samedi 22 avril 2023

Les remaniements utilisés sous tous les gouvernements et dirigeants de notre Vème république ne sont que de fausses bouées de sauvetage pour ne pas se noyer et tenir jusqu’à la fin de leur mandat et pire pour ce président car il ne sera pas réélu il ne le peut pas de par notre constitution ce qui s’il le fallait que changer c’est la Vème république obsolète usée qui ne profite qu’a cette classe politique nulle et ses leaders médiocres ne pensant qu’à eux !?

 

« Ton gouvernement, c’est cata » : Macron vers un remaniement forcé ?

LETTRE DU PALAIS. Emmanuel Macron et Élisabeth Borne n’ignorent pas les lacunes du gouvernement. Un remaniement est jugé indispensable par la majorité. 

POUR REPRENDRE LES MEMES DE SA CLIQUE DE SON PARTI FANTOME C’EST UNE ESCROQUERIE INTELLECTUELLE POUR ESSAYER DE CALMER LES FRANÇAIS PITOYABLES NAIFS !?

Soyez concentrés, à la tête de vos administrations. Parlez de vos sujets, et ne parlez pas de vous. » C'est en ces termes qu'Emmanuel Macron a rappelé à l'ordre les membres de son gouvernement, mercredi, dans le huis clos du conseil des ministres. Un sévère recadrage, au moment où le président traverse une phase d'impopularité et de défiance record dans l'opinion depuis sa première élection en 2017, et alors que son équipe, en place depuis bientôt un an, n'en finit pas de faire la démonstration de son extrême fragilité.

« La crise est un décapant : le vernis disparaît. C'est le seul avantage des mers déchaînées et des gros temps : on voit qui sont les marins », lâche un allié du président. À entendre cet élu, ils ne seraient que trois, quatre tout au plus, au sein d'un collectif pléthorique de plus de quarante ministres, à assurer correctement leur mission et à remplir leur rôle. Les piliers du gouvernement, et aussi les seuls identifiés par les Français et les plus ambitieux : Bruno Le Maire, patron de Bercy depuis six ans, Gérald Darmanin (Intérieur) et Gabriel Attal (Comptes publics), déjà ministres sous le précédent mandat. Ces derniers jours, dans la foulée de l'allocution d'Emmanuel Macron, ces poids lourds ont saturé les ondes tous azimuts. L'un a lancé une offensive contre la fraude sociale, le deuxième a annoncé la fin du retrait de points sur le permis de conduire en cas d'excès de vitesse inférieur à 5 km/h, le dernier a plaidé pour un « plan Marshall » en direction des classes moyennes.

Emmanuel Macron ou la stratégie du bulldozer

« Invisibles », « boulets »

Et les autres ? Des « invisibles », râlent à l'unisson les parlementaires de la majorité, des personnalités « usées », voire des « boulets »… Des députés avouent ne pas tous les connaître. « Ton gouvernement, c'est cata », a tancé dernièrement une élue Renaissance lors d'un échange avec Emmanuel Macron. « Parfois, à l'Assemblée, quand un ministre prend la parole, on se demande quel est son nom, quel portefeuille il occupe », narre une autre. « C'est le gouvernement croque-mort : fin de vie, fin du chômage, fin du travail. Le gouvernement souffre du signe indien de la fin de Macron ! » décrit crûment un ponte du camp macroniste. Il faut dire que les règles imposées par le cabinet d'Élisabeth Borne ne sont pas de nature à booster la notoriété des ministres. Lors d'une réunion des chefs de cabinet du gouvernement qui s'est tenue à Matignon, début avril, consigne a été donnée de « protéger les ministres », de limiter au maximum les déplacements compte tenu de la contestation à la réforme des retraites. « Mieux vaut ne pas bouger que de donner à voir de mauvaises images », a-t-il été recommandé.

