mercredi 14 octobre 2020

Mr CASTEX a accepté son poste qu'il l'assume, s'il s'est fait piéger par E.MACRON !?

 

Baromètre Ipsos- « Le Point » : un Français sur deux boude le duo Macron-Castex

Jean Castex dégringole, dans le sillage d'Emmanuel Macron. Mais le président recueille davantage d'avis positifs que Sarkozy et Hollande à pareil stade du mandat.

Décidément, quel sale temps pour Jean Castex ! Trois mois après son installation à Matignon, en pleine crise de Covid, le Premier ministre dégringole dans notre baromètre. S'il ne perd que 2 points d'opinions favorables (35 %), il prend 8 points de plus d'avis défavorables (49 %) en un mois. «  Ceux qui ne le connaissaient pas basculent dans le négatif », constate Mathieu Gallard, d'Ipsos. 22 % en plus depuis juillet !

Selon l'historique de notre baromètre Ipsos/Le Point, Jean Castex est le chef de gouvernement le plus impopulaire trois mois après son entrée en fonction depuis Lionel Jospin, qui était à 30 % d'opinions défavorables – et Édouard Philippe à 36 %. Un facteur personnel joue sans conteste : Jean Castex était un parfait inconnu lors de sa nomination. Mais il y a aussi des données structurelles : «  Un Premier ministre qui entre en cours de mandat est de toute façon moins populaire, note Mathieu Gallard. Il s'aligne sur le président. »

Macron-Castex : la première épreuve de l'exécutif

Et si la courbe d'Emmanuel Macron reste stable, les opinions défavorables l'emportent largement (54 %) sur les favorables (40 %). 27 % des sondés ont un avis «  très défavorable » de son action (18 % pour l'hôte de Matignon). Le recul est net chez les 18-35 ans (- 8 %) et les 60 ans et plus (- 4 %), en raison sans doute de la crise du Covid et de sa gestion. «  Au sein de l'exécutif, c'est avant tout Macron qui clive », souligne Mathieu Gallard. Le chef de l'État peut se rasséréner avec les chiffres de ses prédécesseurs à pareil stade de leur mandat : Nicolas Sarkozy recueillait 32 % d'opinions favorables en octobre 2010, et François Hollande, 24 % en octobre 2015. Quand on se compare, on se console…

Baromètre Ipsos-Le Point : Édouard Philippe, candidat de la droite ?

Roselyne Bachelot, sur les traces de Jack Lang

Le prédécesseur de Jean Castex à Matignon, Édouard Philippe, ne décroche pas de son firmament sondagier, restant en tête de notre palmarès des leaders politiques avec 54 % d'avis favorables, loin devant le second Nicolas Hulot (48 %) et une étonnante troisième, Roselyne Bachelot, sur les traces de Jack Lang. On peut être ministre et populaire ! Bruno Lemaire à l'économie et Olivier Véran à la santé confortent leurs positions.

Olivier Véran : « Les mesures de restrictions ne sont pas une punition ! » 

Mais si la « philippostagie » bat son plein chez les Français, les sympathisants LR préfèrent encore au maire du Havre l'ancien président Nicolas Sarkozy, qui gagne encore des points chez eux pour engranger un capital confiance de… 90 % d'avis favorables ! Les présidentiables sont à la peine : - 14 % pour Valérie Pécresse qui avait progressé d'autant le mois dernier et retrouve donc son niveau initial, mais en 5e position, talonnée par Xavier Bertrand qui baisse, lui, de 5 % chez les LR – formation à laquelle il n'appartient plus, comme Valérie Pécresse, depuis 2017 – quand Bruno Retailleau perd cinq places pour se situer au 22e rang (- 4 %). Mieux vaut être avare de sa parole, vieil adage : François Baroin, juste après son renoncement à la présidentielle, prend 8 points d'opinions favorables (68 %) et passe de la 5e à la 3e place dans le cœur des LR. Gardez-vous à droite : la jeune Marion Maréchal s'invite chez les barons et baronnes de la droite. La benjamine des Le Pen, qui prône l'«  union des droites », grimpe de 10 points auprès des sympathisants LR, bondissant de la 16e à la 9e place, davantage que sa tante Marine Le Pen, qui gagne tout de même 8 points et 4 places mais émarge au 21e rang. À noter que, très présents sur le terrain après la catastrophe tragique de la Vésubie, Christian Estrosi et Éric Ciotti engrangent aussi à droite : + 19 % pour l'un, + 12 % pour l'autre. L'un est « macron-compatible », l'autre pas. On n'a pas fini de jouer au chamboule-tout sur l'échiquier politique.

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A part cela les sondages médiatiques, ils ne sont là que pour troubler l'opinion de certains français gogos (et il y en a, çà ne manque pas !)

Car quand ils votent à l’élection présidentielle, ils croient élire le père NOEL comme des enfants gâtés !?

Pour le 1er ministre, c’est le président qui l’a choisi , il ne l’a pas forcé, il s’avait ce qu’il faisait n’en doutons pas, il fera une excellent fusible ce fonctionnaire sorti de sa province qui aurait mieux fait d’y rester (d’ailleurs dans son fort intérieur, CASTEIX, il admet que sa tache est dure surtout avec cette crise sanitaire et économique induite) car déjà vilipendé par les français lambda !

Ceci étant dans notre V eme république vieillissante devenue obsolète, cela confirme une fois de plus que c’est le président pseudo monarque qui dirige et gouverne, le 1er ministre n’étant là que pour servir de paillasson au président et subir le mécontentement des français, le tout orienté par les médias véritables pouvoir d’information et sondages orientés !?

Ce couple président/1er ministre n’est qu’un leurre médiatique de mauvaise politique à l’attention de ceux qui s’y laisse prendre dans notre V eme république !

Jdeclef 14/10/2020 12h09

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