissement de leur mission », a-t-il affirmé.
« Pour la première fois depuis des décennies leurs effectifs ont été rehaussés comme en témoigne le budget du ministère [de la Défense] pour 2017 », a-t-il dit, ajoutant qu’il augmenterait de 3,8 milliards d’euros pour la période 2015-2019.
La menace terroriste «reste très élevée» en France, selon le patron de la police
Le chef du gouvernement a aussi abondé dans le sens du chef d’état-major des armées, le général Pierre de Villiers, qui dans une récente tribune avait demandé un effort budgétaire accru en matière de défense, soulignant qu'« on ne gagne pas une guerre sans effort de guerre ».

Des matériels parfois vétustes

Le général de Villiers demandait « une hausse progressive du budget de la défense » pour atteindre les 2 % du PIB, contre 1,77 % actuellement, d’ici à la fin du prochain quinquennat.
François Hollande avait alors répondu que ce budget était actuellement suffisant mais qu’il faudrait faire des « efforts supplémentaires » dans les prochaines années.
Si les moyens en hommes ont été progressivement renforcés depuis les attentats de 2015, les besoins restent criants en matière de matériels (blindés, hélicoptères, avions de ravitaillement…), parfois très vétustes.
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Et puis cela ne coute rien de dire cela, Mr CAZENEUVE et son gouvernement de transition ne fait que passer, ainsi que notre président qui a jeté l’éponge en disant que le budget militaire était suffisant, repasse « la patate chaude » aux suivants après eux !

Après avoir diminué drastiquement le budget des armées sous divers gouvernements avec le prétexte que l’Europe était en paix et que les blocs est/ouest depuis la chute du mur de Berlin n’existaient plus en oubliant que certains pays comme la Russie avec son président turbulent qui reprend du poil de la bête dans le monde contre son ennemi héréditaire les USA de la part de la faiblesse de B.OBAMA qui a amplifié cela !
Et puis bien sur « la cerise sur le gâteau empoisonné » le terrorisme islamique depuis 2001 qui s’est amplifié en 2013 avec DAESH-EI que l’on n’a pas su traité rapidement par l’EUROPE désunie et une coalition occidentale médiocre avec une politique moyen-orientale désastreuse avec nos guerres DEPUIS 2001 (comme ces printemps arabes par exemple) qui a amené le chaos dans le pourtour de la méditerranée et dans l’ex Afrique coloniale française !

Là, on voit bien l’inefficacité de nos dirigeants et leurs politiques à courte vue et le retard que l’on a, à rattraper !

B.OBAMA se rebiffe contre la Russie de POUTINE à moins d’un mois de l’investiture officielle de D.TRUMP qu’il veut discréditer bien qu’élu par le peuple américain !?


Monde

Piratage lors de la présidentielle: Washington expulse 35 agents russes


ÉTATS-UNIS Et il pourrait y avoir d'autres sanctions, dont certaines secrètes, a prévenu Barack Obama ce jeudi...

Barack Obama avait promis des représailles contre la Russie. Ça n’a pas tardé. Washington répond à des efforts russes de « nuire aux intérêts américains » en expulsant 35 agents russes après l’ingérence dans l’élection présidentielle, a déclaré ce jeudi le président américain.

Barack Obama a aussi annoncé une série de mesures qui visent notamment les services de renseignement russes FSB et GRU, a-t-il souligné dans un communiqué (en anglais), appelant ses alliés à s’opposer aux efforts russes d'« ingérence dans le processus démocratique ». Le président américain a promis d’autres sanctions « au moment que nous choisirons », « y compris des opérations qui ne seront pas révélées au public ».

Poutine directement mis en cause


Washington accuse notamment des pirates informatiques russes d’avoir dérobé des dizaines de milliers d’e-mails de responsables démocrates. Ces messages ont ensuite été mis en ligne, jetant une lumière crue sur les délibérations internes du camp démocrate et brouillant le message de sa candidate.

