samedi 31 octobre 2020

Là "LE POINT" pourra toujours censurer les commentaires des internautes qui protestent et critiquent les dérives d'une religion instrumentalisée par des individus criminels terroristes islamiques partout en France !

 

Lyon : un prêtre orthodoxe blessé par balle, l'auteur en fuite

La victime, qui se trouve dans un état grave, fermait les portes de son église samedi lorsque le drame est survenu. La police recherche activement le suspect.

Un prêtre orthodoxe de nationalité grecque s'est fait tirer dessus au fusil à canon scié vers 16 heures à Lyon, et l'auteur présumé des faits est en fuite, a indiqué à l'Agence France-Presse une source policière. Le prêtre était « en train de fermer son église », a précisé cette source, ajoutant qu'il se trouve dans un état grave.

«  Un événement est en cours à proximité du secteur Jean-Macé, dans le 7e arrondissement à Lyon  », a indiqué sur Twitter le ministère de l'Intérieur. «  Les forces de sécurité et de secours sont sur place.  » «  Évitez le secteur et suivez les consignes des autorités  », a-t-il précisé.

Protection des lieux de culte et des écoles

Ces faits surviennent trois jours après l'attaque de la basilique Notre-Dame de l'Assomption de Nice, où trois personnes ont été tuées par un assaillant islamiste armé d'un couteau. Le gouvernement a laissé une dérogation jusqu'à lundi inclus aux lieux de culte pour célébrer la Toussaint, avant un reconfinement pour lutter contre l'épidémie de Covid-19.

Après l'attentat de Nice, Emmanuel Macron a annoncé le passage de 3 000 à 7 000 soldats pour l'opération Sentinelle afin de protéger les lieux de culte et les écoles. À cela viennent s'ajouter quelque 7 000 membres des forces de l'ordre, dont pour moitié des gendarmes réservistes, qui seront mis dès lundi à disposition des préfets pour assurer la sécurité.

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Car maintenant ces illuminés fanatisés s'attaquent ouvertement à des prêtres et des églises chrétiennes !

Que ne dirait-on pas, si c'était des mosquées et que soi-disant se sont les musulmans qui sont stigmatisés ?!

Car délibérément on cherche à travers ses religions à apposer les français entre eux donc, c'est bien une guerre larvée !

Alors il faut que le président et son gouvernement se réveille avec volonté et ne plus pérorer, mais frapper ou il faut et où se trouvent c'est malfaisants qui se cachent dans la population de certaines zones qu'il ne faut pas nommer (comme d'habitude!?)

Car actuellement on paie 30 ans de laxisme et inerties de nos dirigeants et gouvernements de tous bords !

Il n'y a pas de quoi être fier dans une France qui veut donner des leçons par ses bienpensants élus !

Jdeclef 31/10/2020 18h47


Un acteur qui a créé un rôle avec un talent inimitable, mais qui savait jouer n'importe quel rôle !

 

Sean Connery, l'éternel James Bond, est mort

James a perdu son double. Ce fils d'ouvrier écossais a dû se battre pour décrocher le rôle de 007 mais aussi pour s'en débarrasser. Il est mort à 90 ans.

To be or not to be James Bond : telle est la question à laquelle fut confronté longtemps ce grand escogriffe écossais issu des bas-fonds d'Édimbourg, que rien ne prédestinait à devenir le héros glamour et hédoniste de l'après-guerre. Dès la fin du deuxième opus, Bons Baisers de Russie, il en eut déjà assez de tomber les filles, de tuer des mégalos et de ne jamais mourir. Il avait fait le tour du personnage. Le problème, c'est qu'il avait signé pour cinq films.

Or, Sean savait qu'il valait mieux que James. Il avait le vent en poupe et il voulait en profiter pour voguer ailleurs. 007 ou comment s'en débarrasser ? Comment décoller une étiquette qui ressemblait à un bâillon ? Au Japon, en 1967, alors qu'il tournait le cinquième opus, On ne vit que deux fois, les photographes le suivaient dans les toilettes, les journalistes planquaient derrière chaque arbre. S'il jouait pour son plaisir dans un casino, un article titrait inévitablement : James Bond fait sauter la banque

James Bond fait ci, fait ça : Sean n'existait plus, écrasé par sa créature. À la fin du tournage, où il avait refusé de croiser Harry Saltzman, l'un des deux producteurs de la série, qui s'en mettait plein les poches sur son dos, il avait jeté l'éponge : « Je ne veux plus rien savoir. » Et pourtant, il en reprit par deux fois, en 1971, avec Les diamants sont éternels, puis en 1983, Jamais plus jamais. Un titre aux allures de supplique.

Forcer le destin

Mais pour rencontrer son destin, il lui aura fallu le forcer. En 1961, quand James commença à être en quête de son avatar, la célébrité n'étouffait pas Sean. Il n'était pas de taille à lutter avec les David Niven, Cary Grant, ou Rex Harrison, acteurs pressentis pour l'agent de Sa Majesté, qui avaient tous refusé.

Certes, il avait percé à la BBC en 1957 grâce à une dramatique, Requiem pour un poids lourd, où il campait un boxeur tragique. Son physique, sa carrure, sa beauté, avaient emporté le morceau. « Il avait du charisme », témoigna Michael Caine qui le croisait à cette époque. Mais la Fox qui lui fit signer un contrat de six ans dans la foulée ne croyait pas en lui. Il donna la réplique à Lana Turner dans un film oubliable, s'en alla à Hollywood tourner chez Disney dans Darby O'Gill et les Farfadets, où on le remarqua parce qu'il jouait au milieu de nains.

Mais sa carrière ne décollait pas. Aussi retourna-t-il à la BBC jouer des classiques ou au théâtre, si peu sûr de son avenir qu'il signa pour trois mois la pièce de Giraudoux, Judith, où il campait un Holopherne vêtu d'un seul pagne. Le hasard voulut que Terence Young se déplace un soir et admire sa plastique impeccable. Le cinéaste le connaissait depuis qu'il lui avait donné un petit rôle en 1957 dans un navet ; il lui avait même promis de l'aider s'il pouvait. Or, Young était déjà en pourparlers avec Broccoli et Saltzman pour le premier James Bond. Il vint saluer l'acteur qui lui parla d'une dramatique bientôt diffusée, Anna Karénine, où il incarnait Vronski, l'amant fougueux d'Anna.

Il faut toujours écouter les femmes

Young conseilla à ses acolytes de regarder la télé. Par ailleurs, la femme de Broccoli se souvint l'avoir remarqué dans un film. Il faut toujours écouter les femmes. Convoqué, l'acteur arriva en jean, très décontract, ce qui lui valut une remarque vestimentaire de Broccoli. « Écoutez, vous me prenez comme je suis, c'est tout », répondit Connery sans se démonter. Déjà un tempérament de star. Après le rendez-vous, Broccoli et Saltzman le regardèrent s'éloigner par la fenêtre : « Nous l'avons vu bondir pour traverser la rue. Là, nous avons su qu'il était James Bond. » Tout en bondissant, Connery réfléchissait : il avait reçu des propositions aux États-Unis pour des séries télé : Maverick, Wyatt Earp. Il hésitait. Sa femme, l'actrice anglaise Diana Cilento, trouva les arguments pour qu'il entre au service de 007.

