mardi 31 octobre 2023

Il y a longtemps que notre crédibilité n’est plus qu’un lointain souvenir au PROCHE ORIENT ou EN AFRIQUE sur les ruines de notre empire colonial et avec ce jeune président qui n’a pas connu cela et ce passé et pourtant instruit il n’a rien appris à part faire du théâtre avec son épouse enseignante qui lui a peut-être enseigné le bon Français mais pas assez l’histoire de France ( encore moins celle du monde !?)

 

Guerre Hamas-Israël : la crédibilité perdue de la France au Proche-Orient !?

ÉDITO. Notre passivité s’explique par notre fragilité intérieure et par nos divisions. Pourtant, l’impuissance n’est pas une fatalité.

Par Luc de Barochez

Publié le 30/10/2023 à 06h30, mis à jour le 30/10/2023 à 08h59

S'enfoncer la tête dans le sable dès qu'un problème semble insoluble est un réflexe politique bien ancré. Les dirigeants français et européens l'ont suivi avec constance ces dernières années au Proche-Orient. Or voilà que la guerre entre Israël et le Hamas fait revenir en boomerang la question palestinienne. Laisser un abcès sans traitement aide rarement à le guérir.

Trop passives, la France et l'Union européenne ne jouent plus que des seconds rôles sur la scène israélo-arabe. Paris et Bruxelles ont assisté en spectateurs à la seule détente significative de ces dernières années, les accords d'Abraham, qui tendaient à normaliser les relations entre Israël et certains pays arabes mais qui ont négligé, à tort, le sort des Palestiniens.

Le pogrom perpétré le 7 octobre par les séides du Hamas a révélé au grand jour l'indécision des capitales européennes. Emmanuel Macron a attendu dix-sept jours avant de se rendre en Israël, alors que pas moins de 35 citoyens français ont été tués dans le massacre. Pas plus que ses pairs européens qui l'ont précédé, il n'avait ni la queue d'une idée pertinente, ni le début d'un projet mobilisateur. Seul le président américain, Joe Biden, en parvenant à débloquer un mince filet d'aide humanitaire pour Gaza, a montré que les États-Unis restaient, malgré leur volonté de se concentrer sur le défi chinois, un acteur central au Levant.

 Otages : comment les États-Unis tentent de retarder l'offensive terrestre d'Israël à Gaza

Notre pusillanimité provient d'abord de notre fragilité intérieure. Les atrocités du Hamas ont aggravé les fractures de nos sociétés autour de questions qui les polarisent plus que toutes autres : la place de l'islam, l'intégration des migrants, l'antisémitisme… Plus le conflit s'intensifie, plus les opinions occidentales sont réceptives aux messages radicaux, qu'ils soient de droite ou de gauche. Notre effacement s'explique en outre par l'incapacité de nos gouvernants à définir une politique proche-orientale cohérente – alors que la guerre en Ukraine a prouvé qu'ils étaient capables d'agir de concert dès lors qu'ils percevaient une menace imminente.

Politique d'équilibre

La cacophonie qui a suivi le carnage du 7 octobre a exposé les profondes divergences entre les pays qui privilégient l'alliance avec Israël (Allemagne, Italie, par exemple) et ceux qui mettent au premier plan leur solidarité avec les Palestiniens (Espagne, Irlande). On ne sait d'ailleurs plus très bien où placer la France dans ce classement, tant sa politique est devenue illisible. C'est ce qui arrive lorsqu'on cherche à plaire à tout le monde. La « politique d'équilibre » prônée par Emmanuel Macron ressemble à la quête futile d'une équivalence morale qui revient trop souvent à mettre Israël et le Hamas, l'agressé et l'agresseur, sur le même plan.

Pourtant, il n'y a pas de fatalité à l'impuissance. Il fut une époque où la France avait sinon du poids, du moins des initiatives remarquées et des positions tranchées (qu'on se souvienne de la guerre d'Irak en 2003). Et où l'Europe était capable de s'entendre à propos des droits des Palestiniens (déclaration de Venise, 1980). L'urgence impose de sortir la tête du sable. Car la France et l'Union européenne ont des intérêts vitaux à défendre dans cette affaire.

 Israël et Palestine, au-delà de la haine

Le premier défi est d'ordre géopolitique. Le conflit menace de déstabiliser notre environnement sur la rive sud de la Méditerranée, de déclencher une nouvelle crise de nos approvisionnements énergétiques et de creuser un peu plus le fossé entre l'Occident et de nombreux pays dits du Sud. Le second défi est migratoire. La catastrophe humanitaire qui se dessine à Gaza – potentiellement la pire depuis 1948 dans la région – est susceptible de jeter sur les routes de l'exode des dizaines de milliers de personnes. Le troisième défi est intérieur, autour de la cohésion de nos sociétés. Les deux pays de l'Union qui abritent les plus importantes populations juives sont la France et l'Allemagne. Créer les conditions de leur avenir en paix et en sécurité ferait un beau et utile projet franco-allemand.

L'enjeu national de la visite de Macron au Proche-Orient

Il importe d'ores et déjà de travailler à l'après-guerre, ce qui implique de restaurer la légitimité et l'autorité de nos diplomaties ; de réfléchir aux garanties de sécurité que l'Europe pourrait fournir ; de faire en sorte que les modérés dans le camp palestinien cessent d'apparaître comme les dindons de la farce ; d'aider à l'émergence de nouveaux interlocuteurs capables de prendre langue avec Israël ; de cesser de penser que l'appel incantatoire à un État palestinien pourrait par miracle accoucher un jour de la paix. Ce serait au moins un bon début.

Désolé de le dire mais avec ce président bienpensant donneurs de leçon petit bourgeois parvenu qui s’écoute parler pour ne rien dire d’utile on s’en est aperçu avec déjà la guerre Russo Ukrainienne et ses contacts avec Poutine cela ne peut être que logique notre dirigeant ne sait que bavarder en s’écoutant parler pour ne rien dire d’utile en agissant pas ou peu !?

Les Français encore trop naïfs l’ont hélas réélu par notre système électoral qui favorise les sortants mais avec une majorité en fait qui ne reflète pas la réalité !?

Beaucoup plus en fait ne l’apprécie pas et ne se dérange même plus pour aller voter car depuis + de 40 ans rien ne change et donc pratique « le chacun pour soi » !?

Ce drame horrible de cette guerre ISRAELO PALESTINIENNE CONTRE CE HAMAS QUALIFIE DE TERRORISTE ISLAMIQUE PAR LA COMMUNAUTE MONDIALE A JUSTE TITRE nous touche indirectement par les communautés JUIVES ET ARABES OU MAGREHBINES ET PALESTINIENNES importantes sur le sol de notre pays depuis + de 60 ans et la fin de notre empire colonial africain et extrême oriental ce qui a amené notre petit bourgeois dirigeant hyper bavard à faire le tour pour porter la bonne parole à des pays musulmans indirectement concernés car en fait c’est une guerre de plus religieuse remontant depuis la nuit des temps et à nos croisades millénaires entre l’ORIENT ISLAMIQUE ET L’OCCIDENT JUDEO CHRETIEN !?

Alors notre petit président de notre petite France car personne ne l’écoute et même se moque de lui et de notre pays il arrive trop tard ce donneur de leçon bienpensant donneurs de leçons à tout le monde il ferait mieux de protéger les Français dans leur quotidien car le terrorisme islamique lui est bien présent car revenu en filigrane par des menaces diverses !?

Jdeclef 31/10/2023 11h50 LP

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L’exemple de notre pays qui bien sur est un semblant de démocratie libre voulant donner des leçons à tout le monde mais trop arrogante pour en recevoir des autres avec un gouvernement médiocre inféodé au président qui ne connait pas le mot agir et incompétent élu et réélu par ces mêmes Français si naïfs qui avalent tout et sa 1ere ministre servile qui ont ce qu’ils méritent car ne souffrant pas encore assez !?

 

Motion de censure : le vieux fusil de LR !?

