dimanche 30 avril 2023

Moi Français âgé ayant connu tous nos présidents depuis de Gaulle je suis comme RENAUD qui dit ce qu’il pense mais lui qui n’est pas censuré par LE POINT par des modérateurs bornés et leur rédaction inféodée au pouvoir en place (mais qui comme moi dit ce qu’il pense sur la gouvernance de Mr le président dont depuis je ne prononce plus le nom ) car ayant été très incorrect envers eux et mal élevé désolé de le dire !?

 

Le chanteur Renaud « regrette » d’avoir voté pour Emmanuel Macron ?!

De retour sur scène, le chanteur critique dans « Le Parisien »la réforme des retraites, la classe politique et la relève de la chanson française...

Il s’est trompé il a le droit et on peut ne pas lui en tenir rigueur mais pour les Français qui ont voté sa réélection là qu’ils se taisent ils ont ce qu’ils méritent et s’ils en subissent les conséquences déplorables tant pis pour eux !?

Renaud s'est lancé dans une grande tournée en 2023 et le chanteur en a profité pour faire passer quelques messages. Avant son concert à Biarritz, vendredi 28 avril, le chanteur de 70 ans a accordé au Parisien sa première interview depuis le début de sa tournée« Dans mes cordes ». Fatigué sur le plan politique, le chanteur demeure fermement opposé à Emmanuel Macron et à sa réforme des retraites.

Si, lors de l'élection présidentielle en 2022, Renaud avait annoncé son choix de candidat (Philippe Poutou, du Nouveau Parti anticapitaliste), le musicien se fait plus discret depuis. « La politique ne m'intéresse plus du tout », assure-t-il auprès du journal. « La classe politique me désespère, je n'ai même plus envie de la critiquer. »

« Je laisse la place aux jeunes… »

Un désintérêt qui le pousse même à ne pas vouloir manifester ce lundi 1er mai, date à laquelle les syndicats veulent faire une démonstration « massive » et « populaire » contre la réforme des retraites, tandis que l'exécutif table sur « un baroud d'honneur » avant de passer à autre chose. « Non, je suis trop vieux pour ça. Je laisse la place aux jeunes », affirme Renaud au quotidien. Le chanteur Renaud retrouve l'amour à 70 ans

Interrogé sur la réforme des retraites, le chanteur assure y être toujours opposé. « Cette réforme, c'est une connerie », lâche-t-il, avant d'ajouter : « La France entière est contre et Macron la maintient. » S'il compte moins se mobiliser dans la rue, Renaud envisage d'écrire une chanson sur le chef de l'État : « J'en dirai du mal avec humour, comme j'ai fait avec Margaret Thatcher (la chanson « Miss Maggie », en 1985, sur l'ancienne Première ministre du Royaume-Uni). » Et d'avouer : « Je regrette d'avoir voté pour lui, mais, face à Le Pen, je n'avais pas le choix. »

Le chanteur regrette également le manque d'engagement dans la chanson française actuelle. « Je n'écoute quasiment que Thiéfaine, Brassens, Cabrel, Souchon, les grands, quoi. Dans les jeunes, à part Gauvain, Grand Corps Malade, Bénabar, les Cowboys fringants, Il n'y a plus du tout d'engagement. La peur de déplaire aux radios, aux réseaux sociaux, ils veulent faire le buzz à tout prix… », estime-t-il.Bas du formulaire !?

 

Je n’ai pas voté pour notre président au 1er tour car je n’avais pas confiance en lui ce « MR » jeune parvenu sorti de nulle part issu d’un gouvernement de son prédécesseur qui avait jeté l’éponge avant la fin de son quinquennat et son parti fantôme « en marche » voir son « en même temps » flou ayant profité de cette porte ouverte par opportunisme typiquement de politique creuse politicienne !?

Personnellement je pense ne pas mettre trompé car quand on voit ses résultats inexistants de son 1er quinquennat !?

Je n’ai pas voté au 2eme tour pour sa réélection ne croyant pas à des changements probant (je passe sur cette réforme des retraites qui déplait à une majorité de Français dont je comprends la déception et même colère des Français surtout par cette méthode totalitaire employée assortie de l’incorrection dont il a fait preuve envers ces citoyens (pourtant moi étant en retraite depuis 2006 ?!)

Et donc je ne regrette rien car nous sommes déjà en MAI et ce « MR » n’a encore rien fait de probant confiant la tache à sa 1ere ministre servile qui semble (peut-être) la seule à vouloir travailler car les problèmes sociétaux s’empilent et nombreux non réglés à ce jour !?

(Donc si vous laisser le Chanteur RENAUD critiquer le président laisser vos lecteurs abonnés au POINT le faire aussi cela s’appelle la démocratie et la liberté d’expression  encore existante en France ?!)

Merci à lui … !

Jdeclef 30/04/2023 13h34


Quand on met au pouvoir des dirigeants incapables de diriger correctement notre pays on ne peut que subir cela ( mais cela ne date pas d’aujourd’hui car cela fait + de 40 ans que ça dure ) et souligne la dégringolade de notre pays vers le bas et lampe rouge des wagons de queue des pays d’Europe occidentale mais c’est la faute des Français qui mettent du charbon dans la locomotive devenant poussive !?

 

Abaissement de la note de la France : la sanction et l’avertissement de Fitch

ÉDITO. La décision de l’agence financière n’est pas seulement un camouflet pour le chef de l’État. C’est aussi un sérieux coup de semonce pour les Français.

Ces instituts de notation dont on ne parlait plus car gênant nos dirigeants et effrayant les français lambda réapparaisse comme par hasard car notre pays va mal économiquement et politiquement ou les avait oublié c’est un signe de plus de la mauvaise gouvernance de la FRANCE !?

Les temps sont décidément durs pour Emmanuel Macron. Alors qu'il doit déjà faire face à la colère des Français, aux engueulades et aux casserolades, le chef de l'État vient de subir une nouvelle offense avec la décision de l'agence financière Fitch d'abaisser d'un cran, à AA-, la note attribuée à la dette de la France.

On peut même parler de véritable camouflet lorsqu'on sait que la réforme des retraites était justement censée rassurer les milieux financiers internationaux en démontrant la détermination du gouvernement à combattre les déficits et à remettre un peu d'ordre dans des finances publiques que trois années de politique du quoi qu'il en coûte sanitaire et énergétique ont terriblement détériorées. Autant dire que l'objectif a été complètement raté.

Non seulement l'accouchement au forceps, avec le recours à l'article 49.3, de la réforme des retraites n'a pas rassuré les analystes de Fitch, mais il a constitué, au contraire, pour eux, un motif supplémentaire d'inquiétude.

« Cette décision a donné lieu à des manifestations et à des grèves dans tout le pays et renforcera probablement les forces radicales et anti-establishment, écrit l'agence. L'impasse politique et les mouvements sociaux [parfois violents] représentent un risque pour le programme de réformes d'Emmanuel Macron et pourraient créer des pressions en faveur d'une politique fiscale plus expansionniste ou d'un renversement des précédentes réformes. »

Électrochoc

En effet, il ne faut pas s'y tromper. La décision de Fitch constitue aussi, et même surtout, une sanction de l'attitude des Français, pour les trois quarts farouchement opposés à l'idée de travailler jusqu'à 64 ans afin de remettre à l'équilibre le régime des retraites.

Elle est une sanction de leur déni des réalités financières, de leur indifférence aux dérapages des déficits et à l'envolée de la dette, de leur adhésion enthousiaste aux thèses néo-malthusiennes défendues par Laurent Berger, de leur bienveillance, voire de leur sympathie pour les délires économiques et les folies dépensières du Rassemblement national et de la Nupes.

FOG – Supplique à Macron sur la dette et les déficitsOn comprend mieux, dès lors, que les analystes de Fitch aient aujourd'hui choisi de sensibiliser les investisseurs internationaux au risque devenu non négligeable, à leurs yeux, qu'un jour Jean-Luc Mélenchon ou Marine Le Pen s'installent à l'Élysée et que, dans la foulée, la valeur des Obligations Assimilables du Trésor (OAT) qu'ils détiennent s'effondre.

Il est malheureusement fort peu probable que la décision de l'agence de notation serve d'électrochoc, et soit l'occasion d'une prise de conscience collective que la France file économiquement et financièrement un bien mauvais coton. Celle-ci n'aura peut-être d'ailleurs jamais lieu, ou alors seulement quand les OAT seront rétrogradées dans la catégorie des « junk bonds », des obligations pourries, mais il sera déjà trop tard.

Il faut cesser d’agiter ces alertes d’instituts divers de notations des économies des pays libres et démocratiques ?!

