jeudi 31 mars 2016

Salah Abdelsam veut ceci et cela etc, cela suffit, arrêtons ce cirque, jugeons le, avec rigueur un point c’est tout !

Salah Abdeslam
Société

Attentats de Paris: Salah Abdeslam veut être remis à la France et «collaborer» avec la justice


JUSTICE Après avoir collaboré un temps avec la justice belge, il garde désormais le silence...
Salah Abdeslam, arrêté le 18 mars à Bruxelles et détenu en Belgique, souhaite être remis à la France et « collaborer avec les autorités françaises », a fait savoir son avocat ce jeudi. Dans un premier temps, le 10e homme du commando de Paris ne souhaitait pas être extradé en France et disait vouloir collaborer avec la justice belge. Mais il s’est réfugié dans le silence depuis les attaques de Bruxelles du 22 mars.
Il n’avait pas été extrait de sa prison de Bruges (nord-ouest) jeudi matin pour l’audience devant la cour d’appel de Bruxelles consacrée à l’examen du mandat d’arrêt européen émis à son encontre par la France. L’audience a été reportée à jeudi 16h pour laisser le temps au procureur d’aller l’entendre en prison, a précisé à des journalistes Me Cédric Moisse.

Décision sur l'extradition rendue au plus tard vendredi

« Je vous confirme par ailleurs que Salah Abdeslam souhaite être remis aux autorités françaises », a ajouté l’avocat. « Il consent donc à l’exécution de son mandat d’arrêt européen et je peux aussi vous confirmer qu’il souhaite collaborer avec les autorités françaises ». Le parquet fédéral belge « ne s’oppose pas » à la remise d’Abdeslam à la France, a d’autre part dit à l’AFP un des porte-parole du parquet, Eric Van der Sypt.
La décision de la chambre du conseil -- juridiction d’instruction qui siège à huis clos -- doit être rendue au plus tard vendredi, à l’expiration du délai de 15 jours après l’arrestation d’Abdeslam. Ce dernier avait été entendu dès le lendemain de son arrestation par les enquêteurs belges, faisant d’abord mine de collaborer avant de se murer dans le silence. Entendu à nouveau le 22 mars juste après les attentats de Bruxelles (32 morts), il s’était également refusé à la moindre déclaration.
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Salah Abdeslam, arrêté le 18 mars à Bruxelles et détenu en Belgique, souhaite être remis à la France et « collaborer avec les autorités françaises », a fait savoir son avocat ce jeudi. Dans un premier temps, le 10e homme du commando de Paris ne souhaitait pas être extradé en France et disait vouloir collaborer avec la justice belge. Mais il s'est réfugié dans le silence depuis les attaques de Bruxelles du 22 mars.
Il n'avait pas été extrait de sa prison de Bruges (nord-ouest) jeudi matin pour l'audience devant la cour d'appel de Bruxelles consacrée à l'examen du mandat d'arrêt européen émis à son encontre par la France. L'audience a été reportée à jeudi 16h pour laisser le temps au procureur d'aller l'entendre en prison, a précisé à des journalistes Me Cédric Moisse.
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Ce terroriste est français, il est donc transféré en France, ce qui est logique pour des faits ayant eu lieu dans notre pays !

Cet individu semble être au bout du rouleau et avoir peur et a changé d’avis en demandant son transfèrement vers la France qui en fait aurait eut lieu du fait du mandat européen.

Mais il veut semble-t-il collaborer avec la justice faudra-t-il qu’il dise la vérité sur le réseau ou ses complices pas encore capturés ?!

Et peut-être qu’il veut jouer au repenti en regrettant ses actes et en négociant une peine moindre que celle qu’il encoure en donnant des renseignements exploitables pour les enquêtes en cours, car il n’a rien à perdre !
Il ne faut pas prendre de gant avec de tels malfaisants et ne pas se laisser enfumer par de belles paroles ou de fausses rédemptions, il faut exploiter ses dires s’ils sont fiables, le juger, le condamner au maximum sans états d’âmes, car lui et ses acolytes n’en n’ont pas eu pour tuer lâchement des innocents !

Ce personnage n’est pas un petit saint heureusement qu’il a été arrêté car dangereux !

Le procureur de Paris, François Molins
Société

Attentat déjoué en France: L'enquête sur Reda Kriket a mis au jour «les préparatifs d’une action imminente»


SOCIETE Le procureur de Paris François Molins est revenu sur l'arrestation de Reda Kriket ce jeudi à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine)...
François Molins, le procureur de Paris, s’est exprimé ce mercredi soir lors d’une conférence de presse dans le cadre de l’enquête sur le projet d’attentat déjoué sur le sol français.

