jeudi 31 janvier 2019

En fait semble-t-il, des anarchistes de bas étages, c’est désespérant !


L'incendie des locaux de France Bleu Isère revendiqué par des libertaires

VIDÉO. Dans la nuit de dimanche à lundi, les locaux de France Bleu à Grenoble ont été ravagés par un incendie. Celui-ci a été revendiqué, selon France Bleu.


Nouveau rebondissement dans l'affaire de l'incendie des locaux de France Bleu Isère à Grenoble. La PDG de Radio France, Sibyle Veil, avait dénoncé un « acte criminel et odieux » peu après les faits qui s'étaient déroulés dans la nuit du dimanche 27 au lundi 28 janvier. Cet acte est désormais revendiqué. Selon les informations rapportées par France Bleu, des libertaires ont revendiqué le fait d'avoir incendié les locaux de la station de radio, sur un site contributif à tendance anticapitaliste et anarchiste.
Un texte a été mis en ligne mardi soir, aux alentours de 23 heures, et prend position contre les médias. « Beaucoup font couler l'encre à propos des médias pour les critiquer, peu font couler l'essence dans leurs locaux pour les incendier. À cela on remédie. Dans les bureaux des radios dans le centre-ville, lundi. Dans la tour hertzienne en périphérie, cette nuit. Ce que les incendiaires convoitent, que les flammes s'en saisissent », est-il possible de lire dans les propos rapportés par France Bleu. Il s'agit là d'une allusion à l'incendie qui a touché, le 29 janvier, un émetteur TDF situé au sud de Grenoble.

Les enquêteurs sur la piste des auteurs de l'incendie

Dans leur texte, les auteurs de l'incendie dénoncent également « les industriels d'hypnoses collectives, les fabricants de subjectivités consentantes à la société existante », rapporte France Bleu. Et ne cachent pas leur mépris pour les journalistes : « De tous les dompteurs de for intérieur qui existent, celui que je déteste le plus, le journaliste. » Les auteurs du texte lancent également un « bravo aux individu.e.s enfin, qui, par monts et par vaux, perpétuent l'attaque et veulent tout mettre à sac ».
Selon Le Dauphiné libéré, cette revendication, bien que relativement anonyme, est prise au sérieux par les enquêteurs chargés de l'affaire, et ce, en raison de certains éléments du texte qui, selon eux, ne sont pas sans lien avec les constatations réalisées dans le cadre de l'enquête dans les locaux de la radio.
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Mais cela montre s’il le fallait que l’état français dît régalien perd pied !

Car si tout le monde ou des groupuscules dangereux se mettent à faire leurs lois et commettent des attentats, c’est que l’anarchie gagne du terrain ?!

N’en déplaise à tous nos bienpensants donneurs de leçons hypocrites qui nous gouvernent !

Car cette montée de violence gratuite d’illuminés de tous poils et marginaux divers qui sont de moins en moins contrôlés efficacement comme par l’exemple de l’aéroport NDL qui a trainé pendant des décennies ?

Ou plus récemment, ces gilets jaunes dont certains sont violents énervés infiltrés par des casseurs que ne demandent que çà déstabiliser l’état et le pays en semant le chaos !

Il serait temps de régulariser cela avec plus de rigueur en resserrant les boulons avant que cela tourne aux désordres incontrôlables dans notre pays démocratique par trop de liberté débridée qui vont tuer cette liberté gagnée par les anciens qui hélas n’ont plus la main et des élus de tous bords dépassés comme l’état républicain en général !

Et si le président veut changer cela, il faut qu’il dissolve l’assemblée nationale et change de gouvernement déjà usé, par un passage aux urnes des français, car nos concitoyens n’en peuvent plus et en ont marre des parlottes sans fin qui n’aboutiront à rien comme beaucoup le pense, car ils n’y croient plus, on peut les comprendre !

Et ce même si les sondages frémissent un peu en faveur d’E.MACRON tant mieux, si cela lui convient, mais ils sont loin de refléter et représenter la majorité des français lambda !

A croire que ces désordres quotidiens conviennent à l’exécutif, comme on les appelle pompeusement ces bobos déconnectés de la réalité, en fait inefficaces qui profitent peut-être de cette situation !

Jdeclef 31/01/2018 15h06 LP

Ces casseurs trublions dangereux malfaisants apparaissent dans chaque manifestation et cela devient préoccupant donc il faut agir çà changerait :


La loi « anti-casseurs » adoptée par l'Assemblée nationale

Les préfets pourront prononcer des interdictions de manifester à l'encontre d'individus représentant une menace d'une particulière gravité pour l'ordre public.

Les préfets pourront désormais prononcer des interdictions de manifester. L'Assemblée nationale a en effet donné mercredi soir son feu vert à cette disposition-clé de la proposition de loi « anti-casseurs », malgré des critiques jusqu'au sein de la majorité. « Il ne faut pas caricaturer » cet article 2 et « en aucun cas il ne s'agit d'autre chose que de garantir le droit de manifester », a assuré le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner. Dans l'arsenal français, ces interdictions administratives préalables s'ajouteront aux interdictions qui peuvent déjà être prononcées par la justice lors de condamnations.
Par un amendement du gouvernement, cette mesure phare de la proposition de loi sénatoriale LR a été réécrite pour apporter « des améliorations juridiques et opérationnelles », selon le secrétaire d'État Laurent Nuñez. Les préfets pourront prononcer des interdictions de manifester à l'encontre d'individus représentant « une menace d'une particulière gravité pour l'ordre public », sous peine de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende en cas d'infraction.
Des « critères objectifs » ont été ajoutés : la personne devra avoir commis des « atteintes graves à l'intégrité physique des personnes ainsi que des dommages importants aux biens » ou encore « un acte violent » lors de manifestations précédentes. Le préfet sera en droit d'imposer une convocation à la personne concernée afin qu'elle ne se rende pas à la manifestation. En cas de risque de participation à d'autres rassemblements, a ajouté le gouvernement, le préfet pourra interdire à la personne de prendre part à toute manifestation sur l'ensemble du territoire national pour une durée allant jusqu'à un mois. Les personnes « interdites » de manifester pourront faire un recours en urgence devant la justice administrative, a précisé un amendement de la rapporteuse Alice Thourot (LREM) qui a été adopté.