Cela ne sert à rien et ne parle pas aux Français lambda et a déjà eut lieu pour disparaitre après car n’ayant aucun impact sur la vie quotidienne des Français qui n’y comprennent rien cela ne peut être qu’intéresser les spécialistes économiques nombreux rarement d’accords entre eux ou les spéculateurs qui jouent sur les cours des matières premières diverses ou autres et monétaires!?

Ces informations ne sont là que pour essayer d’effrayer les peuples lambda et permettre à nos dirigeants du style de notre président et ses gouvernements de tous bords de justifier leurs rigueurs économiques désastreuses comme « ce quoi qu’il en coute » que d’autres appelaient dans le passé « faire des chèques en blanc » !?

Les Français que nos dirigeants dédaignent et prennent pour des imbéciles savent très bien constater dans leurs vies quotidiennes que tout augmente trop vite par cette inflation qu’ils sont incapables de juguler surtout pour les prix des denrées alimentaires ou de l’énergie pétrole électricité gaz et leur déplacement pour les transports notamment automobile dont notre dirigeant à en plus fait la promotion obligatoire de changer pour l’électrique leurs véhicules nettement plus onéreux à l’achat et qui consomme quand même de l’électricité qu’il faut renouveler en moyenne tous les 500 km en moyenne auprès de bornes aléatoires à prix variés !?

Il faut enfin que nos concitoyens prennent en compte ces réalités de notre pays mal gouverné qui va mal dans tous les domaines de notre société car il s’agit de nos vies de chaque jour peut importe les politiciens élus et réélus par nous qui sommes aveugles et sourds avant qu’il ne soit trop tard avant la faillite de notre pays ?!

Jdeclef 30/04/2023 11h33


À chaque nouveaux dirigeants de notre pays dans des élections présidentielles ou autres qui on voit se pointer F.BAYROU vieux politicien donneur de leçons et tourneur de sa veste patenté car « franc comme un âne qui recule » qui change d’avis en fonction de la couleur politique du moment au pouvoir !?

 

Réforme des retraites : Bayrou fustige la stratégie du gouvernement !?

L’ex-ministre estime que « rien n’a été clairement expliqué » dans la réforme des retraites, le gouvernement s’étant « laissé prendre dans un piège ».

BAYROU clown triste faux jeton patenté réapparait périodiquement dans notre classe politique quand les gouvernements en place vacillent et qu’ils sont détesté par une majorité de Français lambda !?

Le débat avec le pays sur l'inéluctable rééquilibrage du système de retraites n'a pas eu lieu, là est la source de toutes les difficultés. » Dans un entretien accordé au JDD, samedi 29 avril, François Bayrou a critiqué la stratégie du gouvernement sur la réforme des retraites.

Pour l'ancien ministre de la Justice, le débat n'a pas suffisamment porté « sur l'inéluctable rééquilibrage du système ». Le patron du MoDem regrette dès lors de « ne pas arriver à comprendre pourquoi on a accepté sans réagir que l'on accrédite dans l'esprit des Français l'idée que notre système de retraites était aujourd'hui équilibré ».

Face à « la blague » du discours des oppositions qui contestent la nécessité d'un refinancement du système – selon lui des « esprits égarés » –, l'allié historique d'Emmanuel Macron déplore notamment que « le gouvernement n'ait pas présenté aux Français » les « chiffres de la comptabilité nationale » : « Pourquoi ? Pour ménager les partenaires sociaux ? Par souci de rassurer Bruxelles ? Ou par conformisme de pensée ? » s'interroge-t-il.

« C'est notre conception même de la démocratie qui est en jeu », poursuit le triple candidat malheureux à la présidentielle en fustigeant l'idée de « croire qu'une fois élus ce sont les dirigeants qui décident tout seuls et que la base devra suivre, obéir ou se résigner à une décision prise au-dessus d'elle ».

« Il y a des responsabilités des deux côtés »

« Aucune grande réforme ne peut être conduite si l'on n'a pas porté l'exigence de totale information et de prise de conscience partagée », fait valoir François Bayrou en estimant que « les fractures, les résistances et les réticences » viennent « quand l'organisation du pouvoir se réduit à une confrontation entre un « sommet » qui ne dit pas qui il est et ce qu'il veut et une base à qui on ne demande que d'obéir ».

Or, selon lui, « les mécanismes de contrôle du pouvoir d'en haut, l'éternel retour des mêmes éléments de langage, des mêmes réflexes technocratiques ont entravé la mission de réinventer les rapports entre la base et le prétendu sommet ».

Franck Louvrier : « Macron doit redonner la parole aux Français »

Sur le fond, le haut-commissaire au Plan estime qu'il aurait « fallu un plan beaucoup plus complet de retour à l'équilibre sur dix ou douze ans, avec des efforts demandés pas seulement aux salariés, mais aussi à d'autres catégories de la population », en faisant part de sa « souffrance » que les « réformistes » – visant d'une part la CFDT, CFTC, CGC et « de larges pans de FO », d'autre part l'exécutif – « n'arrivent pas à trouver les méthodes du travail en commun ».

« Il y a des responsabilités des deux côtés », juge-t-il, pointant « l'approche raide » de la CFDT « et, du côté de l'exécutif, la crainte de se faire « couillonner » après avoir fait des concessions ».

Quand on n’a plus à rien dire de nouveau sur la politique Française désespérante du gouvernement et de notre président ont ressort BAYROU le récidiviste à la candidature à la présidentielle ex ministre de l’enseignement ou il n’a pas brillé mais surtout le champion des tourneurs de veste bigot qui va dans le sens du vent politique du moment pour obtenir ce à quoi il coure depuis de décennies et grand parleur hyper bavard avec ses discours même plus doué à cet exercice que notre président actuel pourtant rodé à parler pour ne rien dire d’utile !?

Mais lui est bien poli bien élevé beau parleur hypocrite donneur de leçon bien-pensant que l’on doit hélas trop supporter de la « macronie » actuelle à ne pas confondre avec (cette « ma connerie » excuser ce mauvais jeu de mot trivial) car issue de nulle part sauf que ce « Mr » BAYROU a aussi des casseroles qui l’on mit sur la touche malgré des erreurs pas nettes tout en ayant été sauvé par le président qui l’apprécie peut être parce qu’il est peut être issu de cette bourgeoisie de province comme lui car l’ayant récupéré 2 fois pour lui donner un strapontin spécialiste de plan fumeux et inutile !?

La France est handicapée par ses politiciens de tous bords que l’on ne compte plus et que l’on retrouve aussi au Sénat d’ailleurs avec leurs grands âges canoniques sans limites dans leur maison de pré retraite politique !?

Ces pauvres Français lambda perdus qui font le bonheur de ces politiciens de tous bords et surtout des médias ont pourtant beaucoup de choix dans cette classe politique sclérosée mais ne savent plus voter et qui choisir depuis + de 40 ans et l’après Mitterrand en reprenant toujours les mêmes comme dans une maladie incurable qu’ils n’arrivent pas à soigner ?!

Jdeclef 30/04/2023 09h37CLP


samedi 29 avril 2023

Est-ce la fête du football cette finale de coupe de France de ce sport populaire de notre pays ou contre le président qui se doit comme c’est la tradition dit assister et descendre sur le gazon pour honorer et féliciter les joueurs ou une mauvaise manifestation de politique politicienne !?

 

Coupe de France : une finale sous tension au Stade de France

La venue confirmée d’Emmanuel Macron lors de la finale ce samedi attise les mouvements de protestation sociale sous fond de réforme des retraites.

QU’EST CE QUI N’EST PAS SOUS TENSION QUAND NOTRE PRESIDENT SORT DE SON PALAIS POUR ALLER AU DEVANT DU PEUPLE QU’IL N’AIME PAS MAIS QUI LUI RENDE BIEN SON DEDAIN EN PROTESTANT BRUYAMMENT !?

(En fait c’est les joueurs des deux équipes qui sont à plaindre !?)

Soirée mouvementée en perspective à Saint-Denis : le Stade de France accueille une affiche inattendue en finale de Coupe de France, entre le tenant du titre, Nantes, et le promu Toulouse qui s'affrontent sur fond de tension sociale et sous haute vigilance sécuritaire, samedi (21 heures). Le jaune des Canaris et le violet du Toulouse FC vont garnir les tribunes de l'enceinte francilienne, où 78 000 spectateurs sont attendus, dont des dizaines de milliers de supporteurs des deux équipes, qui savent sans doute qu'ils n'auront peut-être pas la chance de revivre une autre finale de sitôt.

L'affiche surprise entre ces deux formations de seconde partie de tableau en championnat se pare également d'un contexte extrasportif assez pesant, près d'un an après la finale de Ligue des champions entre Liverpool et le Real Madrid dans le même stade, qui avait tourné au fiasco sécuritaire.