Premier constat, partagé de façon largement majoritaire autour du président : les priorités de ce quinquennat – école, santé, écologie – « ne sont pas suffisamment incarnées ». Le ministre de l'Éducation nationale, Pap Ndiaye, nommé en mai, concentre le plus de critiques. « On ne l'entend pas, si ce n'est pour aborder le sujet de la mixité sociale dans les écoles privées. Or, je n'ai pas l'impression que ce soit vraiment là où se trouvent les vrais maux », sermonne un élu Renaissance.

Récemment, le locataire de la rue de Grenelle, issu du monde universitaire et intellectuel et qui ne maîtrise pas les codes de la politique, a cherché à s'inviter devant le groupe centriste d'Hervé Marseille au Sénat. Niet, a répondu le président de l'UDI. Un autre chef à plumes est allé rencontrer le successeur de Jean-Michel Blanquer dans son bureau pour tenter de comprendre « le problème Pap ». « Il ne faut pas croire, il bosse, il a un agenda surblindé. Mais au lieu de porter une politique, il ne fait que gérer son écosystème ! Or, ce n'est pas le rôle des ministres de plein exercice », se désole-t-il. Le retour des amateurs…

Gouvernement : Marlène Schiappa, sur la sellette ?

« Du poids, j'en ai ; du poids politique, je ne sais pas »

À la Santé, François Braun en exaspère aussi plus d'un. « Du poids, j'en ai ; du poids politique, je ne sais pas », s'amuse en privé l'ancien patron du syndicat Samu-urgences, balayant les critiques d'un revers de main. Malgré son savoir-faire politique et son expérience, l'ancien maire d'Angers Christophe Béchu a mis du temps à prendre en main le titanesque ministère de la Transition écologique. Ce n'est pas un scoop de dire que ce proche d'Édouard Philippe était plus à l'aise pour gérer le portefeuille des collectivités territoriales, son dada. Sa discrétion durant l'été dernier, marqué par la canicule et les incendies, a semé le trouble. Lundi, c'est le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui s'est rendu dans les Pyrénées-Orientales, où 1 000 hectares ont été ravagés par les flammes. « Il est où Béchu pour les incendies ? J'attends qu'il chausse une paire de bottes et qu'il aille planter le milliard d'arbres qu'a promis Emmanuel Macron durant sa campagne ! » éructe un élu Renaissance en vue, évidemment, sous le sceau de l'anonymat… Quant au Logement, le ministre Olivier Klein, venu de la gauche et ancien maire de Clichy-sous-Bois, « il répond systématiquement “ce n'est pas possible” aux demandes des parlementaires ».

Emmanuel Macron a-t-il encore envie d'être président ?

Ces dernières semaines, en pleine contestation contre la réforme des retraites, ce sont des déclarations ou des apparitions jugées intempestives qui ont fini par horripiler les soutiens du président. « Quand un ministre passe le mur du son, c'est pour dire une connerie ! » gronde un communicant. « Marlène Schiappa (Économie sociale et solidaire et Vie associative) en mode “coup de foudre à Manhattan” qui présente son nouveau compagnon dans la presse puis pose dénudé dans un drapeau dans Playboy, Olivia Grégoire (Petites et moyennes entreprises, Commerce, Artisanat et Tourisme) qui pose avec son bébé dans Paris Match, Olivier Dussopt (Travail) et Sarah El Haïry (Jeunesse) qui parlent de leur homosexualité… Mais où va-t-on ? » liste un député, amer.

Le chef de l'État n'ignore rien des lacunes de son dispositif politique. Beaucoup l'ont poussé à remanier dans la foulée de la promulgation de la réforme des retraites, de manière à tourner la page plus rapidement. Mais comme au moment des Gilets jaunes, il s'y est refusé, désireux de ne pas agir sous la pression. « Un changement gouvernemental aurait montré un suraccident, une surréaction à la crise », décrypte l'un de ses plus proches. « Ma conviction, c'est que cela ne peut pas durer. Le constat s'impose : c'est cuit et ça ne tiendra pas cent jours. Tout ça va sauter », assène un compagnon de route du président, qui juge inéluctable le remplacement d'Élisabeth Borne à Matignon et la nomination de ministres « robustes, qui tiennent la route » au sein d'une équipe plus resserrée.