La gauche monte au créneau

L'ensemble de la gauche est monté au créneau, dénonçant des « lettres de cachet » (PS) ou une « loi de circonstances » (PCF) face aux Gilets jaunes s'attaquant « aux libertés fondamentales de tout un peuple » et introduisant dans le droit commun une mesure permise dans le cadre de l'état d'urgence (LFI). Le Rassemblement national s'y est également opposé, critiquant un calque des interdictions de stade pour les hooligans alors que la liberté de manifester est d'un niveau supérieur. « On se croit revenu sous le régime de Vichy », s'est exclamé Charles de Courson (Libertés et territoires), suscitant de vives protestations dans la majorité et à droite.
Dans les rangs des « marcheurs », quelques voix se sont également élevées pour réclamer la suppression de l'article, manquant de « garde-fou » selon Delphine Bagarry. Aurélien Taché s'est aussi inquiété de ce que pourrait en faire un pouvoir autoritaire. D'autres élus LREM ont défendu en vain des amendements pour un meilleur encadrement. De leur côté, les députés MoDem ont plaidé pour une condamnation pénale préalable de la personne. À l'inverse, Les Républicains, par la voix d'Éric Ciotti, ont défendu une mesure d'interdiction « opportune et pertinente », qui « va faire progresser la sécurité de nos concitoyens, des forces de l'ordre et des manifestations ».
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Il faut surtout pouvoir les arrêter et les sanctionner vertement autrement que par une justice laxiste qui se réfugie derrière des arguties judiciaires et un code pénal inadapté !

Car la sécurité en France se dégrade par ses voyous qui ne sont là que pour vandaliser et se défouler contre les forces de l'ordre !

Et de ce fait le droit de manifester pour tous français lambda devient dangereux et occasionne des blessés ainsi que dans les forces de l'ordre, sans compter les dégâts collatéraux dans le domaine public et privé !

Il faut que certains bien-pensants hypocrites cessent de crier à la dictature qui s'en vouloir leur donner de leçons dont ils ne se gênent pas ne veulent pas voir l’anarchie qui s'installe !

Maintenant on voit que pour n’importe quelle manifestation cela se termine par des heurts de plus en plus grave et dégradation diverses !

Il faut que cela s’arrête puisque les français lambda qui manifestent comme ils ont droit ne sont pas capables de stopper les exactions de ses casseurs qui se moquent de l'état, un peu comme une certaine jeunesse qui se cache derrière leur minorité de moins de 18 ans dont ils connaissent bien la protection !

De toute façon dans notre pays si démocratique donneur de leçons à tout va, il n'est pas possible de plaire à tous les français et l'état est de plus en plus dépassé comme aujourd'hui, car on palabre trop sans agir pour le bien en fait de nos concitoyens contre certains qui ne respectent plus rien ni personne !

Mais ne rêvons pas cette loi de plus ne réglera pas tout loin de là et si elle est appliquée comme bien d’autres !?

Jdeclef 31/01/2018 09h57LP

mercredi 30 janvier 2019

Mélanger politique et religion même en filigrane par des idées rétrogrades pour n'importe quelle obédience religieuse quel qu’elle soit est dangereuse !


Bellamy, le choix très risqué de Wauquiez

En choisissant le talentueux mais très clivant et inexpérimenté philosophe comme tête de liste LR aux européennes, Laurent Wauquiez fait un pari hasardeux.


Ce mardi 29 janvier, la commission d'investiture LR a validé la candidature d'un trio de tête pour les élections européennes. Cette annonce inhabituelle dit, à elle seule, dans quelles difficultés se trouve le président du parti, Laurent Wauquiez. Il ne voulait pas s'exposer lui-même, mais n'a pas trouvé le mouton à cinq pattes d'accord pour se dévouer, sans faire trop vieux, se proclamant européen mais sans plus, et loyal au président du parti sans indisposer son aile plus modérée.
Alors, il a opté pour la candidature « trois en un ». Tête de liste : François-Xavier Bellamy, philosophe de 33 ans aux idées très conservatrices. Numéro deux : Agnès Evren, ex-porte-parole de Nathalie Kosciusko-Morizet pendant la campagne des primaires aujourd'hui vice-présidente de la région Île-de-France aux côtés de Valérie Pécresse. Médaille de bronze : Arnaud Danjean, proche d'Alain Juppé et habitué du Parlement de Strasbourg où il a déjà effectué deux mandats.
Cet attelage, destiné à gommer les aspérités de François-Xavier Bellamy, aux positions très « tradi », tant sur l'IVG que sur le mariage pour tous, est bien sûr une illusion. Car c'est la tête de liste, et elle seule, qui attirera toute la lumière. Et François-Xavier Bellamy incarne le recentrage sur les fondamentaux pour conserver le noyau dur des électeurs et courtiser la « droite Fillon », ou du moins ce qu'il en reste.

