UN PRESIDENT QUI NE SEMBLE PAS CONTENT DE CE QU'IL A FAIT SI C'EST LE CAS CE SERAIT BIEN QU'IL EN PRENNE CONSCIENCE !?
Coignard. Macron :
réformer, bien sûr, mais avec qui et pour quoi faire ?!
CHRONIQUE. Le
président ne peut pas se contenter de généralités lors de son allocution. Mais
entrer dans les détails présente d’autres difficultés…
IL EST PERDU MAIS IL S’EN
FICHE CAR REELU JUSQU’EN 2027 PAR DES FRANÇAIS QUI AVALENT TOUT COMME SES
PREDECESSEURS DEPUIS + 40 ANS !
Ce pourrait être
la devise numéro un dans un guide de la réforme pour les nuls. Pour opérer
de vraies transformations, la volonté et même l'opiniâtreté sont des
qualités indispensables, mais pas suffisantes car il est impossible de le
faire tout seul. C'est une donnée que le président de la République a semblé
souvent négliger et qui s'est déjà rappelée à lui de mille façons depuis sa réélection.
D'abord par la voie des urnes, lors des législatives, où les Français lui
ont refusé une majorité absolue à l'Assemblée nationale.
Et ce, alors même qu'il avait promis un « changement de méthode »
avec « des solutions bâties au niveau des acteurs locaux ». Ce n'est
pas lui faire injure de constater que cette transfiguration a fait long feu.
À LIRE AUSSIMacron : « Je décide, ils
exécutent »
Puis le péril qu'il y a à vouloir faire « révolution » tout seul
s'est manifesté au cours du long et douloureux cheminement sur les retraites.
Élisabeth Borne comme le
ministre du Travail, Olivier Dussopt, auront répété jusqu'à l'extinction de
voix le nombre d'heures passées à « concerter » avec les partenaires
sociaux, puis à débattre devant le Parlement. Mais les premiers tournent le dos
à tout nouveau cycle de dialogue, tandis que les députés prêts à participer à
des « majorités de projet », au coup par coup et dans l'intérêt de la
France, ne se bousculent pas.
Y compris au sein de LR,
où nombre de ceux qui ont appuyé la réforme des retraites veulent faire oublier
ce soutien à une réforme nécessaire mais impopulaire.
Pas de majorité absolue, pas de partenaires sociaux à l'écoute… Restent donc
les Français, auxquels Emmanuel
Macron a choisi de s'adresser solennellement ce lundi soir à
20 heures. Mais comment les faire participer à un nouvel élan, ou plutôt à
un élan tout court, puisque ce second mandat n'en a jamais connu
jusqu'alors ? Comment les convaincre, avec une cote de popularité certes
supérieure à celle de François
Hollande à la fin de son quinquennat mais en chute de près de
10 points depuis le début de la séquence retraites ?
À LIRE AUSSICoignard – Emmanuel Macron, la
stratégie du 13 heures
Gare au catalogue de bonnes intentions !
Le chef de l'État ne pourra pas se contenter de proposer un ersatz de
« grand débat national », avec des déplacements dans toute la France
et même des ateliers avec des élus locaux, comme cela a été suggéré. Il lui
faut donc entrer dans le concret, annoncer ce qu'il compte faire des quatre ans
qu'il lui reste, et donner un calendrier précis. Samedi, lors d'un discours
devant le conseil national de Renaissance, le parti présidentiel, Élisabeth
Borne a parlé au pluriel de la détermination de l'exécutif à « accélérer
les réformes », « bâtir la France du plein-emploi »,
« garantir l'égalité des chances » ou encore « agir »
pour la santé, l'éducation, la planète…
Ce sympathique catalogue de bonnes
intentions ne peut que nourrir le scepticisme. Il ne suffit plus en effet
d'annoncer des réformes, il faut surtout dire lesquelles. Celle sur
l'immigration a été abandonnée en rase campagne. Celle sur les institutions
devrait subir le même sort. Restent les changements qui concernent la vie
quotidienne des Français, comme le « reste à charge zéro » pour les
lunettes, les prothèses dentaires et auditives, mis en œuvre depuis 2019. Mais
cette disposition, à l'époque, avait été votée dans le cadre d'un PLFSS. Des
mesures du même type trouveraient-elles encore une majorité aujourd'hui ?
Pourquoi changerait-il puisqu’il
n’en n’ a pas d’idées ce petit Mr « bon chic bon genre » élu et réélu
par défauts par des Français perdus peureux qui lui ont donné trop de pouvoir
qu’il utilise mal et qui ne sait pas décider en faisant une sorte de procrastination
maladive qui n’aime pas les Français qu’il dédaigne les prenants pour des idiots
qui ne réfléchissent pas voir fainéants (ce qui n’est pas faux mais ne pensant
car leur « chacun pour soi » et leurs petits conforts étriqués pour
ceux qui en ont encore !?)
C’est un faux monarque de l’ancien
régime mais sans couronne ce qu’il doit regretter pétri d’un orgueil immense
pire que tous ses prédécesseurs qui en avait aussi mais pas à ce point lui
est au-dessus de la moyenne !?
2017/2018 et la suite ou il
n’a pas cessé d’essuyer les colères des Français manifestations et grèves diverses
voire violentes qu’a-t-il ne fait rien de positif pour régler les problèmes sociétaux
de la France et des Français il ne sait que parler et nous distiller ses
discours de donneur de leçons bienpensant hypocrite et que va-t-il faire encore
ce soir au 20 heures de la télé il n’inventera pas la poudre ventant « SA »
réforme des retraites bâclée que personne ne voulait qui est passée au forceps
en pleine nuit en catimini que tout le monde savait déjà acquise !?
N'a-t-il pas dit « je décide
ils exécutent » mais quoi ?! Il ne sait même pas en humiliant les Français
en plus !?
Ce qu’il mériterait c’est qu’un
de ses dirigeants totalitaires le remette à sa place en lui disant qu’il n’est
qu’un petit dirigeant d’un petit pays la France qui régresse car mal gouverné
et qui se mêle trop de ce qui ne le regarde pas cela finirait la honte qu’il
nous fait subir en nous faisant souffrir par sa mauvaise gouvernance qui ne
nous protège pas de ses crises internationales induites dont nous subissons les
conséquences !?
C’est le devoir des Français
de lui dire ce qu’ils pensent vraiment au lieu de se cacher derrière leurs
peurs du lendemain !?
Jdeclef 17/04/2023 11h41
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