Des actions prévues par les syndicats

De plus, la venue confirmée d'Emmanuel Macron attise les mouvements de protestation sociale, même si le chef de l'État n'a pas prévu, a priori, de descendre sur la pelouse en marge de la rencontre, saluer les deux équipes, comme le veut parfois la coutume. Le président français ne remettra pas non plus la coupe au vainqueur depuis la pelouse, comme il en était l'usage depuis trois ans et la crise Covid.

Retraites : JO, Festival de Cannes, les grands événements menacés ?

Le préfet de police, Laurent Nuñez, a précisé vendredi soir avoir lui-même « imposé » que le trophée soit remis au vainqueur « dans la tribune », en raison notamment du risque d'envahissement du terrain. Il n'empêche. Les organisations syndicales avaient prévu de distribuer des cartons rouges et des sifflets aux spectateurs du Stade de France pour qu'ils manifestent leur rejet de la réforme des retraites et leur mécontentement vis-à-vis du chef de l'État. Un rassemblement néanmoins interdit par la préfecture de police de Paris, même si l'intersyndicale estime ne prévoir qu'un tractage et comptait, vendredi soir, déposer un recours devant le tribunal administratif dès notification de l'arrêté d'interdiction.

Difficile de « faire abstraction »

« La finale de la Coupe de France, ce n'est pas les jeux du cirque à la romaine, ce n'est pas la CGT avec son pouce impérial qui pourrait décider à qui de faire huer le président de la République, à qui de couper l'électricité pendant un match », a estimé le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, sur BFMTV et RMC, appelant à « ne pas tout confondre ».

Retraites : le choix non assumé de la décroissance

Quelque 3 000 policiers et gendarmes seront mobilisés samedi aux abords de l'enceinte francilienne. Un dispositif « 50 % plus important », selon l'entourage du ministre de l'Intérieur, que celui mobilisé le 28 mai 2022 pour la finale de Ligue des champions, la dernière rencontre entre clubs disputée dans ce stade situé au nord de Paris.

Les acteurs de la rencontre, eux, peinent à occulter ce contexte social, d'autant que les groupes de supporteurs ultras des deux équipes n'entretiennent pas les relations les plus apaisées de l'Hexagone. « Je pense qu'on ne pourra pas faire abstraction car ce sera très présent, mais il faudra rester connectés à ce qu'on a à faire sur le terrain et sur notre performance », a expliqué vendredi l'entraîneur de Toulouse, Philippe Montanier. « Je n'ai qu'à espérer que tout se passe bien », a renchéri son homologue nantais, Antoine Kombouaré. « Les amoureux de foot viennent pour voir un grand match, une grande finale. »

Le match promet d'être bruyant en tribunes, avec des dizaines de milliers de supporteurs attendus de part et d'autre pour cette rencontre historique : Nantes n'a gagné la Coupe que quatre fois, et Toulouse une seule fois, en 1957, sous le maillot rouge et blanc d'un club disparu en 1967, puis recréé de toutes pièces en 1970.

Pitoyable président qui ne sait pas ce qu’il fera pour éviter que cette fête du football Français qu’est la finale de la coupe de France de ce sport populaire du peuple lambda et de ces gens de peu comme il les appelés dédaigneusement ne se transforme en manifestation de protestation constante contre cette réforme des retraites qui s’est focalisé sur lui puisque c’était son cheval de bataille de quinquennat depuis qu’il a été réélu par défaut sans majorité devenue relative en oubliant en passant tous les autres problèmes sociétaux devenus nombreux dont il n’a pas encore entamé le règlement dans ces 5 ans passés lors de son 1er quinquennat sans compter la dégringolade économique de la France à l’international par les instituts de notations redevenus d’actualité remettant en passant en queue notre pays parmi les pays libres démocratiques (dit riches !?)

De toute façon Mr LEMAIRE ministre de l’Économie semble satisfait de ce qu’il a fait alors tout va bien !?

Quel gâchis cela ne fait que le bonheur des médias qui attendent des débordements au stade de France il faut peut-être que notre président parvenu en effet se cache en se faisant plus petit que d’habitude sans trop parler ce qui est le plus difficile pour lui ce bavard invétéré et ne se montre pas trop près de la vindicte populaire !?

Car mobiliser 3000 policiers anti-émeute pour un match de football entre deux équipes françaises qui pourrait se transformer en mauvaise tribune politique est déjà une honte pour la France que l’on regarde de l’extérieur !?

En plus il y a aussi la finale du top 14 du rugby Français on pourra comparer ces deux événements sportifs nationaux ou hélas la mauvaise politique politicienne s’invite malgré les interdictions de manifestations préfectorales de l’État !?

Dommage ces évènements sportifs sont devenus comme les anciens jeux du cirque de la Rome antique de son empire qui a duré 400 ans !?

Jdeclef 29/04/2023 14h38

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vendredi 28 avril 2023

Depuis le temps que l’immigration est un problème de plus en plus présent en France et en Europe nos dirigeants bienpensant donneurs de leçon hypocrites nous abreuvent de discours creux et ne font rien pour la diminuer voir l’empêcher en repoussant les migrants en dehors de nos frontières car nos lois les protègent et se retourne contre nous car patrie des droit de l’hommes que peu ne respectent dans les pays qu’ils fuient et par le fait en plus avec le droit d’asile qu’on applique en France alors tant pis pour les Français nés en sur le sol ancestral de leur petit pays libre et démocratique avec trop de libertés mal encadrées !?

 

Coignard – Élisabeth Borne, l’anti-magicienne

CHRONIQUE. Le président avait sorti de son chapeau la réforme sur l’immigration, la Première ministre l’y a prestement remise. Au risque d’y perdre les Français.

BELLE FUMISTERIE POLITICIENNE DE PLUS ORDONNANCEE PAS LA 1ERE MINISTRE QUI S’EST DEGONFLEE COMME UNE BAUDRUCHE MAIS PERCEE PAR L’AIGUILLE TENUE PAR LE PRESIDENT (QUI DISAIT VOULOIR FAIRE UNE LOI D’IMMIGRATION EFFICACE MAIS EN FAIT QUI SE MOQUE ENCORE PLUS DES FRANÇAIS !?)

(Et les Français font encore confiance à ce couple de dirigeants c’est pitoyable !?)

Pour l'immigration, Emmanuel Macron l'a dit aux lecteurs du Parisien : « Je veux une loi efficace et juste, en un seul texte. » Plus de saucissonnage », donc, comme précédemment annoncé, après moult ajournements et revirements, mais un grand projet, unique. Et une volonté d'avancer. D'avancer vite, avant l'été, comme l'ont relayé, chacun à sa façon, les deux ministres chargés de ce texte, Gérald Darmanin et Olivier Dussopt.

Et patatras ! La cheffe du gouvernement a obtenu gain de cause, à la surprise générale : rien avant l'automne. Elle a gagné contre le ministre de l'Intérieur, fortement suspecté de guigner sa place. Et tant pis si elle refuse de « prendre son risque », et de contrevenir ainsi à l'attente d'une large majorité de Français, désireux de voir votée et surtout appliquée une loi « efficace ». Emmanuel Macron l'a sortie de son chapeau le lundi, Élisabeth Borne l'y a remise dès le lendemain.

Le chemin de croix d'Élisabeth BorneBien entendu, elle n'est pas magicienne. Elle ne peut pas inventer une majorité parlementaire qui n'existe pas. Mais elle avoue du même coup une impuissance qui dissipe l'illusion produite par le chef de l'État. Adieu lapins sortis du chapeau, colombes envolées de nulle part, foulards chatoyants échappés d'un dé à coudre ! Et place à l'embarras…

Alors, quand ?

Invitée de France 2 ce jeudi matin, elle se montre évasive et même un brin amère : « Je suis tout aussi impatiente que Gérald Darmanin, et le président de la République aussi, de pouvoir porter un texte sur l'immigration dans une logique équilibrée. » Que Gérald Darmanin, que le président de la République… et que les Français, lesquels semblent avoir été oubliés au passage.

Alors, quand, cette loi ? « Le plus vite possible. » Voilà qui est bien vague ! Mais ce n'est pas sa faute : « Évidemment, il faut qu'on ait la possibilité d'avoir une majorité au Sénat et à l'Assemblée, et ce débat, nous souhaitons l'avoir au plus tard à l'automne », dit-elle en évoquant les discussions inabouties avec LR, selon elle, pour trouver un compromis. Un petit tour de prestidigitation, élémentaire, celui-là, pour dissimuler les tiraillements au sein de son propre camp.

Et puis Élisabeth Borne se trouve dans l'impossibilité d'éluder la question d'un éventuel recours au 49.3. Plus jamais sauf textes budgétaires, avait-elle bien imprudemment déclaré dans une interview à l'AFP le 22 mars dernier, se liant ainsi les mains alors qu'on ne lui en demandait pas tant. Désormais, elle « n'exclut rien ». Un autre accroc dans son répertoire.