Opération survie

Toutefois, le risque du rétrécissement, du repli sur soi,, est bien réel. Depuis un an qu'il est à la tête de LR, Laurent Wauquiez a déjà fait le vide autour de lui. Xavier Bertrand, Alain Juppé et d'autres ont quitté le parti. Valérie Pécresse et Jean-Pierre Raffarin ont publiquement pris leurs distances. Virginie Calmels, la prise de guerre, n'est pas restée plus de quelques mois.
Le choix de Bellamy ne suscite pas l'enthousiasme à droite, c'est le moins qu'on puisse dire. Gérard Larcher et Éric Woerth avaient exprimé par avance leur scepticisme. Mais c'est surtout Rachida Dati qui s'est distinguée. Alors qu'elle fait des pieds et des mains pour obtenir de renouveler son bail au Parlement européen, où elle n'a guère convaincu, elle n'a pas mâché ses mots sur France Inter ce mardi matin, quelques heures avant l'annonce officielle : « Je ne suis pas la seule à ne pas avoir pensé à François-Xavier Bellamy comme une évidence pour la tête de liste Les Républicains […]. Ses convictions personnelles ne sont pas les miennes et ne seront jamais les miennes. »
Chez LR, la campagne ne s'annonce pas vraiment fraternelle et détendue. Car derrière la silhouette très clivante de François-Xavier Bellamy, Laurent Wauquiez joue sa légitimité, donc sa survie, à la tête du parti.
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Ce jeune nouveau leader politique bien élevé semble-t-il érudit sur-diplômé bobo à la mode, choisi par le chef du parti LR, L.WAUQUIEZ pour une clientèle qui penche plus à droite dans son parti qui perd son unité comme d’autres partis de cette ancienne classe politique avec ses politiciens médiocres que beaucoup de français ont rejeté lors des précédentes élections et qui ne trouve plus d’idées nouvelles !

Il faut dire que L.WAUQUIEZ n’est pas le leader qu’il faudrait au LR !

A croire que prendre des leaders nouveaux mais surtout bien jeunes bobos à la mode (sans vouloir faire une comparaison avec notre président actuel bien que..?)

Là, on voit bien que sur le côté sociétal notre pays dérive et va mal, car il cherche par ses dirigeants de partis divers, une voie scabreuse sous prétexte de droiture et fausse moralité ou éducation de bienpensant hypocrite, donneurs de leçons dont nous souffrons déjà les agissements indirects par ceux qui nous gouvernent !

Mais le plus préoccupant c’est d’oublier que nous sommes dans un pays laïque seul rempart contre les religions et leur dogmes extrémistes, surtout quand on parle de revoir la loi de 1905 sur la séparation de l’église et de l’état comme veut le faire notre président semble-t-il qui comme bien d’autres problèmes, pérore à en saouler les français lambda qui veulent des choses bien plus simple pour mieux vivre leur quotidien !

Le RN ex FN de M.LEPEN ne peut être que satisfait de cette nomination au LR qui glisse vers l’extrême droite, car ne sachant plus à quel saint se vouer !

Personnellement je trouve cela très préoccupant, car quand on commence par la voix de ce politicien frais moulu de parler de revoir l’avortement obtenu grace à SIMONE VEIL une grande liberté pour les femmes qui sont loin d’être égales avec les hommes, ou le mariage pour tous pour rallumer des dissensions inutiles entre français, çà ce n’est pas un progrès, c’est une régression !

Jdeclef 30/01/2019 10h52LP

lundi 28 janvier 2019

S'attaquer à des organismes de presse, journalistes, télévision, liberté d'expression-Radio, médias divers est extrêmement grave !


Les locaux de France Bleu Isère ravagés par un incendie criminel ?

VIDEO. Dans la nuit de dimanche à lundi, les locaux de la station de radio France Bleu Isère ont été partiellement détruits en raison d'un incendie.

Pour la radio, l'origine criminelle du sinistre « ne fait guère de doute » : « Il y a eu deux départs de feu à l'intérieur des locaux et une porte d'entrée a été fracturée », précise-t-elle sur son site internet. Selon le rédacteur en chef de France Bleu Isère, Léopold Strajnic, interrogé par ses collègues de Franceinfo, aucune menace particulière n'avait été exprimée contre la radio et aucune revendication n'a été retrouvée sur place ni reçue pour l'instant. Une enquête a été ouverte.
Il n'y a pas de blessé, mais la rédaction de France Bleu Isère est encore quelque peu sous le choc. Les locaux de la station de radio ont été partiellement détruits, dans la nuit de dimanche à lundi, en raison d'un incendie « d'origine criminelle », a fait savoir la radio. Il n'y a donc pas eu de journal sur l'antenne ce lundi matin. Les pompiers ont indiqué que « les locaux ont pris feu au rez-de-chaussée de l'immeuble. L'alerte a été donnée peu avant 3 heures ». Une quinzaine de soldats du feu sont intervenus pour éteindre l'incendie.
Pour la radio, l'origine criminelle du sinistre « ne fait guère de doute » : « Il y a eu deux départs de feu à l'intérieur des locaux et une porte d'entrée a été fracturée », précise-t-elle sur son site internet. Selon le rédacteur en chef de France Bleu Isère, Léopold Strajnic, interrogé par ses collègues de Franceinfo, aucune menace particulière n'avait été exprimée contre la radio et aucune revendication n'a été retrouvée sur place ni reçue pour l'instant. Une enquête a été ouverte.
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Ces incendies qui partent de partout dont certains douteux sont de plus en plus nombreux, ces derniers temps (« coïncidence peut-être, mais il n’y a pas de fumée sans feu comme dit le proverbe »... )

C'est lâche bien sûr, mais montre que notre société va mal et bascule tranquillement dans l'anarchie et il faut y prendre gare !

Il serait temps que notre justice molle et laxiste sorte de sa léthargie habituelle ou n'importe quel trublion divers peut faire tout et n'importe quoi impunément !

Et que nos dirigeants bienpensants hypocrites et donneurs de leçons réagissent au lieu de pérorer en essayant de noyer le poisson et que cela se passe avec le temps sans rien faire !

Il est désolant de voir nos dirigeants que nous avons élu incapable de démêler les sacs de nœuds qu'ils ont créé ?!

