Guerre
Hamas-Israël : les images insoutenables du pogrom !?
L’armée
israélienne, confrontée au négationnisme, a montré des vidéos de la traque et
du massacre des Juifs par les terroristes du Hamas le 7 octobre.
IL FAUT
CESSER DE MINIMISER L’INSOUTENABLE ET SOUTENIR SANS RESERVE ISRAEL ET LES JUIFS
POUR LEUR SURVIE IL Y VA DE LA LIBERTE ET LA SECURITE DES PAYS DEMOCRATIQUES
ENCORE LIBRES POUR NE PAS ETRE SUBMERGES PAR SES RELIGIONS OBSCURANTISTES DONT
CES TERRORISTES ISLAMIQUES SE RECOMMANDENT POUR JUSTIFIER LEUR BARBARIES (LE
TOUR DE SES PAYS ARABOS MUSULMANS DE NOTRE PRESIDENT ET MEME D’AUTRES COMME BIDEN
NE SERT A RIEN SONT IMPRODUCTIFS DANS LEURS DISCOURS DE BEIN PENSANT DONNEURS
DE LECONS QUE CES CRIMINELS BARBARES FANATIQUE N’ECOUTENT PAS COMME D’AUTRES
QUI S’Y LAISSE PRENDRE PRATIQUANT LE POLITIQUE DE L’AUTRUCHE !?
CAR CES
GUERRES DE RELIGIONS MODERNES SERONT LA PERTE DE L’HUMANITE ET DURE DEPUIS DES
MILLENAIRES PAR LA FAIBLESSE DES HOMMES PAR CE MYSTICISME MOYENNAGEUX RELIGIEUX
ET ON N’A PAS EVOLUE PIRE ON REGRESSE !?
Le lundi 23 octobre, la presse est convoquée dans une base militaire
pour une diffusion ultrasensible. Désemparée par le négationnisme qui règne
dans certains médias, Tsahal, l'armée israélienne, s'est résolue à organiser
une diffusion à huis clos des images brutes – caméra GoPro de terroristes,
vidéos de surveillance, images tournées par des victimes ou des
secouristes… –, rassemblées depuis l'attaque lancée le samedi
7 octobre par le Hamas contre les localités israéliennes proches de la
bande de Gaza.
Ces preuves matérielles confirment les atrocités, inconcevables, que
les terroristes ont commises et que rapportent depuis deux semaines
des témoins sous le choc. Elles corroborent les récits qui défient
l'entendement. Aucune inexactitude n'est tolérée, comme en a témoigné le débat
sans fin sur les bébés décapités – actes barbares désormais prouvés par
des images et un rapport de légistes indépendants internationaux, à l'exception
du chiffre 40, un temps répété à l'antenne, sans doute une exagération d'un
soldat sous le coup de l'émotion.
Le hamassisme des
imbéciles, de nouveau
Mal à l'aise. Les officiers de Tsahal venus présenter ces
images sont mal à l'aise. « Nous avons beaucoup hésité avant
d'organiser cela, confie d'entrée de jeu le contre-amiral Daniel Hagari,
porte-parole de l'armée. La raison pour laquelle j'ai décidé de le faire,
c'est que nous voulons comprendre nous-mêmes pourquoi nous menons cette
guerre. »
Tour à tour il écarte les mains en signe de dépit, puis les frotte
nerveusement, son malaise allant croissant au fur et à mesure qu'il déroule son
plaidoyer, tout aussi brut que ce qui va suivre. Ce n'est qu'une minuscule
fraction des téraoctets d'images recueillies. Et ce n'est qu'une première
étape. Une version pour casque de réalité virtuelle est en projet. « Nous
devons en faire un objet de mémoire collective », dit-il.
Des escadrons de la mort. La salle plonge dans l'obscurité.
Durée : quarante-trois minutes et quarante-quatre secondes. Les
journalistes ne sont pas autorisés à faire des enregistrements. Il faut
s'accrocher. Le cœur s'emballe. « Il n'y aura pas assez de papier dans
le monde pour écrire toutes les horreurs qui se sont déroulées ici »,
nous avait avertis Eli Landau, un ambulancier, effondré sur un banc devant le
portail d'un kibboutz, quelques jours auparavant. Du matériau brut diffusé par
Tsahal nous ne décrirons sommairement que quelques scènes, sur une centaine,
pour beaucoup encore plus horribles que celles
rapportées ici.
D'abord, l'incursion et ces dizaines de plans d'escadrons de
la mort du Hamas qui prennent en embuscade les véhicules sur les routes du
sud d'Israël. Cris de victoire lorsqu'ils mitraillent les conducteurs. Les
voitures continuent de rouler alors que conducteur et passagers sont tous
morts, couverts de sang.
Ensuite, la traque, rue par rue, dans les localités de la région. Les tueurs
discutent nonchalamment en passant de maison en maison, abattant les
silhouettes qu'ils repèrent. Dans une maison, aux cris d'« Allahou
akbar », un homme s'acharne pour décapiter un corps avec une bêche.