·         Reda Kriket dit « ne pas être un terroriste »

Placé en garde à vue pour une durée exceptionnelle de six jours, Reda Kriket est resté silencieux, affirmant aux enquêteurs « ne pas être un terroriste ». Présenté à un juge d’instruction du pôle antiterroriste, ce dernier l’a mis en examen pour association de malfaiteurs en vue de crime terroriste, détention d’armes et fabrication d’explosif.
Le natif de Courbevoie, dans les Hauts-de-Seine, résidait à Ixelles, en Belgique. Il était sous le coup d’un mandat d’arrêt international émis en 2014 par la France alors que le jeune homme était parti en Syrie. Il a également été condamné en son absence à dix ans de prison par la justice belge en décembre 2015, lors d’un procès impliquant plusieurs membres d’une filière djihadiste.

·         « Une action terroriste imminente », mais une cible non identifiée

L’enquête, dans laquelle Reda Kriket est le principal suspect, a mis au jour « les préparatifs d’une action terroriste imminente », a dans un premier temps fait savoir François Molins. La perquisition menée jeudi dans un appartement d’Argenteuil (Val-d’Oise) à éviter « la commission d’une action d’une extrême violence menée par un commando prêt à passer à l’acte », a dit François Molins. Toutefois, « à ce stade des investigations aucune cible précise projetée n’a pu être identifiée », a-t-il souligné.

·         Une planque louée « pour un tiers »

L’appartement d’Argenteuil, où a été découvert un important arsenal jeudi, a bien été loué par Reda Kriket mis en examen et placé en détention provisoire ce mercredi, sous une fausse identité. Ce dernier a déclaré aux enquêteurs qu’il louait cette cache depuis l’été 2015 et réglait le loyer en liquide.

·         Un arsenal « prêt à l’emploi »

Lors de cette conférence de presse, on a appris que des téléphones portables neufs, cinq passeports volés, achetés dans le quartier parisien de Barbès, et des explosifs prêts à l’emploi avaient été trouvés dans l’appartement perquisitionné jeudi à Argenteuil. Plusieurs éléments chimiques y ont été découverts, "en l’occurrence trois bouteilles d’eau oxygénée, de l’acétone, un tupperware avec 105 grammes de TATP (explosif utilisé lors des attentats de Bruxelles), deux bidons plastiques de 10 et 15 centilitres avec de l’acide, un grand bécher, des doseurs, des seringues, une balance électronique, des gants et des masques de protection", mais également six fioles de glycérine, a listé François Molins.
Un coffre-fort contenant notamment 1,3 kg d’explosifs industriels, cinq fusils Kalachnikov, sept armes de poing, un livre intitulé « Le laboratoire moderne » a aussi été retrouvé.

·         Reda Kriket et Anis Bahri se seraient rendus en Syrie

Anis Bahri, l’homme interpellé aux Pays-Bas dans le cadre de l’enquête, et Reda Kriket sont « soupçonnés » de s’être rendus en Syrie entre « fin 2014 et début 2015 et étaient suspectés depuis leur retour de faire des allers-retours entre la France, la Belgique et les Pays-Bas ».
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Cet individu était parti en Syrie. Il a été condamné en son absence à dix ans de prison par la justice belge en décembre 2015, lors d’un procès impliquant plusieurs membres d’une filière djihadiste.

 

Et cet individu dit qu’il n’était pas terroriste ?!

 

Un bricoleur du dimanche qui jouait au petit chimiste et préparait un feu d’artifice pour la fête nationale peut être ?!

 

Ou alors, c’était un logisticien qui stockait du matériel pour d’autres qui eux allaient agir de toute façon, ce système de défense qui n’en n’est pas un montre la lâcheté du personnage !
 
Le bonheur des avocats des causes perdues qui vont se précipiter pour défendre ce personnage !

 

En tous cas, la seule chose utile est de le faire parler pour savoir pour qui il travaillait ces complices etc, pour continuer à tirer le fil de ces réseaux de fanatiques dangereux !
 

Après le fiasco de la déchéance de nationalité les sénateurs votent la perpétuité pour compenser et ramasser les morceaux d’une réforme constitutionnelle avortée !