Ils n'ont qu'à redonner la main dans les urnes aux électeurs citoyens pour dissoudre l'assemblée nationale et changer de gouvernement s'ils ne sont plus capable de diriger le pays et le remettre sur les rails !

Car cet épiphénomène de gilets jaunes n'est pas un mouvement anodin et les français de tous bords en ont marre des palabres et discours fumeux qui ne donne rien au final auquel ils ne croient plus !

Jdeclef 28/01/2019 14h19LP

Là on voit le « MELENCHON » que l'on connait aboyeur friqué qui fait tout pour d’effrayer la chronique et se faire remarquer !


Venezuela : les encouragements de Mélenchon à Nicolás Maduro

Le chef de file de La France insoumise a accusé l'Union européenne de vouloir « déstabiliser le Venezuela ».


« Moi, j'espère qu'il tienne. Et je trouve extraordinaire que le président français, qui ne veut pas dissoudre dans son pays alors qu'il a une manifestation toutes les semaines et qu'il a déjà mutilé 13 personnes, veuille une dissolution chez son voisin (sic) vénézuélien. » Cette petite phrase a été prononcée par Jean-Luc Mélenchon dimanche 27 janvier. Le député de Marseille était invité sur le plateau de l'émission Dimanche en politique sur France 3.
Le chef de file de La France insoumise souhaite que Nicolás Maduro « tienne » alors que le président vénézuélien a rejeté un ultimatum de plusieurs États européens, dont la France, lui enjoignant de convoquer des élections.

 « Déstabiliser le Venezuela »

Porté par un soutien international croissant, le président autoproclamé du Venezuela, Juan Guaidó, doit accentuer dimanche sa pression en faveur d'élections en convoquant une nouvelle manifestation et en offrant l'amnistie aux militaires tournant le dos au chef de l'État Nicolás Maduro.


De leur côté, Madrid, Paris, Berlin, Londres, Bruxelles et Lisbonne ont lancé un ultimatum à Nicolás Maduro, exigeant la convocation d'élections sous huit jours, faute de quoi ces capitales reconnaîtront Juan Guaidó comme président. Le président vénézuélien l'a rejeté dimanche. Jean-Luc Mélenchon, qui a souvent dit par le passé son admiration pour le régime vénézuélien, a accusé dimanche l'Union européenne de vouloir « déstabiliser le Venezuela ».
À un journaliste qui lui demandait s'il lui était possible d'être à la fois dans la contestation en France et du côté du pouvoir au Venezuela, il a expliqué pouvoir « être dans mon pays engagé dans la contestation, et être engagé du côté de ce que je crois être la légalité contre les États-Unis d'Amérique, qui sont une puissance barbare et envahissante et le Brésil dirigé par un homme d'extrême droite qui soutiennent un putsch au Venezuela ».
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Alors qu'en France, on ne l'entend plus perdu et dépassé par le mouvement des gilets jaune qui lui a pris la vedette sans mal d’ailleurs, tant il n'est rien, à part pour semer le trouble dans les esprits faibles de certains français lambda !

Ce faux révolutionnaire nanti qui se verrait diriger notre pays, heureusement cela n’arrivera pas, fait partie de cette politique inutile comme ses politiciens plus que médiocres qui polluent notre société !

Dans ces extrêmes du paysage politique français on en arriverait à comprendre ceux de nos concitoyens qui penchent vers l’extrême droite du RN de M. LE PEN, car déçus de la politique et de ses politiciens en général (pour ceux qui votent encore...)

Alors aux élections européennes, beaucoup de français voteront pour le RN comme d’habitude et le reste s’éparpillera par peur vers la REM du président malgré leur déception de la politique de celui-ci, mais résigné ou le LR pour ceux qui n’ont rien compris et peut être vers les gilets jaunes s’ils arrivent à faire des listes électorales et beaucoup s’abstiendront, car ne voyant pas encore de vrais changements dans notre pays qui végète toujours !

En fait tout cela fait le bonheur des médias et des émissions télévisuelles politiques mais rien ne change, le président joue avec le temps qui passe et le pourrissement.
Car les français ne sont toujours pas capables de s’entendre accrochés à leur individualisme et versatilité de petits bourgeois étriqués avec leur petit confort et encore nombreux pour certains et donc le président monarque divise pour mieux régner, vieille méthode qui marche toujours en France dans le pays qui a inventé les révolutions oubliées depuis la fin du IXX eme siècle !

Il faut dire que tous nos dirigeants européens se sont chargés de leur faire oublier en leur mettant sur le dos la 2eme guerre mondiale !

Espérons que cela ne recommence pas, « car ne dit-on pas que l’histoire est un éternel recommencement » ..?!

Jdeclef 28/01/2019 10h39LP

dimanche 27 janvier 2019

Il ferait mieux de se mêler de ce qui le regarde car il a déjà beaucoup à faire en France son pays dont il a la charge, avec les problèmes qu'il traverse actuellement !


Venezuela : la France « prête à reconnaître » Guaidó

Emmanuel Macron pourrait reconnaître Juan Guaidó comme « président en charge » si des élections n'étaient pas annoncées « d'ici 8 jours ».