Aux États-Unis, United Artists (UA) exigea tout de même de Broccoli et Salztman qu'ils leur envoient des essais. « Voyez si vous pouvez trouver mieux », lança, après visionnage, le président, Arthur Krim. C'était tout vu. Young habilla Connery chez les tailleurs les plus chics, lui donna quelques leçons de maintien et l'initia au golf qui serait la passion de l'acteur. Il n'empêche. Ian Fleming fut sceptique de voir son héros chic endossé par un ancien ouvrier écossais. Ilya Lopert, le distributeur d'UA, après la projection de Dr No, eut cette phrase charitable : « Je ne peux pas présenter un film aux États-Unis dont le protagoniste est un camionneur rosbif. »

Sean est exactement tel que j’avais imaginé Bond

Connery fut d'ailleurs payé comme un prolo : 5 000 livres. C'est seulement après Bons Baisers de Russie, le deuxième opus, que Fleming retourne sa veste, « Sean est exactement tel que j'avais imaginé Bond », et Connery, qui avait lu les critiques, « une gracieuse souplesse qui suggère la violence », revit ses tarifs à la hausse. 50 000 livres plus un pourcentage sur Goldfinger, puis 200 000 plus un pourcentage sur Opération Tonnerre. Le prolo écossais était âpre au gain. Il sait surtout ce qu'il valait et d'où il venait.

Goldfinger. © Eon Productions / Collection Christophel via AFP

Fountainbridge : les corons d'Édimbourg, dont il ne reste rien aujourd'hui sinon des boutiques qui vendent des souvenirs à l'effigie du fils prodigue. Dès neuf ans, ce fils d'un ouvrier du caoutchouc est prié de faire bouillir la marmite. Le matin, il livre du lait à cheval, le soir, après l'école, il est commis d'un boucher. Pas étonnant qu'à 13 ans, il fuit l'école.

« Mom and Dad » et « Scotland for ever »

On le surnomme « Big Tam », c'est dire s'il est grand, excellent au foot, costaud au point de s'ouvrir la main en serrant trop fort la porte de la maison, remuant aussi, il a faim de tout et surtout d'évasion. Premier échec à la Royal Navy d'où il revient après deux ans, sans avoir quitté les eaux anglaises, mais avec deux tatouages – « Mom and Dad », « Scotland for ever » – et un ulcère. Il est déclaré invalide à 20 %.

Grâce à une bourse de la Légion britannique, il apprend le métier de vernisseur sur meubles. Un collègue ébéniste lui parle d'une troupe de théâtre qui cherche un assistant accessoires : il découvre tout un monde, qui calme la bête fauve. Tout en enchaînant les petits boulots – maître-nageur, modèle nu pour l'Academy of Arts, imprimeur – il décide de cultiver son point fort : son corps. Il s'entraîne au bodybuilding avec Mr Scotland, qui lui donne à remplir un formulaire pour participer au concours de Mister Univers qui se tient à la Scala de Londres. Il finit troisième dans la catégorie junior, mais croise un concurrent qui lui parle d'un rôle de figurant dans une comédie musicale, South Pacific.

Il y va au flan, fait tomber le texte à lire, puis se reprend, pousse la chansonnette et pour esquisser quelques pas de danse, se souvient des soirées où il tournait la tête aux filles d'Édimbourg. Il est pris. La tournée durera deux ans. Dans la troupe, un acteur, Bob Henderson, lui parle d'Ibsen. « Qui c'est ? » lui répond le plouc écossais qui ne demande qu'à découvrir. Henderson lui conseille de lire Proust, Tolstoï, que monsieur Muscles, à sa grande surprise, se met à dévorer.

Il refuse un contrat à Manchester United

Il ne veut pas seulement réussir, mais aussi apprendre, et quand Manchester United lui propose un contrat après que le recruteur l'a vu jouer dans un match amical, il refuse. Un acteur, ça exerce plus longtemps qu'un footballeur. À mesure de la tournée, il gravit les échelons dans la troupe. Déterminé. Ambitieux. Travailleur. À Londres, Henderson lui donne d'autres petits rôles sur scène qui lui permettent d'être repéré par la BBC…

D'autres que lui se seraient endormis sur les lauriers de James Bond. Tous ses successeurs se feront d'ailleurs happer. Mais dès Bons Baisers de Russie, il voit plus grand. Il fait passer le message à Hitchcock qu'il aimerait tourner avec lui. Message reçu cinq sur cinq. Crime de lèse-majesté, il demande à lire le script de Pas de printemps pour Marnie. Personne ne fait ça avec Hitch, pas même Cary Grant. « Je ne suis pas Cary Grant », répond-il tranquillement. Alfred ne s'en offusque pas, mais dans son livre d'entretiens avec Truffaut, avouera qu'il n'a pas trouvé Connery assez névrotique ni élégant à son goût.

La respiration Sidney Lumet

Dès que James lui laisse un moment de libre, Sean en profite pour aller voir ailleurs. En 1965, il trouve le réalisateur-fétiche, fidèle et utile : Sidney Lumet. Ils tourneront cinq fois ensemble, à commencer par cette Colline des hommes perdus, chef-d'œuvre du film de pénitencier, où Sean démontre une poigne et une résistance hors norme. Les critiques se surpassent et écrivent que James Bond est en prison. Connery fait tout pour se révolter contre sa créature, quitte à se faire passer pour fou dans L'Homme à la tête fêlée.

Finies les répliques clin d'œil et l'agent rassurant au service de Sa Majesté, « je vais vous inquiéter ». En 1967, quand il en a fini avec 007, il met les pouces. Écrit de la poésie, verse une partie de ses gains à un trust écossais pour aider les plus démunis, tente de renouer avec sa patrie perdue de vue où on ne l'accueille pas comme il voudrait l'être, songe à un Macbeth en kilt – mais Polanski le prendra de vitesse – et s'exile sur les greens de golf où personne ne peut venir l'emmerder.

Idole des sixties

Hélas, il accumule les échecs, films, pièce de théâtre. Les sixties sont terminées et son idole, Sean Connery, semble dépassée. Alors, pour se refaire la cerise, il accepte un dernier James, après l'interlude Lazenby, mal ficelé, trop vite tourné : Les diamants sont éternels. Bond aussi, apparemment. Mais dans le deal, il oblige United Artists à financer deux films de son choix. Ce sera d'abord The Offence, de Lumet, époustouflante plongée aux enfers d'un flic traumatisé par l'horreur des scènes de crime et qui se défoule en huis clos sur un suspect. Plus anti-James Bond, on ne fait pas. Par prudence et lâcheté, UA ne distribue pas ce film où Connery continue à faire peur. Ayant décidément l'éternité en horreur, il interprète le chef exterminateur qui met fin à l'immortalité des habitants du Vortex dans Zardoz, de John Boorman, un des films de science-fiction les plus inventifs qui soient. Encore un échec.

Le salut lui vient de son ami Michael Caine qui l'embarque dans l'aventure de L'homme qui voulut être roi. Sous la douce férule de John Huston, qui le laisse improviser, il campe une fripouille potache qui fait croire à des peuplades de l'Himalaya qu'il est un dieu. Mais Sean n'est-il pas divin ? Il s'agit de son premier personnage assez fort pour faire oublier Bond. Il a trouvé la combine : choisir des mythes pour occulter l'autre. Il fait mourir Robin des Bois dans La Rose et la Flèche. « Sean Connery est la figure héroïque par excellence », écrit la papesse de la critique, Pauline Kael.

