dimanche 30 novembre 2014

UN ACCIDENT EST TOUJOURS REGRETTABLE MAIS COMME PAR HASARD C'EST ENCORE EN AFRIQUE DANS UN PAYS QUI VIENT DE SUBIR UN COUP D'ÉTAT !



MONDE Il s'agit d'un membre du 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales...

Burkina Faso: Mort d'un d'un soldat français dans un accident d'hélicoptère

Un adjudant français des forces spéciales est mort samedi au Burkina Faso dans un accident d'hélicoptère survenu lors d'un vol d'entraînement, a annoncé dimanche le ministère de la Défense.
Il s'agit de Samir Bajja, 38 ans, né à Nîmes et sous-officier au 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales de l'Armée de terre, a précisé l'entourage du ministre Jean-Yves Le Drian dans un communiqué. Il se trouvait à bord d'un engin Caracal qui s'est écrasé.




DANS UN PARTI COMME CELUI-LÀ AUCUNE SURPRISE À ATTENDRE POUR CE TYPE D'ÉLECTION OU NOMINATION INTERNE


POLITIQUE C'était la seule candidate...

Front national: Marine Le Pen réélue avec 100% des voix

Marine Le Pen a été réélue ce dimanche présidente du Front national avec 100% des suffrages exprimés. Un score sans surprise puisqu'elle était la seule candidate en lice. Le vote a eu lieu par correspondance et le résultat a été annoncé lors du deuxième jour du congrès du FN qui se tient à Lyon.
Selon des résultats annoncés à la tribune par le vice-président du parti chargé des élections et des contentieux électoraux, Jean-François Jalkh, puis précisés à l'AFP, il y a eu 22.329 votants dont 22.312 en faveur de Marine Le Pen et 17 bulletins nuls. Le taux de participation n'avait pas encore été communiqué à l'AFP mais le FN revendique 83.000 adhérents.
Jean-François Jalkh a aussi annoncé la nouvelle liste des 120 élus au comité central, le parlement interne du parti. Cent d'entre eux ont été élus par les adhérents.

Marion Maréchal-Le Pen bien élue

Outre le top 5, déjà divulgué samedi (Marion Maréchal-Le Pen, Louis Aliot, Steeve Briois, Florian Philippot et Bruno Gollnisch), le classement montre notamment la permanence d'historiques du Front national dans le top 20: Joëlle Mélin, Jean-François Jalkh, Huguette Fatna, Thibaut de la Tocnaye ou Franck Briffaut.
Mais un certain nombre de frontistes plus récents sont aussi élus, tandis que les partisans de Bruno Gollnisch sont peu présents et mal classés.
Parmi les vingt cooptés figurent Aymeric Chauprade, conseiller de Marine Le Pen aux affaires internationales, Bruno Lemaire, conseiller économie, budget et fiscalité, Gaëtan Dussaussaye, patron du Front national de la jeunesse, ou l'eurodéputé Edouard Ferrand.
Ces élus au Comité central se réunissent pour élire le bureau politique, «gouvernement du parti» comme l'a qualifié Marine Le Pen, dont la composition sera divulguée en fin de matinée.


QUE B. LEMAIRE NE RÊVE PAS TROP N.SARKOZY VA FAIRE LE MÉNAGE DE FOND EN COMBLE DANS SON PARTI A-T-IL DIT ?


PORTRAIT Comment l'ancien directeur de cabinet de Dominique de Villepin a pris son envol à l'UMP...

Election du président de l'UMP: Bruno Le Maire battu mais désormais incontournable à l'UMP

Une défaite qui sonne comme une victoire. Bruno Le Maire, 45 ans, battu à l'élection de la présidence de l'UMP avec le score plus qu'honorable de 29,18 % des voix, fait partie des personnalités incontournables de son parti, après une campagne jugée «réussie» par ses pairs.
L'ancien ministre, parfait germanophone et surdiplômé (agrégation de lettres modernes (reçu premier), Sciences Po, ENA) a su, au gré d'une campagne tous azimuts, avec 95 meetings au compteur, casser son image de technocrate un peu froid, accentuée par une silhouette élancée, cheveux poivre-et-sel et yeux bleus.
Troquant ses costumes cravate pour le jean et le col roulé, l'autoproclamé «candidat du renouveau», qui fut le plus jeune directeur de cabinet d'un Premier ministre (Dominique de Villepin de 2005 à 2007), aimait descendre de l'estrade à chacune de ses réunions publiques pour se mêler à un public conquis, micro à la main, se prêtant sans chichis au jeu des questions-réponses.

