la stupidité des Français est bien plus grave que la fourberie de leur président ?!
Ces mots
qui écorcheraient la bouche de Macron ?!
ÉDITO. Au
lieu de dire simplement la vérité aux Français sur la dette, c’est la promesse
frelatée de les « protéger » de tout que le président a réitérée.
ET LES
FRANCAIS AVALENT ET ACCEPTENT CA DE LEUR PRESIDENT C’EST INCOMPREHENSIBLE VOIR
D’UNE NAIVETE LAMENTABLE ET DESESPERANTE ?!
POURQUOI
CELA CESSERAIT-IL AVEC DES FRANÇAIS QUI NE PENSE QU’A LEUR « CHACUN POUR
SOI » ET LEUR PRESIDENT QUI LES DEDAIGNE LE DIMINUE EN PRENANT L’ARGENT QUI
LUI MANQUE DANS LEURS POCHES !?
Nous sommes fauchés. Pour donner une image simple,
considérons qu'en 2022, à partir du 1er décembre, c'est grâce à de
l'argent emprunté sur les marchés financiers que nous avons pu payer nos
dépenses publiques : salaires des fonctionnaires, pensions de retraites ou
encore chauffage dans les écoles.
Cela ne peut plus durer. Notre dette, à presque 3 000
milliards d'euros, est la plus importante d'Europe. Elle a bondi de plus de 700
milliards depuis 2017 et, comme les taux d'intérêt remontent, le risque de
sanction des agences de notation et donc des marchés financiers se rapproche.
Bref, la fête est finie.
Ces données sont publiques, vérifiables sur le site de
l'Insee. Elles sont le véritable motif de la réforme des retraites, lesquelles
représentent de loin notre premier poste de dépenses. L'Italie, le Portugal ou
l'Espagne en sont passés par là et ont repoussé l'âge légal de départ pour ces
mêmes raisons. Car si nos régimes seront bien en déficit dans les décennies à
venir, c'est bien le trou global - et béant - qui constitue le vrai défi.
Argent magique. Pourquoi Emmanuel
Macron n'arrive-t-il pas à énoncer ces vérités franchement ? Il ne l'a fait ni
en préambule de sa réforme des retraites ni en clôture, lors de son
intervention télévisée du 17 avril. Oh, il a effleuré le sujet en évoquant la
nécessité de l'« indépendance » de la France, notamment face aux «
forces de la spéculation ».
Des propos impressionnistes pour décrire une situation
concrète. Et c'est bien là le problème. « Le scandale n'est pas de dire la
vérité, soulignait Bernanos, c'est de ne pas la dire tout
entière, d'y introduire un mensonge par omission qui la laisse intacte
au-dehors, mais lui ronge, ainsi qu'un cancer, le cœur et les entrailles. »
Il faut dire que briser le tabou (sa spécialité, autrefois)
reviendrait à dissiper une illusion qu'il a lui-même nourrie : celle de
l'argent magique. Le « quoi qu'il en coûte » sanitaire, décrété en mars 2020, a
convaincu les Français (qui ne demandaient que cela) que la ressource était
infinie. Le « quoi qu'il en coûte » énergétique, déployé dès 2021 et renforcé
ensuite, a cimenté cette croyance.
Politique du chéquier. On nous
objectera - et l'argument est excellent - que l'argent public déversé durant la
pandémie a empêché l'écroulement des entreprises, la perte des compétences, et
donc préservé nos chances de repartir. On dira aussi, à propos de l'énergie,
que les « boucliers » ont, en plus de leur fonction sociale, l'avantage de
contenir l'inflation. S'ils restent temporaires, ils permettent donc d'éviter
la formation de ce que l'on appelle les « boucles prix-salaires », lesquelles,
en rehaussant durablement le coût du travail, sapent la compétitivité des
entreprises. C'est parfaitement juste.
Sauf que rien n'interdisait de préciser solennellement, à
chaque chèque, que cet argent était aimablement prêté par ces vilaines «
forces de la spéculation » auxquelles l'État fait la cour pour assurer ses
fins de mois. Emmanuel Macron aurait pu, par exemple, indiquer clairement que
les pleins d'essence subventionnés en 2022 sont financés à crédit, et que la
facture en sera réglée aux alentours de 2030, puisque l'échéance de nos
emprunts est en moyenne de huit ans et demi. Le président de la République
aurait aussi pu ajouter qu'à la fin 2023 une grosse centaine de milliards
d'euros aura été consacrée au bouclier énergétique, soit presque deux fois plus
que le plan d'investissement France 2030 censé préparer l'avenir…
Ces mots qui lui écorchent la
bouche auraient certes heurté quelques oreilles, mais auraient aussi préparé le
terrain. Au lieu de cela, et malgré de trop discrets avertissements sur le
niveau de la dette - le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, a lui été plus
explicite -, c'est la promesse frelatée de « protéger les Français »
de tout qui a été réitérée. Sans d'ailleurs que cette politique du chéquier
contente beaucoup de monde. « Le sentiment qu'on a pour la plupart des
bienfaiteurs ressemble à la reconnaissance qu'on a pour les arracheurs de dents
», écrivait Chamfort. Il n'est pas certain que dire la vérité dès le début
l'aurait rendu plus impopulaire.
Ces vérités qu’il cache ou édulcore
sur sa mauvaise gestion et erreurs de sa gouvernance de la France voire son incapacité
et incompétence diverses ou promesses dont on n’a pas vu le jour (ce qui est
commun à tous nos présidents de cette Vème république cela ne semble pas le gêner
mais lui fait pire ne protégeant pas les Français!?)
Ce Mr fat qui se croit bien
élevé et éduqué en pensant tout savoir alors qu’il a encore beaucoup à
apprendre quand on gratte son vernis de président bobo donneur de leçons bien-pensant
mais hypocrite qu’il n’applique pas à lui-même et ses attitudes irrévérencieuses
et son caractère mal maitrisé emporté mais seulement qui se voit quand les
vrais problèmes qu’il n’est peut semble-t-il pas régler le dépasse car pas du
même monde des Français lambda !?
Il insulte les français par ses
réflexions inqualifiables impolies car c’est toujours plus facile de reporter
tous ses problèmes sur les autres et sur le peuple lambda qui eux souffrent de situations
nationales et internationales et d’un président qui n’a rien fait depuis 5 ans
et 3 mois de sa mandature car élu et réélu par défaut par des Français perdus avec
une fausse majorité relative qu’il a obtenu grâce à un système électoral à deux
tours qui profite au sortant lors de ce 2eme quinquennat de cette Vème république
qu’il a utilisé en bon opportuniste politicien qui s’en est servi car les Français
ont peur des extrémistes de droite ou gauche l’ont réélu en lui donnant en plus
trop de pouvoir presque absolu digne de l’ancien régime !?
Donc ce n’est pas comme cela
qu’il calmera la colère des Français d’ailleurs sa 1ere sortie en province lui a
déjà montré qu’elle n’avait pas diminuée ni effacer son arrogance de pseudo
monarque absolu !?
Il faudrait qu’il dissolve l’ASSEMBLEE
NATIONALE au mieux et change de gouvernement en se séparant de sa 1ere ministre
Mme BORDE !?
Voir même qu’il démissionne ?
Mais çà il ne faut pas rêver car croyant qu’il est le meilleur jusqu’en 2027 encore
loin hélas !?
Jdeclef 20/04/2023 10h18
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