(UN PETARD MOUILLE QUI FAIT PSCHITT A CHAQUE FOIS !?)

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. La droite se dit prête à porter une motion de censure sur l’immigration… Arme atomique ou pistolet à bouchon ?

Par Sophie Coignard

HELAS MAINTENANT EN FRANCE ON N’EST PAS LOIN DE TOUCHER LE FOND ON VIENT DE FAIRE UN BOND EN ARRIERE DE + 20 ANS ET COMME ON N’A PAS DES DIRIGEANTS A LA HAUTEUR (QUE PERSONNE EN PLUS N’ECOUTE A L’INTERNATIONAL CAR ON NE FAIT QUE REGARDER NOTRE SOCIETE GLISSER VERS LE FOND IRREMEDIABLEMENT… !?

C’est toute la perversité de la dissuasion nucléaire : persuader l'adversaire que l'on ira jusqu'au bout, fût-ce au risque d'y laisser sa peau. Pour que ce bluff potentiellement fonctionne, il faut être crédible.

LR en est là aujourd'hui : convaincre que l'on est prêt à appuyer sur le bouton, celui de la motion de censure, même si ce geste doit entraîner des dommages mortels dans son propre camp. Et établir ainsi un rapport de force.

Écarté du pouvoir exécutif depuis plus de seize ans, le mouvement qui incarne la droite se dit déterminé à déposer une motion de censure sur la loi immigration, si le gouvernement ne renonce pas à l'article 3 de ce texte sur les régularisations de clandestins dans les métiers en tension. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, essaie d'en édulcorer le contenu sans l'abandonner, mais ses anciens amis politiques ne veulent rien entendre. Preuve qu'il les sent décidés à ne pas lâcher, il poursuit les échanges informels et rencontre ce mardi, en toute discrétion, une des chevilles ouvrières de la direction du parti pour évoquer le projet de loi sur l'immigration, qui arrive au Sénat la semaine prochaine.

Loi immigration : le gouvernement au pied du murJusqu'ici, seul Olivier Marleix, le patron des députés LR, agitait ce chiffon rouge de la censure. Mais ce dimanche, Éric Ciotti, jusqu'alors très prudent, l'a assuré dans le JDD : « Si le gouvernement passe en force, notamment en imposant son article 3, qui régularise les clandestins, nous n'hésiterons pas à déposer une motion de censure. »

Une menace très théorique

En théorie, l'affaire est sérieuse. Malgré ses effectifs historiquement bas, LR est le seul groupe, à l'Assemblée nationale, dont une motion de censure pourrait provoquer la chute du gouvernement, si les autres composantes de l'opposition – notamment la Nupes – font passer le dégagisme à la mode avant leurs convictions sur l'immigration. Mais Emmanuel Macron a prévenu : à l'adoption d'une motion de censure, il répondrait par la dissolution de l'Assemblée nationale.

Dans ce scénario, LR rêve de voir sa légitimité renforcée en marquant sa ferme opposition sur un thème qui préoccupe fortement les Français. Mais le parti a aussi beaucoup à perdre, en se voyant désigné comme fauteur de chaos, dans un moment où le pays n'a nul besoin de désordre supplémentaire.

 Bruno Retailleau : « Macron tend la main, mais qu'offre-t-il ? » La menace qu'il profère demeure donc très hypothétique. D'autant qu'il faut 58 députés pour déposer une motion de censure. Le groupe LR en compte 62, dont certains ne manifestent aucun enthousiasme. La perspective de remettre leur mandat en jeu ne les enchante pas, la crainte de servir de marchepied au Rassemblement national encore moins. Quant au risque de se voir exclus du parti pour insubordination, il n'est pas pris très au sérieux, dans une formation qui a agité le spectre de représailles sans beaucoup les mettre à exécution.

Il sera donc intéressant, le moment venu, d'examiner avec soin la rédaction d'une éventuelle motion de censure LR. Si elle est ouvertement anti-immigration, la droite voudra montrer ses muscles et sa détermination, tout en espérant que la gauche se refusera de soutenir un texte en désaccord criant avec les valeurs qu'elle affiche. L'arme atomique, alors, se transformerait en pistolet à bouchon.

 

La on voit ce que peut donner ce fameux article 49/3 qui donne trop de pouvoir à ces gouvernements de cette Veme république en place de tous bords inféodés au président en place qui lui donne encore plus de pouvoir que déjà les Français lui ont déjà donné sans même sans rendre compte associé à un 1ere ministre servile obéissante à sa politique médiocre et sa procrastination pathologique qu’il traine comme un boulet car n’arrivant pas à décider préférant  pérorer en discours creux ou en compassions larmoyantes quand des drames horribles arrivent du d’ailleurs à une réminiscence de ces attentats terroristes islamiques 2001/2015 qui en fait n’avait pas été éradiqués en 2013  et qui reviennent en puissance avec cette guerre ISRAELO ARABE dans cette bande dit de GAZA devenu un mouroir horrible qui n’est pas près de s’arrêter car nous concernant indirectement du fait de notre culture judéo-chrétienne et ces deux communautés juives et musulmanes importantes sur notre sol depuis + de 60 ans après la fin de la guerre d’ALGERIE et la décolonisation de notre empire africain ou d’extrême orient en Indochine  !?

En ce concerne notre président petit bourgeois il n’est pas plus utile que nos anciens présidents sans pouvoir qu’on disait là pour arroser les chrysanthèmes (de la IV eme république remplacée par de GAULLE en 1958) qui donnait trop de pouvoir aux Français trop indisciplinés et divisés et pas assez adultes semble -t-il coïncidence c’est justement la TOUSSAINT car il a beaucoup trop de pouvoir qu’il utilise mal et quand il le fait ce qui est rare CELA ne sert à rien en bavardant !?

Quant à notre classe politique de tous bords et ses élus par nous Français lambda elle est déplorable avec ces partis politiques ringards insipides ils ne passent leur temps qu’à s’invectiver comme des trublions mal élevés inutiles qui profitent de leurs avantages et nous tous nous et eux regardons la France tomber que l’on n’écoute plus dans ce monde lui-même malade ! ?

Jdeclef 31/10/2023 10h00

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lundi 30 octobre 2023

La honte incombe aux hommes de tous bords irresponsables hyper dangereux qui ne sont pas capables de s’entendre depuis des millénaires et qui ne sont que capables que d’inventer des systèmes divers pour mieux s’entretuer lâchement dans notre monde devenu instable et toujours plus dangereux !?

 

Les bombes d’Israël ont-elles vraiment fait 8 000 morts à Gaza ?

ENQUÊTE. Déclarant des chiffres monstrueux mais invérifiables, le Hamas jette le doute sur une hécatombe pourtant réelle et dans laquelle il porte une part de responsabilité.

De notre envoyé spécial en Israël, Jérémy André

ON N’EST PLUS A QUELQUES MILLIERS PRES N’EST-CE PAS MESSIEURS LES DONNEURS DE LECONS HYPOCRITES QUI NOUS GOUVERNENT SI MAL ET NE NOUS PROTEGENT PAS CAR CACHE DERRIERE LEUR ARGENT ROI FLEAU DU XXI EME SIECLE ET LEURS RELIGIONS DIVERSES DEPUIS + DE 2000 ANS !?

C’était l'image choc de la semaine dernière dans la guerre entre Israël et le Hamas : mercredi 25 octobre, le chef du bureau de la télévision qatarienne d'Al-Jazira à Gaza, Wael al-Dahdouh, apprenait en direct la mort de sa femme, de son fils, de sa fille et d'un petit-fils. La chaîne, engagée à fond dans le soutien aux Palestiniens bombardés, en a fait une édition spéciale, filmant le correspondant à l'hôpital en train de s'effondrer sur les corps. « Tu voulais devenir journaliste », bredouille-t-il, penché sur le corps de son fils, en pleurant à grosses larmes. En tout, 12 membres de sa famille ont été tués dans une frappe sur le camp de réfugiés de Nuseirat, dans la partie centrale de la bande de Gaza, où ils s'étaient rendus pour éviter de rester piégés dans leurs habitations bombardées.

