jeudi 13 avril 2023

On nous soule avec des sondages fumeux qui ne représente pas la vraie vérité de ce que pensent vraiment une majorité des Français (qui se cachent dans leurs erreurs de votations ne voulant pas l’admettre car ayant réélu ce président) qui ne fait rien de positif pour eux Français lambda et même des erreurs à l’international avec ses propos ou discours hasardeux pour ne pas dire plus ?!


 

Baromètre Ipsos-« Le Point » : Macron et Borne chutent, Le Pen se détache ?!

L’exécutif continue de susciter le mécontentement de l’opinion. À gauche, Mélenchon marque le pas tandis qu’un axe Roussel-Cazeneuve se dessine.

COMME ON NE PEUT SE DEBARASSER DE CE CHEWING-GUM USAGE PRESIDENTIEL QUE L’ON DOIT TRAINER QUI COLLE A NOS CHAUSSURES JUSQU’EN 2027 ?

MAIS QUAND EST-CE QUE LES FRANÇAIS ARRIVERONS A MIEUX VOTER EN REFLECHISSANT MIEUX CAR C’EST LEUR DESTIN QU’IL CONFIE A UN PRESIDENT A QUI EN PLUS ILS ONT DONNE TROP DE POUVOIR QU’IL UTILISE MAL DANS CETTE VEME REPUBLIQUE QUI NE CORRESPOND PLUS AUX SOI-SISANT CHANGEMENTS QU’ILS RECLAMENT DEPUIS + 40 ANS C’EST INCONCEVABLE ET DESESPERANT LA NIAISERIE INCURABLE DE CERTAINS DE NOS CONCITOYENS QUI RALENT BEAUCOUP SEULE CHOSE QU’ILS SAVENT FAIRE MAIS EN PENSANT À LEUR CHACUN POUR SOI BORNE DEVASTATEUR !?

MAIS QUI RECIDIVENT A CHAQUE ELECTION PRESIDENTIELLE ALORS QU’IL FAUT CHANGER CETTE VEME REPUBLIQUE USEE OBSOLETTE NE PROFITANT QU’A CETTE CLASSE POLITIQUE ET PARTIS RINGARDS DE TOUS BORDS ET LEURS POLITICEINS QUI NE PENSENT QU’A EUX !?

la chute, jusqu'où ? La réforme des retraites est le chemin de croix d'un président dont la popularité dégringole dans notre baromètre Ipsos-Le Point. Emmanuel Macron a perdu 10 points d'opinions favorables (28 %) depuis le début de l'année, son score le plus faible depuis mai 2019. Et, souligne Federico Vacas, d'Ipsos, les jugements très défavorables sur son action augmentent de 11 points (de 35 à 46 %) – au total, 69 % des sondés ont un avis négatif (5 points de plus). Le chef de l'État atteint des niveaux de mécontentement équivalents au pire des années des présidences Chirac (qui était à 27 % en juin 2005) et Sarkozy (29 % en avril 2011), mais il garde de la marge par rapport à François Hollande, descendu à 13 % d'avis favorables en septembre 2014.

L'actuel chef de l'État accuse les baisses les plus fortes chez les moins de 35 ans (- 9 points, à 29 %), les ouvriers (- 7 points, à 18 %), les ruraux (- 12 points, à 19 %). Pis, les bases de la macronie s'effritent : - 22,3 % chez les professions indépendantes (31 %), - 3,7 % chez les habitants de l'Île-de-France (28,7 %), idem chez ceux de l'agglomération parisienne. Le président perd plusieurs points chez ses alliés du MoDem : - 16,5 % (53,4 %). En revanche, il est très soutenu par les centristes de l'UDI : + 25 % d'opinions favorables (60,8 %).

Emmanuel Macron et Élisabeth Borne : le point de non-retour ? Tout comme Élisabeth Borne, qui tient la tête hors de l'eau grâce à eux : les sympathisants UDI lui accordent 55,5 % d'opinions favorables (+ 5,6 %). Mais la Première ministre connaît son pire score, à 23 %, en ayant perdu 11 points d'opinions favorables depuis janvier, et subi 8 points de plus d'avis très défavorables (47 %).

Va-t-elle quitter Matignon ? La rumeur de son départ enfle, et son sort dépend des avis que doit rendre le Conseil constitutionnel, vendredi 14 avril. À ce stade, constatons seulement que l'impopularité de la cheffe du gouvernement est à relativiser. La plupart de ses prédécesseurs ont connu pareil sort, observe Federico Vacas en plongeant dans les archives de notre baromètre. Alain Juppé était à 22 % en novembre 1996, Jean-Marc Ayrault à 21 % en novembre 2013, Manuel Valls à 20 % en juin 2016. Même Édouard Philippe au pouvoir avait chuté à 22 % de jugements favorables en décembre 2018.

