mardi 11 avril 2023

La cause est entendue notre petit président bourgeois se prend vraiment pour un monarque sans couronne se croyant le meilleur qui continue à tirer la France vers le fond entrainant les Français dans la misère à brève échéance (car il ne savent plus voter et choisir leurs dirigeants mais çà ce n’est pas nouveau dans notre Vème république depuis qu’elle existe !?)

 

« C’est incompréhensible » : malaise après les déclarations d’Emmanuel Macron sur Taïwan !?

Le chef de l’État a appelé dimanche l’Union européenne à ne pas « être suiviste » des États-Unis et de la Chine au sujet de Taïwan, provoquant un tollé.

CELA NE PEUT DONNER QUE DE MAUVAIS RESULTATS AVEC NOTRE PRESIDENT HORS SOL DES REALITES INTERIEURES ET INTERNATIONALES ET DES FRANCAIS QUI VOTENT SI MAL ?!

Il avait pourtant été averti par des experts et même des fidèles : sa visite en Chine allait inévitablement percuter une rencontre à Los Angeles entre la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen et le chef des républicains américains, Kevin McCarthy. Pékin a répliqué par d'inquiétantes manœuvres d'encerclement et de simulation de bombardement de l'île de mer de Chine.

Après avoir soigneusement évité le dossier de Taïwan pendant sa visite à Pékin, le président de la République a tenté de s'expliquer dans des interviews à des journalistes des Échos, de France Inter et du site Politico. Ses propos ont suscité l'indignation de spécialistes européens et américains de la Chine et de Taïwan. Le conseil éditorial du Wall Street Journal a répliqué dès lundi en accusant le président français de manquer de solidarité avec ses alliés : « Il affaiblit la dissuasion contre l'agression chinoise et sape le soutien américain à l'Europe », ont tempêté les éditorialistes du quotidien conservateur américain.

Taïwan : Macron refuse que l'UE soit « suiviste » des États-Unis ou de la ChineAnglé sur Taïwan, l'article de Politico a particulièrement retenu l'attention alors qu'il semblait dépeindre un chef de l'État français se lavant les mains du risque d'invasion chinoise, renvoyant dos à dos menaces de la Chine et actions de soutien des États-Unis. Selon Politico, Emmanuel Macron semblait plus soulagé que les manœuvres chinoises n'aient commencé qu'après son départ qu'inquiet des risques pour la stabilité régionale. « Selon l'entourage d'Emmanuel Macron, celui-ci était satisfait de voir Pékin au moins attendre qu'il soit sorti de l'espace aérien chinois avant de lancer l'attaque simulée d'encerclement de Taïwan », précisait le site spécialisé dans les relations internationales, ayant pu interviewer le président dans l'avion du retour.

Une note en fin de texte précisait en outre que des citations sur Taïwan, pourtant prononcées par le président, avaient dû être retranchées, à la demande du service de presse de l'Élysée. Celles conservées ont suffi à déclencher la polémique : « Le paradoxe serait que […] nous nous mettions à suivre la politique américaine, par une sorte de réflexe de panique », a déclaré Emmanuel Macron. « La question qui nous est posée à nous, Européens, est la suivante […] : “Avons-nous intérêt à une accélération sur le sujet de Taïwan ?” Non. La pire des choses serait de penser que nous, Européens, devrions être suivistes sur ce sujet et nous adapter au rythme américain et à une surréaction chinoise. »

Le président français justifiait de plus son refus de mettre en garde Xi Jinping : « Les Européens n'arrivent pas à régler la crise en Ukraine, comment pouvons-nous dire de manière crédible sur Taïwan : attention, si vous faites quelque chose de mal, nous serons là ? Si vous voulez vraiment augmenter les tensions, c'est le meilleur moyen de le faire », a-t-il déclaré.

Réactions cinglantes

En réaction, l'Alliance interparlementaire sur la Chine (The Inter-Parliamentary Alliance on China, Ipac), un collectif d'élus européens et internationaux qui alerte sur les ambitions expansionnistes de Pékin, a émis un communiqué cinglant, signé par des dizaines de parlementaires se disant « consternés », « en particulier son affirmation selon laquelle l'Europe devrait éviter d'être « prise dans des conflits qui ne sont pas les nôtres » – une référence claire à l'escalade des tensions dans le détroit de Taïwan ».

Avant de pointer la maladresse des déclarations présidentielles au moment même d'opérations militaires chinoises menaçant l'Indo-Pacifique d'un conflit dévastateur : « Alors que Pékin intensifie les exercices militaires dans la mer de Chine méridionale et montre son soutien continu à l'agression russe en Ukraine, c'est le pire moment possible pour envoyer un signal d'indifférence à l'égard de Taïwan. Les remarques malavisées du président Macron non seulement ne tiennent pas compte de la place vitale de Taïwan dans l'économie mondiale, mais sapent l'engagement de plusieurs décennies de la communauté internationale à maintenir la paix dans le détroit de Taïwan. L'histoire est un juge sévère des efforts passés pour apaiser les autoritaires. »

Le texte est même signé par des parlementaires français, comme le sénateur André Gattolin, pourtant membre de la majorité présidentielle. « Il n'est pas en train de ressouder l'Europe », déplore l'élu Renaissance, en pointe sur la Chine. Les déclarations du président ne posent en outre pas seulement question par la controverse suscitée parmi les alliés de la France en Europe et aux États-Unis, mais en regard même de la diplomatie française. En août 2022, la France avait en effet signé un appel du G7 à préserver la paix et la stabilité dans le détroit de Taïwan après les manœuvres militaires chinoises simulant un blocus. Et timidement, la présidence française s'était pour la première fois risquée à aborder le sujet autour du G20 de Bali, en insistant sur la stabilité dans l'Indo-Pacifique.