Combien de Gazaouis sont morts ainsi depuis trois semaines ? Les images témoignent de destructions à l'échelle de quartiers entiers. Tous les jours, les médias internationaux reprennent un décompte morbide, publié par le « ministère de la Santé de Gaza ». Cette administration, héritée du temps où le territoire était gouverné, avant 2006, par l'Autorité palestinienne, est totalement contrôlée par le Hamas, groupe terroriste qui a assassiné le 7 octobre quelque 1 400 personnes dans le sud d'Israël. À suivre ses statistiques, le nombre de morts dans les bombardements à Gaza aurait dépassé en moins de six jours celui de l'attaque contre Israël. Dimanche 29 octobre, le décompte total, impossible à vérifier, a franchi le seuil des 8 000 morts.

Guerre Hamas-Israël : l'AFP, la BBC et le « New York Times » en ébullitionPeut-on faire confiance à ces données ? Interrogé, le président américain Joe Biden a lui-même confié son scepticisme : « Je ne sais absolument pas si les Palestiniens disent la vérité sur le nombre de personnes qui ont été tuées. Je suis sûr que des innocents ont été tués, et c'est le prix à payer quand on mène une guerre. » Une ligne suivie par d'autres officiels américains. « On ne peut rien prendre au pied de la lettre venant du Hamas, notamment le supposé ministère de la Santé », a dit le porte-parole du Conseil de sécurité nationale, John Kirby, lors d'une autre conférence de presse.

Des statistiques du Hamas invérifiables

Pour répliquer à ce scepticisme, l'administration du Hamas a publié jeudi un épais rapport de 212 pages. Sur 206 d'entre elles, le document liste ce qu'il présente comme les plus de 6 700 noms des morts – dont 2 913 enfants – des 3 premières semaines du conflit. « Ce rapport n'inclut pas les catégories suivantes : 1) disparus sous les décombres ; 2) personnes enterrées directement sans être transportées à l'hôpital ; 3) personnes pour lesquelles les hôpitaux n'ont pas pu finaliser leurs démarches d'enregistrement. Le nombre réel de martyrs est donc supérieur au nombre observé dans ce rapport […]. »

Il y aurait donc, à croire ce document, encore plus de morts que ceux déclarés. Le Point n'a pas pu vérifier la fiabilité de ces données, d'autant que le rapport n'indique pas la date de chaque décès et rend donc très difficile de remonter jusqu'au bombardement précis qui l'aurait causé et aux informations qui auraient pu être rapportées à ce sujet par la presse locale ou les réseaux sociaux sur le moment. Dimanche 29 octobre, une anomalie a cependant été repérée par un internaute israélien, Salo Aizenberg, membre de Honest Reporting, un groupe de défense d'Israël, face aux fausses informations : un nom listé comme « martyr » l'était déjà dans une autre liste en 2014 – avec le même âge et le même numéro de pièce d'identité. S'agit-il d'une erreur isolée ou cela trahit-il une méthode pour gonfler la liste en y intégrant des décès précédant le 7 octobre ?

Guerre Hamas-Israël : la crédibilité perdue de la France au Proche-OrientMalgré les doutes entourant ces statistiques et l'impossibilité de les vérifier, elles sont reprises par les grands médias, à commencer par les agences de presse comme l'AFP. Mais aussi par les agences de l'ONU, le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (abrégé OCHA en anglais) et l'Organisation mondiale de la santé (OMS), qui reconnaissent cependant reproduire les données palestiniennes sans être en mesure de les vérifier indépendamment. « Environ 1 600 personnes, dont 900 enfants, ont été portées disparues et pourraient se trouver sous les décombres », précisait en outre l'OCHA sur son site le 26 octobre, sans indiquer la source de cette estimation.

Le nombre de morts « hâtivement mis à jour »

Les doutes sur le bilan du Hamas ne proviennent pas seulement d'Israël et de ses soutiens. La fausse information sur l'explosion de l'hôpital Al-Ahli a marqué un tournant. Le 17 octobre, le Hamas a affirmé à tort qu'un bombardement israélien aurait fait 500, voire 800 morts dans cet établissement géré par l'Église anglicane. D'après les images parues depuis, le bâtiment n'a pas été détruit et l'explosion serait partie d'un petit cratère dans un parking d'une dimension qui ne correspond ni à une bombe israélienne ni à un incident aussi meurtrier qu'initialement rapporté.

La plupart des experts s'accordent désormais pour exclure un missile israélien, et certaines agences de renseignements ont donné des estimations beaucoup plus basses du bilan, entre 50 et 300 morts. Plusieurs services étrangers, dont la direction française du renseignement militaire, ont en outre appuyé l'hypothèse promue par Israël selon laquelle l'explosion aurait été provoquée par la chute d'une roquette défaillante lancée par un groupe palestinien. D'après des statistiques diffusées par Tsahal, durant les deux premières semaines du conflit, 550 roquettes palestiniennes seraient ainsi retombées sur Gaza au lieu d'atteindre leur cible en Israël. Elles pourraient avoir participé aux pertes civiles, mais le Hamas n'en dit mot.

Frappe sur un hôpital à Gaza : comment le Hamas et Israël se livrent une guerre médiatiqueCela a conduit un ancien directeur du bureau de l'agence Reuters à Jérusalem, Luke Baker, à pousser le mardi 24 octobre un coup de gueule sur X (ex-Twitter) : « Il semble évident que toute agence de presse qui se respecte devrait énoncer clairement que le ministère de la Santé de Gaza est dirigé par le Hamas. Le Hamas a clairement intérêt, en termes de propagande, à gonfler autant que possible le nombre de victimes civiles. Je ne nie pas du tout que des civils soient tués, notamment de nombreux enfants, c'est vérifiable. Ce qui n'est pas vérifiable, ce sont les chiffres qui émergent tout au long de la journée de Gaza concernant le nouveau bilan des morts – 700 tués au cours des 24 dernières heures, 500 tués dans l'explosion du parking de l'hôpital Al-Ahli, 5 000 tués depuis le 8 octobre, etc. […] Il faut donc au moins un minimum de scepticisme en ce qui concerne le nombre de morts, hâtivement mis à jour et souvent arrondi. »

Plusieurs éléments expliquent cette polémique. Tout d'abord, ces bilans très lourds sont diffusés quotidiennement et très rapidement, malgré le chaos à Gaza. D'ordinaire, un bilan en centaines de morts met plusieurs jours à être établi et les pertes civiles des batailles urbaines les plus meurtrières de notre époque, comme Alep, Mossoul, Raqqa ou Marioupol, restent incertaines encore des années après. Les chiffres déclarés par les Palestiniens classeraient les bombardements menés par Israël parmi les plus meurtriers du XXIe siècle sur une si courte durée. Enfin, de fausses informations diffusées par le Hamas, comme sur l'explosion de l'hôpital Al-Ahli, incitent des spécialistes à la prudence.

Guerre Hamas-Israël : comment le Hamas manipule l'information et les réseaux sociauxLes experts sont cependant partagés. Certains confient leurs arguments très précis pour prendre le bilan du Hamas avec des pincettes – mais ne veulent pas être cités, par peur d'une controverse explosive ou pour ne pas apporter de l'eau au moulin de ceux qui voudraient minimiser les souffrances des Palestiniens. D'autres défendent l'expertise du ministère de la Santé de Gaza.