La prison de Fresnes, près de Paris, le 13 janvier 2015
Société

Terrorisme: Le Sénat donne son feu vert à une «perpétuité incompressible»


TERRORISME Cette mesure permettra notamment à une cour d'assises de porter la période de sûreté jusqu'à 30 ans contre 22 actuellement...
Le Sénat a donné mercredi son feu vert à la possibilité pour une cour d'assises de prononcer une «perpétuité incompressible» pour les auteurs de crimes terroristes, une proposition introduite par les députés dans le projet de réforme pénale post-attentats.
Cette mesure permettra à une cour d'assises, lorsque le crime terroriste est passible de la réclusion criminelle à perpétuité, soit de porter la période de sûreté jusqu'à 30 ans contre 22 actuellement, soit de décider qu'aucune mesure d'aménagement de peine ne pourra être accordée au condamné. Elle figurait dans la proposition de loi que le Sénat avait adoptée en février pour renforcer la lutte anti-terroriste.

Un dispositif strictement encadré

Les sénateurs ont rejeté deux amendements pour supprimer cette disposition, l'un déposé par le groupe Communistes, républicain et citoyen (CRC) et l'autre par les écologistes. Le ministre de la Justice Jean-Jacques Urvoas s'est opposé à ces amendements de suppression: «Le gouvernement est conscient qu'en cette période il faut durcir un certain nombre de sanctions», a-t-il dit.
Les sénateurs ont ensuite adopté, par 313 voix pour et 30 voix contre, un amendement de la commission de loi destiné à encadrer strictement les conditions dans lesquelles le tribunal d'application des peines pourrait examiner les demandes de relèvement de période de sûreté pour les condamnés concernés par le dispositif de la perpétuité réelle.

Délit de consultation habituelle de sites terroristes

Cette décision ne pourrait être octroyée qu'après une incarcération minimum de 30 ans. Parmi ces conditions figure notamment le recueil de l'avis des victimes qui avaient été parties civiles lors de la condamnation. En revanche, les sénateurs ont rejeté à une très large majorité deux amendements de Jean-Pierre Grand (LR), dont l'objet était de porter à 50 ans ou 40 ans la durée minimale d'incarcération avant de pouvoir réexaminer la peine.
Les sénateurs ont ensuite adopté un amendement LR qui assujettit les personnes condamnées pour terrorisme à la possibilité d'être placées en rétention de sûreté ou sous surveillance de sûreté à l'issue de l'exécution de leur peine, «dès lors que serait établi leur particulière dangerosité».
Ils ont aussi créé un délit de consultation habituelle de sites terroristes dans le cadre du projet de réforme post-attentat, semblable à celui déjà prévu en matière de consultation habituelle de sites pédopornographiques. Ils ont par ailleurs porté à dix ans de prison et à 150.000 euros d'amende les sanctions contre une personne qui ne dénonce pas volontairement un crime ou un délit.
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Est-ce pour compenser l’abandon de la déchéance de nationalité et la réforme constitutionnelle que ces vieux poussas de sénateurs ont accepté de rallonger la peine la plus longue en justice pénale pour les crimes de terrorisme ?

De toute façon une vraie perpétuité n’existe pas, car 30 ans n’est pas un enfermement à vie dans le sens exact du terme qui veut dire : (pour toujours, pour toute la vie !)

Et en matière judiciaire on emploi ce terme selon l’affaire jugée :

    Perpétuité réelle  peine incompressible  

Réclusion à perpétuité   peine incompressible  

Réclusion criminelle à perpétuité peine incompressible  
 
Et puis si on voulait être vraiment sévère, il fallait appliquer cette peine à tous faits de terrorisme sans distinction ou toute intention avérée de passer à l’acte !
 

mercredi 30 mars 2016

De toute façon F.HOLLANDE n’a pas une once d’amour propre et dans cette affaire, il ne pouvait que renoncer, çà ne le gêne pas, tant il s’en est si mal pris, un échec de plus c’est tout !

Politique

Révision constitutionnelle: François Hollande renonce à la déchéance de nationalité


REFORME Le président de la République s’est exprimé ce mercredi matin à l'issue du Conseil des ministres…
François Hollande a tranché. À l’issue du Conseil des ministres, le président de la République a décidé de renoncer à la déchéance de nationalité, mesure phare de la réforme constitutionnelle décidée après les attentats du 13 novembre.
« Un compromis » était « hors d’atteinte sur la définition de la déchéance », a déclaré le chef de l’Etat. « J’ai décidé de clore le débat constitutionnel », a-t-il ajouté.
François Hollande avait pourtant reçu ce mercredi matin les présidents du Sénat, Gérard Larcher (LR), puis de l’Assemblée, Claude Bartolone (PS) sur ce sujet de la réforme constitutionnelle qui a suscité quatre mois de controverses.