La France emboîte le pas à l'Espagne. À l'instar du président de gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, Emmanuel Macron souhaite la tenue de nouvelles élections au Venezuela.
Autre prise de position, samedi 26 janvier, l'attaché militaire du Venezuela à Washington a déclaré ne plus reconnaître l'autorité de Maduro. En effet, le colonel José Luis Silva a appelé ses «  frères militaires  » à soutenir le président autoproclamé Juan Guaidó. Le bureau de l'attaché militaire ne reconnaît pas le président Nicolás Maduro qu'il considère comme un usurpateur et reconnaît Juan Guaidó comme président légitime par intérim, a-t-il déclaré. «  Cette position est en conformité avec la Constitution et les lois du Venezuela, et j'ai appelé mes frères militaires à se joindre au soutien apporté à Guaidó  », a-t-il ajouté.
Sur Twitter, le président français a affirmé être prêt « à reconnaître » l'opposant vénézuélien Juan Guaidó en tant que « président en charge » de son pays si des élections ne sont pas annoncées « d'ici 8 jours ». Sans quoi, « nous serons prêts à reconnaître @jguaido comme “Président en charge” du Venezuela pour enclencher un processus politique. Nous y travaillons entre partenaires européens », a ajouté le président français.
Paris avait « fermement » appelé, vendredi, le président vénézuélien Nicolás Maduro à « s'interdire toute forme de répression de l'opposition ». Juan Guaidó, qui s'est autoproclamé « président » par intérim du Venezuela avec le soutien des États-Unis, a appelé à la poursuite de la mobilisation contre le pouvoir de Nicolás Maduro, à quelques heures d'une réunion samedi du Conseil de sécurité des Nations unies sur la crise à Caracas.

Pas de déclaration commune

La double déclaration samedi de la France et de l'Espagne intervient alors que les États membres de l'UE ne sont pas parvenus, vendredi soir, à s'entendre sur une nouvelle « déclaration commune » appelant à la convocation rapide d'élections au Venezuela. Le projet de texte soumis en fin de journée aux gouvernements des 28 précisait que, si Nicolás Maduro n'acceptait pas d'organiser de nouvelles élections, « l'UE étudierait la possibilité de prendre de nouvelles dispositions, dont la reconnaissance de Juan Guaidó comme président par intérim ».
L'Espagne a refusé d'appuyer cette formulation et, soutenue par plusieurs autres capitales, a demandé de la remplacer par « décidera de prendre de nouvelles dispositions, dont la reconnaissance de Juan Guaidó comme président par intérim », ont précisé les sources interrogées par l'Agence France-Presse.
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E.MACRON ne peut s’empêcher de donner des leçons aux autres, oui vraiment il ne fait pas preuve d'humilité notre jeune Jupiter de pacotille !

Et il ne sait pas qu'il faut savoir balayer devant sa porte quelquefois !

Les Vénézueliens votent et le font savoir, car partagé entre un président élu et un autre pseudo président qui ne l'est pas, car cela le montre dans leurs manifestations pour conserver leur démocratie, même si pour nos bienpensants macroniens qui pensent tout savoir, mais ne connaissent rien à ces peuples sud-américains habitués à des push ou révolutions diverses depuis des décennies comme le CHILI, le BRESIL, le PANAMA et même le MEXIQUE sous l'influence indirecte, mais puissante des USA qui tire indirectement les ficelles économiques comme pour le pétrole vénézuélien entre autres ..!

Alors pour E. MACRON suivre TRUMP qui menace le Venezuela cela ressemble à être les godillots des USA qui n'ont d'ailleurs pas besoin de la France, car l’Amérique du sud est le pré carré des USA depuis des lustres, c'est un peu normal, c'est le même continent en fait !

Que le président MACRON s'occupe de l'Europe à la rigueur, il y a beaucoup à faire, car là, c'est notre continent, mais qu'il ne traverse pas l'atlantique pour se faire mousser et qu'il reste l'allié historique des USA depuis la dernière guerre mondiale logiquement sans rien de plus, ce serait bien plus raisonnable !

On peut lire de certains qu’E.MACRON est peut-être trop jeune cela parait se confirmer, car il s’égare dans ses choix politiques et même à l’étranger ..?!

Jdeclef 27/01/2019 13h37

Ce sont les risques quand on va dans de telles manifestations importantes ou traine toujours des casseurs violents ?!


Gilets jaunes : Éric Drouet appelle à « un soulèvement sans précédent »

Selon le ministère de l'Intérieur, 69 000 personnes ont manifesté en France, dont 4 000 à Paris. Jérôme Rodrigues a été blessé à un œil par un projectile.


La journée a été marquée par de nouveaux affrontements. Samedi 26 janvier, des milliers de Gilets jaunes ont manifesté pour leur acte XI, marqué par des heurts, avec une ténacité affichée face à un exécutif qui regagne en popularité, dix jours après l'ouverture du grand débat national. Selon le dernier bilan du ministère de l'Intérieur, 69 000 personnes ont manifesté dans toute la France ce samedi, dont 4 000 à Paris, un chiffre en baisse par rapport à la semaine dernière. Pour l'acte X, 84 000 Gilets jaunes avaient été recensés. Les forces de l'ordre ont également procédé à 42 interpellations à Paris, selon des chiffres de la préfecture vers 17 heures.
Dans la soirée, dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux, Éric Drouet a appelé les Gilets jaunes à se soulever. «  Nous appelons à un soulèvement sans précédent par tous les moyens utiles et nécessaires pour que plus personne ne soit victime de ces blessures de guerre. » Avant d'ajouter : «  Laissez vos querelles de côté, un combat ne se joue pas, il se gagne.  »

L'IGPN saisie

Jérôme Rodrigues, figure connue des Gilets jaunes, blessé à un œil par un projectile alors qu'il se trouvait face à des forces de l'ordre, a été évacué par les pompiers du cœur de la place, puis hospitalisé.
Dans un tweet, la préfecture de police a confirmé qu'un «  blessé  » avait été «  pris en charge place de la Bastille  », sans préciser qu'il s'agissait de Jérôme Rodrigues. «  Le préfet de police, en accord avec le ministre de l'Intérieur @CCastaner et le secrétaire d'État @NunezLaurent, saisit l'IGPN afin que soient établies les circonstances dans lesquelles cette blessure est intervenue  », ajoute le tweet. Jérôme Rodrigues a posté la photo de son visage meurtri sur sa page Facebook, avec ce commentaire : «  Je vais perdre mon œil la famille. Ma famille.  »