Guerre
Hamas-Israël : lettre à un Israélien inconnu de la part de Kamel
Daoud
Sans défense. Des caméras de sécurité privées, sans le son.
Dans une maison d'un kibboutz, un père en caleçon saisit un de ses fils dans le
lit, intime à l'autre de le suivre. Ils s'enfuient dans un abri. Ellipse. Une
grenade jetée sur la porte de l'abri explose. Le corps du père tombe dans
l'entrée, mort sur le coup. Un homme lourdement armé enjambe un muret, entre
dans la cour.
Les deux fils sortent, toujours quasi nus, courent se réfugier à
l'intérieur. Couverts de sang, blessés par des éclats, ils sont prostrés. Son
de la caméra de sécurité. Ils pleurent de manière déchirante. Les tueurs
entrent, semblent rire. « Je veux ma mère, ma mère, crie un des
enfants. Je crois que je vais mourir. […] Pourquoi suis-je en
vie ? »
Épargnés ? Envoyés pour être emmenés à Gaza ? Pour être abattus
ailleurs ? Ils s'enfuient hors de la pièce. Nouvelle ellipse. Porte de
l'abri, cadavre du père. Arrivée d'hommes armés, des Israéliens, accompagnés
d'une femme. C'est la mère, elle s'effondre à la vue du corps. Interrogée après
la séance, l'armée s'est refusée à dire si les deux enfants étaient morts ou
vivants.
« Tue, tue, tue ! » Dans un autre document,
on entend un criminel du Hamas appelant ses parents avec le téléphone d'une de
ses victimes. Enregistrement. « Je suis à Mefalsim [un kibboutz,
NDLR], j'ai tué dix Juifs de mes propres mains, hurle-t-il,
triomphant. J'ai leur sang sur les mains. » Son père
l'encourage : « Puisse Allah te ramener en paix. […]
Tue, tue, tue ! – Sois fier de moi, père. » Sa mère
pleure : « Promets-moi de rentrer à la maison. »
D'après le commandement israélien, plus de 1 000, peut-être
2 000, combattants de Gaza ont mené l'attaque du 7 octobre.
Tsahal en a tué plusieurs centaines, mais beaucoup sont rentrés à leurs bases,
leurs véhicules chargés d'otages.
Le cauchemar continue. Dans des bureaux, les commandos dénichent des
victimes terrifiées sous les tables. Ils discutent du sort à leur réserver, les
laissant les implorer. Avant d'en abattre une d'une rafale. C'est surtout le festival musical Tribe of Nova, à
Re'im, où le Hamas a assassiné 260 personnes, qui est de loin le
théâtre de la pire des barbaries.
À LIRE AUSSI L'explosion
de l'hôpital de Gaza, le grand mensonge du Hamas
Comme de la viande. La soirée commence comme un rêve. Des
milliers de jeunes dansent de manière insouciante. Les vidéos des festivaliers
s'enfuyant en courant étaient connues. Pas celles où ils courent entre les
voitures abandonnées, poursuivis par des chasseurs qui viennent les achever au
sol.
Un demi-corps, coupé en deux par une explosion, finit de se consumer. Des
dizaines de participants échouent dans des bennes et des abris, pour se mettre
à couvert. Certains ont perdu des membres, tous sont couverts de sang et de
suie. Les fanatiques finissent par les trouver. Ceux qu'ils n'ont pas tués sont
entassés à l'arrière de pick-up, comme de la viande.
Acharnement. Les vidéos ont complété le tableau. Comme deux
pièces d'un sumbolon, un objet coupé en deux qu'il faut réunir pour en
comprendre le sens. Au kibboutz Kfar Aza, où nous
nous sommes rendus, le temps a été figé vers 6 h 30, le
7 octobre. Il y a des pièces toujours allumées, des tables de petit
déjeuner mises, abandonnées soudain. L'acharnement est méticuleux.
Beaucoup de voitures sont incendiées, comme des maisons, d'autres véhicules
sont étrangement réduits à une sculpture de ferraille tordue ou éventrée d'un
côté – on a sans doute tiré dessus à la roquette antichar. Un petit
quartier d'abris est plus systématiquement endommagé.
À LIRE AUSSI Guerre
Hamas-Israël : « Cette guerre viole tous les droits des
victimes »
Apocalypse. « Là, vous voyez, ils ont ouvert une
brèche à l'arrière de ces deux abris à l'explosif parce qu'ils n'arrivaient pas
à entrer, pointe du doigt le major Liad Diamond, un officier du
porte-parolat de l'armée, un costaud que plus rien ne semble pouvoir atteindre.
Je suis arrivé le samedi soir pour combattre. Il nous a fallu plus d'une
journée pour libérer le kibboutz. Je connais Kfar Aza, j'avais une amie ici.
J'ai appris le lundi après l'attaque qu'elle était morte. »
On « entre » dans un autre abri au seuil plus ensanglanté que les
autres. Odeur de mort, vision d'apocalypse, impacts d'éclats du sol au plafond.