Assemblée nationale et Sénat en profond désaccord

Assemblée nationale puis Sénat avaient voté le projet de révision annoncé par François Hollande après les attentats de Paris, mais chacun en réécrivant le volet sur la déchéance.
Or les deux chambres devaient parvenir à une version identique avant toute réunion du Congrès, où le texte doit être approuvé à une majorité des 3/5e.

Nicolas Sarkozy ne veut pas « d’apatrides »

Nicolas Sarkozy, le chef de file des Républicains, avait par ailleurs exhorté ce mercredi matin le président de la République « à ne pas créer d’apatrides » en appliquant la déchéance de nationalité pour les binationaux » telle qu’adoptée par le Sénat (à majorité de droite).
L’exécutif peut convoquer le Congrès pour voter au moins le volet état d’urgence, éventuellement assorti d’une réforme du Conseil supérieur de la magistrature (CSM), mais la droite parlementaire a averti ce mardi qu’elle refuserait une réunion des deux chambres sur ces seuls aspects.
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Un fiasco ! Que de tergiversations ou volteface, reculades etc...

À force de faire des synthèses de tout avec sa méthode F.HOLLANDE « se prend les pieds dans le tapis », complique les choses et n’arrive plus à s’en sortir, décevant tout le monde comme d’habitude !

Sans compter la masse de temps perdu à des mesures symboliques sans effet, ce quinquennat représente bien les atermoiements d’un président non décisif, qui pratique le « pourquoi faire simple, quand on peut faire compliqué ?!»
En fait un chef de l’état qui fait de la politique politicienne de partis politique ringards qui ne sert à rien et surtout pas aux français !

Et qui n’a pas compris les français et ce qu’ils attendaient et qui les a trompés comme d’autres présidents avant lui, mais lui, améliore la spécialité !

Toute vérité n’est pas toujours bonne à dire, mais quelquefois fait du bien à entendre !

Des bougies à Molenbeek en hommage aux attentats de Paris en novembre 2015

«100 Molenbeek» en France? «Ceux qui nuancent ces propos n’osent pas dire la vérité»


SOCIETE Les déclarations du ministre de la Ville Patrick Kanner ont provoqué bien des réactions, et parfois délié des langues…
Jusqu’à présent, la France regardait la commune bruxelloise de Molenbeek avec effroi et plutôt de loin. Ce week-end, le ministre de la Ville Patrick Kanner a franchi un grand pas, en déclarant que la France aussi, compte des « Molenbeek ». Ou plus exactement, qu’une « centaine de quartiers en France » présente des « similitudes potentielles avec Molenbeek ».
Ce quartier de Bruxelles ayant abrité la plupart des terroristes des attentats du 13 novembre, la citation a de quoi faire peur. Devenu dans l’imaginaire collectif le camp avancé de Daesh en Europe, Molenbeek traîne depuis plusieurs mois une sinistre réputation dans le monde entier : chômage, misère, problèmes d’intégration, trafic de drogue, mosquées radicales… Jusqu’à l’arrestation le 18 mars de Salah Abdeslam en plein centre.

« C’est bien la preuve de l’échec de la politique de la Ville »

Patrick Kanner n’a donc pas peur de la polémique. « C’est une manière de casser la langue de bois qui existe sur la politique de la Ville et c’est bien la preuve de l’échec de cette politique », affirme le député socialiste de l’Essonne Malek Boutih, auteur d’un rapport parlementaire sur la radicalisation en France.
Invité à expliciter sa comparaison, le ministre de la Ville est allé plus loin : « Molenbeek c’est quoi ? C’est une concentration énorme de pauvreté et de chômage, c’est un système ultra-communautariste, c’est un système mafieux avec une économie souterraine, c’est un système où les services publics ont disparu ou quasiment disparu, c’est un système où les élus ont baissé les bras. »

« Beaucoup d’élus ferment les yeux »

« Tous les gens qui se sont intéressés à la question constatent ce que dit Patrick Kanner, note Malek Boutih. Et tous ceux qui nuancent ses propos n’osent tout simplement pas dire la vérité sur une réalité. Beaucoup d’élus ferment les yeux », poursuit-il. Pourtant, nombreux sont ceux à avoir tenté de modérer les propos du ministre. « Moi, je ne suis pas pour ce discours », a confié Jean-Christophe Cambadélis sur France 5, appelant à « ne pas dissoudre la concorde nationale ».
« Ce n’est pas crédible d’annoncer des chiffres de ce genre, qui relèvent plus d’une politique de l’emblème que du sérieux que l’on attendrait des déclarations d’un représentant de l’Etat », s’est emporté le sociologue Raphaël Liogier sur France Info. Salué à droite, notamment par Hervé Mariton (LR) et Florian Philippot (FN), Patrick Kanner a été en partie conforté ce mardi dans ses propos par Manuel Valls en personne : « Ce qu’a voulu dire Patrick Kanner sur les processus d’enfermement, de communautarisation et de radicalisation… Tout cela existe, bel et bien ! »