Mais l'époque est-elle encore aux héros ? Harcelé par l'ennemi juré de Broccoli et Saltzman, McClory, acquéreur après une longue bataille juridique des droits d'Opération Tonnerre, Connery replonge une dernière fois pour endosser à 52 ans les habits de James Bond. Par esprit de compétition, il demande un cachet supérieur à Roger Moore, payé 4 millions de dollars sur Octopussy. Jamais plus jamais aurait dû porter le titre Plus jamais ça : écrit à la diable, boursouflé, potache, mal tourné, ce Bond de trop est un cauchemar et Connery perd la bataille au box-office, avant de perdre le procès contre Broccoli et Saltzman, à qui il réclamait une part des bénéfices sur les six premiers opus.

« Le Nom de la rose », un tournant

Du moins a-t-il tourné pour de bon la page, assez buriné pour accueillir les rôles de la vieillesse et de la sagesse. La fin des années 1980 marque une renaissance qui débute avec le moine Guillaume dans Le Nom de la rose. Annaud ne songe pas vraiment à lui, Umberto Eco encore moins. Mais Connery, via son agent, insiste. Lorsqu'il se présente, il connaît le scénario par cœur qu'il commence à débiter au cinéaste bluffé. C'est son chemin de Damas.

Le Nom de la rose. © Constantin Film/Les Films Ariane / Photo12 via AFP

Il est le guide spirituel de Christophe Lambert dans Highlander, l'ange gardien d'Eliott Ness dans Les Incorruptibles, le père d'Indiana Jones dans le troisième volet de la série : il se spécialise dans les rôles de maître, de tuteur, d'oracle et de vieux sage prêcheur qu'il tiendra jusqu'à la fin avec le vieil écrivain ermite d'À la recherche de Forrester de Gus Van Sant, le succès surprise de l'année 2001. Il se permet même de faire quelques clins d'œil à son vieil ami James en tournant aux côtés de la nouvelle génération, Nicolas Cage, dans un gros film d'action,Rock, et en séduisant à 69 ans la jeune Catherine Zeta-Jones (Haute-Voltige). Sur le tard, Connery est devenu le patron, le patriarche, l'ancêtre-référence d'une époque à la recherche de ses mythes perdus.

Un homme tranquille

Mais l'homme n'aime rien tant que sa tranquillité. Il vit à Marbella ou aux Bahamas, près de son épouse, la Française Micheline Roquebrune, artiste peintre rencontrée en 1972 sur un parcours de golf. Il s'enferme dans sa salle de bains où il a planqué ses récompenses. Il lit sur le canapé au milieu des portraits à la qualité incertaine que madame a brossés de son époux, en majesté ou en robe de chambre, loin, très loin du monde du cinéma, tout près si possible d'un green.

Il est lassé de se battre sur les scénarios avec les producteurs et réalisateurs que, avec sa franchise habituelle, il traite de connards et menace de tuer. Et puis c'est tout le cinéma qui change, avec ses effets spéciaux. Finis les héros, supplantés par les super-héros. Quand on lui propose les rôles de Dumbledore dans Harry Potter et de Gandalf dans Le Seigneur des anneaux, il retourne les scripts en déclarant qu'il n'y comprend rien.

Il se laissera prendre une seule fois, avec La Ligue des gentlemen extraordinaires, son dernier film en 2003, bouillie saturée d'images de synthèse, qui le brouille définitivement avec le milieu. Tout cela n'est plus pour lui. Il est du monde d'avant quand les héros avaient encore de la chair, un hâle viril, un sourire carnassier, un torse velu, une voix de velours, des yeux et des mains qui tuent. Ses derniers plaisirs auront été pour soutenir l'Écosse dans sa voie vers l'indépendance et pour enregistrer la voix du jeu vidéo inspiré de Bons Baisers de Russie, son James Bond préféré. Dans On ne vit que deux fois, l'enterrement de James Bond était simulé en grande pompe, pour laisser les coudées franches à l'agent. Cette fois-ci, ce n'est pas du chiqué, James, pardon, Sean, est mort pour de bon.

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Comme il l'a prouvé dans d'autres films différents, comme par exemple le nom de la rose !

Quand on voyait son nom à l'affiche d'un film, on n'était jamais déçu et quand c'était « James Bond » on était sûr d’avoir du spectacle et on attendait toujours le suivant après et ces gadgets extraordinaires de sa voiture Aston Martin DB5 contre ces ennemis !

D'ailleurs ceux qui ont suivi avec d'autres acteurs ont été aussi de bons films, car il avait fait la matrice de ses histoires d'espions à permission de tuer qui gagnent toujours dans leurs missions contre la vilaine organisation criminelle « le spectre » !

Le dernier « James Bond » avec Daniel.Craig à venir étant retardé en salle à cause du Covid 19...

Jdeclef 31/10/2020 18h03LP

Peut-être mais comme pour tous problèmes dans notre pays, quand on tire trop sur la ficelle elle peut casser !

 


Attentats : les Français font l'admiration du monde

PARTI PRIS. La répétition des attentats met à l'épreuve notre cohésion. Mais jusqu'ici, nous ne cédons ni à la violence ni à la division. Exemplaire.

L'exercice est périlleux : il consiste à dire du bien de nous, Français. Tout le raisonnement, dès demain matin, pourra être démoli, balayé et démenti, mais, malgré ce risque, malgré l'exception qui infirmera la règle, il est des choses qu'il faut absolument mettre à notre crédit. Ces temps-ci, les peuples du monde peuvent regarder de notre côté s'ils veulent trouver l'exemple d'une nation, sa définition même. On peut abhorrer ce mot, le trouver suspect ou nauséabond, mais, en l'occurrence, il est un fait, une réalité vivante. On ne peut le récuser, pour la simple raison que nous tenons bon. Après l'attentat de Nice, l'intellectuel anglais Douglas Murray a eu ces mots : « Si un autre pays avait traversé ce que la France a vécu ces dernières années, il aurait sombré dans les ténèbres. La République française continue d'afficher une fierté d'elle-même et une fidélité à ses principes qui sont très inspirants. » C'est aussi de cette manière que l'on nous considère depuis l'étranger, de ces terres, pour certaines, bien silencieuses quand nous saignons et quand nous pleurons nos morts. « Aussi », écrivons-nous, car une partie du monde occidental estime, et il n'est que de lire la presse anglo-saxonne pour le vérifier, que le gouvernement français « traque » non les islamistes-terroristes, mais les musulmans, que la France est ce pays qui porte haut la laïcité, cette fausse neutralité et cette vraie arme contre l'islam. L'américanisation fait son œuvre par tous les pores de notre société, mais réjouissons-nous qu'elle n'atteigne pas notre laïcité, même si certains – des nôtres ! – le voudraient.

Attaque à Nice : ce que l'on sait de l'assaillant

Nous sommes seuls

Nous tenons bon parce que depuis la fameuse marche du 11 janvier 2015, quand le monde défilait boulevard Voltaire et scandait « Je suis Paris », nous nous sentons bien seuls. Seuls au Sahel ; seuls en Europe ; seuls face à Erdogan et à ses partisans ; seuls dans les instances internationales. Mais il manque un trait essentiel à ce portait de nous-mêmes. Nous sommes, le plus clair de notre temps, il est vrai, « archipelisés », fracturés, « séparés », nous aimons la bagarre, rejouer la lutte des classes, détester notre voisin et notre prochain, pourquoi le nier ? Nos querelles existent, importantes, profondes, mais elles se jouent pour l'essentiel entre des rives qui sont nos lois – débordées parfois par des hashtags réclamant une mort sociale ou à coups de pavés dans les vitrines. Et c'est précisément parce que nous avons cette culture du débat, de l'engueulade, de la polémique à deux sous, de celles qui choquent, de la manifestation et de l'occupation de ronds-points, soit autant de soupapes, que le moment venu, quand adviennent les décapitations et les rafales de kalachnikov, les îlots de l'archipel se rapprochent face à la menace terminale, et forment quelque chose qui s'apparente à un continent, ou à une nation. Ce tohu-bohu, au sens biblique, prépare cette nation. Le peuple n'est plus peuple, mais Peuple, avec ses bourgeois et ses prolétaires, ses gens de droite et de gauche, ses métropolitains et ses ruraux, ses intellectuels et ses manuels, et avec une réelle consistance ontologique.