Le Kremlin promet de réagir


Le président Obama a directement mis en cause son homologue russe dans cette affaire, soulignant que « pas grand-chose ne se passe en Russie sans l’aval de Vladimir Poutine ». Nombre d’observateurs ont estimé que l’intention de Moscou était avant tout de saper la confiance dans la légitimité de l’élection américaine, pour affaiblir la future administration.

Peu avant 22 h, le Kremlin a réagi à ces sanctions, rejetant « catégoriquement » les accusations « infondées » de Washington et promettant des mesures de rétorsion « adéquates ».

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Ces affrontements indirects entre ces deux pays depuis la dernière guerre mondiale sont une plaie pour la paix du monde !

C’est débile et puérile de rallumer un semblant de guerre froide inutile, la paix du monde est assez fragile comme cela, et de jouer les mauvais perdants, il a eu 8 ans pour exercer le pouvoir aux USA et son bilan est déjà en demi-teinte, de plus il n’est pas rééligible de par leur constitution !

Quand on pense que ces dirigeants caractériels orgueilleux à égos démesurés nous dirigent dans nos pays occidentaux démocratiques et décident du destin de leurs peuples qui les élisent à l’aveuglette semble-t-il, cela fait peur ?!

Ces deux grands pays (comme d’autres) passent leur temps à s’espionner et en ce qui concerne les mails de H.CLINTON elle n’avait qu’à bavarder ou écrire un peu moins sur le net en prenant plus de précaution !

Et même si ces mails piratés sont avérés, c’est bien le peuple américain qui a voté même si çà déplait aux bien-pensants US et autres qui ne croient pas que D.TRUMP ne soit politiquement correct ?!

Les américains attendent le départ d’OBAMA tout comme nous on attend le départ de F.HOLLANDE sur certains côtés, ils se ressemblent, sauf que nous c’est dans 4 mois l’élection présidentielle avec (encore) des inconnues ?!

jeudi 29 décembre 2016

Pauvre président il est temps qu'il s'en aille et prenne sa retraite !

Hollande : enfin l'état de grâce !


Le président a gracié Jacqueline Sauvage et est applaudi de tous côtés. C'est oublier qu'il avait auparavant octroyé une demi-grâce : du pur Hollande !

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Comme je  l'ai déjà écrit c'est la "vox populi" c'est à dire le peuple de France et notamment sur les réseaux sociaux en masse qui a forcé sa décision car :

Il n'avait trouvé rien de moins que décider d'une 1/2 grâce partielle qui n'a été suivi d'aucun effet par une justice rigide et des magistrats bornés appliquant le code à la lettre en bons fonctionnaires et qui a relancé les protestations de nombreux français  justifiés pour cette pauvre femme !
(Surtout quand on voit comme cette justice fonctionne sur d'autres affaires sensibles qu'il ne vaut mieux ne pas citer !)

Pourquoi alors cette tergiversation et ce mauvais suspense inqualifiable de ce président indécis, ce droit de grâce (réminiscence de l’ancien régime et de nos monarchies) est bien sûr à utiliser rarement, mais il existe et dans des cas particulier notamment par souci d’humanité justement !

Alors il a cédé sous la pression peut être pour ne pas encore donner une plus mauvaise image de lui, cela représente bien son personnage hésitant à l'image de son quinquennat médiocre!

Il n'a pas de quoi être fier et Mme SAUVAGE n'a seulement à remercier que les français et son calvaire servira en plus peut être à d'autres femmes battues et pour revoir un code pénal qui ne les défend pas assez dans notre pays n'en déplaise à notre magistrature bornée !
Jdeclef 29/12/201616h01

Attendons de voir s'il sera élu déjà et surtout s'il tiendra ses multiples promesses comme d'autres avant lui qui en ont tant fait avec les résultats que l'on a connus avec déception après !

François Fillon doit-il conserver les trois référendums de septembre ?


S'il est élu, le candidat LR défend toujours l'idée d'organiser un référendum portant sur trois questions en septembre 2017. Certains grincent des dents...