Faute d'une grande loi, la Première ministre se concentre donc sur des chantiers plus modestes, avec un catalogue de mesures dont les annonces relèveraient logiquement des membres de son gouvernement : « L'objectif de la feuille de route que j'ai présentée hier : partir des préoccupations des Français et apporter des réponses concrètes, le plus vite possible », a-t-elle déclaré sur France 2. C'est une excellente ambition, en effet. Mais, pour les Français, rappelons-le, l'immigration n'est pas une préoccupation accessoire.

La 1ere ministre (sous prétexte de manque de majorité devenue relative par  les votes des Français aux élections législatives ) reporte cette loi sur l’immigration erreur car ce sujet tient à cœur aux Français notamment ceux qui supportent trop l’afflux de migrants principalement qui se concentre dans l’IDF et ses 12 millions d’habitants et ses départements de la couronne de PARIS mais aussi dans certaines villes importantes de province ou il faisait bon vivre avant l’afflux trop important de migrants depuis 60 ans remontant à la fin de cette guerre d’ALGERIE inutile !?

Cette immigration a augmenté depuis 2001 sans cesse suite à ses attentats islamiques et refugiés et ses guerres moyen orientales difficile à gérer en matière de sécurité délinquance et cultures (et autres que l’on ne citera pas) car connus dans certaines villes moyennes devenues zones de non droit de plus en plus nombreuses ou certains font leurs lois faisant fi de celles de la république et ou l’on dit pour ceux qui ont le courage de le dire car allant à contre-courant de la parole des bien-pensant donneurs de leçons hypocrite dont on nous distille les discours présidentiels et gouvernementaux depuis les derniers quinquennats qu’on a l’impression de ne plus être en France sans oublier le sud-est mais là c’est encore plus ancien comme à MARSEILLE et son clientélisme remontant aux années 30 presque culturel !?

Donc Mme BORDE inféodée à son patron (qui n’est pas étranger à sa décision) a repoussé sous le tapis ce problème de migration avec tous les problèmes indirects liés qui coutent très chers puisque l’on parle sans cesse d’argent qui manque en France ou des services publics qui ne remplissent plus leurs rôles car devenus impuissants car sans moyens efficaces !?

Le président sa 1ere ministre et son gouvernement de pattes cassées n’écoutent pas les Français et font la politique de l’autruche car élus et réélus depuis 2017 tant pis pour eux s’ils votent mal et vive 2027 (peut-être ?!)

Jdeclef 28/04/2023 10h02


jeudi 27 avril 2023

Les hommes sont incurables ne pouvant supporter leurs différences et donc certains dirigeants autocrates et dirigeants totalitaires en profitent car ne voulant pas partager les pouvoirs que certains de leurs peuples qui les ont élus leur ont donnés pour se sentir protégés par les plus forts d’entre eux !?

 

En Turquie, inquiétudes sur la santé d’Erdogan!?

Le président turc, qui espère être réélu le 14 mai, a dû suspendre sa campagne après un malaise en direct à la télévision. Il a réapparu jeudi à la télévision.

Mais beaucoup de ces autocrates ou dictateurs son élus par leurs peuples incurables car ayant besoin d’être dirigés durement pour se croire protégés !

De toute façon ils ne sont pas immortels seule échappatoire faut-il encore ne pas en réélire d’autres ?!

En quelques minutes, mercredi soir, une rumeur a enflammé les réseaux sociaux. Erdogan aurait fait une crise cardiaque et serait hospitalisé, sa famille appelée à son chevet. Aucune source n'est citée, mais cela n'a pas empêché l'infox de se propager, via des comptes prorusses et sur celui d'une chaîne de télévision étatique chinoise… À tel point que la présidence turque a été obligée de publier un rapide démenti.

« Les allégations selon lesquelles le président de la République aurait subi une crise cardiaque et aurait été hospitalisé ne sont pas exactes », a réagi dans la soirée le « centre de lutte contre la désinformation » de la présidence, sans pour autant dissiper toutes les interrogations. Des affirmations tout aussi fantaisistes font état d'un empoisonnement par la Russie… « Le président va bien et reprendra le cours de son programme dès que possible », a balayé son directeur de la communication, Fahrettin Altun, mercredi.

Malaise en direct

Mais l'inquiétude est perceptible depuis le malaise de Recep Tayyip Erdogan, mardi soir, alors qu'il répondait à une interview en direct sur plusieurs chaînes de télévision. La retransmission a été brutalement interrompue et, après une longue pause, le président est revenu sur le plateau, les traits tirés, pour expliquer qu'il avait attrapé une « grippe intestinale » à cause d'un « programme de campagne très chargé ».

Tous les déplacements prévus, les discours et prises de parole à la télévision du « Reis » ont été annulés mercredi et jeudi.Ce 27 avril, Erdogan a donc suivi à distance, depuis le palais présidentiel, la cérémonie d'inauguration du premier réacteur de la centrale nucléaire d'Akkuyu (Sud), construite par la Russie. Mais il est apparu à la télévision à cette occasion. Sur les images, diffusées par les télévisions turques, le chef de l'État a les traits tirés, pour écouter un message par visioconférence du président russe, Vladimir Poutine.

Malade, Erdogan contraint d'annuler ses engagements avant les élections

À 17 jours de l'élection et alors que les Turcs de l'étranger, 3,5 millions d'électeurs, ont commencé à voter jeudi, le président turc qui brigue un nouveau mandat est au repos forcé. Une coupure inhabituelle pour lui qui, en de telles circonstances, ne se ménage pas. Comme souvent, son programme prévoyait mercredi des déplacements dans trois villes d'Anatolie avec trois meetings. En campagne, Erdogan avale les kilomètres. Il n'hésite pas non plus à goûter les mets qu'on lui offre, comme ce fut le cas mardi, non sans risque.

Des alertes précédentes

Âgé de 69 ans, au pouvoir depuis 20 ans, l'homme fort de la Turquie doit composer avec une santé de plus en plus fragile, lui qui, plus jeune, était connu pour être une force de la nature. On le dit atteint de diabète, épileptique, sujet à des chutes brutales de tension… L'alerte de ces derniers jours n'est pas la première. Déjà en 2006, ses gardes du corps avaient dû casser les vitres de sa voiture en empruntant une masse à des ouvriers sur un chantier, alors qu'il s'était évanoui à l'intérieur. Le leader turc avait fait une crise d'hypoglycémie, en plein jeûne du ramadan.

En 2021, plusieurs incidents avaient renforcé les craintes d'une santé défaillante. En février, il peinait à descendre une volée de marches, cramponné au bras de sa femme. En août, il titubait dangereusement, alors qu'il participait à une cérémonie officielle au mausolée d'Atatürk, sous un soleil de plomb. À plusieurs reprises, il s'endormait en plein meeting. Il était aussi apparu, chancelant, au G20. La revue américaine Foreign Policy s'était alors fait l'écho d'« histoires alléguant qu'Erdogan est en proie à des pertes de mémoire de plus en plus fréquentes, à des troubles respiratoires, des vomissements » et d'un « implant d'un défibrillateur ». Pour répondre à cet article, le président était apparu le lendemain en train de jouer au basket-ball avec ses conseillers…

Élections en Turquie : Erdogan, le Poutine du Bosphore

Le manque de transparence sur la santé du « Reis » alimente, depuis des années, les rumeurs les plus folles. En 2011, Erdogan, qui était alors Premier ministre, avait disparu de la scène politique pendant près de quatre mois, une éternité à son échelle, après une opération au côlon. Des polypes, des excroissances potentiellement cancéreuses, lui avaient été retirés de l'intestin, comme l'avait expliqué le chirurgien Mehmet Fuzun. Une opération présentée alors comme « préventive », que beaucoup avaient interprétée comme la détection d'un cancer. Rien n'est jamais venu le confirmer.

Il faut cesser de jouer aux donneurs de leçons bienpensant hypocrites comme le font nos dirigeants occidentaux car s’il arrivait des problèmes de santé sérieux pouvant faire disparaitre ces dictateurs : ERDOGAN le Turc ou POUTINE le Russe peu de populations encore libres mais sous les menaces indirectes voir directes de ces individus ce serait un vrai chemin pour la paix dans notre monde instable et même une libération pour leurs peuples asservis !?

Car les occidentaux USA et son épouvantail OTAN sont incapables de s’en débarrasser voir s’en protéger EFFICACEMENT on le voit bien avec cette guerre en UKRAINE qui traine en longueur ?!