Ainsi, Omar Shakir, directeur de Human Rights Watch pour Israël et la Palestine, ne voit pas de raison de douter : « Nous avons couvert des cycles d'hostilités du conflit israélo-palestinien depuis quarante ans et nous avons toujours trouvé que les chiffres du ministère de la Santé de Gaza étaient fiables. Cela tient à leur méthodologie : ils ont accès à des données des hôpitaux et des morgues qui sont inaccessibles aux autres. C'est la raison pour laquelle l'OCHA et même le département d'État américain citent ces chiffres. Les pertes civiles qu'ils rapportent sont cohérentes avec ce que nous voyons par les images satellites, nos interviews sur place, et les vidéos vérifiées. Le bombardement intensif dans une ville aussi densément peuplée que Gaza peut générer un niveau de pertes civiles tel que celui que rapporte l'administration de Gaza. Enfin, il n'y a pas de raison de penser que la liste des morts publiée cette semaine est inexacte. »

Tsahal accusé de commettre une « punition collective »

D'après le ministère des Travaux publics et de l'Habitat de Gaza – lui aussi contrôlé par le Hamas –, au 23 octobre, 45 % des bâtiments de la bande auraient été endommagés et plus de 16 000 auraient été entièrement détruits, soit 4,5 % du total. Si ces chiffres sont impressionnants, il faut aussi les relativiser : à Mossoul, en Irak, ville qui comptait 2 millions d'habitants avant la guerre contre l'État islamique – soit une population légèrement inférieure à celle de Gaza –, 70 % de la ville avait été endommagée après une bataille de plus de neuf mois entre octobre 2016 et juillet 2017, selon une étude de la Banque mondiale ; d'après une estimation en 2018 d'Airwars, groupe qui lutte pour la transparence sur les victimes de frappes aériennes, les bombardements de Mossoul, parmi les plus intenses et les mieux documentés des dernières années, ont fait au moins 1 000 morts, voire jusqu'à 1 500. Les chiffres palestiniens signifieraient donc que le bombardement israélien à Gaza aurait fait cinq fois plus de victimes en seulement trois semaines.

Des organisations spécialisées mènent d'ordinaire un long travail de confirmation des incidents meurtriers dans les guerres au Moyen-Orient. Mais aujourd'hui, pour Gaza, comme l'explique la directrice d'Airwars, Emily Tripp, toute vérification est rendue quasi impossible car l'enclave palestinienne assiégée est désormais inaccessible : « Il est très difficile de vérifier ces chiffres à l'heure actuelle parce que tant de groupes de défense des droits de l'homme qui font d'habitude ce travail ne sont plus en mesure de mener des visites et des vérifications sur place. » Comme tous les spécialistes, elle rappelle qu'avant le 7 octobre les chiffres palestiniens étaient fiables : « Nous avions travaillé en détail sur la campagne de mai 2021 et avions comparé nos chiffres et ceux du ministère de la Santé de Gaza, et ils n'étaient pas éloignés. »

Guerre Hamas-Israël : « Nous allons vivre une longue guerre » Les 8 000 morts en trois semaines sont-ils plausibles ? « Les chiffres actuels sont extrêmement élevés, reconnaît Emily Tripp. Pour la guerre contre l'État islamique, sur les neuf dernières années, notre estimation minimale des morts est de 8 199. Même, durant les périodes les plus intenses en Syrie, le bilan n'a que rarement excédé 2 000 morts sur un mois, même avec les bombardements russes très intenses. Mais – et cette restriction est très importante – le nombre de munitions tirées par les Forces de défense israéliennes dans la première semaine est beaucoup plus grand que ce que nous avons vu dans toutes les autres campagnes.

Tsahal a revendiqué avoir lâché 6 000 bombes sur Gaza. En comparaison, lors de la bataille de Mossoul, la coalition avait tiré 5 000 bombes durant le mois de mars 2017, l'un des mois les plus mortels de la guerre contre Daech. » Cette intensité alimente l'accusation contre Tsahal de ne pas se limiter aux cibles militaires mais de tapisser de bombes des quartiers entiers dans une forme de « punition collective » sur la population de Gaza, selon les termes employés par des experts de l'ONU dans un communiqué le 12 octobre.

Il faudra sans doute des années pour être fixé. Quel que soit le bilan réel, il est lourd. Et les débats sur l'exactitude du décompte occultent les véritables tragédies humaines qui se déroulent. D'autant que le drame ne fait probablement que commencer. « Nous craignons évidemment que le bilan ne s'alourdisse avec le temps, alerte Emily Tripp. S'il y a une opération terrestre israélienne à Gaza, les civils paieront le plus lourd tribut s'ils sont pris entre deux feux dans des combats de rue. Que des milliers de civils soient pris au piège d'une guerre urbaine, comme à Raqqa, est extrêmement dangereux. »

 

Cette comptabilité morbide du nombre de morts ou de bombes tombées sur cette bande Gaza par l’armée Israélienne que ses médias divers qui se complaisent à quantifier est déjà une honte car c’est une guerre C’EST TOUT au milieu de civils hommes femmes et enfants !?

Deux factions qui se détestent s’opposent militairement mais déjà bien avant cette attaque terroriste islamique lâche de ce Hamas qui n’a jamais cessé d’envoyer des roquettes ou missiles sur ISRAEL depuis que cette enclave de GAZA israélo arabe existe et depuis que l’Etat Hébreux et son indépendance en 1947/48 créé après guerres européennes devenues mondiales sur la ruine de l’empire OTTOMAN en 1920 !?

Donc ce conflit qui traine depuis des années n’a jamais cessé et ce n’est pas comme un affrontement de matchs sportifs divers ou ces J.O. dont on craint l’organisation a PARIS et qui subit actuellement des alertes et menaces d’attentats à la bombe dont ses médias de tous bords font des gorges chaudes !?

Car c’est aussi avec la guerre Russo Ukrainienne qui se poursuit malgré des milliers de morts depuis son début on n’en parle plus dans ces médias ou dirigeants donneurs de leçon bienpensants car ça n’intéresse plus personne c’est ce dictateur Poutine qui doit être satisfait?!

Quand ces conflits divers sous-jacents déborderons jusqu’à nous toucher dans nos pays encore libres et démocratiques mal gouverné de bien-pensant donneurs de leçons qui ne nous protègent pas assez d’une hypocrisie lamentable et d’une incompétence déplorable il sera trop tard on y est presque à la limite du supportable car ses 2 communautés juives ou arabo musulmane sont déjà très importantes dans notre pays qui se targue d’être le pays des droits de l’homme et du droit d’asile (c’est hélas un constat facile à observer déjà maintenant !?)

Jdeclef 30/10/2023 11h08


samedi 28 octobre 2023

La France pays des droits de l’homme voit cette qualification diminuer comme une peau de chagrin par une immigration que nos dirigeants ne savent pas gérer ni ne nous protéger d’ailleurs !?

 

Guerre Hamas-Israël : de quoi le silence vis-à-vis des Juifs français est-il le nom ?

Après les pogroms du 7 octobre 2023, au cours desquels 35 Français ont été tués, d’autres pris en otage, beaucoup regrettent l’absence d’une mobilisation nationale.

Par Valentine Arama

CAR « LE CHACUN POUR SOI » EGOISTE DEVASTATATEUR GAGNE DU TERRAIN LOGIQUEMENT DANS NOTRE PAYS GOUVERNE PAR DES DONNEURS DE LECONS HYPOCRITES ET INCAPABLES QUI NE PENSENT QU’A EUX AVANT TOUT !?

C'est une mauvaise habitude qui commence à se faire remarquer. Lundi 9 octobre, deux jours après les attentats sanguinaires menés par les terroristes du Hamas en Israël, à l'appel du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) quelques milliers de personnes se sont réunies place du Trocadéro, à Paris, pour une « marche de la solidarité » en soutien aux Israéliens. « J'y étais, confiait peu de temps après le dessinateur Joann Sfar au Point. Ce soir-là, il y avait 20 000 personnes et on était 19 990 Juifs. »

En 2012, après l'attentat qui a coûté la vie à trois enfants et un enseignant de l'école juive Ozar Hatorah à Toulouse, c'est peu de dire que la foule n'a pas envahi les rues pour battre le pavé. À l'époque, à Paris, un appel de l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) avait péniblement réussi à réunir 3 000 personnes. Une blessure encore profonde pour bien des Juifs de France, qui ont vu en 2015, après les terribles attentats commis contre Charlie Hebdo, l'Hyper Cacher et une policière de Montrouge, plus de 4 millions de personnes descendre dans les rues contre le terrorisme. Où étaient-elles, ces millions de personnes, quand en 2017 puis en 2018, Sarah Halimi et Mireille Knoll ont été sauvagement assassinées chez elles parce que juives ? « La majorité des Français n'a pas manifesté, ils ont pensé que ce n'était pas leur problème, que c'était seulement celui des Juifs… » suggère Paul Amar, ancien présentateur du 20 Heures d'Antenne 2.