Un phénomène présent dans toute l’Europe

Pour Malek Boutih, « il existe depuis des années un islamo-gangstérisme dans le nord de la France et en Belgique, avec une porosité entre trafic de drogue et terrorisme. On l’a bien vu avec les auteurs des attentats du 13 novembre ».
Au-delà de la France, d’autres y voient davantage un problème européen. « On se focalise trop sur Molenbeek. J’élargirais le sujet du débat, indique Farhad Khosrokhavar, directeur d’études à l’EHESS et spécialiste de la radicalisation. Il existe un peu partout en Europe de l’Ouest des endroits comme Molenbeek, où la pauvreté côtoie des groupes qui se sentent abandonnés. » Pour le chercheur, ce type de problème que l’on a pu rencontrer en France notamment du côté de Lunel (Hérault), n’est pas propre à la France ou à la Belgique, mais à l’ensemble des pays européens où se trouve une communauté musulmane confrontée à différents problèmes dont une minorité peut se radicaliser, « surtout des jeunes peu ou pas du tout insérés dans une communauté. Il faut un ensemble de critères pour en arriver là. C’est le cas de la Belgique, mais aussi de la Suède, des Pays-Bas ou encore de l’Angleterre ».
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Certains dirons qu’il a voulu ce faire connaitre ou « mousser » peut-être, mais en politique c’est un éternel spectacle de mauvais cirque ou tout est permis qui ne respecte pas le peuple qui les a mis en scène par les erreurs de leurs votes !
Toutefois, si cela a gêné certains élus ou autres politiciens donneurs de leçons hypocrites, faux bienpensants qui maquillent la vérité ou ne la dise pas pour appliquer l’insoutenable « politiquement correct », et bien cela aura servi au moins à cela !

Ce genre de personnage multi média, touche à tout, haut en couleur, manquera dans la diversité du showbiz populaire

People

Jean-Pierre Coffe, le légendaire critique gastronomique, est mort


TÉLÉVISION La voix de la cuisine français, Jean-Pierre Coffe, avait 78 ans...
 
Il était l’une des voix de la cuisine française, toujours prompt à défendre la bonne chère. Critique gastronomique réputé, Jean-Pierre Coffe est décédé mardi à l’âge de 78 ans, selon les informations de RTL. Selon le journal régional l'Echo Républicain, il est décédé dans la nuit de lundi à mardi, dans sa maison de Lanneray, en Eure-et-Loir. L'homme de télévision souhaitait que l'annonce de son décès ne soit divulguée qu'après son incinération mais à l'heure de Twitter et de l'info en continu, c'était mission impossible.
L'information a été confirmée par le compagnon de l'animateur à Laurent Ruquier.
S’il commence sa carrière sur Canal +, il doit sa renommée à son passage pendant près de dix ans dans la célèbre émission de Michel Drucker Vivement dimanche prochain où il intervenait comme chroniqueur. Il était également l’une des figures des Grosses Têtes sur RTL.
Connu pour son gimmick anti-malbouffe « c’est de la merde », Jean-Pierre Coffe est l’auteur de nombreux ouvrages sur la cuisine. Il avait également fait plusieurs apparitions au cinéma et avait été décoré chevalier de la Légion d’Honneur en 2014.
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Une « grande gueule » inclassable de l’audiovisuel qui pouvait faire rire ou déplaire, mais qui ne laissait pas indifférent qui nous manquera et qui secouait quelquefois le cocotier des bobos qui se regardent le nombril et qui nous rasent à longueur d’années !

mardi 29 mars 2016

Oui, mais : on ne fait que reconquérir du désert !