Ce n’est qu’un concours de mauvaises diplomaties hypocrites internationales de nos dirigeants des pays libres et démocratiques qui font fi de l’insécurité de ce monde instable qu’ils ne peuvent changer malgré les après guerres mondiales ou guerres froides qu’ils ont subies en + de 75 ans ce qui est inconcevable de la part des hommes qui ne s’entendent pas entre eux dans leurs continents pays et cultures diverses qui les rendent indirectement dangereux par leurs égoïsmes maladifs entre eux par certains de leurs dirigeants !?

Car tout le monde n’est hélas « pas beau et gentil » depuis des millénaires et il faut vivre avec les différences des hommes qui semblent incurables !?

Jdeclef 27/04/2023 18h14


C’est curieux ces 1ers ministres de tous bords qui veulent servir de larbins interchangeables à nos présidents qui se prennent pour des pseudo monarque de l’ancien régime mais qui montre que les Français incurables élisent et réélisent ces présidents de plus en plus nuls au fil des quinquennats et + de 40 ans !?

 

« Cent jours » : la mission impossible d’Élisabeth Borne ?!

ÉDITO. La Première ministre a dévoilé ce mercredi une nouvelle feuille de route à la demande d’Emmanuel Macron. Un sursis pour un sursaut ?

En fait la place de 1er ministre doit être bonne car elle ne dure pas longtemps et les reproches leur glisse sur le dos comme les plumes d’un canard il suffit d’être un collaborateur inféodé servile à son patron car de toute façon c’est notre président pseudo monarque qui décide de tout dans cette Vème république monarchique usée obsolète faite pour eux !?

ET POUR LES FRANCAIS ILS N’ONT QUE CE QU’ILS MERITENT CAR ILS VOTENT (MAL) EN PRINCIPE POUR LE PRESIDENT QUI LUI CHOISI SON 1ER MINISTRE ?!

Premier ministre n'a jamais été un métier facile. « Le poste est invivable », disait Georges Pompidou, qui l'a occupé six ans et trois mois. Il précisait : « Tout le monde vous tape dessus : le Parlement, le pays, vos amis, le président. Même un Machiavel y craque, même saint François d'Assise. » Élisabeth Borne n'est ni l'un ni l'autre, mais elle fait ce qu'elle peut. En la priant de présenter ce mercredi au pays – et surtout à lui-même – un programme législatif reconfiguré jusqu'à l'été, Emmanuel Macron lui a offert un sursis pour l'appeler au sursaut. Il a surtout déclenché un compte à rebours.

Dans son allocution de la semaine dernière, le président – cela a été remarqué – n'a pas cité le nom de la Première ministre mais il a pris date : un bilan d'étape devra être tiré dès le 14 juillet des initiatives qu'elle et son gouvernement auront engagées. C'est à ce propos que Macron a évoqué « cent jours d'apaisement, d'unité, d'ambition et d'action ». Il en a, certes, tracé les grandes directions (la santé et l'école, l'ordre républicain, la vie au travail, la transition écologique), mais il a laissé le soin à Élisabeth Borne de préciser les détails, c'est-à-dire l'essentiel. C'est donc elle qui sera jugée à la fin. En attendant, la voilà déjà condamnée à cent jours d'inquiétude.

À Matignon, Élisabeth Borne fait de la résistanceLui a-t-il confié une mission impossible ? Ça y ressemble. Opiniâtre et disciplinée, l'intéressée s'est mise à la tâche et a mobilisé ses ministres – y compris, dit-on, quelques-uns dont elle avait oublié l'existence. Mais aussi fortes soient ses annonces, il y a fort à parier qu'elles ne suffiront pas à convaincre que le pays se transforme ni que les problèmes se règlent – sur le niveau scolaire, la crise de l'hôpital ou la maîtrise de l'immigration, comment amorcer en trois mois ce qui tarde depuis tant d'années ? La magie de Noël ne se résume pas au calendrier de l'avent. Et quelques mesures catégorielles, si elles peuvent aider à faire bouillir la marmite, ne couvriront pas les bruits de casseroles.

Un manque de soutiens, plus que d'idées

De fait, rien ne sert de lancer des chantiers si l'on ne sait comment les mener à bien. Or ce n'est pas d'idées que manque ce pouvoir, mais de soutiens. Le 21 mars, Macron invitait déjà sa Première ministre à « élargir » la majorité relative à l'Assemblée, avec ce post-scriptum qui semblait autant un avertissement qu'un encouragement : « J'espère qu'elle y parviendra. » Elle n'y est pas parvenue, faute de partenaires disponibles – et raisonnables. Durant les cent jours de rabe qu'il lui a octroyés, elle a peu de chances d'y arriver davantage, pour la même raison (d'autant que, si l'on refait les comptes, les cent jours n'en sont que quatre-vingt-huit).

La « méthode Borne », censée être la panacée du dialogue constructif pour convaincre des opposants récalcitrants, a montré ses limites. À l'avenir, elle risque fort de consister en de petites négociations à hue et à dia – ce qu'elle appelle des « majorités de projet » – avec ce qu'il reste d'esprits sains dans l'Hémicycle, surtout si la dame de Matignon veut tenir sa promesse de ne plus recourir au 49.3 en dehors des textes budgétaires…

Ce serment, on le sait, a laissé Macron pantois (et même un peu plus). Venue de la technocratie de gauche, Élisabeth Borne n'a-t-elle pas lu Thucydide, qu'aimait à citer Mitterrand ? « Tout homme tend à aller jusqu'au bout de son pouvoir », prophétisait le stratège athénien. La Première ministre, à l'inverse, a décidé seule de rétrécir ses pouvoirs, ce qui revient à se couper un bras sur un coup de tête. Ce faisant, elle s'est exposée au risque de l'impuissance tout en alimentant le procès (injuste) fait au pouvoir de brutaliser les institutions. Même si l'affaire des retraites avait laissé Macron de bonne humeur, il y avait de quoi l'agacer.

Erreurs de calcul et de casting

Depuis lors, le couple exécutif semble faire chambre à part : Matignon se coltine l'Assemblée, Macron s'intéresse au Sénat. Au Palais-Bourbon règne le désordre, au Luxembourg se dessinent – peut-être – des possibles concordes. La réforme des retraites l'a montré, c'est avec la droite modérée et elle seule que le président peut pactiser, puisqu'il n'y a plus de gauche modérée. Cette équation-là, aussi matheuse soit-elle, Élisabeth Borne n'a pas su la résoudre. Dès lors, se pose la question de savoir ce qu'elle apporte à celui qui l'a nommée, car c'est le seul critère qui conditionne la longévité d'un chef de gouvernement.

Édouard Philippe incarnait le dépassement des clivages par le haut, puisqu'il venait des Républicains, tendance Juppé. Jean Castex personnifiait la proximité, avec sa simplicité bonhomme, son mandat local et son accent chantant. Élisabeth Borne, elle, devait illustrer le recentrage vers la gauche, pour honorer le barrage dressé face à Marine Le Pen au second tour de 2022. La base électorale du macronisme penchant à droite, elle s'est retrouvée en porte-à-faux. Une erreur de calcul a conduit à une erreur de casting.

« Ton gouvernement, c'est cata » : Macron vers un remaniement forcé ? Est-elle condamnée pour autant ? Non. Son meilleur atout reste la propension présidentielle à la procrastination, et il faut admettre qu'aucune solution évidente ne s'offre pour la remplacer au pied levé à Matignon avec de meilleures chances de succès. Là est peut-être la vraie explication du mystère des cent jours : c'est le temps que Macron se donne pour trouver mieux.

Mme BORNE une 1ere ministre politicienne semblant compétente à la vue de l’interview qu’elle a accordée à France 2 à Télé MATIN et qui a bien répondu aux questions posées pertinentes de son interlocuteur !?

Son programme à réaliser en 100 jours est trop court et mission impossible donnée par le président et cette Dame a commis l’erreur de se faire harponner en acceptant sa nomination comme 1ere ministre alors que ce président qui ne respecte rien ni elle que ce soit la France ou les Français avait usé déjà deux 1ers ministres lors de son 1er quinquennat !?

Qu’elle soit là ou change si elle n’arrive à rien il la jettera comme un kleenex usagé et si elle obtient peu de résultats probants il se les attribuera !?

Président qui n’a rien fait lors de sa 1ere mandature sauf de jeter les Français dans la rue en 2018 alors qu’à peine élu en 2017 avec les colères manifestations diverses voire violentes ou grèves etc.

Citoyens qui l’ont réélu par défaut perdus craignant le lendemain en leur faisant peur par l’émergence des extrémistes de gauche ou droite avec l’alibi sanitaire de cette Covid toujours présente mal gérée et cette guerre en UKRAINE avec ses bavardages creux que ce dictateur Russe dérangé n’a même pas écouté sans compter les crises internationales économiques induites inflationnistes énergétiques dont les Français souffrent (mais pas encore assez semble-t-il ?)