Ayaan Hirsi Ali : « Les attentats islamistes sont des actes de guerre »

Oui, « pas d'amalgame »

C'est notre chance, et loin d'être notre malheur, quoi qu'en disent les persifleurs, car il y en a, qui voudraient des représailles massives et des expéditions punitives contre les musulmans quand les djihadistes passent à l'acte. Rien de cela, dans ce grand pays que nous sommes – ce qui n'empêche pas, parfois, des actes antimusulmans — et qui attend de ses dirigeants qu'ils répriment fermement les semeurs de haine. « Islamophobe », disent-ils, après ça, à Jakarta et à Ankara. Il est un autre fait irréfutable : le « pas d'amalgame », cette expression tant décriée qui a servi les partisans du déni quant aux sources du djihadisme, mais qui, souvent, veut simplement dire, s'agissant des personnes, qu'un pieux croyant musulman n'a rien de commun avec un Kouachi, cette expression tant décriée est en fait appliquée. Les Français, majoritairement, et quelles que soient leurs tendances politiques, ne font pas l'amalgame. Ab uno disce omnes (« Qu'un seul vous apprenne à les connaître tous ») : cette phrase qui valait pour les Grecs lors de la guerre de Troie, les Français refusent de se la dire s'agissant de tous les lecteurs du Coran. Ils ne font pas d'amalgame comme ils expriment la même souffrance, la même horreur, devant la mort de l'un des leurs, homme d'Église ou caricaturiste bouffeur de curé, juif de l'Hyper Cacher ou militaire répondant au nom d'Imad Ibn Ziaten, policier ou professeur. Chacun de ceux-là est enterré selon ses rites et ses croyances, mais, à la fin, ils sont à nous tous. Alors tenons encore.

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Il ne faudrait pas un attentat ou incident sérieux de plus lié, même indirectement à ce type de faits divers à consonnance religieuse extrémiste pour faire éclater une bombe à retardement à mèche longue !

Car là, on n’aura pas oublié chez tous le français lambda et autres malfaisants qui ne feraient cela que pour semer désordre et anarchie, transformant la France en état policier ou loi martiale !

Donc il faut que notre état agisse avant promptement, sans faire du politiquement correct hypocrite et en agissant avec force maintenant, il n’a plus le choix pour ne pas commettre une erreur de trop de plus !

Et nous devons rabâcher cela pour que cela rentre dans la tête de nos autorités qui ne doivent plus se poser de question, comme ils le font, comme quand ils soulent les français pour qu’ils utilisent le mesures barrières contre le virus !

Car là, on peut le faire avec de la fermeté et de la volonté, abattre ce fléau de criminels islamiques qui infestent notre pays ou l’Europe et l’occident, car ils sont parmi nous, il faut frapper partout où il faut, sans états d’âme et leur transmette la peur qu’ils veulent nous donner, car on sait qui ils sont, on les connait on les subit depuis 2001 et avant avec les grands attentats que l’on a subi et puisque nous sommes soi-disant en guerre, il faut avoir le courage de la faire et de ne pas la subir !

Dans notre histoire nous en avons déjà combattu et nos anciens se sont défendus avec honneur, il faut que nos générations actuelles fassent de même, le président a dit que c’était à nous de nous solidariser que ce soit contre le virus et aussi contre ses fous de dieux illuminés, c’est une évidence, il faut cesser d’être des assistés qui baissent la tête et pleurnichent à chaque drame en faisant des marches blanches ou allumant des bougies !

Nous sommes trop gâtés dans nos pays libres avec nos conforts et distractions diverses et argent roi nous rendant versatiles et adeptes du chacun pour soi !

Jdeclef 31/10/2020 13h44


Depuis les derniers quinquennats et même avant l'exécutif n'a pas été à la :

 

Antiterrorisme : la confiance des Français dans l'exécutif s'effondre

Selon un baromètre Fiducial/Odoxa pour « Le Figaro », seuls 26 % de la population fait confiance au gouvernement pour la protéger face au terrorisme.

Les anciens locaux de Charlie Hebdo, Samuel Paty et désormais la basilique Notre-Dame de l'Assomption à Nice. La menace terroriste semble plus que ravivée en cette fin du mois d'octobre. Après l'assassinat du professeur d'histoire-géographie de Conflans-Sainte-Honorine, Gérald Darmanin n'avait eu de cesse d'expliquer que la France allait connaître une nouvelle vague d'attentats terroristes. Toutefois, son insistance à marteler que le gouvernement est entièrement dédié à la lutte contre ces actes, de même que les assurances d'Emmanuel Macron et Jean Castex sur le déploiement de moyens de lutte antiterroriste semblent peiner à convaincre.

La preuve en est avec le dernier baromètre sécurité Fiducial/Odoxa pour Le Figaro, dévoilé vendredi 30 octobre. Il révèle ainsi que 26 % seulement des Français font toujours confiance au gouvernement pour assurer leur protection face à la menace terroriste. Pour l'exécutif, ce résultat est une vraie claque : il chute de 18 points depuis juillet dernier. Sur une seule semaine, la confiance s'effondre même de sept points. Le quotidien précise toutefois que le sondage a été mené après l'assassinat de Samuel Paty le 16 octobre dernier dans les Yvelines, alors que l'émoi était encore vif.

Des forces de l'ordre pas assez visibles

Mais une tendance à la méfiance se dégage au regard des résultats précédents, comme l'expliquent les analystes de l'étude : « Pendant quatre ans, les Français ont été plus de 40 % à penser que le gouvernement était capable de les protéger, à l'exception du mois d'octobre 2019 au lendemain de l'attentat à la préfecture de police de Paris (36 %). Les différents attentats touchant la France sur cette période ont évidemment eu des effets sur cet indicateur, mais ils restaient contenus (7 à 8 points). »

Ayaan Hirsi Ali : « Les attentats islamistes sont des actes de guerre »

Or, les résultats d'octobre révèlent un véritablement effondrement de la confiance accordée au gouvernement sur la question terroriste, estiment les analystes du baromètre, relayés par Le Figaro. Une majorité des personnes interrogées, 57 %, jugent par ailleurs que policiers et gendarmes ne sont pas suffisamment présents, et même visibles, aux abords des lieux de cultes. À la suite de l'attentat de Nice du 29 octobre, le président de la République a annoncé que le nombre de militaires de l'opération Sentinelle passerait de 3 000 à 7 000.

Attentats : les Français font l'admiration du monde

Les abords de lieux de culte, alors que la Toussaint approche, bénéficieront également d'une vigilance renforcée. Le gouvernement sait que la question sécuritaire liée au terrorisme islamiste, est une préoccupation de nombreux Français. Préoccupation sur laquelle il entend se positionner en présentant, notamment, en conseil des ministres le 9 décembre prochain, un projet de loi sur les « séparatismes ».

