mercredi 5 avril 2023

Nous sommes gouvernés par des dirigeants qui mentent comme des « arracheurs de dents » notre président actuel n’est pas mieux que ces prédécesseurs car c’est un beau parleur qui a fait avaler des couleuvres aux Français gogos qui l’ont même réélu comme des naïfs incurables !?

 

Nucléaire : les propositions chocs de la commission d’enquête ?!

EXCLUSIF. Suspension de l’Arenh, gouvernance… « Le Point » s’est procuré les 30 propositions du rapport de la commission d’enquête sur la perte de souveraineté énergétique de la France, attendu le 6 avril.

SIX MOIS DE PERDUS MAIS S’IL N’Y AVAIT QUE CA, CELA FAIT + DE 40 ANS QU’ON SURVIT MAL GOUVERNES PAR DES DIRIGEANTS ET POLITICIENS DE TOUS BORDS QUE NOUS ELISONS ET REELISONS COMME DES NAIFS, ALORS QUAND EST-CE QUE LES FRANCAIS VONT ENFIN SE REVEILLER EN CHANGEANT TOUT CE QUI NE MARCHE PLUS DANS CETTE VEME REPUBLIQUE EN ASSAINISSANT CETTE CLASSE POLITIQUE SCLEROSEE QUI NOUS TIRENT VERS LE FOND LA FRANCE ET LES FRANÇAIS ?!

VOILA CE QUE CELA DONNE COMME RESULTAT QUAND ON DONNE TROP DE POUVOIR A UN SEUL DIRIGEANT ?!

(Car le président sans amour propre actuel dira "ce n’est pas ma faute c’est les autres avant qui ont mis le pays dans le déclin" mais lui a pris la suite sans rien faire d’utile depuis son 1er quinquennat !?)

Ils ont passé six mois à ausculter l'un des plus grands fiascos de politiques publiques, qui a conduit la France au bord de la falaise et contraint l'exécutif, cet hiver, à demander aux usines de réduire leur production et aux Français de porter des pulls, pour éviter le black-out. La commission d'enquête sur les raisons de la perte de souveraineté énergétique de la France, décrochée par le groupe LR à l'automne, publiera jeudi son rapport – une somme de 400 pages, documentant « trois décennies » de « retard considérable accumulé en termes de souveraineté énergétique », selon les éléments que Le Point a pu consulter. Et les 30 propositions que les parlementaires formulent pour « rebâtir notre souveraineté électrique » tout en « réduisant rapidement notre dépendance aux énergies fossiles » promettent d'être scrutées à la loupe.

En effet, le travail de la commission, saluée pour son sérieux, a déjà imprimé sa marque. Les auditions publiques, tout au long de l'hiver, de 88 acteurs et témoins de cette épopée aux airs de tragi-comédie ont souvent laissé le public pantois, devant la révélation des errements, des compromissions politiques, de l'incompétence ou des lâchetés ayant amené le pays à se retrouver, au seuil de l'hiver 2022, contraint d'acheter à prix d'or à ses voisins une électricité qu'il n'était plus capable de produire, tandis que les factures explosaient. Annexées au rapport, les 1 500 pages de retranscription de ces auditions – responsables politiques, hauts fonctionnaires, experts, patrons d'entreprises, syndicalistes… – resteront pour l'Histoire.

Électricité : enquête sur une débâcle

« Tout le monde savait » que la politique de réduction de la part du nucléaire à 50 % du mix électrique, associée à la fermeture de moyens de production pilotables, allait dans le mur, a résumé l'ancien directeur de l'énergie au ministère (de 2007 à 2014) et actuel patron de l'Andra, Pierre-Marie Abadie, au cours de son audition. Les alertes ont été ignorées, voire couvertes. Et ensuite ? « C'est un rapport d'enquête parlementaire, pas une cour de justice », confiait au Point le rapporteur Antoine Armand (Renaissance), à la veille de présenter son bilan. « Nous devons faire un état des lieux lucide de notre situation énergétique, et de ce que nous pouvons faire. Il y a eu pendant longtemps une forme d'inconscience, avec le refus d'admettre qu'on ne peut pas à la fois produire plus d'électricité, produire vert, et avec moins d'énergie. Il faut sortir des mantras, et assumer la réalité telle qu'elle est. »