Condamnations de Christophe Castaner

Peu auparavant, il était en train de filmer la manifestation en live sur Facebook, quand il s'écroule. Sur ses images, on voit d'autres manifestants au-dessus de lui, le prendre en charge, en appeler aux «  street medics  ». On entend l'un d'eux s'écrier à plusieurs reprises : «  Ils lui ont éclaté l'œil.  »
Le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner a «  condamné  » dans un tweet les «  violences  » commises selon lui par «  des casseurs déguisés en Gilets jaunes  ». Il «  condamne avec la plus grande fermeté les violences et dégradations commises samedi encore, à Paris comme en province, par des casseurs camouflés en Gilets jaunes  », selon le tweet. Toujours sur Twitter, il ajoute que «  l'IGPN saisie par le @PrefPolice fera toute la lumière sur les incidents qui se sont produits place de la Bastille  », où une figure connue des «  Gilets jaunes  » a été grièvement blessée à un œil alors qu'il filmait l'arrivée des manifestants.

Nuit jaune écourtée

Plusieurs centaines de manifestants se sont réunis samedi soir pour une première «  nuit jaune  » place de la République à Paris, qui a été assez rapidement évacuée en partie par les forces de l'ordre. Venant principalement de la place de la Bastille, elle-même évacuée, des centaines de personnes avaient convergé à République dès 17 heures dans une ambiance de kermesse, discutant en petits groupes sous une pluie fine, avant que la situation ne se tende en fin de journée.
Les forces de l'ordre ont fait usage de gaz lacrymogène, d'un canon à eau et tiré des grenades de désencerclement, repoussant les Gilets jaunes sur une partie de la place. De nombreux manifestants se sont plaints d'avoir été évacués de la place alors que le rassemblement, déclaré en préfecture, était autorisé selon eux jusqu'à 22 heures. Il avait été nommé la «  Nuit jaune  » par les organisateurs, en référence aux rassemblements citoyens de Nuit debout de 2016.

Maxime Nicolle interpellé

À Bordeaux, haut lieu de la contestation et où la préfecture s'est refusée à communiquer des chiffres de mobilisation, l'AFP a dénombré près de 5 000 Gilets jaunes. Ils étaient également 4 000 à Marseille, selon la police, où des gilets « rouges » de la CGT se sont joints aux manifestants. Des heurts ont éclaté dans le cortège d'au moins 2 000 personnes à Nantes. Une des figures nationales du mouvement des Gilets jaunes, Maxime Nicolle, a été interpellé à Bordeaux où il était venu manifester dans l'après-midi, a-t-on appris auprès de la préfecture.
Maxime Nicolle a été interpellé en début de soirée dans le centre de la capitale girondine où s'étaient rassemblés environ 200 manifestants décidés à mener une action nocturne. L'homme «  faisait partie d'un attroupement à qui il a été donné l'ordre de dispersion. Malgré cet ordre, il est resté et a incité les autres à faire de même  », selon la préfecture. Après avoir participé à la manifestation de l'acte X des Gilets jaunes samedi dernier à Toulouse, Maxime Nicolle était venu ce samedi à Bordeaux, une autre place forte du mouvement dans le Sud-Ouest.
L'homme «  faisait partie d'un attroupement à qui a été donné l'ordre de dispersion. Malgré cet ordre, il est resté et a incité les autres à faire de même  », selon la préfecture. Maxime Nicolle est ressorti moins de deux heures plus tard de l'Hôtel de Police. «  Il a été entendu en audition et laissé libre  », a indiqué le parquet. À sa sortie, cette figure du mouvement a indiqué devant la presse qu'il «  était en train de partir quand [il a] été interpellé  ».

Toulouse toujours mobilisée

La semaine dernière, la Ville rose avait établi le record de participation avec plus de 10 000 participants. Ce samedi, plusieurs milliers de Gilets jaunes ont de nouveau manifesté. Toulouse est l'un des bastions de la contestation. Des échauffourées et des dégradations ont eu lieu en fin de défilé.
« Des incidents ont eu lieu à différents endroits à Toulouse avec des dégradations de vitrines d'agences bancaires, de mobilier urbain et de chantiers, des feux de poubelles, des barricades et des tags. On dénombre actuellement un blessé en urgence relative. Dix personnes ont été, pour l'instant, interpellées en centre-ville », selon le bilan de la préfecture en fin de journée.

Marches distinctes

Rester visibles et audibles dans la rue, c'est le défi des Gilets jaunes alors que l'exécutif remonte dans les sondages, que les rangs des contestataires sont gagnés par de nouvelles querelles internes et que l'annonce d'une liste « Rassemblement d'initiative citoyenne » aux européennes de mai sème la division.
À Paris, deux figures historiques du mouvement aujourd'hui ennemies, Éric Drouet et Priscillia Ludosky, avaient engagé des marches distinctes. Le premier a pris place dans un cortège parti du cours de Vincennes, la seconde a rallié le siège parisien de Facebook depuis le ministère des Outre-Mer. Un troisième cortège est parti des Champs-Élysées.

« La répression en marche »

Dans ces cortèges, les revendications restaient cependant unanimes, la première d'entre elles réclamant un référendum d'initiative citoyenne (RIC), qui « hérisse » le Premier ministre Édouard Philippe. « La répression en marche », « Anti-Flash-Ball », proclamaient banderoles et pancartes à Paris ou à Brest alors que la polémique enfle sur les blessures causées par les lanceurs de balles de défense (LBD). Les forces de l'ordre dotées de ces armes étaient équipées pour la première fois de caméras-piétons.
« Il y a toujours du monde, même si les gens s'éparpillent un peu. Mais ce qu'il faut retenir, c'est qu'on est toujours là », souligne Jean-Jacques Sylvain, 55 ans, de Corbeil-Essonnes, au sujet de la mobilisation.