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Cependant, en amont de la rencontre avec Xi Jinping, Emmanuel Macron avait confié au Monde ne pas vouloir aborder le sujet avec Xi Jinping : « Je ne suis ni Taïwan ni les États-Unis d'Amérique. En bon stoïcien, je ne peux m'occuper que de ce qui dépend de moi », a-t-il signifié, rappelant qu'« il ne faut pas tout mêler. » Avant donc de faire volte-face et de longuement aborder la question lors de ses échanges avec Xi à Canton.

Il y a une nuance entre inféodé, vassalisé ou pas aligné.

« C'est incompréhensible », regrette pour sa part la députée de la majorité Anne Genetet, qui était du voyage. « Je reçois des messages de Français installés dans la région qui soutiennent le président mais se disent maintenant : “On est tout seuls.” » Elle comprend bien la ligne que cherche à définir l'exécutif : « Il a très envie de s'inscrire dans cette tradition gaullienne, pas inféodée aux États-Unis », décrypte-t-elle. Mais elle regrette que la volonté de se distinguer de Washington semble mettre Paris à équidistance de la Chine et des États-Unis : « Il y a une nuance entre inféodé, vassalisé ou pas aligné. »

Mauvais moment

Antoine Bondaz, chercheur à la Fondation pour la recherche stratégique, avait rencontré Emmanuel Macron mi-mars avec d'autres experts et pointé le risque du dossier taïwanais en amont de la visite en Chine. « Il dit juste ce qu'il pense », commente le spécialiste de la Chine. « Son analyse est totalement erronée. S'il y a bien un pays où il n'y a pas débat pour savoir s'il faut suivre les États-Unis, c'est la France. Personne ne dit qu'il faut suivre Washington. Tout le monde en France veut une politique indépendante. Et personne ne nie que parfois les Américains instrumentalisent Taïwan. Mais les États-Unis ne veulent pas changer le statu quo dans le détroit de Taïwan, au contraire ils veulent le maintenir. C'est bien la Chine qui multiplie les opérations militaires qui changent le statu quo. »

Finalement, c'est surtout le moment auquel ces déclarations sont finalement prononcées qui pose problème pour l'image de la France auprès des alliés en Europe et aux États-Unis, en particulier alors que la guerre en Ukraine a renforcé le soutien de l'Europe de l'Est à l'Otan et que le rapprochement entre Xi Jinping et Vladimir Poutine suscite une plus grande méfiance envers la Chine. « Le timing et le contexte sont catastrophiques, réagit Antoine Bondaz. Il rentre de Pékin, n'a jamais critiqué la Chine et il tire sur les États-Unis. Tout accrédite les doutes de certains qui craignent que la France soit équidistante. Alors même que ce n'est pas la politique étrangère de la France, comme le montre la déclaration du G7 d'août 2022. Il s'assoit sur ce que son propre pays a signé. »

Notre président est critiqué par une majorité de Français car il ne sait pas où il veut aller et n’a pas d’idées novatrices (quand il en a) depuis 2019/2022 et maintenant 2023 avec la suite jusqu’en 2027 !?

Et bien sûr dans ses défauts qu’il accumule procrastine et se noie dans ses discours alambiqués que seul lui comprend en s’écoutant parler pour ne rien dire d’utile !?

Mais quand il s’agit de la politique intérieure française cela ne touche que tous ces français lambda qu’il dédaigne à juste titre puisqu’ils l’on réélu comme des naïfs incurables et qui diront devant une bière au café du commerce : « mais moi je n’ai pas voté pour lui à ce 2eme quinquennat » ?!

Mais là il est présent jusqu’en 2027 donc quoi qu’il fasse ou se laisse vivre cela ne changera rien à la situation actuelle de la France et des Français !?

Mais quand il pérore en disant des inepties aux dirigeants les plus puissants du monde et en les vexant indirectement par une diplomatie à contrecourant en voulant leur donner des leçons de bienpensant hypocrite il devient inconscient et imprudent comme « un chien perdu dans un bowling » ou la boule c’est lui qui renverse les quilles de façon aléatoire sans en voir les conséquences !?

Car la petite France a besoin d’être protégée et bien dirigée dans un monde instable et cette Europe occidentale face à ses dictatures ou démocratures fourbissant leurs puissances militaires dangereuses qui se développent comme de mauvais virus !

Car notre Vème république usée obsolète n’est plus au fait du monde in sécuritaire totalitaire qui se développe et notre président à qui par notre erreur nous avons donné trop de pouvoir à lui seul homme incompétent pour ne pas en dire plus les années à suivre devenant essentielles et critiques pour la France !?

Notre président n’est pas un chef d’état c’est un cabotin sur la scène d’un théâtre de boulevard qui ne fait rire personne !?

C’est préoccupant pour la France il faut que nos concitoyens le comprennent ENFIN !?

Jdeclef 11/04/2023 2014


1 commentaire:

  1. Naturellement critiquer la politique internationale et nationale du président car là on a le choix mais est forcement censurée par les modérateurs du POINT bornés dont la rédaction est totalement inféodé au pouvoir en place d'ailleurs il n'est pas utile de citer son nom il vaut mieux le taire tant on est si mal gouverné par lui et ses gouvernements et sa 1ere ministre serviles qui changeront surement par sa volonté de petit monarque sans couronne hélas lui sera toujours là jusqu'en 2027 !?
    Pauvre France et ses concitoyens qui doivent subir son incompétence avérée !

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