Le moment Le Pen

Quelques semaines après son départ de Matignon, le Havrais a pris la tête du classement général des leaders et s'y est installé jusqu'à aujourd'hui, battant des records de popularité. Mais, ce mois-ci, il perd 4 points positifs (40 %) et se retrouve désormais talonné par Marine Le Pen, qui atteint son record de confiance dans notre baromètre.

Surfant sur les vagues de mécontentement générées par la réforme des retraites, la cheffe de file du RN gagne 4 points, engrange 39 % de jugements favorables et talonne désormais Édouard Philippe : un seul petit point sépare les deux présidentiables, même si les avis négatifs pour Marine Le Pen sont plus importants (55 % contre 49 % au chef d'Horizons). Le président du RN, Jordan Bardella, prend lui aussi 4 points positifs (30 %) et bondit de la 8e à la 4e place.

Pourquoi Marine Le Pen se méfie des bons sondages « Jusque-là, la baisse de popularité de l'exécutif ne bénéficiait à aucune opposition, relève Federico Vacas. Le Rassemblement national progresse dans toutes les catégories de la population. Il y a une vraie dynamique. » À noter toutefois que Marine Le Pen ne gagne aucun point auprès des sympathisants LR, chez qui elle n'émarge qu'au quatorzième rang, avec 41 % d'opinions favorables et 59 % d'avis défavorables. Elle est devancée par son successeur à la tête du parti, Jordan Bardella, qui prend 4 points auprès des LR (47 %), sans décrocher de gros scores sur cette cible : il reste en 11e position dans ce classement.

Les superstars des électeurs de droite restent Nicolas Sarkozy, qui empoche 19 points supplémentaires et grimpe à 81 % d'opinions favorables, et Édouard Philippe qui en gagne 10 de plus (75 %). Les sympathisants LR sont aussi séduits par Bruno Le Maire, qui prend la troisième position, avec 6 points positifs supplémentaires qui le mènent à 66 % d'avis favorables.

Le ministre de l'Économie peaufine sa stature de présidentiable en s'installant à la 3e place de notre classement général, avec 31 % de jugements favorables et 52 % d'avis mécontents – 3 points de moins que Marine Le Pen. Dans un gouvernement impopulaire, c'est à noter. Bruno Le Maire se place loin devant ses collègues – et rivaux – Gérald Darmanin et Olivier Véran, respectivement en 8e et 9e positions (27 %).

Un printemps Roussel ?

Côté gauche, Fabien Roussel fait une percée, bondissant de la 13e à la 5e place (29 %). Celui qui vient d'être réélu avec plus de 80 % des voix à la tête du Parti communiste français multiplie les apparitions publiques et les déclarations fracassantes quitte à bousculer son camp, notamment avec sa déclaration sur l'immigration – « Ils ont transformé nos frontières en passoires » –, sculptant une image de gestionnaire pragmatique – pas dogmatique – et rassembleur.

Le communiste se rapproche de Bernard Cazeneuve qui, lui aussi très présent dans les médias à la faveur de la sortie de son livre sur François Mauriac, grignote 3 points (26 %) et 5 places (11e rang) dans notre classement. Le début d'une reconfiguration à gauche ? Les malheurs de la Nupes, notamment la déroute électorale en Ariège, et la stratégie de violence menée par LFI se traduisent dans notre baromètre.

Carole Delga : « Le bruit et la fureur ne nous amèneront pas à présider le pays » Jean-Luc Mélenchon, contesté chez les siens, se maintient à 71 % d'opinions favorables chez les sympathisants d'extrême gauche, mais son capital s'étiole : il perd 9 points. Une chute qui ne profite guère à Fabien Roussel, qui lui aussi perd 4 points (40 %) dans ce segment de la population.

Martine Aubry, la mutique de Lille, elle, gagne 8 points (51 %). « Fabien Roussel progresse, mais surtout chez les sympathisants macronistes (+ 5 points, à 22 %) et RN (+ 7 points, 23 %) parce qu'il joue les trublions à gauche », commente Federico Vacas. Même mouvement pour Bernard Cazeneuve.

L'ex-Premier ministre de François Hollande chute de la 3e à la 8e place chez les sympathisants socialistes (- 12 points, à 34 %) : c'est Yannick Jadot, lui aussi silencieux, qui tire son épingle du jeu chez eux bondissant de la 8e à la 2e place (48 %). Bernard Cazeneuve séduit surtout les Marcheurs (+ 10 points, à 49 %). Faudra-t-il ajouter son nom sur la liste des premiers ministrables susceptibles, le cas échéant, de succéder à Élisabeth Borne à Matignon ?