On aura peut-être en juillet un(e) premier ministre nouveau car il a annoncé en juin une baisse des prix des denrées alimentaires pour JUIN ?!

Mais quand on voit ses promesses ou prédictions fumeuses les Français qui l’ont réélu sans réfléchir paierons l’addition qui n’est pas complète et en plus ce faux monarque veut faire les JO de 2024 un autre gouffre financier sans fond réservé à des riches pouvant s’offrir des places très onéreuses lors de la cérémonie d’ouverture à PARIS et une insécurité quotidienne qui n’est déjà pas maitrisée il leur restera la télé !?

Jdeclef 27/04/2023 11h04

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mercredi 26 avril 2023

Ce n’est pas en voulant être un monarque absolu de l’ancien régime ou autocrate comme dans d’autres grands pays connus que l’on peut gouverner la FRANCE en oubliant les Français lambda encore majoritaire dans notre pays descendant de notre histoire ancienne qui s’est libérée de ses chaines monarchiques d’une autre époque révolue !?

 

La révolution conservatrice d’Emmanuel Macron

CHRONIQUE. Le président préserve les institutions, ce qui implique de protéger « l’establishment », en mettant à l’écart le plus grand nombre, vulgairement appelé « le peuple ».

SA REVOLUTION NOTRE PRESIDENT N’EST PAS CELLE DES FRANÇAIS QUI DOIVENT ENCORE AVOIR LEURS MOTS A DIRE IL FAUT ENFIN QUI LE COMPRENNE CAR LUI IL VEUT REVENIR EN ARRIERE ET CA C’EST UNE ERREUR IMPARDONNABLE !

L’histoire détermine la politique, jamais le contraire. Les princes règnent parce que, d'une façon ou d'une autre, on le veut bien. Depuis plusieurs jours, les ministres et le chef de l'État sont, à l'occasion de leurs déplacements, sifflés, hués, interpellés. La colère consécutive à la réforme des retraites est là, on le sait, on a compris. Et si, le temps d'un article, on ne s'intéressait pas à la nature de la révolte, mais à la méthode d'un gouvernement peut-être moins naïf et surpris qu'il n'y paraît ?

Emmanuel Macron n'est pas frivole. Le climat social délétère est une donnée à laquelle se rapportent ses décisions, il ne cesse d'ailleurs de remarquer « la colère du pays » et son besoin, consécutif, « d'apaisement ». Quant à ses choix, bons ou mauvais, on ne les commentera pas ici.

Face à une contestation sans précédent depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale de la démocratie libérale, il se livre à ce que Martin Malia (1924-2004) appelait dans Comprendre la Révolution russe (Seuil, 1980) – livre qui, contrairement à ce que laisse penser son titre, ne parle pas seulement de l'effondrement du régime tsariste – une « révolution conservatrice », c'est-à-dire une révolution dite « par le haut ». D'après la grille d'analyse de l'historien américain, celle-ci implique de répondre à une crise sociale en concédant sans jamais rien céder sur l'essentiel. Et l'essentiel, en général, c'est le régime politique.

Démocratisation cosmétique

Dans les années 1840, les États allemands sont soumis à une pression révolutionnaire qui éclate en 1848. Contrairement à ce qui s'était produit en Angleterre au XVIIe siècle et en France à la fin du XVIIIe siècle, la « rue » n'emporte pas la victoire. Au contraire, l'ancien régime survit, tient grâce à l'armée (loyale) et la crainte que la révolte inspire chez les classes moyennes.

Après des concessions essentiellement symboliques, la crise s'apaise avant de reprendre de plus belle dix ans plus tard. Les libéraux, favorables à une monarchie constitutionnelle, s'enhardissent encore, mais se confrontent à un nouvel obstacle : Bismarck. Le futur chancelier de Prusse commence un programme de modernisation « par le haut », et contourne les oppositions – mettons progressistes, le terme est imprécis – avec une ruse et une astuce confondantes.

Comment la casserole est devenue politiqueIl ne s'oppose pas au suffrage universel parce qu'il sait, précisément, que celui-ci n'est pas, ou en tout cas pas par nature, favorable aux forces révolutionnaires dans la mesure où les classes moyennes se révèlent souvent plus conservatrices qu'on ne l'imagine. Pari gagné ! Elles soutiendront la monarchie.

À une démocratisation cosmétique – ne disons pas décorative –, Bismarck ajoute l'unification nationale, réclamée par la gauche, en combattant l'Autriche en 1866, puis la France en 1870. De la sorte, il désarme par avance l'opposition et restaure l'ordre.

Malia écrit : « Bismarck est arrivé à préserver l'ancien régime allemand : la monarchie, l'armée, l'aristocratie prussienne et essentiellement l'ancienne Constitution (elle est restée jusqu'en 1918) en réalisant l'unification […] et en accordant une démocratisation qui divisait l'opposition autant qu'elle servait à exprimer la volonté de la population. […] Ainsi, pour la première fois, un ancien régime faisait échec à une grande révolution, et le génie allemand, jusqu'en 1918, a consisté à faire, de temps en temps, des réformes par en haut pour permettre au système de durer. »

La preuve et le symbole

Inutile d'exagérer la comparaison entre Emmanuel Macron et Otto von Bismarck. La France est une démocratie sophistiquée qui ne prétend faire la guerre à personne pour sauver sa République. Cela étant, il est évident que, d'un point de vue systémique, la comparaison, pour être imparfaite, est stimulante.

Macron : « Je décide, ils exécutent » Le président de la République répète, à juste titre, qu'il est le rempart contre l'extrême droite, mais aussi, désormais, contre l'extrême gauche, soit deux forces dont les origines ne puisent certainement pas aux fondamentaux de notre Constitution. Elles pourraient, toutes proportions gardées, incarner une forme de révolution, c'est-à-dire de changement radical de paradigme. Du reste, c'est ce que l'une et l'autre prétendent.

Emmanuel Macron préserve les institutions, leur légalité, leur légitimité, dont il est à la fois la preuve et le symbole. Ce qui implique naturellement de protéger ce qu'on pourrait appeler l'establishment, en mettant volontairement à l'écart le plus grand nombre, vulgairement appelé « le peuple ». S'il avait voulu procéder différemment, il aurait convoqué un référendum.

Rallier le point d'arrivée

Que dire, enfin, de l'utilisation – disons décomplexée – de l'article 49.3 ? La polarisation du pouvoir se concentre sur l'exécutif, lequel admet défier l'opinion en pariant sur le succès des réformes. À cela s'ajoutent, élément indispensable d'une révolution conservatrice, des concessions d'ordre social, ce que l'opposition appelle « les chèques », et sociétal, comme le durcissement, par exemple, du discours relatif à l'immigration.

Emmanuel Macron ou la stratégie du bulldozerParce que les manifestations ont été considérables, elles ont monopolisé toutes les attentions, partant du principe, un peu rapide, que le président de la République et son gouvernement étaient pris par surprise, entêtés, voire irrationnels. Ce qui est faux, dans la mesure où tout était dit dans la chanson dès 2017.

Le chef de l'État a emprunté, depuis six ans, une voie périlleuse, pour lui-même et pour la Ve République, laquelle implique des turbulences inhérentes à l'exercice. Emmanuel Macron a délibérément choisi l'itinéraire le plus risqué, convaincu de ce qu'il constituait le chemin le plus rapide, mais pas le plus sûr, pour rallier le point d'arrivée. Mais lequel ? La réponse est formulée par Tancrède Falconeri dans le roman de Lampedusa, Le Guépard : « Si nous voulons que tout reste tel que c'est, il faut que tout change. »

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Ce président n’aime pas le peuple et donc les FRANÇAIS qui y vivent car il les considèrent incultes mal élevés et indisciplinés pas de son monde de bienpensant (mais hypocrites) donneurs de leçons « ces gens de peu » qu’il insulte sans vergogne et les dédaigne les prenant pour des imbéciles heureux surtout depuis qu’ils l’ont réélu ce qui le conforte dans son désir d’être un pseudo monarque de l’ancien régime qui a déjà presque un siècle de retard et qui aurait dû se référer à l’histoire ancienne qui détermine souvent le destin des histoires futures des peuples et notamment celle de la France qui va à vau l’eau et qu’il a laissé tomber ne pensant qu’à sa caste de bourgeois pourtant pas majoritaire mais qui a pour l’instant un pouvoir éphémère qui ne pourra durer éternellement !?

Car cela fait + de 40 ans que les citoyens de France courent après un changement d’institution depuis que cette Vème république monarchique existe obsolète et usée qui glisse lentement vers une autocratie larvée gouvernée par un seul homme à qui les Français ont donné trop de pouvoir surtout depuis ses derniers quinquennats et ses gouvernements de politiciens médiocres de tous bords qui en sont arrivés à faire de la France un pays de seconde zone qui devient ingouvernable avec des dirigeants d’une médiocrité lamentable et cette réforme sur les retraites n’étant que l’arbre qui cache la foret des multiples problèmes sociétaux que nos derniers dirigeants passés et présents n’ont même pas abordés (alors les régler rapidement étant donné le nombre accumulés depuis des décennies il ne faut pas rêver !?)