F.FILLON ne bouge pas de sa ligne pour l'instant : s'il est élu, il compte bien organiser, en septembre, un référendum portant sur trois questions. « Bien sûr, on sait très bien que la période de grâce sera courte pour le nouveau pouvoir, quel qu'il soit, mais nous pensons que ce référendum, de par la nature consensuelle des questions, ne sera pas un sujet », déclare au Point Jérôme Chartier, l'un des plus proches du candidat LR. Le référendum portera sur la réduction du nombre de parlementaires, la réforme territoriale avec la suppression à terme du département pour la mise en place du conseiller territorial et, enfin, l'unification du régime des retraites dans le privé et le public.
Reprenons point par point : la réduction du nombre de parlementaires ne pose pas de difficulté tant l'opinion l'approuve. Il n'est pas besoin de modifier la Constitution, une simple loi organique suffirait. Mais, compte tenu du sujet sensible, les parlementaires étant les moins bien placés pour se faire hara-kiri, la question ne peut être tranchée que par référendum. Le candidat LR n'a pas chiffré cette diminution qui déclenchera, si elle est approuvée, un redécoupage des 577 circonscriptions par le ministre de l'Intérieur. Ce charcutage électoral fait souvent l'objet de discussions houleuses avec l'opposition... Rappelons que François Fillon reste insensible aux suppliques de ses soutiens LR qui le prient de remettre en cause le non-cumul des mandats voté sous le quinquennat de François Hollande. L'homme de la Sarthe résiste, il en fait une question de principe en résonance avec l'opinion. Ses principaux soutiens, dont Gérard Larcher, continuent cependant de plaider pour un assouplissement du non-cumul de manière à ce qu'un maire puisse devenir député ou sénateur, afin de rester « à portée d'engueulades » des électeurs.

Réduire la cellulite administrative

Le deuxième sujet soumis au référendum soulève lui aussi une sourde opposition au sein du camp Fillon : la réforme du mille-feuille des collectivités territoriales. François Fillon l'a souvent dit : pour faire des économies sur les dépenses publiques, il faut supprimer des strates administratives, cette cellulite des bureaucraties accumulée au fil du temps souvent par lâcheté et clientélisme. Il propose donc de revenir à la réforme du conseiller territorial qu'il avait lancée en 2009 (et que la gauche a abrogée avant son entrée en vigueur). Les conseillers territoriaux auraient, dans ce cadre, vocation à siéger au conseil régional comme au conseil départemental. Cela préfigure la disparition à terme des départements comme entités administratives propres. Là aussi, cette réforme passe difficilement à l'Assemblée nationale, qui a tendance à être « départementaliste ». François Hollande a essuyé quelques revers à ce sujet... Fillon choisit donc la voie du référendum afin de ne pas être prisonnier de sa majorité. Il ouvrira également une souplesse pour les régions qui, si elles le souhaitaient, pourraient se démarier ou se marier à leur guise. Une manière de régler le cas de l'Est avec la réticence de l'Alsace à se fondre dans un grand ensemble...
Enfin, le troisième sujet est épineux : l'unification des régimes des retraites et le recul de l'âge de la retraite à 65 ans. C'est une énorme réforme puisqu'il s'agit non seulement d'unifier le public et le privé, mais aussi de mettre un terme aux régimes spéciaux (SNCF, ouvriers de l'État, etc.). Concrètement, les fonctionnaires rejoindraient le régime général, à savoir que leur pension ne serait plus calculée à partir des salaires des 6 derniers mois, mais sur les 25 meilleures années. Cette méthode provoquerait la baisse des pensions des agents publics, même si, en contrepartie, les primes et les heures supplémentaires étaient intégrées à ce calcul, comme pour le privé. L'unification ira-t-elle jusqu'à intégrer au régime général les retraites des diverses caisses comme celles des commerçants, artisans, notaires, salariés agricoles... ?