Le journaliste, longtemps sous les projecteurs, fuit désormais la lumière. Jusqu'au 25 octobre dernier, où il a ressenti le besoin « irrépressible » de s'exprimer, sentant poindre le « danger ». Place de la République – la même où le 19 octobre, soit douze jours après les atrocités perpétrées par le Hamas, s'est tenue une manifestation de soutien à la « résistance palestinienne » à Gaza, aux cris d'« Allah akbar » –, Paul Amar interroge dans une vidéo : « Seurat, Carton, Kauffmann, Fontaine… C'était en 1985 que ces quatre Français avaient été pris en otage par le Jihad islamique, cousin du Hamas. Tout le pays s'était alors mobilisé pour obtenir leur libération. Assiste-t-on à ce même élan en faveur des Français kidnappés par le Hamas le 7 octobre  ? Non, malheureusement. Seraient-ils moins français ? »

Un silence complice ?

Frappé par le manque de mobilisation en soutien aux Israéliens, à nos ressortissants tués dans les attaques, tout comme l'absence de manifestation après l'assassinat du professeur Dominique Bernard à Arras, Paul Amar n'en estime pas moins que les Français sont extrêmement choqués par les récents actes de barbarie. « Seulement, aujourd'hui, hormis les politiques qui font le job, il n'y a plus que les propalestiniens dans les rues, pour ne pas dire les pro-Hamas… Pourquoi ? Parce qu'ils ont une force militante considérable, ils peuvent organiser une manifestation en quelques heures à peine, grâce à un tissu associatif très actif, une mouvance d'extrême gauche réactive, qui est très vite parvenue à inverser la perception du problème : ils ont presque fait oublier les massacres pour ne parler que de Free Palestine et soutenir le Hamas… Alors que la majorité silencieuse reste quant à elle… silencieuse », regrette le journaliste.

 Guerre Hamas-Israël : radiographie d'une flambée de l'antisémitisme en France

« Cette majorité silencieuse, on n'entend pas ses réprobations, mais elle existe. Je pense que beaucoup de gens ne veulent pas qu'on touche aux Juifs, le temps a passé, il y a eu la Shoah », abonde Philippe Val, ancien patron de Charlie Hebdo. Que faut-il de plus que les massacres commis le 7 octobre, alors, pour que les citoyens français – dont 35 de leurs compatriotes ont été tués dans les attaques – fassent preuve d'une mobilisation spontanée, franche et nette ? « En effet, l'inertie est lente, admet Philippe Val. Et en parlant de manière biaisée, comme le font Le Monde ou les radios du service public, on biaise l'opinion. »

Au-delà de la « majorité silencieuse », qui, par définition, ne se rend pas dans la rue, y aurait-il aussi un silence complice ? Invitée de l'émission C à vous sur France 5, mercredi 25 octobre, Élisabeth Badinter déclarait : « Dire qu'Israël est coupable de tout n'est pas audible. Il faut rééquilibrer les choses, et pour cela on ne peut pas ne pas dire que le Hamas est terroriste. On a l'impression qu'on est en train de gommer ça, et, d'ailleurs, l'extrême gauche fait tout pour. On fait “égal-égal” et je trouve ça insupportable et vraiment faux […] J'ai été très étonnée que le monde de la culture, universitaire, soit resté si silencieux, ça veut dire quelque chose. En ne prenant pas raisonnablement parti, ça veut dire qu'ils condamnent Israël : le silence, c'est ça. C'est qu'on n'ose pas dire qu'on est du côté du Hamas, sous prétexte d'être pour les Palestiniens. »

« Internationale de la terreur »

Alors que les corps des victimes du 7 octobre étaient encore chauds, une partie de la classe politique de gauche s'est en effet employée à déplacer le curseur, à détourner les regards, cherchant à demi-mot une justification aux exactions commises par le Hamas, dont La France insoumise se refuse toujours à dire qu'il s'agit d'un groupe terroriste. Au sujet de LFI, Émilie Frèche, coautrice avec Ruth Halimi du livre 24 Jours. La vérité sur la mort d'Ilan Halimi s'étrangle : « Que des responsables politiques assimilent de tels massacres à des mouvements de résistance, cela va au-delà de l'entendement. En disant ça, on dit que le Hamas a le droit de massacrer, de brûler, d'éventrer… Même ces mots n'ont plus de sens. Soyons clairs, Mathilde Panot a le sang des prochaines victimes juives sur les mains. »

 La semaine où la Nupes s'est effondrée

« Jean-Luc Mélenchon, vous qui êtes nés à Tanger de parents pieds-noirs, savez-vous seulement que les populations massacrées dans ces kibboutz, bébés et vieillards compris, étaient plutôt de gauche, attachés à la paix et à la création d'un État palestinien ? Savez-vous aussi qu'ils faisaient tous les shabbats une prière pour la République française, pendant que d'autres Français insultaient la République sur la place du même nom ? Faudra-t-il d'autres Bataclan pour comprendre qu'on a affaire à une internationale de la terreur qui s'en prend aussi aux femmes libres, aux homosexuels, aux laïcs et qui veut tout simplement assassiner ce à quoi on tient le plus… notre liberté », lançait quant à lui Paul Amar à la fin de sa vidéo tournée le 25 octobre.

Confusion

Plus largement, Émilie Frèche s'indigne que l'on confonde à ce point les causes : « La grande difficulté, c'est de comprendre ce qui se joue en ce moment pour Israël, pour les Juifs de la diaspora et la lecture qu'en font les gens. Pour certains, cette guerre est une énième étape d'un conflit territorial, mais pour les Israéliens et les Juifs de la diaspora, quel que soit leur niveau de croyance, les massacres du 7 octobre sont une réminiscence des pogroms, de la fin du Yiddishland ». C'est cette confusion des genres, dangereuse, qui a poussé Laurent Nuñez, le préfet de police de Paris, à interdire plusieurs manifestations propalestiniennes, justifiant qu'il ne fallait pas confondre « apologie du terrorisme, soutien à une forme d'antisémitisme et soutien à la cause palestinienne ».

 Manifestation propalestinienne à Paris : qui sont les organisateurs ?

Émilie Frèche s'émeut encore : « J'ai l'impression qu'on ne se rend pas compte de ce que ça veut dire que des bébés soient otages depuis plus de vingt jours. Quand je vois dans les rues des militants LGBT en soutien au Hamas, tous les gens normalement attachés aux droits humains, comment ne peuvent-ils pas ne pas être dans l'effroi et dans l'empathie ? Dire que les corps des femmes juives ne valent rien… Pour les féministes du monde entier, comment ne peut-on pas être révoltées ? Si on ne descend pas dans la rue pour ça, quand est-ce que l'on descend ? »

« Des groupes ultramobilisés »

Haïm Korsia, le grand rabbin de France, se veut plus nuancé et circonscrit les manifestations propalestiniennes à des petits groupes de la haine anti-Israël : « Ça ne touche pas le grand public, ça concerne des groupes ultramobilisés qui portent une haine antisémite insupportable », veut-il croire. Lui estime au contraire que, pour une fois, la majorité habituellement silencieuse s'est largement exprimée après le 7 octobre. « Je trouve qu'il y a eu une grande solidarité, j'ai reçu des lettres, des messages, des inconnus m'ont arrêté dans la rue… Ça montre bien qu'un cap a été franchi et, de mon point de vue, c'est la première fois qu'il y a une telle unanimité sur les crimes barbares commis en Israël. » Yonathan Arfi, le président du Crif, salue ces soutiens qu'il juge cependant exclusivement « individuels ».