Solder l'inventaire

Un exercice politiquement délicat pour des députés membres de partis politiques ayant tous plus ou moins failli à éviter le désastre. S'il insiste sur les années 2012 à 2017, marquées par la mise en œuvre d'une politique de décroissance du nucléaire inspirée d'un accord du PS avec les Verts, le rapport n'épargne, selon nos informations, ni les gouvernements de droite qui ont précédé l'élection de François Hollande, ni l'exécutif actuel, dont les décisions, de la fermeture de Fessenheim à l'arrêt du programme de réacteur de quatrième génération Astrid, ont été prises « dans la continuité du quinquennat précédent ». Jusqu'au tournant amorcé en 2022 par Emmanuel Macron, et que les parlementaires espèrent renforcer, en formulant une série de propositions.

Certaines, portées dans son propos introductif par le président LR Raphaël Schellenberger, feront grincer quelques dents, comme la demande d'exiger des ONG participant aux décisions qu'elles soient « représentatives » et « financièrement transparentes », ou la possibilité « d'engager la responsabilité » de ministres qui ne réuniraient pas les instances de consultation scientifiques et techniques officielles – le témoignage de l'ancien haut-commissaire à l'Énergie atomique Yves Bréchet, jamais reçu en six ans de mandat et dont les multiples alertes se sont perdues dans les limbes, avait sidéré les membres de la commission.

Marché européen de l'électricité : une réforme a minimaLes autres ont fait consensus parmi les députés, quel que soit leur bord politique. Organisées en chapitres (traitant de la gouvernance, de la production, de la relance du nucléaire), elles visent explicitement à « ramener tout le monde dans le réel », selon les mots d'un membre de la commission, en partant d'abord d'un constat, largement partagé par la communauté scientifique : les consommations d'énergie anticipées d'ici à 2050 dans les différentes trajectoires ne suffiront pas pour, à la fois décarboner l'économie, et réindustrialiser le pays. « Si nous ne mettons pas en ligne nos objectifs climatiques et industriels avec notre prochaine programmation pluriannuelle de l'énergie, nous n'y arriverons pas », tranche un parlementaire.

Suspension « sans délai » de l'Arenh

Alors que l'avenir du mix énergétique doit être débattu d'ici à la fin de l'année, le rapport recommande que l'ambition soit portée « sur trente ans, inscrite dans une loi et étayée par la science et par l'industrie », en constatant « le fossé de production qui nous sépare de la souveraineté énergétique ». Cette loi, réclament les députés, devra faire l'objet « d'un suivi étroit et régulier par le Parlement », qui devra de manière générale être davantage associé à l'élaboration des textes, notamment via l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), dont les nombreux rapports alertant de la crise énergétique à venir avaient été négligés.

En termes de gouvernance toujours, les députés réclament que la direction générale de l'énergie soit à nouveau rattachée au ministère de l'Industrie, afin de suivre au plus près « nos vulnérabilités industrielles ». Et ils préconisent que le réseau de transport d'électricité RTE revoie d'urgence ses « critères de sécurité d'approvisionnement ». « Pendant des années, RTE a répété que tout allait bien, que l'on pouvait fermer Fessenheim, les centrales du Havre, de Porcheville, etc., et qu'il suffirait d'importer de l'électricité de chez nos voisins quand le vent ne souffle pas. Notre sécurité repose aujourd'hui sur les interconnexions. C'est extraordinairement imprudent, et cela nous a conduits dans l'impasse », souffle un membre de la commission.

Le grand déballage explosif de l'ancien patron d'EDF face aux députésÀ court terme, les députés demandent aussi que le prix du gaz soit décorrélé de celui de l'électricité, dans l'attente d'une refonte globale du marché européen plus protectrice de la « spécificité française ». Signal politique fort, ils recommandent « la suspension sans délai de l'Arenh [Accès régulé à l'électricité nucléaire historique] », ce mécanisme qui contraint EDF à vendre à prix coûtant une partie de son électricité à ses concurrents, et unanimement dénoncé au cours des auditions pour avoir plombé les capacités d'investissement d'EDF. Un message ferme envoyé au gouvernement, qui a toujours rejeté cette mesure réclamée avec constance par de nombreux acteurs. Les concessions électriques, insistent-ils, devront aussi être « maintenues dans le domaine public », en appliquant un dispositif de « quasi-régie », afin d'éviter toute mise en concurrence.