Un référendum sur les retraites contesté à droite

« Pourquoi passer par un référendum pour aborder la réforme des retraites ? s'interroge un député LR. Pourquoi faire trancher par référendum un sujet que François Fillon aura mis sur la table durant sa campagne ? Son élection à la présidence de la République vaut mandat pour le faire. En plus, on va repartir dans une campagne électorale alors qu'on se sera déjà tapé un an de campagne avec les primaires et six mois avec la présidentielle... Les gens nous élisent pour gouverner, alors, gouvernons ! » Comme si la présidentielle n'était plus assez légitime qu'il faille la conforter par un référendum de réassurance... C'est dire le délitement de la confiance des politiques en leur propre élection.
L'autre problème soulevé par ce référendum de septembre est celui de l'agenda parlementaire. Le Parlement ne siégera pas avant octobre. Or, c'est à cette date que commencera le débat sur la loi de finances et le PLFSS (projet de loi de financement de la Sécurité sociale). L'Assemblée sera saturée par les textes financiers, ce qui repoussera d'autant l'unification des régimes des retraites. Certains, auprès de Fillon, plaident donc pour que le projet sur les retraites fasse l'objet d'une ordonnance dès l'été, juste après l'élection, pour gagner du temps et profiter au maximum de l'élan de la présidentielle. Les fameuses ordonnances que prônait... Alain Juppé (entre autres).
Dans le projet Fillon, d'autres mesures exigent une modification de la Constitution, mais il n'est pas précisé le moyen retenu pour y parvenir (vote en Congrès ou référendum).
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Ce politicien ex 1er ministre n'a rien fait de probant sous l'aire Sarkozienne !?

Il promet surtout une rigueur drastique, car pense-t-il plus facile à mettre en place à marche forcée ?!

Moi qui suis un vieil homme qui vote depuis 50 ans et ait connu tous les présidents depuis de Gaulle, je n'en n'ai jamais vu un qui ait tenu ses promesses quel qu'elles soient, mais par contre, pressurer le bon peuple lambda tous l'ont fait quelques soient leurs bords politiques !

Les seuls bénéficiaires d’améliorations ou privilèges ont toujours été les nantis et les politiciens eux-mêmes !
Et ça, on l'a hérité de notre histoire et de l'ancien régime monarchique et ce malgré notre révolution de 1789 qui s'est édulcorée avec le 1er empire napoléonien dont on applique encore pas mal de ses codes et réformes bien qu’étant dans cette V eme république obsolète qui ne s'est pas adaptée au monde moderne qui a évolué et se noie dans une administration autocratique indirectement par des présidents qui ont trop de pouvoirs !

F.FILLON hobereau bourgeois sarthois nanti va leurrer le bas peuple qui croit encore au changement, mais lui est comme tous les autres, un vieux politicien revanchard 2017 sera dur, mais pour toujours les mêmes (pas ses congénères!)

C'est aux français de réfléchir ou de se faire tondre une fois de plus ?
Jdeclef 29/12/2016 11h40

Tout de même ! Enfin merci pour cette pauvre femme qui a tant souffert et tant pis pour F.HOLLANDE qui a été forcé par la « vox populi » à cause de son indécision de départ !


Jacqueline Sauvage : la presse rend grâce à "François le Juste"


Les éditorialistes saluent François Hollande qui, malgré ses réserves sur le droit de grâce, l'a utilisé pour dénouer une situation devenue inhumaine.


François HOLLANDEpeut apprécier en cette fin d'année un moment tout à fait exceptionnel : la presse lui tresse ce jeudi des lauriers pour avoir pris la décision de gracier Jacqueline Sauvage, qui a pu sortir mercredi soir de sa prison après plus de quatre années passées derrière les barreaux. Mercredi déjà, la classe politique saluait, dans une rare unanimité, la décision du chef de l'État. Ce jeudi matin, ce sont donc les éditorialistes qui louent « François le Juste ».

La place de Jacqueline Sauvage n'était plus en prison.