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Hauteur des problèmes migratoires et ensuite de la lutte contre le terrorisme islamique lié indirectement à ces flux venus d'ailleurs avec leurs cultures et religions obscurantistes moyenâgeuses !

Voulant s'implanter en France contre les français « mécréants » comme disent ses fanatiques et aussi parallèlement en Europe et occident !

Car nos dirigeants depuis trente ans en sont venus à pratiquer une culture de bienpensant style « Bisounours » qui pratique du laxisme de notre état de droit dont ces criminels profitent de par l'inertie de notre état et justice avec son code pénal inadapté depuis trente ans qui a laissé aller à vau l'eau une délinquance violente dangereuse en plus !

Pensez donc nous sommes le pays des droits de l'homme que peu d'individus respectent dans le monde, puisque faisant fi de la simple vie de la personne humaine et du droit d’asile !

Mais cela ne doit pas suffire à nos gouvernants dirigeants et élus de tous bords pour vraiment agir et se ressaisir en revoyant peut être notre constitution française pour mettre des protections solides par une justice d’exception avec des mesures adéquates pour ce problème d’islam extrémiste qui n’hésite pas à faire la guerre aux français à la France à nos valeurs et cultures ancestrales pour essayer de supplanter celles-ci par leurs dogmes et pratiques religieuses inacceptables !

Mr le président Macron n’est pas le seul responsable de cette inertie, car il ne fait que prendre l’héritage de ses prédécesseurs, pour autant c’est lui qui est place, il est donc de son devoir, car élu par les français d’agir et de ne plus faire du politiquement correct hypocrite en parlant pour ne rien dire ou ne rien faire, il a dit que nous sommes en guerre oui !

Sur deux fronts le terrorisme islamique et le Covid 19, car c’est tout de suite qu’il faut le faire pas attendre 2022 !

Pour repasser ses problèmes au suivant s'il n'est pas réélu ?!...

Jdeclef 31/10/2020 09h29


vendredi 30 octobre 2020

E.MACRON au pied d'un mur trop haut pour lui, car il est plutôt au ras du sol !

 

Sébastien Le Fol – Forts avec le Covid, faibles avec les islamistes

ÉDITO. On aimerait que l'État fût aussi implacable pour combattre le terrorisme qui nous frappe que pour faire respecter le confinement.

Jeudi 29 octobre, dans la matinée, un artisan sirotant son café au zinc d'un bistrot ironisait devant les images de BFM TV : « C'est pour le Covid qu'il reconfine Macron ou par peur des islamistes ? » Flambée de la pandémie d'un côté, explosion de la violence islamiste de l'autre : l'État est pris sous le feu nourri d'une double menace.

Si les Français se résignent, selon les premiers sondages, à cette nouvelle mise sous cloche (à confirmer cependant dans les prochains jours…), ils ne comprennent pas pourquoi une telle mobilisation de forces de l'ordre pour faire respecter le confinement alors qu'un autre danger les attend à l'école, à l'église ou pendant leurs courses : le terrorisme.

On aimerait que l'État fût aussi tatillon et implacable avec les égorgeurs et les prédicateurs de haine qu'avec le confiné sorti prendre l'air en ayant omis de remplir son attestation de déplacement ou le commerçant ne se résignant pas à baisser son rideau. On aimerait qu'il fût aussi impitoyable avec les « Loups gris » d'Erdogan qui pourchassent les Français d'origine arménienne dans la banlieue de Lyon et à Dijon qu'avec la dame promenant son chien après le couvre-feu.

Face au terrorisme, les Français sont résilients

Quand il veut « emmerder » les Français, l'État est le premier de la classe. Il se plaint de l'indiscipline de nos compatriotes ? Mais il les encourage par son omnipotence. Quand on ne fait pas confiance, on récolte de la défiance ou de l'inconséquence. Face au terrorisme qui les frappe depuis cinq ans, les Français se montrent particulièrement responsables et résilients. Pensez-vous que l'État sermonneur les aurait félicités ?

Attentats : les Français font l'admiration du monde

Notre leviathan continue à déployer toute son imagination sans bornes pour leur compliquer la vie. Il invente des règlements, des normes, envoie ses représentants les plus zélés pour faire rendre gorge au contribuable étourdi ou au petit patron débordé. Qu'il emploie cet esprit inquisitorial pour rendre impossible la vie des islamistes et de leurs soutiens. Après tout, on sait tuer une PME avec un contrôle fiscal : on doit bien pouvoir fermer une mosquée radicale ou renvoyer dans son pays un islamiste fiché ?

« Il faut terroriser les terroristes ! » disait Charles Pasqua. Chiche ! Rêvons un peu ! Imaginons que, durant quelques mois, tous les beaux esprits de ce pays qui savent produire (c'est un art national) des idées d'interdictions, de restrictions, de taxes ou toute autre contrainte mettent leur talent au service de la lutte contre le terrorisme islamiste.

En finir avec « l'état d'impuissance »

Détachons-les pour accomplir cette mission de salubrité publique. Madame Pompili, notre ministre de la Transition écologique et solidaire, qui a des idées lumineuses pour interdire la réclame de certains produits au nom du réchauffement climatique, doit certainement en avoir contre la propagande djihadiste. Et Cédric O, notre secrétaire d'État au Numérique, a bien une idée d'application StopTousAntiDjihadisme dans ses tiroirs… Il ne s'agit pas de bafouer l'État de droit, mais d'en finir avec « l'état d'impuissance », comme le dit Marcel Gauchet.

Soyons pour une fois modestes : apprenons des pays qui ont eu à combattre le fléau du terrorisme islamiste. Mettons nos têtes bien pleines autour d'une table ou, si ce n'est plus autorisé, organisons un vaste webinaire (séminaire en ligne). À tous posons-leur la même question : Quelles contraintes pourriez-vous inventer pour rendre la vie des islamistes invivable ? Et dissuader tous ceux qui seraient tentés de les soutenir ?

« Il ne faut pas d'État hors de sa sphère, écrivait Benjamin Constant, mais dans cette sphère, il ne saurait en exister trop. » L'État français devrait s'employer à une tâche salutaire : défendre les Français contre cette barbarie.

Algérie : le jour où les « afghans » sont rentrés

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Il est certain qu'il était imprévoyant, mais voyant lors de sa campagne présidentielle que la porte devant lui était laissée grande ouverte par la déconfiture de F.HOLLANDE, il s'est précipité s'en réfléchir aux conséquences!

Et après à près un an environ, il a vu les ennuis lui tomber dessus comme des gros obus sur un champ de bataille, logique en fait pour un supposé chef de guerre !

Car cela n'a pas trainé avec l'affaire BENALLA le 1er mai 2018 et les commissions parlementaires induites qui ont bloquées le pays du jamais vu et après les manifestations à répétition des gilets jaunes et autres manifestions violentes qui se sont enchainées, avec des grèves à la clef etc.

Jusqu’à celle la modification par la loi sur les retraites des retraites, qui a capoté repoussée au calangues grecques, car dynamitée par ce vilain Covid 19 qui a arrêté tout ce qui était prévu jusqu’à ne pas repousser le 1er tour des élections municipales, encore une erreur en profitant en plus de changer de gouvernement et de 1er ministre pas forcement utile et donc erreur suivit du  déconfinement ou il a crié victoire trop tôt et qui a entrainé la reprise en plus fort de cette crise sanitaire et économique avec ce deuxième confinement dont il ne voulait pas mais contraint et forcé au vue de cette pandémie exponentielle suite à une mauvaise gestion perdue depuis 8 mois !