La chute, jusqu'où ? La réforme des retraites est le chemin de croix d'un président dont la popularité dégringole dans notre baromètre Ipsos-Le Point. Emmanuel Macron a perdu 10 points d'opinions favorables (28 %) depuis le début de l'année, son score le plus faible depuis mai 2019. Et, souligne Federico Vacas, d'Ipsos, les jugements très défavorables sur son action augmentent de 11 points (de 35 à 46 %) – au total, 69 % des sondés ont un avis négatif (5 points de plus). Le chef de l'État atteint des niveaux de mécontentement équivalents au pire des années des présidences Chirac (qui était à 27 % en juin 2005) et Sarkozy (29 % en avril 2011), mais il garde de la marge par rapport à François Hollande, descendu à 13 % d'avis favorables en septembre 2014.

L'actuel chef de l'État accuse les baisses les plus fortes chez les moins de 35 ans (- 9 points, à 29 %), les ouvriers (- 7 points, à 18 %), les ruraux (- 12 points, à 19 %). Pis, les bases de la macronie s'effritent : - 22,3 % chez les professions indépendantes (31 %), - 3,7 % chez les habitants de l'Île-de-France (28,7 %), idem chez ceux de l'agglomération parisienne. Le président perd plusieurs points chez ses alliés du MoDem : - 16,5 % (53,4 %). En revanche, il est très soutenu par les centristes de l'UDI : + 25 % d'opinions favorables (60,8 %).

Emmanuel Macron et Élisabeth Borne : le point de non-retour ? Tout comme Élisabeth Borne, qui tient la tête hors de l'eau grâce à eux : les sympathisants UDI lui accordent 55,5 % d'opinions favorables (+ 5,6 %). Mais la Première ministre connaît son pire score, à 23 %, en ayant perdu 11 points d'opinions favorables depuis janvier, et subi 8 points de plus d'avis très défavorables (47 %).

Va-t-elle quitter Matignon ? La rumeur de son départ enfle, et son sort dépend des avis que doit rendre le Conseil constitutionnel, vendredi 14 avril. À ce stade, constatons seulement que l'impopularité de la cheffe du gouvernement est à relativiser. La plupart de ses prédécesseurs ont connu pareil sort, observe Federico Vacas en plongeant dans les archives de notre baromètre. Alain Juppé était à 22 % en novembre 1996, Jean-Marc Ayrault à 21 % en novembre 2013, Manuel Valls à 20 % en juin 2016. Même Édouard Philippe au pouvoir avait chuté à 22 % de jugements favorables en décembre 2018.

Le moment Le Pen

Quelques semaines après son départ de Matignon, le Havrais a pris la tête du classement général des leaders et s'y est installé jusqu'à aujourd'hui, battant des records de popularité. Mais, ce mois-ci, il perd 4 points positifs (40 %) et se retrouve désormais talonné par Marine Le Pen, qui atteint son record de confiance dans notre baromètre.

Surfant sur les vagues de mécontentement générées par la réforme des retraites, la cheffe de file du RN gagne 4 points, engrange 39 % de jugements favorables et talonne désormais Édouard Philippe : un seul petit point sépare les deux présidentiables, même si les avis négatifs pour Marine Le Pen sont plus importants (55 % contre 49 % au chef d'Horizons). Le président du RN, Jordan Bardella, prend lui aussi 4 points positifs (30 %) et bondit de la 8e à la 4e place.

Pourquoi Marine Le Pen se méfie des bons sondages « Jusque-là, la baisse de popularité de l'exécutif ne bénéficiait à aucune opposition, relève Federico Vacas. Le Rassemblement national progresse dans toutes les catégories de la population. Il y a une vraie dynamique. » À noter toutefois que Marine Le Pen ne gagne aucun point auprès des sympathisants LR, chez qui elle n'émarge qu'au quatorzième rang, avec 41 % d'opinions favorables et 59 % d'avis défavorables. Elle est devancée par son successeur à la tête du parti, Jordan Bardella, qui prend 4 points auprès des LR (47 %), sans décrocher de gros scores sur cette cible : il reste en 11e position dans ce classement.

Les superstars des électeurs de droite restent Nicolas Sarkozy, qui empoche 19 points supplémentaires et grimpe à 81 % d'opinions favorables, et Édouard Philippe qui en gagne 10 de plus (75 %). Les sympathisants LR sont aussi séduits par Bruno Le Maire, qui prend la troisième position, avec 6 points positifs supplémentaires qui le mènent à 66 % d'avis favorables.