2027 est trop loin pour encore attendre cela ne peut plus durer c’est cela la réalité il faut que les Français réagissent enfin… ?)

Ils le peuvent nous sommes encore dans un pays libre et démocratique mais pour combien de temps et ce ne sont pas des concours de casseroles qui changeront cela !?

Jdeclef 26/04/2023 15h20 CLP

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mardi 25 avril 2023

Plus on est vieux plus c’est bon comme le vin millésimé on croyait cela réservé à l’ex URSS devenue fédération de la RUSSIE mais les USA sont eux aussi tombés dans le piège de la gérontocratie électorale des présidents des grands pays !?

 

Présidentielle 2024 aux États-Unis : Joe Biden est-il trop vieux ?

La question est désormais ouvertement posée alors que le président a officiellement annoncé sa candidature à l’élection présidentielle de 2024.

LE POUVOIR EST UNE DROGUE OU LE POUVOIR EST PRIORITAIRE ET DONC QUELQUE SOIT LEURS AGES ILS NE VEULENT PAS LE PERDRE NI LE PARTAGER ?!

il ne s'agit même plus d'un « éléphant au milieu de la pièce », comme on dit en anglais pour désigner un problème évident aux yeux de tous mais dont personne n'ose parler. Cela fait des mois, bien avant l'annonce de la candidature de Joe Biden à la présidentielle de 2024, que l'âge du président et sa capacité à accomplir un deuxième mandat occupent les conversations du pays. Dans les médias, c'est devenu un thème récurrent, qui occupe les gros titres.

Sans surprise, le Wall Street Journal, conservateur (et propriété de Rupert Murdoch, le magnat des médias d'origine australienne, qui possède aussi Fox News), s'oppose sans ambiguïté à une nouvelle candidature du président actuel. Le titre de son éditorial de vendredi est tout simplement « L'erreur d'un deuxième mandat de Biden ». Il rappelle que la majorité des Américains, et même les démocrates, ne souhaitent pas qu'il se représente. « Le public comprend ce que M. Biden, apparemment, refuse d'admettre : élire un octogénaire en déclin évident, pour quatre ans de plus, pourrait être une erreur historique. » Joe Biden a mis en avant le fait qu'il était le seul de son camp à pouvoir battre Donald Trump.

 Présidentielle américaine de 2024 : les défis de Joe BidenMais il y a probablement aussi une raison bien plus terre à terre et humaine à son désir de se représenter : « La possibilité d'actionner les leviers du pouvoir est enivrante. » Et cette faiblesse est tout simplement, selon le journal conservateur qui estime que Biden a été tiré vers la gauche par ses conseillers, « à la limite de l'égoïsme ». Pourrait-il, demande l'éditorial, « décrocher le téléphone à 3 heures du matin » en cas de crise internationale, comme l'avait promis Hillary Clinton lors de sa campagne de 2008 ? Et qu'en déduiraient les dirigeants du reste du monde quand ils voudraient jauger le pays ?

Le New York Times circonspect

Plus significatif encore, le New York Times, pourtant connu pour être démocrate, est aussi circonspect. « Biden ne devrait pas prendre les inquiétudes des électeurs sur son âge à la légère » est le titre de son éditorial de vendredi dernier. Selon un récent sondage d'Associated Press, seuls 47 % des démocrates veulent qu'il se représente. Et, selon le dernier sondage de NBC News, de ce mois-ci, c'est le cas de 70 % des Américains. Parmi eux, 48 % avancent l'âge comme la raison majeure de leur réponse. « C'est peut-être injuste – chacun vieillit différemment – et, dans le cas de M. Biden, il est impossible de nier que la politique et les théories du complot, plus que les faits, ont nourri un peu de ces inquiétudes, nuance, avec diplomatie, le New York Times.

Mais les candidats ne devraient pas prétendre, comme M. Biden le fait souvent, que le grand âge n'est pas un sujet. » Il est vrai que les bulletins de santé du président sont réguliers et publics. Dans le dernier, daté du 16 février 2023, le médecin conclut : « Le président Biden demeure un homme de 80 ans en bonne santé et vigoureux, qui est apte à exécuter correctement les fonctions de la présidence, y compris celles de chef exécutif, chef de l'État et commandant en chef.  » Mais il n'évoque jamais sa santé mentale. Certes, Biden fait du sport cinq fois par semaine, la plupart du temps avec un entraîneur. Une étude publiée par des spécialistes de la longévité dans le Journal on Active Aging, de l'université de Chicago, dans l'Illinois, avait conclu, à la veille de l'élection présidentielle de 2020, que Joe Biden et Donald Trump étaient tous deux des « super-agers ».

Ils appartenaient à « un groupe de gens qui conservent leurs fonctions mentales et physiques et ont tendance à vivre plus longtemps que les personnes de leur âge en moyenne » (la probabilité de survie dans les quatre ans était estimée à 95,2 % pour Joe Biden, contre 82,2 % pour les autres hommes de son âge et 90,3 %, contre 86,2 %, pour Donald Trump, obèse et dont la famille montre un risque élevé d'Alzheimer). Mais, quand bien même Joe Biden serait en pleine forme aujourd'hui, cela ne dit rien de sa situation dans deux voire cinq ans. « Les inquiétudes sur l'âge – à la fois en termes de capacité à remplir la fonction et de risque d'être en décalage par rapport à l'époque – sont légitimes », soutient le New York Times. Interrogé à ce sujet sur ABC News, Biden avait répondu : « La seule chose que je peux dire, c'est “regardez-moi (à l'œuvre)”. »

Des signes de fatigue

Or les occasions ont été plutôt rares, car les interactions directes de Biden avec les caméras sont limitées. Et ses apparitions en public ne sont pas forcément rassurantes. Certes, la solidité de sa performance lors de son discours sur l'état de l'Union, le 7 février, qui a duré une heure treize, a rassuré ses partisans, mais le fait même que les articles et experts ont souligné cet aspect prouve qu'ils étaient inquiets. Quinze jours plus tard, il s'est rendu à Kiev en guerre en enchaînant un vol et un trajet en train. Mais, en juillet 2022, des interviews menées dans son entourage par le New York Times révélaient que, même s'il restait intellectuellement affûté, questionnant ses conseillers, récrivant des discours, « son énergie, même impressionnante pour un homme de son âge, n'était plus ce qu'elle était ».

Sa démarche est moins assurée, il traîne parfois des pieds, créant dans son entourage l'angoisse qu'il ne trébuche. Il est difficile de savoir, dans son élocution, ce qui relève des résurgences d'un bégaiement combattu dans l'enfance, des gaffes pour lesquelles il a toujours été célèbre et d'absences passagères. Ce qui est sûr, c'est que chaque bévue fait le bonheur des militants conservateurs, qui font tourner les vidéos sur les réseaux sociaux, qu'il s'agisse d'une marche ratée sur une passerelle d'avion, d'une chute de vélo, d'un instant, à la fin d'un discours, où il semble perdu sur la scène ou de phrases incompréhensibles.

Gaffes à répétition

Certaines ne sont que des gaffes gênantes. Il a fait référence à la « présidente Harris » (sa vice-présidente Kamala Harris), en mars 2021. « Où est Jackie ? » demandait-il le 28 septembre dernier lors d'une conférence à la Maison-Blanche, tout en cherchant des yeux Jackie Walorski, élue de l'Indiana, morte huit semaines auparavant. Il a aussi dit que son épouse Jill Biden avait été vice-présidente d'Obama. Début février, il s'est vanté du fait que « la moitié des femmes » de son gouvernement étaient « des femmes ». En février 2022, lors d'une conférence à la Maison-Blanche, il a semblé lire les instructions du prompteur : « Il faut noter que le pourcentage des femmes qui s'inscrivent sur les listes électorales est systématiquement plus haut que celui des hommes qui le font – fermez les guillemets, répétez la phrase. »

D'autres peuvent avoir des conséquences plus graves, en particulier sur le plan international. « Et je veux remercier, euh… ce gars, là », a-t-il bredouillé, en septembre 2021, alors que le nom du Premier ministre australien d'alors, Scott Morrison, lors d'une cérémonie virtuelle pour annoncer l'Aukus, lui échappait. Pire encore, lors d'un déplacement en Pologne en mars 2022, il s'est exclamé, à propos de Vladimir Poutine : « Pour l'amour de Dieu, cet homme ne peut pas rester au pouvoir.  » Cette improvisation par rapport au discours écrit a forcé tout son gouvernement à se lancer dans des exégèses embarrassées. Le mois dernier, en visite au Canada, il a confondu ce pays avec la Chine. Certaines parutions, comme le tabloïd New York Post (détenu par Rupert Murdoch), écrivent régulièrement sur sa « sénilité » et le fait qu'il fasse « honte aux États-Unis ».