Incidents à Évreux

Venu de Fourmies (Nord), Mathieu Styrna, menuisier de 36 ans, estime que « le grand débat, c'est surtout une grande mascarade. On a l'impression qu'il y a une sélection des gens qui y participent ». Un père retraité de la RATP, venu manifester avec ses deux enfants majeurs, a déploré, lui, la présence de « militants d'extrême droite masqués », qui ont « chargé » des militants du NPA près de la gare de Lyon.
Quelques incidents ont aussi été recensés à Évreux. En marge d'un rassemblement qui a réuni plus de 800 personnes selon la préfecture, des dégradations ont été commises devant le siège de la Banque de France et au niveau des locaux de la police municipale, selon les autorités, qui ont également déploré l'incendie de « deux véhicules » aux abords de la mairie.

Défilé à Lyon

À Montpellier, où quelque 1 500 manifestants ont défilé dans le centre-ville, des incidents ont éclaté devant la préfecture. À Besançon, le mouvement hospitalier des Blouses blanches s'est joint au cortège des Gilets jaunes.
Au moins un millier de personnes ont défilé à Lyon dans une ambiance électrique et aux cris de « Macron démission ». Ils étaient environ 600 à Grenoble et à Saint-Étienne. À Strasbourg, 200 à 300 personnes se sont rassemblées devant le Parlement européen pour faire « barrage à Macron », selon les mots d'un manifestant, Valentin Wimmer. Ce mécanicien retraité de Molsheim (Bas-Rhin) estime avec regret que « le mouvement commence à s'effriter ».

Manifestation dans le calme à Lille

Environ 1 500 personnes, selon la préfecture, ont manifesté dans le centre-ville de Lille. Elles ont été rejointes en fin de parcours par un autre cortège d'un millier de personnes, celui pour le climat, a constaté une journaliste de l'AFP.
« Justice climatique, justice sociale », ont scandé les manifestants, Gilets jaunes et militants écologistes mêlés au sein d'un même cortège fusionné, arrivant place de la République. La manifestation, où étaient présents en fin de cortège des enseignants « stylos rouges », le collectif des sans-papiers du Nord et la CGT, a emprunté dans le calme des rues différentes, avant de faire les dernières centaines de mètres ensemble.
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On a le droit de manifester en France c'est bien, mais cela n’empêche pas les coups de toutes parts !

Et de plus quand on se frotte trop près des forces de l'ordre le risque augmente d'accidents divers !

Mais cela marche dans les deux sens car certains voyous trublions casseurs n'envoie pas que des tomates ou œufs pourris, ils ont dans leurs besaces, boules de pétanque en acier, boulons lancés à coups de lance pierre, pavés et tout objets ramassés sur le sol sans parler des cocktails Molotov des lieux ou se produise ses échauffourées !

Car notre justice laxiste et son code pénal inadapté ne permet pas d’interpeller efficacement ces individus dangereux qui se défoulent et vandalisent (faute soi disant de preuve) ni les punir sérieusement malgré que beaucoup soient filmés lors de leurs exactions diverses !?

D’ailleurs cela fait onze semaines que cela dure chaque samedi dans toute la France car notre fameux état régalien et ses ministres et dirigeants sont dépassés réduit à faire de la parlote pour essayer de calmer ces jeux pervers !

Il n'y a qu'une solution, peut être retourner aux urnes pour revoter pour changer notre gouvernement et nos institutions et ce problème couve depuis longtemps, on va voir si les français vont encore supporter cela longtemps, car notre président fait durer en espérant comme d'habitude que cette situation entrainera le pourrissement, ce n'est pas nouveau, d'autres présidents et 1ers ministres ont déjà subi cela dans le passé, mais ils ont appelé les français aux urnes pour remettre la vie du pays sur les rails, et cela devient urgent !

Jdeclef 27/01/2018 09h08LP

samedi 26 janvier 2019

Pauvre A.HIDALGO elle ne sait plus quoi inventer élections oblige...


Anne Hidalgo va créer une police municipale à Paris

La maire de Paris révèle dans « Le Parisien » qu'elle va déployer des policiers municipaux non armés mais munis de matraques et de bombes lacrymogènes.


Alors qu'elle y a été longtemps hostile, Anne Hidalgo annonce dans une interview donnée au Parisien qu'une police municipale verra le jour dès 2020 à Paris. Jusqu'alors, les pouvoirs de la police générale étaient détenus par le préfet de Paris. Pendant longtemps, la droite et la gauche se sont écharpées sur le sujet. Les écologistes et les communistes, présents dans la majorité d'Anne Hidalgo, sont nombreux à s'être opposés à cette idée. La maire de Paris invoque « une situation » qui « a évolué ».
La décision d'Anne Hidalgo a notamment été motivée par la consultation des conclusions d'un audit sur la sécurité à Paris. Selon elle, « il y a un champ entier de sujets qui n'est pas assez traité : les questions de la tranquillité publique, du quotidien et de la façon dont on peut faire respecter les règles collectives ». L'élue invoque aussi les attentats de janvier et novembre 2015 pour expliquer la création de la nouvelle unité.
Paris est la seule ville en France qui ne possède pas sa propre police. La nouvelle police municipale aura pour mission de « faire respecter la propreté des rues en luttant contre les dépôts d'ordures ou le vandalisme ». Anne Hidalgo cite également la lutte « contre les nuisances sonores dans les rues et les espaces verts ».