Et enfin « la cerise sur le gâteau empoisonné » la résurgence du terrorisme islamique qu’il n’avait pas assez pris au sérieux, et qui lui vient dans la figure surtout celle des français qui le subissent qu’il est obligé de combattre ce qui ne semble pas sa spécialité à notre pseudo monarque chef de guerre qui sait mieux parler qu’agir !

Pour essayer de plaisanter un peu, il doit se dire « si j’avais su j’aurais pas venu » car pour 2022 son éventuelle réélection est hypothétique, mais avec les français versatiles tout est possible...Mais le voudra-t-il ?!

Jdeclef 30/10/2020 15h36


Comme prévu rien à attendre du MALI et de sa nouvelle junte miliaire !

 

Caricatures de Mahomet : des fidèles maliens exigent des excuses

VIDÉO. De nombreux musulmans ont répondu à l'appel du Haut Conseil islamique pour dénoncer les caricatures du prophète Mahomet, ainsi que les propos d'Emmanuel Macron.

Quelque 5 000 fidèles musulmans rassemblés dans et autour de la Grande Mosquée de la capitale malienne Bamako – pour la célébration du Maouloud, anniversaire de la naissance du prophète Mohammed – ont fustigé mercredi les caricatures du prophète Mahomet, au cœur d'une crise entre la France et le monde arabo-musulman, ont constaté des journalistes de l'AFP.

D'après nos confrères de Radio France International, ce sont les propos du président français Emmanuel Macron, en particulier, qui ont été pointés du doigt.

Caricatures : manifestations à travers le monde musulman contre la France

Protestations et boycotts…

Le Haut Conseil islamique du Mali (HCIM), principale organisation islamique dans ce pays à 90 % musulman, qui avait appelé à ce rassemblement, dénonce « les discours irresponsables, diffamatoires, calomnieux et antirépublicains » de M. Macron « sur l'islam et les caricatures », a déclaré son secrétaire général adjoint, Moussa Bocar Bah.

L'organisation, courroie de transmission traditionnelle entre le pouvoir et les musulmans du Mali, réclame des « excuses à la communauté musulmane du monde » du président français, a-t-il ajouté. « Nous condamnons la violence sous toutes ses formes comme moyen de lutte, d'expression et de revendications. fort de ce constat, le Haut Conseil islamique du Mali demande l'interdiction immédiate de toute publication de caricatures du Prophète. »

« La France et les Français ont dépassé les bornes. Ils ont touché à l'intouchable, notre prophète Mahomet. C'est impardonnable », a pour sa part estimé un vice-président du HCIM, Mohamed Traoré.

« Stop à la provocation. Sinon, il y aura pire », menaçait une banderole déployée dans la mosquée, pleine à craquer, où était notamment présent l'imam conservateur Mahmoud Dicko, ancien dirigeant du Haut Conseil et l'une des personnalités les plus influentes du Mali.

Lors de la cérémonie d'hommage à Samuel Paty, professeur d'histoire décapité près de Paris le 16 octobre dans un attentat islamiste pour avoir montré à ses élèves des caricatures du prophète de l'islam, le président Emmanuel Macron a promis que la France ne renoncerait pas à ces dessins, au nom de la liberté d'expression. Il est depuis lors devenu la cible de manifestations dans plusieurs pays.

Caricatures de Mahomet : Alger dénonce une « campagne enragée »

… se multiplient dans les pays musulmans

Sur le continent africain, l'Algérie et le Maroc ont réagi à leur manière.

La Mauritanie a également exprimé lundi son « indignation » face aux actions d'incitation menées contre l'islam au nom de la liberté d'expression, a annoncé un communiqué de son ministère des Affaires étrangères.

« La République islamique de Mauritanie suit avec indignation les actions d'incitation menées depuis un certain temps contre l'islam sous le fallacieux prétexte de la liberté d'expression ainsi que la provocation des musulmans en portant atteinte à notre prophète Mohammed », a souligné le ministère.

« Aussi, la Mauritanie, tout en dénonçant ce comportement qui n'a rien à voir avec la liberté d'expression », a poursuivi le communiqué, dénonce « tout acte de terreur commis au nom de la religion contre des innocents ».

Suite aux propos du président français Emmanuel Macron, les appels au boycott des produits français se sont aussi multipliés ces jours-ci en Mauritanie, pays à 100 % musulman sunnite.

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Ça fait trop longtemps qu’on s’occupe de cette Afrique francophone ex colonies AOF/AEF !

Le Mali est un boulet qu'on traine ou ces habitants ne veulent plus des français et de l'armée française en le manifestant que ce soit chez eux et même ceux immigrés en France !

On perd son temps et son argent et la vie de nos soldats dans cette Afrique sahélienne !

Ces OPEX « opérations extérieures » ne servent à rien, si ce n'est qu'à nos présidents pour se prendre pour des NAPOLÉON ou CÉSAR de pacotille !

Et notre armée s'enlise à courir après des djihadistes fantômes dans un désert immense !

Vouloir jouer aux gendarmes ne sert à rien, ces pays doivent enfin assumer leurs indépendances depuis 60 ans, surtout que nous avons bien d'autres problèmes sérieux à régler, chez nous en France !

On ne gagne rien à rester, plutôt le contraire, si ce n'est qu'accumuler les problèmes !

Jdeclef 30/10/2020 13h16

Mr MACRON n'a jamais été un chef de guerre, car il faut plus de volonté qu'il a, çà, se saurait ?!

 

Reconfinement : Emmanuel Macron, chef de guerre en déroute

ANALYSE. Alors que la France est « submergée » par l'épidémie, le président a annoncé un reconfinement du pays, et en appelle au « civisme » de tous.

Vous avez dit anxiogène ? Rarement allocution présidentielle aura donné à voir un changement de position aussi subit. Cinq jours plus tôt seulement, à Pontoise, Emmanuel Macron disait sa confiance de pouvoir enrayer, grâce au couvre-feu une deuxième vague annoncée pourtant depuis des semaines par les épidémiologistes. Il se navrait alors de «  réduire un peu ce qui, [il] sai[t], fait partie aussi du sel de la vie ». La fête, les rencontres entre amis, « l'esprit français »… Cinq jours plus tard, donc, la violente réalité de ce que produit une courbe exponentielle a douché tout espoir. Comme l'a projeté mardi l'Institut Pasteur, d'ici au 6 novembre, les lits de réanimation des hôpitaux français seront débordés. Le ton est rapide, les mains se serrent, anxieuses : « Quoi que nous fassions, nous aurons 9 000 patients dans les hôpitaux à la mi-novembre. » Il faut donc donner « un coup de frein brutal » à la circulation de l'épidémie.

Brutaux, les mots le sont. « Comme au printemps, vous pourrez sortir de chez vous uniquement pour travailler ou porter assistance à un proche. Les réunions seront exclues, les rassemblements publics seront interdits. » On sent qu'il lui en coûte. Jusqu'au bout, Emmanuel Macron aura tenté d'éviter un durcissement que son ministre de la Santé comme les membres du conseil scientifique le pressent d'imposer depuis la fin août. « C'était impossible politiquement, se persuade l'un de ses interlocuteurs. Rappelez-vous comment le couvre-feu a été accueilli à Marseille ! L'acceptation sociale ne pouvait venir qu'au pied du mur de la saturation des lits de réanimation… » Peut-être.