Courtois mais «rien à perdre»

«Il faut du sang neuf à l'UMP. On en a plus qu'assez des histoires qui salissent notre parti. Avec lui, on repartira du bon pied. Finies les magouilles», s'exclamait ainsi Colette, une quinquagénaire à Nîmes, où il tenait meeting le 30 octobre devant 500 personnes environ.
La foi en son destin l'aura accompagné jusqu'au bout. «Je pense qu'il y aura une belle surprise en faveur du renouveau», s'exclamait-il encore samedi, quelques heures avant l'annonce des résultats. Tout au long de cette campagne, il aura montré une belle assurance.
Sarkozy? «Même pas peur», semblait lui lancer son ancien ministre des Affaires européennes et de l'Agriculture, élu député de l'Eure en 2007, après avoir refusé le poste d'ambassadeur à Rome que Jacques Chirac lui proposait.
«J'irai jusqu'au bout, je n'ai rien à perdre, je suis libre», a-t-il répété, un rien bravache, égratignant à chacun de ses meetings, tout en restant courtois, l'ancien président.

La primaire 2016 en ligne de mire

Devant les militants anti-mariage gay de Sens commun, il a résisté aux huées et aux sifflets, persistant à dire qu'il fallait garder la loi Taubira quand Nicolas Sarkozy finissait par prononcer le mot «abrogation», donnant l'impression de plier sous la pression de la salle.
Cette détermination explique probablement en partie son ascension dans les sondages: selon une enquête BVA publiée vendredi, sa cote d'influence vient même de dépasser celle de MNicolas Sarkozy, à 67% contre 65%, auprès des sympathisants de droite.
Sa campagne lui aura permis de se constituer une écurie, pour le cas où. «Bruno a ses chances pour 2017, vous ne pensez pas?», interrogeaient parfois ses soutiens.
Franck Riester, député-maire de Coulomiers, Delphine Bürkli, maire de Paris IXe, Florence Berthoux, celle du Ve, Thierry Solère, député des Hauts-de-Seine, font désormais partie de son premier cercle. Celui qui le soutiendra s'il décidait d'aller à la primaire pour la présidentielle en 2016, comme son entourage l'avait laissé entendre en cas de bon score.



samedi 29 novembre 2014

CE N'EST PAS FINI LES QUERELLES D'EGOS AMBITIEUX A L'UMP A PEUT PRÉS MORT …


Alors que le vote pour élire le nouveau président de l’UMP débute à 20h vendredi, le poste de secrétaire général suscite la convoitise…

Présidence de l’UMP: Le poste très convoité de secrétaire général du parti


ON NE FAIT PAS UN BON ET NOUVEAU PARTI EN CHANGEANT SON NOM !


SONDAGE La question de la primaire UMP pose également question, selon un sondage 

UMP: Les Français plutôt opposés au changement de nom du parti

Après deux ans de présidence sulfureuse, l’UMP tourne la page Jean-François Copé. A deux jours du vote des militants pour élire le nouveau chef du parti, Nicolas Sarkozy est incontestablement favori face à Bruno Le Maire et Hervé Mariton. Mais l’une de ses propositions, qui consiste à abondonner le nom du parti, ne passe pas vraiment auprès des Français. Ils sont 29,8% à se déclarer défavorables à cette mesure, contre 22,2% qui y sont favorables, selon un sondage Yougov pour 20 Minutes*.
En termes de proximité partisane, les électeurs UMP valident l’abandon de ce sigle: 52,8% de ses sympathisants y sont favorables (pour 24,4% défavorables). Quant aux électeurs les plus opposés à cette idée, ce sont ceux du centre puisqu'ils se déclarent à 44,9% contre (et 21,6% pour). Un chiffre qui fait écho au projet hégémonique de Nicolas Sarkozy d’un nouveau parti rassemblant la droite et le centre.
L'idée d'une fusion UMP-UDI ne passe pas chez les centristes
Quant à sa proposition de mettre en place une primaire ouverte en 2016 pour désigner le candidat de la droite à l’élection présidentielle, elle pose également question. En effet, nombre de ses soutiens, convaincus de l’«autorité naturelle» de Nicolas Sarkozy, ont souligné l’inutilité de confronter leur champion aux autres prétendants: Alain Juppé et François Fillon en tête. Nicolas Sarkozy s’est finalement rallié à cette idée de primaire.

Interrogation sur une primaire en 2016

Cette question d’une primaire organisée par l’ancien chef d’Etat divise les Français. Ainsi, si 36,2% des sondés estiment probable cette élection interne en 2016, ils sont 35,2% à penser le contraire. Les plus convaincus par la tenue de cette primaire sont les symapthisants UMP: ils estiment à 65,6% probable cette élection, contre 23,8% qui la jugent improbable.
 Les candidats à la primaire ouverte à droite avertissent Nicolas Sarkozy
Quant aux moins convaincus par l’organisation d’une primaire, ils se situent parmi les partisans du centre. Ainsi, seuls 36,8% de ces électeurs estiment probable cette élection interne en 2016, contre 54,8% qui pensent qu’elle est improbable. Un sentiment partagé par les sympathisants d’extrême gauche (44,8%), du PS et des Verts (45,7%). Les partisans du Front national sont plus divisés: si 36,8% jugent probable cette primaire, ils sont 32,3% à estimer cette élection improbable.