Syrie-Irak : l'État islamique recule sur tous les fronts


Le territoire du califat se rétrécit mais les revers subis par les djihadistes n'ont pas encore entamé leur potentiel de nuisance.
L'État islamique recule sur tous les fronts. Une série de revers a récemment forcé l'organisation djihadiste à abandonner une partie de son territoire en Irak et en Syrie. Au nord, face aux Kurdes syriens et irakiens, à l'ouest, face aux forces gouvernementales syriennes et à leurs alliés russes, iraniens et chiites libanais, et à l'est, face à l'armée irakienne, les milices chiites et les conseillers iraniens, le califat autoproclamé est partout sur la défensive.
En Syrie, la reprise de Palmyre par les forces loyales à Bachar el-Assad a été le week-end dernier une défaite importante pour l'État islamique. Outre la perte d'une position avancée dans le désert syrien, en direction de Homs et Damas, les djihadistes ont subi une défaite de prestige. Leur repli précipité écorne l'image de force militaire irrésistible soigneusement mise en scène par l'organisation pour intimider ses ennemis. Appuyées par l'aviation russe, les forces loyalistes syriennes talonnent à présent les djihadistes sur les routes du désert en direction de Deir Ezzor, ville où une garnison encerclée du régime tient toujours l'aéroport militaire. Le commandement syrien a annoncé que Tadmor, le nom syrien de Palmyre, servira de «base à partir de laquelle s'étendront les opérations contre le groupe terroriste notamment à Deir Ezzor et Raqqa». Dans le nord de la Syrie, les milices kurdes de l'YPG sont à une cinquantaine de kilomètres de Raqqa, le bastion de l'organisation.
En Irak, l'EI a continué de perdre du terrain depuis la reprise de Ramadi par l'armée irakienne entre décembre 2015 et février 2016. Dans la province d'al-Anbar, les forces irakiennes avancent et sont au contact avec les djihadistes à Hit. Dans le nord, les Kurdes et leurs conseillers américains préparent une offensive contre Mossoul, la plus grande ville contrôlée par le califat.
Autre signe d'affaiblissement, Daech n'a plus lancé d'offensive d'envergure depuis mai 2015, date de sa capture de Palmyre. Les bombardements ciblés des drones américains ont tué ces derniers mois de nombreux cadres intermédiaires de l'organisation qui forment l'ossature de ses forces militaires.
Cette série de revers a permis d'arrêter l'expansion de l'État islamique. Elles ont aussi permis de contrebalancer l'ascendant psychologique qu'avait pris le califat, se présentant à ses militants comme à ses ennemis comme une organisation irrésistible. Mais revers ne signifie pas défaite. Ces retraits ont jusqu'à présent été des replis plus que des déroutes. Depuis son expérience de Kobané, la ville du Kurdistan syrien défendue maison par maison par les djihadistes sous les bombardements massifs de l'aviation américaine, l'EI ne sacrifie plus ses combattants pour tenir des positions indéfendables. Si les Syriens annoncent que 400 combattants djihadistes ont été tués pendant la défense de Palmyre, la vitesse avec laquelle la ville est tombée indique que le gros des troupes de l'État islamique s'est replié plutôt que de se laisser écraser par l'aviation russe. À Sinjar, dans le nord de l'Irak, l'EI a aussi abandonné des positions devenues intenables plutôt que de se battre contre des forces supérieures et appuyées par l'aviation américaine.
Que ce soit à Palmyre, Ramadi ou Sinjar, les positions abandonnées par les djihadistes n'étaient que des avant-postes. Le cœur du territoire du califat reste sous l'entier contrôle des djihadistes. Malgré la perte de la périphérie de son territoire, et surtout de l'usage de la Turquie comme base arrière, sanitaire, de recrutement et de logistique, Daech contrôle toujours un territoire étendu et plus de 6 millions de personnes.

La reprise des villes importantes s'annonce difficile

L'avance des forces gouvernementales syriennes et irakiennes dans le cœur de ce territoire, peuplé dans sa quasi-totalité d'Arabes sunnites, les expose à des problèmes de contrôle des territoires reconquis. Un peu comme les Américains à l'époque de leur guerre contre-insurrectionnelle en Irak, les armées syrienne et irakienne risquent de découvrir qu'il est plus aisé de reprendre par la force une ville que de la contrôler sans le soutien de la population. Dans les parties de la province d'al-Anbar reprises par le gouvernement irakien, l'EI a déjà repris les tactiques de guérilla utilisées contre les Américains, recourant à des attentats à la voiture piégée ou aux engins explosifs improvisés placés sur le bord des routes.
Les miliciens kurdes, syriens ou irakiens ont jusqu'à présent remporté leur succès dans les zones de peuplement kurdes ou à proximité. Il n'est pas certain que les populations arabes des provinces d'Idlib, d'Alep ou de Raqqa les accueillent en libérateurs. Pas plus que ne le seront les miliciens chiites irakiens ou libanais qui accompagnent les armées régulières irakiennes ou syriennes dans les provinces d'al-Anbar ou de Ninive. La prise de villes importantes, comme Raqqa, Deir Ezzor ou encore Mossoul, pourrait se révéler comme une opération plus complexe que celle de Palmyre. Les mois de violents combats qui ont presque entièrement ravagé Ramadi donnent une idée de ce que pourrait signifier une résistance des djihadistes acculés.
La perte de territoires signifie un affaiblissement considérable des capacités militaires de l'État islamique, comme de ses ressources financières et humaines. Mais elle n'implique pas forcément la fin d'une organisation qui fut longtemps clandestine, et qui pourrait le redevenir si elle devait perdre les territoires sous son contrôle. Daech a démontré de Paris à Bruxelles sa capacité de se projeter loin de ses bases, et ses cadres ont essaimé en Afrique du Nord, de la Libye au Nigeria. La capacité du mouvement djihadiste à muter en fonction des circonstances semble intacte.
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Méthode « Coué » pour ce persuader : Mais DAESH s'implante en Libye juste en face de chez nous et il progresse en Europe au niveau du terrorisme !?
Jdeclef 29/3/2016 11h54

