De toute façon ce président sans amour propre gonflé d’orgueil démesuré ne respecte par les Français lambda pas de son monde et ces manifestations beuglantes ou concert de casseroles glissent sur lui comme sur les plumes d’un canard car se croyant au-dessus de cette plèbe de gens de peu qu’il dédaigne !?

 

Alsace : Macron violemment hué pour son premier bain de foule depuis des semaines ?!

Un concert de casseroles a accueilli le président lors de son arrivée à Muttersholtz. Il a par ailleurs été hué dans les rues de Sélestat.

CE N’EST PAS ETONNANT SA POPULARITE EST PASSE AU DESSOUS DE ZERO MAIS LES FRANÇAIS L’ONT REELU ALORS IL VA SE MOQUER D’EUX A DOMICILE ?!

Le président Emmanuel Macron est arrivé mercredi en début d'après-midi dans le village alsacien de Muttersholtz, où des manifestants, tenus à distance, l'ont accueilli avec un concert de casseroles pour cette première visite en région depuis la promulgation de la réforme des retraites. Le chef de l'État s'est rendu dans l'entreprise de bois Mathis, qu'il doit visiter, sans passer à proximité des manifestants qui l'attendaient dans ce village de 2 200 habitants. « Ce n'est pas des casseroles qui feront avancer la France », a estimé Emmanuel Macron devant des journalistes, lors d'un déplacement en Alsace, assurant que « la réalité de tout le pays, ce n'est pas seulement ceux qui font du bruit avec des casseroles ou qui râlent ». « Vous me reverrez toujours avec les gens », a ajouté le président. « Je n'ai pas le droit de m'arrêter », a-t-il poursuivi.

La CGT a revendiqué une coupure de courant intervenue lors du déplacement du président, sans toutefois plonger les lieux dans l'obscurité. « Nous l'avions annoncé, les énergéticiens seront partout et il fera tout noir pour le président ! » a déclaré Fabrice Coudour, secrétaire fédéral FNME-CGT, dans un message adressé à l'Agence France-Presse. « La colère est là et on ne tourne pas la page ! » a ajouté Fabrice Coudour au sujet de la réforme des retraites, promulguée vendredi par le chef de l'État. La coupure de courant a duré pendant toute la durée de la visite sans pour autant empêcher le président de continuer sa rencontre avec les salariés de l'entreprise, à qui il a pu s'adresser avec un micro. Les lieux étaient éclairés par des puits de lumière.

Emmanuel Macron ou la stratégie du bulldozer

Un premier bain de foule sous les huées

Emmanuel Macron a ensuite été hué mercredi dans les rues de Sélestat en Alsace, lors de son premier bain de foule depuis la promulgation de la réforme contestée des retraites. « On est là, on est là ! », « Macron démission », ont scandé des manifestants dans la foule. « On n'a jamais vu un président avoir un gouvernement aussi corrompu que le vôtre. Un jour, vous allez retomber […] Vous allez bientôt tomber, vous allez voir », lui a lancé un homme aux cheveux gris. « Vous nourrissez des idées qui ne sont pas justes », lui a répondu le président.

« Je ne demande pas aux gens de prendre les décisions difficiles à ma place, on va continuer à améliorer les choses sur les conditions de travail », a-t-il également répliqué à une jeune femme qui l'interpellait sur les retraites et la pénibilité. « J'ai 34 ans, je suis vraiment inquiète. On vous demande une seule chose, un signe d'apaisement, et là, vraiment, on ne le voit pas », lui a encore dit cette femme. « On n'en veut pas de ta réforme, qu'est-ce que tu comprends pas là-dedans ? » lui a lancé un autre homme. « C'est plus une démocratie, l'interdiction de manifester à 10 h 30 », a dénoncé une autre femme. « Les mots ont un sens », lui a répondu le président. « Cette colère s'exprime, je ne m'attendais pas à autre chose, mais elle ne m'empêchera pas de continuer à me déplacer », a affirmé Emmanuel Macron.

Emmanuel Macron, le punching-ball préféré des Européens

Certains lui ont cependant exprimé leur soutien. « Tenez bon », a lancé un homme âgé au chef de l'État, qui lui a répondu « ne vous inquiétez pas ». Le chef de l'État sera à nouveau en déplacement dès jeudi avec une nouvelle visite de terrain, dans l'Hérault, sur le thème de l'éducation.

En réaction aux huées et aux invectives essuyées par le président, Jean-Luc Mélenchon a jugé que son « nouveau départ » avec ses « 100 jours » pour apaiser le pays est « raté ». Pour l'ancien candidat Insoumis à la présidentielle, un « seuil est franchi », citant aussi « des ministres bloqués partout où ils mettent le nez » et « des préfets interdisant des casserolades qui ont quand même lieu ». « Ce qui pourrit sur pied, c'est l'autorité du président et donc de tout pouvoir fondé sur lui », a écrit Jean-Luc Mélenchon sur son blog.

Arrêtons de nous étonner de la réaction des Français qui fustigent leur président qu’ils ont élu et réélu en lui donnant en plus trop de pouvoir qui aboient et crient en faisant des bruits de casseroles ridicules !?

Quand on les interroge au café du commerce comme par hasard personne n’avait voté pour lui au 2eme tour de la présidentielle c’est faux bien sur car réélu on pouvait leur pardonner pour ce nouveau venu parvenu frais moulu arrivé comme les cheveux sur la soupe par opportunisme en 2017 qu’il a su saisir après la défection de son prédécesseur ou il a enfoncé une porte ouverte !?

Mais pas sa réélection ou le président ne sait même pas fatigué par sa mini campagne tant il connaissait les Français pétochards comme des baudruches si facile à crever il a brossé un tableau catastrophique d’une venue des vilains extrémismes de droite ou de gauche avec M.LE PEN et son RN mais surtout attisé par l’aboyeur de foire MELENCHON qui voulait être 1er ministre  en plus et a semé un désordre pas possible qui a favorisé  le président ?!

Bravo à ces Français qui soi-disant ne votent pas pour le président qui leur a en plus collé cette réforme des retraites qu’ils ne veulent pas sous cette forme pilier et obsession de son quinquennat car n’ayant plus d’argent motif invoqué par celui-ci pour prendre l’argent dans la poche des Français car déjà dépensé par le fameux « quoi qu’il en coute » (que l’on devrait plutôt appeler chèques en blanc) par la crise sanitaire COVID alibi bien que les caisses étaient déjà vides avant !?

Le pire sur ce gâteau empoisonné concocté par le pâtissier président c’est la cerise dessus par ses diatribes insultantes envers les Français lambda « de peu » se prenant pour un monarque voir presque un autocrate comme on voit dans d’autres pays c’est désolant mais logique pour des citoyens enfants trop gâtés qui le méritent et votent mal !?

LEMAIRE parle de rembourser la dette pharaonique la France on est fichu presque au FMI (FILLON disait faillite!?)

Jdeclef 20/04/2023 14h40

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