Ainsi de Bruno Mège, de La Montagne : « Adieu le Culbuto, voici François le Juste, qui a bien fait d'user du droit de grâce qu'il voulait supprimer il y a dix ans ! » se réjouit-il. « Certes, écrit-il, il se trouve des esprits chagrins, essentiellement dans la magistrature et chez les spécialistes du droit pénal, pour expliquer que le président vient de bafouer à la fois la séparation des pouvoirs et deux verdicts successifs de jurys populaires, et que cette grâce totale est une incitation pour les femmes battues à occire leur tortionnaire. » Mais cette perspective n'effraie pas l'éditorialiste. « Il est grand temps que la peur, dans ces affreuses affaires, soit aussi dans le camp du bourreau. La décision d'hier y contribue », poursuit-il.

LIRE aussi Jacqueline Sauvage : au-delà de la grâce, vers une nouvelle loi ?

Dans Le Parisien-Aujourd'hui en France, Jean-Marie Montali crie « Justice » dès le titre de son éditorial. Et justifie pleinement la grâce, malgré les décisions de deux cours d'assises : Si les juges « ont condamné Jacqueline Sauvage à dix ans de prison, c'est qu'ils avaient sans doute de bonnes raisons de le faire, dont évidemment le meurtre de son mari de trois balles dans le dos, concède-t-il. On comprend mal, en revanche, leur refus de la libérer au prétexte qu'elle se considérait davantage victime que coupable ».

LIRE aussi Pourquoi Jacqueline Sauvage reste en prison

Demi-mesure


Dans la La Voix du Nord, Matthieu Verrier analyse cette grâce, geste politique qui conclut une affaire qui « depuis longtemps (...) a quitté la rubrique des faits divers » pour devenir « presque entièrement politique ». « La condamnée est devenue un symbole, celui des violences conjugales, des femmes sous l'emprise d'un mari bourreau ou encore d'une légitime défense que certains voudraient élargir grandement. Tout comme le meurtre était présenté comme la seule issue possible au calvaire de cette femme battue, la grâce est devenue la seule option politique. Hollande érige ainsi le symbole de sa propre compassion, qui demeure un devoir et un pouvoir du président français », explique-t-il.

Jean Levallois note, quant à lui, dans La Presse de la Manche que les réticences de François Hollande « en début de mandat à l'égard du droit de grâce et finalement la demi-mesure prise déjà à l'égard de madame Jacqueline Sauvage, en lui accordant une grâce partielle, n'ont fait que compliquer la situation en provoquant un raidissement de la magistrature ». Et de conclure que « c'est donc après avoir renoncé à une nouvelle candidature en 2017 que François Hollande s'installe complètement dans sa fonction présidentielle ».

Comme lui, Yolande Baldeweck salue dans L'Alsace la grâce totale en rappelant que la demi-mesure précédente avait mené Jacqueline Sauvage dans l'impasse sans aucun bénéfice ni pour le président ni pour la justice : « On ne peut que saluer ce geste d'humanité d'un président qui avait longtemps dénoncé ce droit comme étant le fait du prince. Mais il lui a bien fallu se rendre compte que la grâce partielle, décidée en janvier, n'avait fait qu'aggraver la situation de Jacqueline Sauvage. Sans forcément lui valoir l'approbation d'une partie de la magistrature, qui conteste l'opportunité laissée au politique de remettre en cause l'autorité de la chose jugée. »

Incompréhension


Même analyse de Philippe Marcacci qui juge dans L'Est républicain qu'en accordant une grâce totale François Hollande a peut-être « forcé sa nature » : « Car, en début d'année, François Hollande n'avait accordé qu'une grâce partielle. Par cette demi-mesure, il ne semblait manier que du bout des doigts le privilège quasi monarchique dont hérite tout président de la Ve République. Comme si sa conception du pouvoir lui imposait de laisser une chance à la justice de passer avant lui. »
Et de juger - à son tour - que cette grâce, « qui ne s'apparente pas à un droit de tuer, reconnaît avant tout une souffrance. Elle pose une barrière. Elle désigne le bourreau et la victime ». 