« Je comprends ce que veut dire Haïm Korsia, mais, dès lors qu'il s'agit de poser une parole publique, beaucoup ont peur d'être rattrapés par la polémique. Il y a une forme de timidité à prendre la parole publiquement sur cette question, même si l'émotion est évidente chez les Français. Les images qui nous parviennent ont touché les cœurs et les consciences mais la difficulté est dans la conversion de cette émotion en mobilisation publique », affirme le président du Crif. Jeudi 26 octobre, Emmanuel Macron annonçait qu'il organiserait dans les prochaines semaines un hommage pour les victimes françaises de l'attaque terroriste en Israël. Si la date n'a pas encore été précisée, il devrait se tenir au monument dédié aux victimes du terrorisme aux Invalides. Une ambition louable, bien sûr, qui, malheureusement, ne saurait se substituer au silence assourdissant.

Oui hélas les non juifs Français ne se mobilisent pas et sont apathiques car ce drame ne se déroule pas chez eux mais en ISRAEL c’est çà la réalité car l’antisémitisme est toujours latent en France depuis bien avant la création de l’état ISRAELIEN et était déjà présent comme on l’a hélas constaté avec la rafle horrible du vel-d’hiv à Paris pendant l’occupation allemande et du pétainisme qui l’avait organisé avec la police parisienne au point même que les allemands nazis n’ont eu rien à faire et n’en revenait pas!?

D’ailleurs c’est presque pareil pour la cause palestinienne pro arabisante qui dérange aussi ces mêmes Français qui ne veulent pas de manifestations pros palestinienne !?

Car beaucoup de nos concitoyens ne veulent que la paix chez eux et ne plus subir ces manifestations et désordres c’est pourquoi le gouvernement a interdit celles-ci pour éviter désordre et dégradations diverses quelque fois dangereuses car ils ne veulent plus être concerné par ces groupes de politiques à consonance en plus religieuses qui ne respectent pas notre laïcité et nos libertés et celle des droits de l’homme et du droit d’asile difficile à gérer !?

Par ses Français lambda depuis les attentats de 2001/2015 de ce DAESH et son E.I. qui d’ailleurs perdurent toujours sous d’autres formes isolées par des fanatiques illuminés dangereux ne veulent plus revoir cela car déjà là par des alertes multiples de faux attentats à la bombe par des malfaisants trublions pour leur faire peur !?

Car bien sur la communauté juive de France est importante par 600000 juifs sur notre sol mais aussi celle arabo musulmane 1.9 millions et africaine 100 900 résidents dans notre pays important après la décolonisation depuis les années 1960 (ce n’est qu’un constat La statistique représente l'évolution du nombre total de personnes de nationalité étrangère résidant en France 2011 à 2023 mais il faut regarder la réalité en face car en plus concentré en paris et sa couronne et en IDF et autres villes importantes de provinces dans le sud est qu’on ne nommera pas car connues !?)

Jdeclef 26/10/2023 16h02 LP

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vendredi 27 octobre 2023

Les ISRAELIENS sont habitués depuis la création de leur état indépendant en 1947/48 de se prendre en charge eux-mêmes et surtout pour leur défense continuelle par ses guerres larvées qu’ils subissent par une partie du monde musulman et par certains (antis juifs viscéralement dont ils veulent la disparition et la perte !?)

 

Incursion blindée à Gaza : « Les Israéliens s’assurent de leur liberté d’action future » !?

INTERVIEW. Yann Boivin, ancien officier commandant un escadron de chars Leclerc, explique au « Point » la première incursion blindée israélienne à Gaza, le jeudi 26 octobre avant l’aube.

Propos recueillis par Jean Guisnel

CE PAYS EST ETERNELLEMENT SUR LA DEFENSIVE CONTRE DES ATTENTATS DIVERS (EN 2007) J’AI VISITE CE PAYS IL Y AVAIT DES GROUPES DE JEUNES SOLDATS PARTOUT J’EN AI MEME VU DANSER EN FAISANT UN RONDE EN CHANTANT DEVANT LE MUR DES LAMENTATIONS PORTANT LEURS FUSILS D’ASSAUT EN BANDOULIERE ET A EILAT (AKABA) PORT ISRAELIEN DE LA MER ROUGE ETRE CONTROLE A UN CHEK POINT PAR UNE PETITE JEUNE FILLE SOLDAT QUI EST MONTEE DANS NOTRE CAR AVEC UN FUSIL A LA BRETELLE PLUS GRAND QU’ELLE ?!

(Alors oui ce pays est à plaindre n’en déplaise aux fâcheux donneurs de leçons hypocrites !?)

Dans la nuit du mercredi 25 au jeudi 26 octobre, Israël menait un premier « raid ciblé » avec des chars dans le nord de la bande de Gaza, indiquait peu après l'armée israélienne dans un communiqué. Une opération faite « dans le cadre de ses préparatifs pour les prochaines étapes du combat », selon le porte-parole militaire. Dès le mercredi soir, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou confirmait la préparation d'une offensive terrestre contre le Hamas dans la bande de Gaza.

Ancien officier commandant un escadron de chars Leclerc, Yann Boivin anime le blog Blablachars, référence sur l'arme blindée, et la société AFV Conseil, dédiée à l'armement terrestre. Il répond aux questions du Point sur cette incursion blindée israélienne à Gaza.

Guerre Hamas-Israël : quel est l'arsenal des belligérants ? Le Point : L'armée israélienne a diffusé des images d'une incursion nocturne de ses blindés dans la bande Gaza. Qu'y avez-vous vu ?

Yann Boivin : On y voit tout d'abord le volume équivalent à un escadron de chars Merkava IV, qui interviennent au sein d'un ensemble de moyens interarmes. Pour ce qu'on en voit, cette opération se déroule conformément aux principes de l'armée israélienne, puisqu'on voit des bulldozers d'assaut D9, venant de chez l'industriel américain Caterpillar. C'est un engin civil modifié par IMI (Israel Military Industries) et IAI (Israel Aerospace Industries). Le dernier modèle, le D9R, est capable de tracter une charge de 71 tonnes. On voit ces monstres « nettoyer » la butte qui sépare Gaza d'Israël. Ils ont été blindés avec 15 tonnes d'acier et on discerne aussi le blindage réactif, système de protection active Trophy, conçu par l'industriel Rafael. Pour la petite histoire, c'est ce même système qui a été retenu par les Britanniques pour équiper leur nouveau char de combat Challenger 3, et par les Allemands pour la protection des Leopard 2 A7V et A8.

Sur la vidéo, on distingue à la suite des bulldozers des engins de déminage Puma, blindés de conception locale, basés sur des châssis d'anciens chars de combat Sho't, eux-mêmes dérivés localement des modèles britanniques Centurion. Les Israéliens les ont transformés en engins de déminage équipés de roquettes explosives permettant de faire exploser des mines à distance et de systèmes de déminage adaptés à la mission. Parmi ces équipements, on trouve un système de déminage classique inspiré de l'ensemble de déminage soviétique KMT, un « râteau » ou encore une lame dozer. On se trouve donc bien dans une conception interarme du combat blindé, les chars de combat Merkava, qui appartiennent au corps blindé israélien étant accompagnés et précédés par des moyens du génie, bulldozers d'assaut et chars démineurs.

Le moment du franchissement de la frontière est toujours délicat. Ils veulent éviter d’être arrêtés – comme l’ont été les Ukrainiens durant leur contre-offensive – par des mines ou des tirs.

L'infanterie était-elle impliquée ?