Une police non armée

À l'image de Londres ou de Bordeaux, les policiers municipaux de la capitale ne seront pas armés. Pour pouvoir faire respecter l'ordre et se défendre, ils seront néanmoins munis de matraques et de bombes lacrymogènes. Mais l'arme à feu est exclue. La maire de Paris ferme également la porte à un pistolet à impulsion électrique.
Autre nouveauté, les agents présents sur le terrain et sur la voie publique devront embarquer avec eux une caméra pour filmer leurs interventions. « La première violence que subissent nos agents, ce sont les insultes. Ces caméras permettront de prévenir et de sanctionner ces actes », souligne Anne Hidalgo.
Un débat aura lieu le 4 février au Conseil de Paris pour discuter de la mesure. La maire de Paris a assuré que Christophe Castaner l'« accompagnera(it) dans cette démarche ». 200 recrutements vont avoir lieu dès 2020 pour une police municipale composée de 3 400 agents.
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Attention à la marche en avant insidieuse d’un état policier en filigrane, car nos autorités et indirectement les français bien-pensants donneurs de leçons hypocrite, réclame plus de sécurité, les derniers événements ont souligné semble-t-il ces besoins ?!

Une police du quotidien édulcorée comme on en a dans les banlieues parisiennes ou villes de province cela fera un peu plus d'effectifs policiers, même si cela sera un ersatz de la police nationale, car diminué des procédures judiciaires qu'elle n'aura pas!

On voit bien le peu d'efficacité de cette fausse police dans nos villes, quand il y en a une (armée ou non) qui font traverser les enfants, patrouille en maraude et verbalise pour les mauvais stationnements, et n’empêche en rien les petits voyous et autres délinquants de tous poils, de polluer la vie sociale de nos villes et quartiers !

Il faut dire que Mme le maire de PARIS est la championne des idées soi-disant innovantes, mais surtout fumeuses qui font des flops à l'usage et des gouffres sans fond la liste est longue, car il faudra bien sur financer cette police municipale que les parisiens paieront bien sûr !

Jdeclef 26/01/2019 10h14LP

vendredi 25 janvier 2019

Les sondages concernant nos dirigeants ont leur fait dire ce que l'on veut !


Regain de popularité pour Emmanuel Macron et Édouard Philippe

VIDÉO. Le président et son Premier ministre remontent dans les sondages, après un passage à vide, selon une enquête Orange, RTL et « La Tribune » publiée vendredi.

Nouveau souffle pour l'exécutif. Un sondage Orange, RTL et La Tribune publié vendredi montre qu'Emmanuel Macron et Édouard Philippe remontent la pente. La popularité du président progresse pour le deuxième mois consécutif (+ 4), mais à un niveau toujours limité, et celle de son Premier ministre gagne 6 points en un mois. Dans le détail, près de deux Français sur trois (64 %) continuent par ailleurs d'« approuver » le mouvement des Gilets jaunes, soit 7 points de moins que début décembre, contre 36 % (+ 7) qui le désapprouvent.

Emmanuel Macron au même niveau que François Hollande à la même époque

Avec 31 % d'opinions positives, le chef de l'État se situe au même niveau que François Hollande au même moment de son mandat. 69 % (- 3) des personnes interrogées ont une mauvaise opinion de lui, selon cette enquête pour Orange, RTL et La Tribune. Emmanuel Macron, qui avait perdu 15 points de popularité entre juin et fin novembre, progresse ce mois-ci auprès de l'ensemble de l'opinion, notamment auprès des sympathisants socialistes (+ 8).

22 % des Français ont une opinion « plutôt positive » du grand débat

Édouard Philippe, qui avait également connu une forte chute au début du mouvement des Gilets jaunes (- 10), refait plus de la moitié du chemin perdu, avec 36 % de bonnes opinions. 63 % (- 5) sont d'un avis contraire. Seuls 22 % des Français interrogés ont une opinion « plutôt positive » du grand débat lancé par Emmanuel Macron pour trouver une issue à la crise des Gilets jaunes, contre 27 % d'un avis opposé. Et 51 % attendent « de voir ce qu'il en sortira ».




Plus d'un sur deux (53 %) pense enfin que les « Gilets jaunes » doivent « poursuivre leurs manifestations pour maintenir la pression sur le gouvernement » pendant le grand débat. 47 % considèrent au contraire qu'ils doivent les suspendre.
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De toute façon cela fait plaisir aux médias et à certains français gogos bien-pensant, ce qui concerne leur versatilité principal défaut de nos concitoyens lambda à qui on peut faire avaler n’importe quoi !

Alors, il reste des poignées de gilets jaunes avec des idées revendicatrices chargée de colère quelque foi justifiée mais dénuée de discipline qui s’éparpille à tout va ce qui est improductif !

Notre président l’intelligent MACRON se sert de ce désordre social pour faire ce grand débat fumeux pour noyer le poisson et calmer la populace, dont il se moque en l’insultant en passant par ses réflexions médiocres, car n’aimant pas le peuple lambda !

Car sans passage aux urnes ce débat et se qu’il en sortira, s’il en ressort quelque chose ne sera entériné que par un seul homme le président E.MACRON notre monarque sans couronne selon son bon plaisir !

Alors quoique l’on dise la France des privilèges monarchique n’est pas morte, c’est bien pour cela que tous nos politiciens de tous bords et députés nantis se gardent bien de vouloir changer cette Ve me république obsolète pour diminuer le trop de pouvoir que l’on a donné à un seul homme parvenu au pouvoir par défaut et qui augmente insidieusement au fil des décennies !

Pour résumer, il faudrait aux français plus de volonté pour un vrai changement constitutionnel, qu’ils ont essayé de faire, mais pas suffisant en se débarrassant de cette ancienne classe politique sclérosée à minima, car la nouvelle politique gouvernementale utilise les mêmes recettes éculées et le pays et les français vont aussi mal !

Alors ces gilets jaunes ont essayé peut-être maladroitement de secouer le cocotier étatique, mais sans beaucoup de résultats probants qui reprend du poil de la bête ce qui fait bouger ces sondages à la hausse bla-bla habituel !

Jdeclef 25/01/2019 14h10LP