Le ministre de l'Économie peaufine sa stature de présidentiable en s'installant à la 3e place de notre classement général, avec 31 % de jugements favorables et 52 % d'avis mécontents – 3 points de moins que Marine Le Pen. Dans un gouvernement impopulaire, c'est à noter. Bruno Le Maire se place loin devant ses collègues – et rivaux – Gérald Darmanin et Olivier Véran, respectivement en 8e et 9e positions (27 %).

Un printemps Roussel ?

Côté gauche, Fabien Roussel fait une percée, bondissant de la 13e à la 5e place (29 %). Celui qui vient d'être réélu avec plus de 80 % des voix à la tête du Parti communiste français multiplie les apparitions publiques et les déclarations fracassantes quitte à bousculer son camp, notamment avec sa déclaration sur l'immigration – « Ils ont transformé nos frontières en passoires » –, sculptant une image de gestionnaire pragmatique – pas dogmatique – et rassembleur.

Le communiste se rapproche de Bernard Cazeneuve qui, lui aussi très présent dans les médias à la faveur de la sortie de son livre sur François Mauriac, grignote 3 points (26 %) et 5 places (11e rang) dans notre classement. Le début d'une reconfiguration à gauche ? Les malheurs de la Nupes, notamment la déroute électorale en Ariège, et la stratégie de violence menée par LFI se traduisent dans notre baromètre.

Carole Delga : « Le bruit et la fureur ne nous amèneront pas à présider le pays » Jean-Luc Mélenchon, contesté chez les siens, se maintient à 71 % d'opinions favorables chez les sympathisants d'extrême gauche, mais son capital s'étiole : il perd 9 points. Une chute qui ne profite guère à Fabien Roussel, qui lui aussi perd 4 points (40 %) dans ce segment de la population.

Martine Aubry, la mutique de Lille, elle, gagne 8 points (51 %). « Fabien Roussel progresse, mais surtout chez les sympathisants macronistes (+ 5 points, à 22 %) et RN (+ 7 points, 23 %) parce qu'il joue les trublions à gauche », commente Federico Vacas. Même mouvement pour Bernard Cazeneuve.

L'ex-Premier ministre de François Hollande chute de la 3e à la 8e place chez les sympathisants socialistes (- 12 points, à 34 %) : c'est Yannick Jadot, lui aussi silencieux, qui tire son épingle du jeu chez eux bondissant de la 8e à la 2e place (48 %). Bernard Cazeneuve séduit surtout les Marcheurs (+ 10 points, à 49 %). Faudra-t-il ajouter son nom sur la liste des premiers ministrables susceptibles, le cas échéant, de succéder à Élisabeth Borne à Matignon ?

   Ce type de sondage ou baromètre dit IPSOS/LE POINT n’a aucune valeur surtout à l’instant « T » avec un président qui a été réélu jusqu’en 2027 par des Français qui auraient mieux fait de mieux réfléchir avant de se plaindre après car peureux comme d’habitude pour ceux qui ont votés mais pas nombreux mais ne représentant pas une majorité de Français dans ce système électoral à 2 tours qui favorise le sortant pour son 2eme quinquennat !?

Il ne sert qu’à rapporter aux instituts de sondages dont c’est le métier pour s’enrichir ou les médias comme le Point pour augmenter leurs tirages !

Et cela plait au Français lambda bon publics hyper naïfs qui disent s’intéresser à la politique et leurs politiciens de tous bords qu’ils ont élu voir réélu qui avalent tout il suffit que ce soit par exemple le président qui fasse un de ses discours alambiqués dont certains n’y comprennent rien assortis de promesses fumeuses rarement tenues (enfin pour ceux qui votent encore car l’abstention elle se porte très bien !?)

Mais les autres politiciens de tous bords dont certains sont en plus mal élevés comme des aboyeurs de foire qui ne roulent que pour eux pas pour les Français ou la France tout comme les citoyens lambda quand on leur demande car « francs comme des ânes qui reculent » et disent : « mais moi je n’ai pas voté pour le président au 2eme tour !?)

En ce qui concerne le présent cela ne concerne pas le président que ces mêmes Français naïfs ont réélu seule la 1ere ministre ne va pas résister bien longtemps comme tous les 1ers ministres passés interchangeables par le choix de nos présidents passés quand le pays va mal pour faire croire à un faux changement réclamé par les Français depuis + 40 ans ce qui est une escroquerie intellectuelle de nos dirigeants celui-ci en place ne faisant pas mieux !?

Ce qui est désespérant ce sont les Français lambda qui ne change pas et encore pas de quoi être fier !?

Jdeclef 12/04/2023 13h13LP

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