Sans doute, mais les images diffusées, filmées à la caméra thermique par un drone, ne sont pas de grande qualité et je n'ai pas vu d'engins de combat d'infanterie. C'est relativement compréhensible compte tenu du type d'opération… On se trouve dans la phase de préparation d'une offensive plus importante. Les Israéliens ont ouvert des corridors, les ont déblayés avec les bulldozers, avant de les déminer et de les nettoyer avec les Puma. Ensuite, on voit les chars lourds s'établir sur des positions et ouvrir le feu. Ils tirent probablement sur des bâtiments susceptibles d'abriter des positions antichars du Hamas.

Le moment du franchissement de la frontière est toujours délicat. Ils veulent éviter d'être arrêtés – comme l'ont été les Ukrainiens durant leur contre-offensive – par des mines ou des tirs. Si tel était le cas, ils auraient besoin d'un appui d'artillerie, qui ne serait pas forcément immédiat et imposerait des délais. Dans ces circonstances, ils s'assurent de leur liberté d'action future. Les corridors qu'ils ont dégagés vont désormais être surveillés par des drones, si nécessaire battus par les feux de l'artillerie. À la première velléité de réinstallation par le Hamas de quoi que ce soit sur l'itinéraire, ce sera une riposte de l'artillerie. Les Israéliens veulent garantir leur liberté d'action jusqu'au démarrage de l'offensive. C'est à mes yeux une opération préparatoire.

Otages : comment les États-Unis tentent de retarder l'offensive terrestre d'Israël à GazaPourquoi les chars de combat interviennent-ils après le génie ?

Le génie travaille sous le feu. Regardez bien les images vidéo : un char Merkava IV franchit la frontière, et un autre char est à sa droite, avec la tourelle tournée vers la droite, en appui, prêt à riposter. Dans l'armée française, les cavaliers doivent la protection aux sapeurs du génie qui agissent à leur profit. Je ne vois pourquoi ce serait différent dans l'armée israélienne. Si les chars étaient passés en premier, ils auraient peut-être des difficultés à franchir cette énorme butte de terre alors que les bulldozers sont faits pour. Une fois qu'ils sont passés, les Merkava arrivent et tirent à un horizon que j'ai du mal à estimer, mais qui pourrait être de 3 000 mètres. Ils tirent sans doute des obus explosifs sur des cibles faiblement durcies.

Les Israéliens ont engagé des chars de combat Merkava. De quoi s'agit-il ?

Ce sont des chars Merkava 4, on ne peut pas faire d'erreur, puisque ce sont ceux dont la tourelle est en forme de soucoupe volante. Les premiers modèles de Merkava, le 1 et le 2, n'existent pratiquement plus à l'exception de quelques unités territoriales. Les sept ou huit brigades blindées de réserve sont équipées de Merkava 3. Les trois brigades blindées de l'armée active sont équipées de Merkava 4 et 3. Et l'une des brigades blindées est en cours de perception des premiers Merkava 5 dans un premier escadron.

Le Merkava est aujourd’hui considéré comme l’un des chars les plus performants au monde, mais il reste très spécifique.

En quoi les Merkava sont-ils différents des chars de combat fournis, ou pas, à l'Ukraine (Leopard II, Challenger, Abrams, Leclerc) qui ont défrayé la chronique ces derniers mois ?

Le Merkava a d'abord été développé pour répondre aux besoins uniques de l'armée israélienne, notamment après l'embargo sur les armements décidé par la France et le Royaume-Uni en 1969. Le principe consistait à utiliser essentiellement dans sa fabrication des composants produits en Israël, sous licence ou pas. Le Merkava 1, conçu sous la direction du général Israël Tal à partir de 1970, est ainsi composé de nombreux éléments sous licence. Depuis sa première mise en service en 1979, le Merkava n'a jamais cessé d'évoluer. Il répond à des besoins très spécifiques et n'est pas conçu, contrairement aux autres chars que vous évoquiez, pour agir loin de ses bases.

Si la France avait décidé de fournir des chars Leclerc à l'Ukraine, ils auraient combattu loin des bases françaises. Israël n'est pas dans ce cas. Dans la bande de Gaza, leur matériel est à quelques kilomètres de chez eux. Par ailleurs, le Merkava est adapté à la survie de son équipage. Gros blindage, moteur à l'avant, qu'on ne trouve sur aucun autre char moderne. Autre spécificité, simplifiant la fabrication d'une « famille » d'engins. Le véhicule de combat d'infanterie Namer est conçu sur le même châssis. Ensuite, on a privilégié lors de sa conception la durée d'engagement et l'adaptation à l'environnement local. Son système de climatisation est très performant et permet de combattre dans le désert même en plein été et de produire de l'eau fraîche en permanence. Dans un char Leclerc, l'espace est réduit. Dans un Merkava, il y a de la place pour évoluer !

 Hamas-Israël : la guerre sera longue, très longueLe Merkava a été malmené au Liban en 2006. Quelle a été la réaction d'Israël ?

C'est un char en perpétuelle évolution. Le Merkava 2 a été conçu pour intégrer les leçons de l'opération Paix en Galilée en 1982, au Sud-Liban. En 1990, le Merkava 3 introduit une vraie rupture avec le canon de 120 mm lisse et d'autres équipements novateurs tels que son blindage composite modulaire, le Merkava 3 étant le premier char au monde à recevoir ce type de protection. L'offensive contre le Hezbollah au Liban en 2006 a suscité d'autres réflexions. Les Israéliens n'en parlent pas trop, mais tous les observateurs s'accordent sur le fait que cinq Merkava ont été pulvérisés par des missiles antichars.

Les leçons en ont été tirées, notamment sur le système de protection active Trophy, introduit en 2011. Il n'est pas destiné à protéger le Merkava contre des munitions dites « flèches » tirées par d'autres chars, mais bien contre les projectiles de types roquettes antichars, comme le RPG russe, voire les missiles antichars guidés. Ce char est conçu pour combattre en milieu fortement urbanisé comme peut l'être celui de Gaza City, mais aussi dans le Golan face aux chars syriens. Il est aujourd'hui considéré comme l'un des chars les plus performants au monde, mais il reste très spécifique.

Le Merkava peut-il transporter du personnel ?

C'est plus compliqué… Le char possède une écoutille à l'arrière pour recevoir du personnel, mais ce n'est pas la fonction première. Il peut cependant récupérer des blessés sous le feu, et cette ouverture permet à l'équipage d'évacuer par l'arrière en cas de prise à partie directe. Cet espace permet également de faciliter le recomplètement de l'engin en munitions. Ce n'est pas un transport de troupes, mais il peut emmener des commandos. Peut-être cela a-t-il été le cas à Gaza pour infiltrer des forces spéciales dans la nuit. Pure hypothèse…

Pourquoi n'a-t-il pas été exporté ?

C'est un engin conçu pour les besoins particuliers d'Israël. Il n'a pas été exporté à ce jour, mais des discussions ont récemment eu lieu avec Chypre et le Maroc. Je ne sais pas ce qu'il en est aujourd'hui.

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Depuis le début de leur indépendance 1947/1948 (ils ont musclé leur Défense depuis la dernière guerre éclair dite des 6 jours de 1967 envers les Egyptiens pour annexer la partie est de Jérusalem pour en faire leur capitale (d’ailleurs la France avait fourni des avions pour les aider !)

Que ce soit en terme de renseignements et entrainements de leur armée et leur jeunesse par conscription de 3 ans de service militaire avec des réservistes nombreux qui en fait mobilisent toute la population avec cette nouvelle guerre contre ce terrorisme islamique du Hamas issu de la bande de GAZA plaie ouverte qu’il ne peuvent plus réintégrer sur le sol israélien et cette zone de cette région Palestinienne dite Cis Jordanie longeant la mer morte et protégé par ce grand long et haut mur de béton avec des tours de guet à espace régulier (il faut l’avoir vu pour s’en rendre compte le mur de Berlin était un bricolage à comparer à celui-ci !) Je peux en témoigner ayant pu visiter ISRAEL du nord au sud entre deux intifada en 2007 de pseudo paix !?