Arrêté un peu vite pour prévenir plutôt que de guérir, mais relâché aussi rapidement !

Image extraite de la vidéo diffusée par la police belge pour tenter d'identifier le 3e homme des attentats de l'aéroport de Bruxelles
Monde

Attentats de Bruxelles: Fayçal Cheffou, initialement soupçonné d'être le 3e assaillant de l'aéroport, remis en liberté


TERRORISME Fayçal Cheffou, seul individu inculpé dans l'enquête sur les attentats de Bruxelles, a été remis en liberté, a annoncé ce lundi le parquet fédéral belge.
Rebondissement dans l’enquête sur les attentats de Bruxelles. Fayçal Cheffou, seul individu inculpé dans l’enquête, a été remis en liberté, a annoncé ce lundi le parquet fédéral belge. Il était initialement soupçonné d’être le troisième assaillant de l’aéroport de Zaventem.

Les indices « n’ont pas été confortés »

Depuis son arrestation jeudi, les enquêteurs tentaient de confirmer leur « hypothèse » selon laquelle cet homme qui se présente comme journaliste indépendant pouvait être le poseur de bombe de l’aéroport de Bruxelles-Zaventem qui a pris la fuite avant que ses deux complices ne se fassent exploser.
Le chauffeur de taxi qui a déposé les trois djihadistes à l’aéroport avait cru le reconnaître comme étant « l’homme au chapeau » repéré sur des images de vidéosurveillance à côté des deux kamikazes. Mais « les indices qui avaient entraîné l’arrestation du nommé Fayçal C. n’ont pas été confortés par l’évolution de l’instruction en cours. En conséquence, l’intéressé a été remis en liberté par le magistrat instructeur », a déclaré le parquet dans un communiqué sans autre précision.
Le juge d’instruction en charge de l’enquête liée aux attentats de l’aéroport de Zaventem et de la station de métro Maelbeek avait délivré vendredi un mandat d’arrêt à son encontre. Fayçal Cheffou avait été inculpé du chef de participation aux activités d’un groupe terroriste, assassinats terroristes et tentative d’assassinats terroristes.

La police cherche à identifier l’homme au chapeau

Près d’une semaine après les attentats de Bruxelles qui ont fait 35 morts selon un dernier bilan, la traque du troisième assaillant de l’aéroport de Bruxelles a repris de plus belle après la libération du principal suspect. Les enquêteurs belges cherchent toujours à identifier l’homme portant un chapeau et des lunettes qui apparaît sur les images de vidéosurveillance à l’aéroport de Zaventem mardi, juste avant les attentats, en compagnie des deux kamikazes qui ont déjà été identifiés, Ibrahim El Bakraoui et Najim Laachraoui. Un appel à témoin et une vidéo inédite ont été diffusés ce lundi par la police belge.
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Signalé à plusieurs reprises pour prosélytisme, il avait semble-t-il le profil ?!

Il faudrait enfin revoir nos méthodes de préventions en matière de religions !
Mais surtout s’en débarrasser et le renvoyer en Algérie comme indésirable, il y a assez de prêcheurs qui lavent les cerveaux des plus faibles !

Le parler vrai en France devient de plus en plus difficile, car on est englué par des bienpensants hypocrites de bobos à l’abri dans leur petit confort !