Réduire la dépendance aux énergies fossiles

En parallèle, une série de propositions vise à renforcer la sécurité énergétique en « accélérant vers la sobriété et l'efficacité énergétique » – ce que fait déjà le gouvernement –, et en « développant les énergies renouvelables thermiques » – où la France, concentrée sur le développement du solaire et de l'éolien, accuse un retard frappant. Biogaz, biomasse, géothermie… Les « objectifs de chaleur renouvelables pourraient être au moins doublés à l'horizon 2030 », estime le rapport. Alors que l'Ademe, par exemple, évalue à 140 térawattheures le potentiel de biogaz qui pourrait être fourni en France par la conversion des biodéchets et des résidus agricoles, la production plafonne… à 7,6 TWh.

Relever la filière nucléaire

Pour accompagner la relance de la filière nucléaire, aujourd'hui plombée de dettes et souffrant d'un lourd déficit de compétences, les députés appellent à un développement massif de moyens, à la fois humains (pour produire les nombreuses études nécessaires à la prolongation du parc de réacteurs ou au développement de l'EPR 2), administratifs et financiers, pour relever les défis et anticiper les besoins futurs. Ils proposent par exemple de « soutenir le renforcement des capacités d'enrichissement de l'uranium sur le territoire français » – une possibilité déjà étudiée par Orano, mais difficile à concrétiser sans appui étatique. Ou de « relancer la construction d'un démonstrateur de type Astrid », d'une puissance potentiellement plus modeste, pour « rattraper le retard accumulé » dans les réacteurs de quatrième génération.

Le rapport a été adopté le 30 mars par les membres de la commission, au cours d'une séance à huis clos. Pas à l'unanimité toutefois : les députés LFI et EELV, fermement opposés au nucléaire, ont voté contre. « La volonté systématique de discréditer le scénario d'un passage à 100 % d'énergies renouvelables n'est pas appropriée », a sèchement remarqué Julie Laernoes (EELV-Nupes), dénonçant « un certain nombre de contrevérités » contenues dans le rapport, sans parvenir toutefois à en citer une seule, selon le compte rendu des échanges publié sur Internet, par erreur, pendant quelques minutes. Les élus PS, dont le rapport éreinte particulièrement les anciens dirigeants, se sont abstenus.

Il est effarant de voire à quel point la France a été dévaluée depuis + 40 ans par la mauvaise gouvernance de nos dirigeants de tous bords et par des politiques plus que médiocres dans tous les domaines voire dangereux pour le peuple Français râleurs bien sur mais aussi d’une niaiserie incurable qui votent mais qui reprennent toujours les mêmes en les réélisant en plus !?

Le nucléaire civil en est le plus bel exemple avec l’affaire de suppression de Fessenheim n’était que l’arbre qui cachait la forêt qui n’a été fermé que pour faire plaisir à des écolos illuminés mais dangereux quand ils versent dans l’extrémisme violent comme on l’a vu avec l’épisode des bassines !

Pour les fans de cette « macronnie » (plutôt « maconnerie » excuser ce mauvais jeu de mot grivois) qui croient encore en notre président actuel marionnette bavarde arrivée par défaut en bon opportuniste en 2017 grâce à la défection de son prédécesseur mais issu du même moule de cette classe politique que l’on traine comme un boulet de plus en plus lourd !?

Mais il fait comme d’autres de ses prédécesseurs Français en mal de politique intérieure va se promener à l’étranger comme il le fait en Chine ou Xi Jing Pin le dictateur chinois en bon asiatique dont on ne sait pas ce qu’il pense vraiment écoutera diplomatiquement car qui écoute la France en perpétuelle dégradation nationale et internationale personne !?

Depuis ces dernières décennies nos dirigeants de tous bords ne font que mentir aux Français mais là cela se voit beaucoup mieux depuis les évènements sanitaires COVID et internationaux guerre en UKRAINE et crises induites économiques inflationnistes énergétiques etc…

Je suis âgé j’ai honte car aimant mon pays mais par mon âge je ne vois pas d’améliorations sensibles se profiler d’ici 2027 et on veut faire les JO en 2024 à PARIS !?

Le président devrait dissoudre l’assemblée et la Veme république usée être changée car devenue trop monarchique dans les 4 ans qui lui reste s’il veut marquer son passage dans l’histoire de notre pays !?

Jdeclef 05/04/2023 11h32


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