Au milieu d'un bazar de meubles renversés et de tissus maculés, une épaisse
mare de sang n'a toujours pas séché, dix jours après. Le corps vient
visiblement d'être enlevé, peut-être celui d'un terroriste, les derniers à être
emportés.
À LIRE AUSSI Dans
les rangs du Hezbollah, à l'aube de la guerre avec Israël
Sacs. Autre kibboutz, Be'eri.
108 morts sur 1 100 résidents. Là, tout un quartier de belles
maisons est détruit, certaines demeures sont en partie effondrées. À l'entrée,
l'ambulancier Eli Landau, membre de l'organisation orthodoxe Zaka, qui ramasse
les corps, fume, le regard vide, après près de deux semaines de travail
harassant. Il a vu défiler, de ses propres yeux, les corps de femmes,
d'enfants, de civils, mitraillés, torturés, brûlés, décapités, violés… avant de
les emballer dans des sacs mortuaires.
Son père, Yossi, est un des chefs du groupe d'ambulanciers. Il se livre,
enrage contre les « animaux » qui ont fait ça, se reprend,
dit : « Même des animaux ne feraient pas ça. Ces monstres
viennent d'un autre monde. » En trois jours, il est le troisième
témoin direct – après un autre secouriste de Zaka et le chef du rabbinat
militaire qui gère la morgue géante où l'on doit identifier les restes des
victimes – qui évoque devant nous spontanément le cas d'une femme enceinte
éventrée, dans ce kibboutz de Be'eri. D'après l'armée, une vidéo existerait,
mais elle n'a pas pu être consultée par Le Point.
Guerre
Hamas-Israël : tambours de guerre autour de Gaza
Peluche. Une ambulance arrive. Plus de dix jours après
le massacre, on vient de retrouver deux corps calcinés dans des décombres, des
civils : une femme, et son enfant d'environ 7 ans. Les hommes de Zaka
s'y mettent à six pour transférer les corps d'une ambulance à l'autre. Une
peluche accompagne l'un des sacs mortuaires. Des chars de Tsahal manœuvrent et
stationnent autour pour faire le plein ou être entretenus.
Yuval, un jeune professeur de Tel-Aviv avec un piercing dans le nez, le
visage couvert de poussière – il arrive tout juste du front –,
s'extirpe de son char, s'accroupit. Un ami à terre vient à sa rencontre, lui
chuchote : « Ce sont une mère et un enfant qu'on vient de
retrouver. » Les deux réservistes, tout juste mobilisés, se serrent
la main et s'étreignent longuement dans le soleil couchant
Car nos bienpensant donneurs
de leçon hypocrites Européens ont un peu trop vite oublié cet holocauste et nos
dernières guerres devenues mondiales et les camps de concentrations d’extermination
par ce nazisme dans cette Europe par l’hitlérisme de ce dictateur allemand anti
juifs qui voulait l’élimination de tous les juifs (homme femmes et enfants et
tsiganes en passant par cette solution finale de camps de la mort au niveau
industriel) qui avait été implanté dans les pays conquis par les allemands et
que nous avons indirectement aidé sous le pétainisme avec cet antisémitisme pendant
cette occupation allemande (qui était déjà présent avant en France désolé de le
dire !?)
Car le peuple israélien
juifs veut survivre car entouré de pays arabo musulmans qui veulent leur perte
perte et ce HAMAS terroriste islamique hérité des attentats islamiques de
2001/2015 ou de ce DAESH et son E.I. (état islamique) que l’on n’a même pas éradiqué
totalement et qui frappe toujours périodiquement dans le monde !?
Ca suffit car c’est encore ces
mêmes européens peut être pour se faire pardonner leur fautes inexcusables de
leur passé qui ont donné ce territoire Israël au milieu d’une région déjà
occupé par une majorité d’arabo musulman erreur faite aux israéliens après la
chute de l’ex empire Ottoman en 1920 et en 1947 et ou les ISRALIENS (n’ont sans
se battre) en 1948 à avoir leur indépendance et qui sont obligé depuis ces périodes
de guerres larvées et d’attentats divers jusqu’à nous montrer visuellement les
horreurs qu’ils ont subit pour justifier leur défense pour essayer d’éradiquer
ce HAMAS terroriste islamique dangereux pour le monde entier !?
Alors quand on voit notre
président bavard faire le tour des pays arabo musulman en portant la bonne
parole j’ai honte, désolé de le dire car on est reparti en arrière de + 20 ans !?
Jdeclef 25/10/2023 13h15
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Ce n'est pas cette censure imbécile qu'il faut dénoncer c'est l'hebdo LE POINT et ses modérateurs bornés et sa rédaction qui devrait être sanctionnés car être inféodé à ce niveau au pouvoir français avec ses bavardages de bien pensants qui ne respectent pas la liberté d'expression en FRANCE est lamentable tout en ne servant à rien car la magie d'internet permet de diffuser ces commentaires dans le monde entier (heureusement) seules paroles de Français qui réfléchissent encore et ouvrent les yeux pour dénoncer l'insupportable !
RépondreSupprimer