Éric Marty juge cette grâce « enfin juste ». Sans le moindre « bénéfice personnel pour le président » : « Elle n'a pas empêché la justice de s'exercer ; elle apaise les victimes et elle permettra de réfléchir au secours à apporter à ces femmes piégées par l'emprise de la violence. » Car là est l'urgence désormais, selon Christophe Bonnefoy dans Le Journal de la Haute-Marne : « Considérer un fait de société qui chaque année fait des milliers de victimes. Et pas parmi ceux qui donnent les coups... »

La seule réserve émane de Xavier Brouet, du Républicain lorrain, qui note que cette affaire et son épilogue traduisent le fossé qui se creuse entre la soif de justice de l'opinion publique et l'institution qui est censée la rendre. Et de rapprocher le cas de Jacqueline Sauvage de celui de Christine Lagarde. « Une autre campagne mobilise depuis quelques jours plus de 200 000 [signatures] en faveur d'un vrai procès pour Christine Lagarde reconnue coupable de négligence mais dispensée de peine. Aussi éloignées soient-elles, ces deux affaires ont en commun le mélange des genres et l'incompréhension que leur traitement suscite au sein d'une opinion de plus en plus exigeante en matière d'équité. Droit de grâce ou Cour de justice de la République... Gare à ne pas désespérer le justiciable en renforçant son impression d'une justice à géométrie variable. »

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Pourquoi cette tergiversation et mauvais suspense inqualifiable de ce président indécis, ce droit de grâce (réminiscence de l’ancien régime et de nos monarchies) est bien sûr à utiliser rarement, mais il existe et dans des cas particulier notamment par  souci d’humanité !

Çà été laborieux, mais il a cédé sous la pression peut être pour ne pas encore donner une plus mauvaise image de lui, mais il paie sa précédente indécision avec cette demi grâce qu’il avait accordée, cela représente bien son personnage hésitant à l'image de son quinquennat médiocre!

Notre justice qui est quelque fois trop rigide ou pas assez sévère selon le cas, comme on le voit souvent se réfugiant comme ça l’arrange derrière des codes pénaux juridiques par des fonctionnaires bornés a été désavouée par la population et indirectement par le président qui était gêné de le faire pour ne pas vexer ces magistrats et leur caste à réformer disposant de trop de pouvoir, d’où ses hésitations !

Les Français réclament une justice forte peut-être, mais surtout plus adaptée à la cause jugée et avec des peines plus sévères quand il le faut, dans ce cas-là, elle n’était pas à la hauteur et en plus représente un mal que subissent trop de femmes battues voir tuées sous les coups de leurs maris ou compagnons, il est temps que cela change au XXI eme que l’on dit innovant et moderne dans notre pays donneur de leçons !

JDECLEF 29/12/2016 10H50 LP

mercredi 28 décembre 2016

Pourquoi pas, il faut être bon avec l’animal déjà, avant de penser au président déchu !

Photo fournie par l'Elysée le 26 décembre 2014 montrant Philae, le labrador qui vient de faire son entrée au palais présidentiel

Politique

François Hollande souhaite garder sa chienne Philae après son départ de l’Élysée


ÉLYSÉE Le labrador noir avait été offert au président de la République à Noël 2014…
Ça sera sa petite consolation. François Hollande va quitter l’Elysée en mai prochain mais gardera un souvenir de sa présidence, sa chienne Philae. D’après Le Parisien, le président de la République aimerait emmener avec lui le labrador qu’il a reçu en cadeau à Noël 2014.
« Il s’y est attaché et s’en occupe, on le voit parfois la promener dans le jardin de l’Elysée », a expliqué l’entourage du président au Parisien.

Un chien fidèle

Le labrador noir offert par la Fédération des anciens combattants français de Montréal s’est parfaitement acclimaté à l’Elysée et connaît désormais les moindres recoins du palais. Il est également resté très fidèle à son maître, une qualité qui a toute son importance…
En revanche, le président de la République n’emmènera pas avec lui les trois autres animaux qu’il a reçus au cours de son quinquennat : deux chevaux offerts par le président algérien Abdelaziz Bouteflika et un dromadaire offert par les habitants de Tombouctou  au Mali.
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On peut bien lui laisser son chien surtout si cette bête est habituée à lui, cela ne gêne personne, il ne faut pas être débile et borné comme des fonctionnaires d'état !