Reste qu'Emmanuel Macron a lui-même théorisé et organisé la faiblesse de son gouvernement. Un bon ministre, c'est avant tout un bon soldat, si possible peu connu avant d'être nommé, et guère davantage au moment de quitter ses fonctions… « Il a tellement peur d'avoir des gens solides autour de lui qu'il les écarte ! Ce qui transpire, c'est que ce n'est pas agréable de travailler avec lui, observe une ancienne ministre socialiste. Au moins avec François Hollande et Nicolas Sarkozy, il y avait une histoire avec eux, un rapport personnel. Là, il y a une distance, tous ses ministres le vouvoient ! » « Si on veut te bâillonner, on te met au gouvernement ! » note une élue Renaissance, qui fait pourtant figure de ministrable.

Larcher, Baroin, Copé… Qui veut gagner Matignon ?

Cette épée de Damoclès d'un remaniement plus ou moins imminent pèse sur l'exécutif depuis plusieurs mois. « On est dans un faux plat permanent, se lamente un ministre, qui ne nie pas les difficultés. On manque de récit politique et de collectif. » Depuis six ans, le président n'a pas vraiment montré une passion pour les histoires de casting. Il est même considéré comme un « mauvais DRH ». Alors ses stratèges y pensent pour lui. « Il nous faut un mix : conserver des poids lourds, faire monter des élus de la génération Macron comme les députés Maud Bregeon ou Pierre Cazeneuve. Les former pour qu'ils puissent porter ensuite l'héritage. » À moins qu'un pacte avec la droite d'opposition ne se dessine dans la foulée des élections sénatoriales… « Dans ce cas, il faut promouvoir des élus locaux, comme Christelle Morançais, Serge Grouard, Jean-François Copé, imagine un autre. Et là, ça commence à faire bouger le système. » Avec Gérard Larcher à Matignon ?

Les Français aiment les changements alors un remaniement et remplacement de 1er ministre inféodé et servile ne servant à rien collaborateur du  président qu’il peut changer comme les chaussettes qu’il porte avant qu’elles ne sentent trop mauvais n’est que pour faire semblant de changer de politique et gouvernance du pays comme un ravalement de façade d’une maison qui se lézarde que le locataire occupe et jouit du confort que lui ont donné des Français trop gâtés et même réélu en plus car ayant peur du lendemain qu’il ne rendra pas meilleur car lui on ne peut le changer indéboulonnable apprenti autocrate qui s’entraine à imiter ceux déjà en place qu’il fréquente et avec qui il va converser car c’est de plus en plus fréquents dans d’autres pays importants connus dans notre monde instable en ébullition malade et la petite France qui régresse depuis + de 40 ans mais là s’accélère dangereusement ?!

Car les Français apathiques râlent bien sur et proteste comme d’habitude car frondeurs patentés indisciplinés c’est dans leurs gènes historiques mais ne souffre pas encore assez semble-t-il et s’offusque souvent de voir des peuples même pas sous-développés asservis par des dictateurs encore plus nombreux dans le monde et dans leurs pays qu’on appelle démocrature ersatz de dictature car cela fait mieux et moins peur dans les esprits des citoyens lambda qui eux ne pense qu’à leur chacun pour soi et petits conforts ?!

Mais qui ne se rende pas compte que l’on pourrait basculer dans ce type de régime qui ressemble un peu à l’ancien monarchique millénaire passé par la faute des mauvais choix ou votes des Français qui ont donné trop de pouvoirs presque absolus à leurs dirigeants bien-pensant donneurs de leçons hypocrites !?

Mais réfléchir n’est pas la qualité qui prime chez nos concitoyens c’est dommage car alors fini nos libertés déjà écornées !?

Jdeclef 22/04/2023 10h38

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1 commentaire:

  1. Au royaume des imbéciles les modérateurs du point sont des rois car dire la vérité que tout le monde peut voir n'est pas accepté sur ce Media le Point inféodé au pouvoir alors il bafoue la liberté d'expression!?

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