Confinement, écoles, télétravail… Ce qu'il faut retenir des annonces d'Emmanuel Macron

Protéger la vie et l'économie

« Je demande un très gros effort, tenons-le avec beaucoup de rigueur », a supplié le président, qui s'est efforcé d'être pédagogue. Les écoles, cette fois, resteront ouvertes, comme les collèges et les lycées, pour ne pas ruiner l'avenir des plus jeunes. Les résidents des Ehpad pourront être visités. Le travail devra continuer. Sauf pour les commerces non essentiels, la culture, le tourisme, la restauration… « Quoi qu'il en coûte », toujours : les professionnels, les TPE, les PME seront accompagnés. Et, « tous les 15 jours, nous ferons le point » pour éventuellement alléger les contraintes, a promis le président. Qui s'est gardé, cette fois, de la moindre prédiction pour l'avenir : il s'agira, désormais, de déployer enfin des tests rapides et d'appliquer une stratégie qui permettra de tenir « jusqu'à l'arrivée du vaccin ».

Ce mercredi soir, le président parti « en guerre » au printemps a perdu une bataille. Sa stratégie, qui consistait à « vivre avec le virus » en respectant les gestes barrières et en testant, en détectant et en isolant les malades, a échoué. À cause du gouvernement ? « Nous sommes tous, en Europe, surpris par le virus. Certains ont pris des mesures plus tôt. Pourtant, nous en sommes tous au même point, débordés. » Au même point, ce n'est pas vrai, comme ne manqueront pas de lui rappeler jeudi des oppositions chauffées à blanc, excédées par une gestion de crise qu'elles jugent chaotique, lors des votes organisés au Sénat et à l'Assemblée. « Ne cédons pas au poison de la division », a exhorté le président. La « résilience et l'unité », dans une bataille, peuvent faire, c'est vrai, toute la différence. Comme le peuvent des tests en grand nombre, réalisés à temps, des gymnases réquisitionnés pour permettre la distanciation physique dans les écoles, des purificateurs d'air dans les salles de classe qui ne pourront pas, cet hiver, être aérées… Jean Castex, qui sera chargé de l'intendance, devra s'assurer qu'elle suive. Au risque d'une longue série de reconfinements.

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C’est un beau parleur surement le meilleur qu’on a eu pendant ces derniers quinquennats !

Mais ce n’est pas ce qu’on lui demande, c’est d’agir, ce qu’on lui répète sans cesse, mais cela ne semble pas rentrer dans son esprit de bourgeois parvenu qui dédaigne les français qu’il ne connait pas, car ne s’étant pas mis à leur niveau !

Ce petit virus l’a vaincu, il n’a raison que sur une chose, c’est les français qui vaincront cette maladie, pas lui, car dépassé depuis le début de la pandémie mal gérée par ses gouvernements et ministres !

Par contre pour le terrorisme islamique, car il ne date pas d’hier 2001 et 2013 après 2015 et jusqu’à maintenant, son inertie est impardonnable et là c’est une vraie guerre que l’on peut gagner, mais il faut un chef qui soit à la hauteur et montre avec rigueur et efficacité, la volonté de la France pour lutter sans état d’âmes contre ses malfaisants criminels en frappant partout ou il le faut car maintenant on a la preuve qu’ils sont partout chez nous parmi nous (ce que l’on savait déjà, mais que nos autorités dont lui, ne voulait admettre et voir !)

Il faut qu’il montre, ce qu’il a à faire en tant qu’élu par les français drastiquement dans les prochaines semaines pour ramener un semblant de sécurité en transmettant la peur chez les islamistes extrémistes par des mesure d’exceptions, sans quoi, désolé de le dire, il ne sert à rien, en faisant du politiquement correct hypocrite, et arrêter le bla-bla, car il faut passer à la fermeté, puisqu’on est en guerre, il n’a pas le choix !

Jdeclef 30/10/2020 12h30


Ou l'on voit des communautés régler leurs comptes en France pays de liberté qu'elle paie bien cher, à cause d'autres venus d'ailleurs !

Ou l'on voit des communautés régler leurs comptes en France pays de liberté qu'elle paie bien cher, à cause d'autres venus d'ailleurs ! 

Violences entre Turcs et Arméniens dans le Rhône : « À tout moment, ça peut dégénérer »

VIDÉO. Après les heurts sur l'A7 près de Vienne, c'est Décines, une banlieue de Lyon surnommée « la petite Arménie », qui a été le théâtre de violences.


Quand elle a appris ce qui se passait au péage de Vienne (Isère) sur l'autoroute A7, ce mercredi matin, Laurence Fautra, maire LR de Décines, à 35 km de là, a sonné l'alerte. Elle a appelé la préfecture du Rhône qui a déployé sur place un important dispositif policier : une centaine d'hommes, dont des CRS, sans compter la police municipale. Les autorités ont également demandé aux commerces de descendre leur rideau de fer, au Centre national de la mémoire arménienne de fermer ses portes…

« On redoutait l'arrivée de ces individus, on voulait les empêcher de tout détruire comme ça a déjà été le cas », explique Laurence Fautra. Une crainte justifiée. Après les violences de mercredi matin entre manifestants arméniens et turcs sur l'autoroute A7 au niveau du péage de Vienne, c'est Décines qui a été la cible de violences.

Cortège et provocations

À Vienne, quelques dizaines de jeunes, représentants de la communauté arménienne qui cherchaient à alerter l'opinion sur la situation dans le Haut-Karabakh, ont trouvé sur leur chemin des Turcs défenseurs d'Erdogan prêts à en découdre. Les échanges, à coups de couteau et de marteau, ont fait quatre blessés, répartis dans chaque camp.

Une scène inédite sur une autoroute, suivie par de nouveaux appels au rassemblement, à Décines cette fois-ci, lancés sur les réseaux sociaux. Malgré le dispositif mis en place, plusieurs dizaines de véhicules arborant le drapeau turc ont déboulé dans la soirée, après le couvre-feu, dans cette commune de 30 000 habitants de la banlieue lyonnaise connue pour accueillir une importante communauté arménienne. En remontant la rue principale en klaxonnant, ils ont crié aux fenêtres des voitures : « Vous êtes où les Arméniens ? », « Descendez ! », « On vous donne rendez-vous ! », « On va tuer les Arméniens », « Allah akbar »… Un cortège vite repoussé par les forces de l'ordre qui ont procédé à des relevés d'identités et dressé 65 procès-verbaux pour non-respect du couvre-feu.

Les Loups gris d'Erdogan

« On était sur le qui-vive, car Décines a déjà été la cible d'attaques », explique sa maire. Le 24 juillet dernier déjà, pour alerter sur la reprise des conflits entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan dans la région du Haut-Karabakh, une manifestation pacifiste de la communauté arménienne avait été organisée à Décines. Rapidement perturbée par l'irruption d'un groupe de plusieurs dizaines de jeunes Turcs, cagoulés et armés de barres de fer, se revendiquant sur les réseaux sociaux des Loups gris d'Erdogan, semant la panique dans le rassemblement et détruisant, à coups de mortier, plusieurs commerces tenus par des Arméniens. Quatre assaillants ont été interpellés, dont le meneur du groupe, Ahmet Certin, Franco-Turc originaire de l'Ain identifié comme membre des fameux Loups gris. Une appartenance qu'il a vigoureusement démentie lors de sa comparution, le 17 septembre, devant le tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse. Son jugement est attendu pour le 5 novembre.

