dimanche 23 novembre 2014

MANIFESTER POUR CASSER EN CE SERVANT DU JUSTIFICATIF DE CE DÉCÈS REGRETTABLE DE R.FRAISSE EST UNE HONTE INACCEPTABLE!


Des manifestants font face aux forces de l'ordre, lors d'une manifestation «contre les violences policières», le 22 novembre 2014 à Nantes

MANIFESTATIONS Quatorze personnes ont été arrêtés à Nantes, douze à Toulouse et deux à Lille...

Au moins 28 interpellations lors de manifestations «contre la répression policière»

Quelques milliers de personnes, au total, ont participé, ce samedi en France, à une journée de manifestations contre «les violences policières», près d'un mois après la mort de Rémi Fraisse, victime d'une grenade offensive de la gendarmerie, dans le Tarn.
Ces rassemblements dans une vingtaine de villes se sont généralement déroulés dans le calme. Le face-à-face a cependant été tendu dans l'après-midi entre forces de l'ordre et manifestants à Nantes et à Toulouse, où des dégradations ont été constatées. Au total 28 personnes ont été interpellées.
Les incidents constatés sont toutefois sans commune mesure avec les heurts violents survenus lors de précédentes manifestations à la mémoire de l'écologiste de 21 ans dans ces deux villes. Elles s'étaient soldées par plusieurs blessés et des dizaines d'interpellations. L'appel à «reprendre la rue le 22 novembre» avait été lancé à l'initiative de comités opposés au projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique) avant d'être élargi à toute la France.

A Nantes, 1.200 personnes, selon la préfecture, ont ainsi défilé derrière les banderoles «26 octobre, mort de Rémi Fraisse, ni oubli, ni répit» ou «désarmons la police». Les organisateurs entendaient notamment «dénoncer la répression» à la suite d'une manifestation d'opposants au projet d'aéroport, en février à Nantes. Trois manifestants y avaient perdu l'usage d'un œil.

Puis, aux abords de la préfecture, des manifestants ont jeté des projectiles sur les forces de l'ordre qui ont répliqué avec des canons à eau et des gaz lacrymogènes. Ce n'est qu'à la dispersion de la manifestation nantaise que des groupes ont incendié des poubelles ou brisé une vitrine d'agence bancaire. La préfecture a fait état de 14 interpellations.

A Toulouse, 450 personnes selon la préfecture, 600 selon les organisateurs, ont participé à un premier défilé très calme dans la matinée, à l'appel de partis de gauche (EELV, PCF, PG, NPA) et des organisations syndicales FSU ou Solidaires.

Dans l'après-midi, à Toulouse, une seconde manifestation - non déclarée et donc «illégale» - a rassemblé plus de 500 personnes. Une majorité souhaitait apparemment que le défilé ait lieu sans incident. Certains dansaient et chantaient sous l'impulsion de clowns facétieux. Mais, dans le quartier Saint-Cyprien, les forces de l'ordre ont fait usage de grenades lacrymogènes et de canons à eau pour repousser des manifestants qui tentaient de forcer leur cordon de sécurité.


«On déplore deux blessés légers parmi les forces de l'ordre», a annoncé la préfecture, mentionnant «des jets de projectiles de la part de manifestants violents». Au moins un groupe très mobile s'est déplacé ensuite dans la ville, jusqu'en début de soirée, et s'en est pris à des vitrines d'agences bancaires à coups de masse, endommageant aussi du mobilier urbain. «Une douzaine d'individus a été interpellée. Plus de 400 policiers et gendarmes ont été mobilisés», selon la préfecture.

Ailleurs en France, on a compté environ 300 manifestants à Bordeaux, où un pantin figurant un policier a été brièvement enflammé -, 200 à 300 à Dijon, plus de 150 à Poitiers ainsi qu'à Grenoble, une cinquantaine à Gap et autant à Saint-Etienne pour un sit-in dans le calme. A Lille, où une soixantaine de manifestants a été comptabilisée, deux personnes ont été interpellées selon La Voix du Nord. Les manifestants étaient aussi une centaine à Marseille où ils ont brandi la banderole «lls détruisent l'essentiel, ils construisent l'inutile, ils tuent le dialogue».

A Paris, un «pique-nique solidaire» avait été organisé au milieu d'une mini-ZAD (zone à défendre) reconstitué sur une place de l'est parisien. Une centaine de personnes étaient réunies à l'appel de plusieurs collectifs, tandis qu'une sono diffusait des titres hostiles à la police et énumérait les noms de victimes de violences des forces de l'ordre.


Ces partis d'extrême gauche qui appellent à manifester (en se servant de l'alibi de ce pauvre jeune militant Rémi Fraisse) sont des fauteurs de trouble irresponsables qui veulent l'anarchie dans notre pays:

Car au final c'est toujours le même scénario affrontements avec les services d'ordre pour en découdre coups et blessures et casse à tout va!

Avec une justice qui observe et quelques arrestations par ci par là et c'est tout!

Tout cela pour rien, le laxisme et laisser faire, on le voit bien et les individus qui se battent et cassent c'est toujours les mêmes qui ne risquent pas grand chose..!



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