Panneau dans les rues de Molenbeek, à Bruxelles, le 18 mars 2016
Société

«Une centaine de Molenbeek en France»: Les propos de Kanner continuent de faire débat


RADICALISATION Dimanche le ministre des Sports avait alerté sur la situation dans une centaine de zones françaises...
« Il y a aujourd’hui, on le sait, une centaine de quartiers en France qui présentent des similitudes potentielles avec ce qui s’est passé à Molenbeek ». La petite phrase prononcée dans le creux du dimanche de Pâques par Patrick Kanner, n’en finit pas de faire réagir. Dimanche soir, c’est Jean-Christophe Cambadélis, à l’unisson d’autres personnalités de gauche, qui a repris de volée le ministre des Sports, parlant de formule « discriminatoire » et estimant qu’il peut y avoir en France « des poches », « des immeubles » qui présentent des « problèmes » similaires à Molenbeek, épicentre du djihadisme belge, mais pas « des quartiers » entiers.
Ce dimanche, c’est la droite qui s’est saisie de la polémique, avec des avis divers. Sur France info, le député Les Républicains Hervé Mariton a jugé que le ministre posait un « diagnostic lucide sur une situation réellement dangereuse ». « La politique de la ville a été d’une très coupable naïveté. On a donné beaucoup d’argent pour des » grands frères « qui ont en réalité déstructuré le civisme davantage qu’ils ne l’ont structuré ». « Il ne faut pas faire d’amalgame » mais « les quartiers sortis de tout contrôle existent », a-t-il conclu, rappelant que gauche et droite partagent les responsabilités.
« Lucide », le mot a également été employé par Florian Philippot, le vice-président du FN. « C’est lucide et ce n’est pas stigmatisant », a-t-il insisté, expliquant : « Il y a des centaines de quartiers qu’on appelle des zones de non droit tenus par le « caïdat », les petits et les gros caïds, mais aussi de plus en plus les fondamentalistes, car ça s’imbrique, il faut bien financer l’un, et financer l’autre », a soutenu le numéro deux du FN.

«Pas crédible»

Mais Jean-Christophe Lagarde, président du parti centriste UDI, s’est dit lui « agacé » par la sortie du ministre, « parce que c’est le genre de formule qui débilise, qui mutile le débat politique français ». « Je ne crois pas du tout qu’il y ait des centaines de Molenbeek en France. (…) La vérité, c’est qu’on a des quartiers qui sont ghettoïsés ». Pour lui, Patrick Kanner a dit cela « sans doute pour faire parler de lui… Un ministre inconnu qui arrive ainsi à la Une de l’actualité ».
Raphaël Logier, sociologue du fait religieux interrogé par France info ce lundi juge que cette déclaration n’est « pas crédible ». « Ce n’est pas crédible d’annoncer des chiffres de ce genre, qui relèvent plus d’une politique de l’emblème que du sérieux que l’on attendrait des déclarations d’un représentant de l’Etat. D’un côté, on parle de communautarisme, d’un autre côté on parle de chômage, de problèmes économiques », explique Raphaël Liogier.
Amar Lasfar, le président de l’UOIF (Union des organisations islamiques de France), dit lui être « d’accord » avec Patrick Kanner. « Il y a des phénomènes de radicalisation partout, pas uniquement dans un certain nombre de quartiers », a-t-il précisé, tout en regrettant une déclaration de nature à « stigmatiser », parce qu'« on ne peut pas réduire Molenbeek à Salah Abdeslam », le 10e homme des attentats parisiens de novembre, arrêté dans sa commune le 18 mars.
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Pour une fois qu’un ministre de gouvernement (essaie de parler vrai) d’appeler un « chat un chat » ou de jeter un « pavé dans la mare ou dans ce marigot », et même si cela est peut être exagéré sur le nombre, il est évident que tout le monde connaît ces zones que l’on appelle aussi quelquefois de non droit !

Et notamment les citadins de nos grandes villes ou agglomérations de banlieues et mêmes quartiers et cela s’étend aussi aux petites villes de province que l’on croyait épargnée !

Depuis 30 ans cette situation se dégrade par les trafics divers, la délinquance, la violence et le communautarisme augmente ou vient se greffer ces nouveaux problèmes de prosélytisme religieux qui indirectement alimente un djihadisme islamique rampant !

Car tous les gouvernements de tous bords (droite/gauche) qui se sont succédés et malgré des politiques de la ville et des ministres nommés pour cela, non rien amélioré tout en engloutissant pourtant des sommes importantes pour régler ces problèmes !
Alors au lieu de s’offusquer et d’employer des mots (tabou) comme amalgame, ou tout mettre sur le chômage, il faut désigner nommément les responsables et les raisons objectives (même si çà choque la kyrielle de donneurs de leçon) il faut agir et soutenir activement entre autre, les associations qui font le travail de terrain avec peu de moyen que l’état ne leur donne pas et faire le ménage ou il faut, même en activant notre justice, force de l’ordre et code pénal avec plus de rigueur quand il le faut !