Pour leur Défense en matériel militaire lourd ces chars et artillerie sont de fabrication israélienne et armes de point pour leur infanterie car ils ont d’excellents ingénieurs et techniciens pour les concevoir pour leur aviation ils sont équipés de chasseurs F35 US aussi performant que nos rafales et s’en servent de jour comme de nuit (ce que seuls des pays comme la France l’Angleterre savent faire ce que j’ai pu aussi constater car dormant dans un kibboutz la nuit quand ils passent au-dessus çà vous réveillent !?)

Pour le reste leur bouclier anti missiles est fourni ainsi que les aides financières diverses par les USA qui ont la plus grande communauté juive au monde çà peut se comprendre quand on voit déjà les divisions idéologiques de l’U.E. et ses pays libres et démocratiques en plus avec leurs communautés judéo chrétienne ou autres (avec ce qu’ils ont subi dans le passé. !?)

JDeclef 27/10/2023 15h11

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Nos dirigeants ne sont que des marionnettes ballotées par le mauvais vent de leurs politiques intérieures française de cette Veme république devenue monarchique comme l’ancien régime et le monde à l’international devenant hyper dangereux !?

 

Plan antiémeute d'Élisabeth Borne : solennité à défaut d'efficacité !?

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. La Première ministre présente avec gravité des mesures contre les violences urbaines qui risquent toutefois de ne pas passer l’épreuve du réel.

Par Sophie Coignard

Mme BORNE fait comme son patron président petit bourgeois car inféodée et obéissante à son maitre elle bavarde et ce depuis sa nomination et encore plus même avec ces émeutes de JUIN ne fait que commencer à en parler car le régalien le chef d’état  ne sait pas faire ou lui déplait parce que là forcement il faut décider et agir avec rigueur et comme il est occupé en pure perte à pérorer dans ces pays arabo musulmans qui ne l’écoute pas suite à ce drame horrible de cette guerre de terrorisme islamique anti juifs ISRAELIEN de cette organisation de terrorisme islamique qui exporte ce mal partout à consonnance religieuse obscurantisme qui veut la fin de l’occident judéo chrétien donneur de leçon bienpensant car il faut regarder la vérité en face (ce que ne font plus nos dirigeants politique Français de tous bords depuis + 40 ans !?)

Dans la lutte contre le chômage, on a tout essayé », disait François Mitterrand en 1993. Une formulation désastreuse qui lui a été reprochée à juste titre. Un président ne peut pas faire montre d'un tel fatalisme face à la préoccupation numéro un de ses compatriotes. Le chômage a désormais fortement régressé, et les Français, dans une forme d'ingratitude collective, n'en créditent guère Emmanuel Macron. Leur principal sujet d'inquiétude pour l'avenir de leur pays, c'est désormais « les incivilités et la délinquance », selon une enquête menée par Ipsos pour le Conseil économique, social et environnemental (Cese).

Jeudi 26 octobre, la Première ministre présentait un plan volontariste pour prévenir et réprimer les émeutes urbaines, après le traumatisme vécu par le pays au début de l'été à la suite de la mort de Nahel à Nanterre. Devant 500 maires, dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne, Élisabeth Borne a égrené une série de mesures régaliennes. Des mesures qui, dans leur énoncé, sont destinées à marquer les esprits mais dont l'efficacité et même parfois la faisabilité restent à démontrer.
Sécurité : l'État sera-t-il bientôt débordé ? « De l'ordre, de l'ordre, de l'ordre ! » s'était exclamé Emmanuel Macron fin juillet depuis Nouméa, en Nouvelle-Calédonie. Il avait promis d'entreprendre « un travail minutieux et de plus long terme pour comprendre en profondeur les raisons qui ont conduit à ces événements » qui ont sidéré les Français comme leurs dirigeants : le jeune âge des émeutiers – un tiers d'entre eux étaient mineurs, dont certains avaient moins de 15 ans –, le niveau de violence gratuite, y compris dans des villes petites et moyennes, exigeaient une réponse forte.

Une petite enveloppe, des initiales qui claquent…

Ce n'est pas le chef de l'État en personne qui a présenté ce plan. On peut le regretter alors qu'il n'hésite pas à s'exprimer pour se féliciter du bon déroulement de la visite de Charles III et du pape, événements certes mémorables, mais beaucoup moins que le saccage, huit jours durant, de mairies, de commerces, d'écoles et d'autres équipements collectifs.

Élisabeth Borne, toutefois, a su donner à ses annonces une certaine solennité, entourée de nombreux ministres, dont ceux de l'Intérieur et de la Justice. Son plan peut-il atteindre ses ambitieux objectifs, « garantir la sécurité » et « assurer la cohésion nationale » ? C'est une autre histoire.
 Vincent Jeanbrun : « Ça sera le sursaut ou le chaos » D'abord, une petite enveloppe, dans la meilleure tradition française : 100 millions d'euros pour réparer et reconstruire. Ensuite, des initiales qui claquent, avec la création de la FAR (Force d'action républicaine) déployée dans les villes qui ont besoin d'une présence durable de services publics renforcés. Problème : il ne s'agit pas d'une réponse aux émeutes de juillet dernier, mais d'une promesse présidentielle ressortie d'un tiroir.

Les polices municipales pourraient se voir aussi confier des pouvoirs renforcés… à condition que le Conseil constitutionnel ne censure pas une telle idée comme il l'a fait en 2021. Puis vient la nécessaire responsabilisation des parents, une belle initiative qui prévoit que les pères aussi soient contraints de rembourser les dommages causés, d'effectuer des travaux d'intérêt général (TIG) ou de suivre des stages de responsabilisation. Bon courage, tout de même, pour les trouver, les confondre et les contraindre ! Un éventuel encadrement militaire pour les jeunes délinquants, enfin, n'est pas une trouvaille inédite.

Tout réside désormais dans la mise en musique de ces belles paroles. Elle nécessitera des compositeurs talentueux et déterminés.

Il faudrait que les FRANÇAIS lambda comprennent enfin que nos dirigeants au pouvoir sont totalement dépassés et font la paire car hyper bavards déjà par notre président procrastinateur mais qui n’agit pas (et s’il l’avait fait lors du 1er quinquennat « macronien » ce qui n’a pas été le cas ?!)

Avec ses 2 gouvernements et ses deux 1ers ministres et l’excuse bateau de la COVID et sa crise sanitaire mal gérée ou comme l’organisation de la vaccination désordonnée a été rattrapée par l’Union Européenne qui pour une fois a été utile et efficace !?

Et la réforme des retraites qui a déplu à tous les Français qui les a forcés dans la rue à manifester quelque fois violemment dans leurs villages et villes et cette émeute plus récente de jeunes trublions casseurs et vandales (que soi-disant notre président parvenu petit bourgeois n’avait pas venu venir !?)

Et la réélection de notre président (on se demande bien pourquoi) et ses changements de gouvernements méthodes très utilisées et usées par tous ces prédécesseurs avec cette nouvelle 1ere ministre et 3eme gouvernement pas une nouveauté car la deuxième femme sauf que celle-ci inféodée et servile est plus intelligente mais va très bien avec lui appliquant la non politique creuse de ce chef d’état bavard donneur de leçons et inefficace se complaisant dans des discours creux non suivis d’effet !?

Car notre président donneur de leçons hypocrite bienpensant que personne n’écoute est dépassé par cette horrible guerre terroriste islamique menée contre ISRAEL fait le tour de ce Moyen-Orient instable risqué et dangereux dans un monde entier qui ne va pas mieux pour porter sa bonne parole (tout comme pour cette guerre en UKRAINE que l’on oublie un temps) avec la cerise sur ces gâteaux empoisonnés du retour des attentats islamiques de 2001/2015 sur notre sol menaçants pour l’instant mais à la limite de reprendre car le mal est déjà chez nous depuis + de 20 ans!?

Mais ce n’est pas grave puisqu’assez de Français l’ont réélu ce président ils l’ont mérité semble-t-il tant pis pour eux et les autres qui ne lui accorde pas leur confiance !?

Jdeclef 27/10/2023 11h42

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