Le parquet de Lyon a ouvert, lui, jeudi soir une enquête du chef de « participation à un groupement en vue de commettre des violences ou des dégradations ».

« Toutes les communautés, arméniennes, turques, italiennes et autres, vivent ici en paix depuis des décennies », assène Laurence Fautra, sans cacher sa colère, « ces individus ne sont pas d'ici, ils viennent de l'extérieur, ils transposent ici le conflit de leur pays, ils ne comprennent pas qu'ils sont ici sur le territoire français. Il faut dissoudre ces groupes ! » Un appel tenu également par la Licra.

Attaque à Nice – Gérard Collomb : « La France est un peu seule »

Daniel Danielian, membre de la communauté arménienne de Décines et adjoint au maire chargé de la jeunesse et de la politique de la ville, dénonce lui « des opérations téléguidées par Ankara ». « Ces groupes de Loups gris sont les mains armées d'Ankara, ce sont des individus très jeunes, souvent mineurs, car ils savent qu'ils ne risquent pas grand-chose », analyse Daniel Danielian, « ils profitent aussi du contexte national français, du sentiment d'impunité et de laxisme qui y règne. Quand on voit la Turquie se moquer du président de la République française qui parle de séparatisme, ça les encourage ».

Comment Macron est devenu la tête de Turc d'Erdogan

À Décines, appelée « la petite Arménie » du fait de l'importante communauté arménienne qui s'y est installée depuis les années 1930, mais aussi à Vienne, Valence, Romans, dans toutes ces communes de la vallée du Rhône où les Arméniens ont débarqué depuis Marseille dans le courant du XXe à la recherche de travail, on redoute désormais de nouvelles attaques en lien avec la situation du Haut-Karabakh. « On a peur que ça recommence, on reste très vigilant, confie encore Daniel Danielian, on sait qu'à tout moment, ça peut dégénérer. »

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Car c’est plus simple dans un pays démocratique libre comme le notre des droits de l’homme que peu ne respectent qui tolère trop toutes les religions ou cultures différentes !

Le multiculturalisme cela ne marche pas, car les hommes sont hélas trop différents, ils n’arrivent pas à s’entendre déjà de même nationalité entre eux et même entre races, ce sont pourtant des humains, oui, mais si divisés pour de multiples raisons qui ne manquent pas !?

Alors, puisque semble-t-il on est un pays libre démocratique laïque, encore riche certains viennent chez nous pour le bien vivre, croyant à un eldorado mais leurs antagonismes divers et si nombreux remontent à la surface, c’est immanquable par leurs religions car le mystique est le pire fléau, les hommes s’entretuent depuis plus de 2000 ans au non de dieux ou chimères, il y a aussi la langues ou dialectes, divers qui divisent, et les ethnies et couleurs de peaux et ensuite les niveaux de cultures entre les pays riches et pauvres, d’ailleurs pourquoi, sont-ils divisés entre états avec des frontières dans le monde !?

On ajoute en plus dans nos pays qui se veulent donneurs de leçons moralistes en acceptant des communautés différentes avec leurs religions et cultures dans le pays qui reçoit ou accueille celles-ci dont certaines ne peuvent s’intégrer et en plus veulent supplanter celle du pays receveur qui a créé son identité nationale d’origine !

Il ne faut pas essayer de supprimer les frontières des pays et que chacun des peuples restent dans leurs pays d’origine et arrêter ce temps du IXX eme siècle des empires coloniaux ou autres conquêtes !

Le monde entier ne sera jamais un seul pays et c’est normal, n’en déplaisent aux bienpensants utopiques on a déjà bien du mal à maintenir un semblant d’ordre chez nous !

Un peu de bon sens serait mieux !

Jdeclef 3010/2020 11h04


Si la Turquie est leur pays avec leur si sympathique président ERDOGAN alors:

 

Dijon : intervention des forces de l'ordre lors d'une manifestation de Turcs

Une « grosse soixantaine » de membres de la communauté turque manifestaient dans le centre de la ville. Ils ont été repoussés par des tirs de gaz lacrymogène.

Au lendemain d'une démonstration de force similaire près de Lyon, une « grosse soixantaine » de membres de la communauté turque ont manifesté à Dijon, jeudi 29 octobre au soir. Les forces de l'ordre ont fait usage de gaz lacrymogène, a indiqué la préfecture.

« Il s'agit d'une manifestation, rien de plus », a précisé la préfecture, après la diffusion de vidéos sur Twitter montrant des dizaines de manifestants brandissant des drapeaux turcs et criant « Allah akbar » (« Dieu est le plus grand », en arabe) dans le centre de Dijon. Les manifestants sont filmés en train de brandir le poing en défilant, avant d'être repoussés par des tirs de gaz lacrymogène vers la gare.

Des affrontements à Décines-Charpieu mercredi

Mercredi soir, les forces de l'ordre étaient déjà intervenues pour empêcher « plusieurs dizaines » de membres de la communauté turque d'en « découdre » avec des Arméniens à Décines-Charpieu, ville de la banlieue lyonnaise qui abrite le mémorial du génocide arménien, avait indiqué la préfecture du Rhône.

Violences entre Turcs et Arméniens dans le Rhône : « À tout moment, ça peut dégénérer »

Cette manifestation était intervenue après une tentative de blocage, mercredi matin, du péage de Vienne (Isère), au sud de Lyon, par des militants pro-Arménie qui avait dégénéré, faisant quatre blessés, dont l'un frappé à coups de marteau. Si la préfecture de l'Isère avait simplement évoqué des « échauffourées » avec des automobilistes, la presse locale a mis en cause la communauté turque dans ces affrontements.

Dijon avait été secouée à la mi-juin par une démonstration de force de centaines de membres de la communauté tchétchène qui avaient défilé en pleine ville plusieurs nuits durant pour se venger de l'agression de l'un des leurs qu'ils disaient être le fait de membres de la communauté maghrébine. Les images de personnes brandissant des armes, factices ou non, et de violences urbaines avaient été largement diffusées, en France et à l'étranger.

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Que font-ils chez nous, s’ils ne nous aiment pas, ni le pays qui les a accueilli et que l'on doit les supporter, avec leur religion et ses dogmes extrémistes obscurantistes et moyenâgeux ?!

Il faut que notre état de bienpensant donneurs de leçon, alors que leur président insulte le nôtre, les renvoie chez eux !

Cela devient insupportable de devoir supporter de tels trublions qui ne pourraient même pas manifester chez eux s'ils protestaient, contre leur état et son président totalitaire, car risquant d’être enfermés par leur pseudo dictateur qui se prend pour un ex sultan ottoman dans des prisons déjà bien pleines d'opposants à son pouvoir !

Il est temps que l'on protège déjà correctement les français dans leur pays  avant d'accepter des migrants de toutes nationalités ou irréguliers qui sèment le désordre, voire pire chez nous !

Il faut en profiter du fait des derniers incidents criminels dramatiques pour simplement se protéger, car là, on a matière et excuse pour le faire !

Car le trop c'est trop, là, E.Macron doit agir, car cela fait déjà trop longtemps qu'on lui demande  !

Je ne suis pas macronien, mais pas non plus extrémiste style RN de M.LE PEN, mais là, cela déborde, car on à l’impression de ne plus être dans notre France des francs et de Charlemagne et on régresse, c’est très préoccupant!

Et on se demande pourquoi on vote, quand on est si mal servi par nos élus de tous bords depuis plus de trente ans!?

Jdeclef 30/10/2020 09h57