Au-delà de ces faux pas, derrière les interrogations sur la santé de Joe Biden se profile la question de sa succession. Fin mars, selon un sondage de Monmouth University, le taux d'approbation de Kamala Harris était de 36 % parmi les Américains. Or c'est elle, sa vice-présidente, qui lui succéderait s'il s'avérait incapable de terminer son mandat.

La gérontocratie étant le défaut des grands pays comme l’ex URSS voir même avec le dictateur russe actuel ou l’adversaire probable de BIDEN : TRUMP dont on a n’a pu voir la nuisance qui ne sont pas jeunes eux aussi !?

Nous on a versé dans le jeunisme en FRANCE d’un frais moulu petit bourgeois donneur de leçon incompétent que l’on a en plus réélu par défaut et là jusqu’en 2027 pour se faire remarquer !?

Car eux les Américains ont quand même la chance d’avoir des élections à mi-mandat car ils ne sont que de 4 ans nous si on vote mal ou si on se trompe on s’en prend pour dix ans avec celui actuellement en place qui peut se permettre de se laisser vivre 5 ans de plus sans rien faire ce qu’il a fait déjà lors de son 1er quinquennat !?

Les pays riches libres et démocratiques ont des peuples malléables par leurs politiciens élus car encore trop gâtés et c’est pour cela qu’on les menace avec des épées de Damoclès au-dessus de leurs tètes par des guerres larvées auxquelles ils ne croient pas ce qui est un de leurs principaux défauts nombreux faisant confiance à des vieux politiciens usés !?

Jdeclef 25/04/2023 13h22

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L’exemple de l’incompétence de notre gouvernement pour ce problème d’immigration et sur bien d’autres sociétaux français en stand-by depuis que la macronie est en place depuis 2017 avec un président hors sol !?

 

Opération « Wuambushu » à Mayotte : la destruction d’un bidonville suspendue ?!

Depuis lundi, l’opération Wuambushu est en cours à Mayotte. Elle prévoit l’expulsion de migrants en situation irrégulière installés sur l’île française.

COMME SI LES DIRIGEANTS COMORIENS ALLAIENT REPRENDRE CEUX QUI ONT FUIT LEUR MAUVAISE GOUVERNANCE IL N’Y A QUE LE GOUVERNEMENT FRANCAIS MACRONIEN AUSSI NAIF QUE LES FRANÇAIS QUI L’ONT REELU POUR CROIRE CELA ET QUI AVALENT TOUT COMME DES NULS ?!

le bidonville « Talus 2 » à Mayotte devait être détruit mardi dans le cadre de l'opération Wuambushu contre la délinquance et l'habitat insalubre menée dans le département français de l'océan Indien. Mais la justice vient d'en décider autrement selon les informations de France Info, confirmées par l'Agence France-Presse (AFP).

Elle prévoit de déloger les migrants en situation irrégulière des bidonvilles de Mayotte, 101e département français, et d'expulser les sans-papiers, dont la plupart sont des Comoriens, vers Anjouan, l'île comorienne la plus proche, située à 70 km.

Alors que la première destruction du bidonville « Talus 2 » dans le quartier de Majicavo dans la commune de Koungou devait commencer mardi matin, le tribunal judiciaire de Mamoudzou a suspendu la décision.

L'évacuation de ce bidonville était initialement prévue mardi à partir de 6 heures, heure locale, la justice a constaté « l'existence d'une voie de fait », tenant aux conditions d'expulsion jugées « irrégulières » par les personnes s'opposant à l'expulsion. Une vingtaine d'habitants de ce bidonville, représentés par un collectif d'une dizaine d'avocats, avait saisi la justice en procédure de référé.

Les conditions d'expulsion jugées « irrégulières »

Selon une décision à laquelle France Info a pu avoir accès, le juge des référés « ordonne au préfet de Mayotte de cesser toute opération d'évacuation et de démolition des habitats » à Majicavo. Il considère que la destruction des habitations « met en péril la sécurité » des habitants. L'État pourra déposer un recours à cette décision.

« Le préfet de Mayotte prend acte de la décision du tribunal judiciaire de Mamoudzou. Il a demandé aux avocats de l'État de faire appel », a indiqué à l'AFP la préfecture de Mayotte.À Qu'est-ce que l'opération « Wuambushu » à Mayotte

Peu après 6 heures, des affrontements sporadiques avaient lieu sur place entre des jeunes du quartier et des forces de l'ordre déployées en grand nombre, selon une journaliste de l'AFP. Pas très loin, des émeutes ont eu lieu entre les forces de l'ordre et les habitants du bidonville voisin de « Majicavo Dubaï » dès l'aube, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Des barricades de poubelles et de pneus avaient été installées tout le long de l'axe principal de l'île menant au secteur. Les forces de l'ordre, prises à partie par des jets de pierres, ont répliqué par des tirs nourris de LBD et de grenades lacrymogènes.

À « Talus 2 », femme et enfants célébraient leur victoire contre l'arrêté d'expulsion prévu pour 6 heures sous le survol de l'hélicoptère. « Je suis trop contente, on a été au tribunal on a gagné rien ne va être détruit, enfin du repos », a déclaré Mdohoma Hadja, 33 ans, habitante du quartier pointant les mains en l'air en signe de joie vers le ciel.

Les Comores refusent l'accostage d'un navire

Le quartier de « Talus 2 » est un enchevêtrement de tôles bleues et grises, accroché à une colline, où plus d'une centaine de familles d'origine comoriennes vivent, certaines depuis 35 ans, dans des conditions précaires. « Sur l'île de Mayotte, on estime à 30 % l'habitat en tôle, illégal, construit sans autorisation, ni titre et insalubre et à ce titre dangereux, surtout dans la mangrove ou des pentes, et susceptible de partir au moment de la saison de pluie », a expliqué la coordinatrice, chiffrant à 100 000 personnes la population des bidonvilles sur l'île.

Le préfet de Mayotte, Thierry Suquet, avait affirmé lundi que la France « n'arrêtera(it) pas » les opérations de lutte contre la délinquance et l'habitat insalubre pour lesquelles quelque 1 800 membres des forces de l'ordre ont été déployés à Mayotte, archipel français de l'océan Indien.

Mais les Comores ont refusé lundi l'accostage d'un navire transportant une soixantaine de personnes. Le représentant de l'État a dit espérer « reprendre rapidement » les rotations de bateaux vers l'île comorienne d'Anjouan.

L'association Droit au logement (DAL) avait appelé dimanche à stopper l'opération « Wuambushu », qu'elle avait qualifiée de « brutale » et d'« antipauvres ».

Notre France pays des droits de l’homme (que peu ne respecte dans le monde) par nos lois inadaptées et code pénal inefficace à l’immigration galopante du droit d’asile et du laxisme de notre justice inefficace car gouverné par des bienpensants donneurs de leçons hypocrite qui eux ne souffrent pas de ces nuisances ou délinquances exportées de pays voisins souvent pauvres ou totalitaires ou comme par exemple notre ministre garde des sceaux ex avocat spécialiste des acquittements pour vice de forme d’une justice lente et débordée archétype de notre Vème république monarchique style ancien régime dont profite nos élus politiciens de tous bords et nos dirigeants qui ne font que de la mauvaise politique politicienne pour protéger leurs avantages et privilèges mais pas les Français lambda !?

Car trop de libertés mal encadrées tue la simple liberté c’est cela la réalité sur ce sujet de flux de migrants d’hommes femmes et enfants qui met en exergue l’immigration mal contrôlée corseté de règlement totalement inefficace Mayotte est l’exemple plus grave de ce qui se passe même en France métropolitaine avec ces « gens de peu » comme dit notre président dédaigneux irrévérencieux avec tout le monde mais ou ceci en passant on voit encore des familles Françaises à Paris dormir dans la rue !?

Mayotte n’est que la goutte d’un vase d’inaction de l’état et de nos gouvernements de tous bords sur cette immigration qui dure depuis + de 60 ans sans diminuer notre président réélu par défaut a dit qu’il ferait un énième plan pour cette immigration de qui se moque-t-il qu’il cesse de s’écouter parler car d’une incapacité remarquable depuis 2017 pour çà et bien d’autres problèmes sociétaux dont il n’a même pas commencé le règlement !?

Mais il a de la chance car les Français sont d’incomparables naïfs qui avaleront tout jusqu’en 2027 !?

Jdeclef 25/04/2023 10h53LP

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