Attaque au
couteau à Nice : Emmanuel Macron présent sur place
Jean
Castex a dénoncé une « attaque aussi lâche que barbare qui endeuille le
pays tout entier », après l'attentat à Nice qui a fait
trois morts.
L'essentiel :
·
Selon des sources proches du
dossier, une femme a été égorgée à l'intérieur de l'église par l'auteur de
l'attaque, qui a tenté de la décapiter. Un homme a été trouvé mort, également à
l'intérieur de l'église. Une femme blessée au couteau a réussi à s'enfuir pour
se réfugier dans un bar tout proche où elle décédera peu après. L'une des
trois victimes a été identifiée comme le sacristain de la basilique, un
laïque âgé d'environ 45 ans, selon le chanoine Philippe Asso.
·
L'auteur de l'attaque a été
rapidement interpellé par des policiers municipaux et nationaux intervenus sur
place, selon les premiers éléments de l'enquête. Il a été blessé par balle et
transporté à l'hôpital Pasteur de la ville. L'homme a crié « Allah
akbar », avant d'être blessé lors de son interpellation. Il a dit
s'appeler « Brahim » et être âgé de « 25 ans »,
selon une source proche de l'enquête. Pour autant, son identité n'était pas
établie, en fin de matinée.
·
Le parquet antiterroriste a ouvert
immédiatement une enquête pour « assassinat et tentative d'assassinat en
relation avec une entreprise terroriste » et « association de malfaiteurs
terroriste criminelle ». Le plan vigipirate a été porté au
niveau « urgence attentat » sur l'ensemble du territoire
national.
- Les églises sonnent le glas
Le
glas sonne dans les églises de France depuis 15 heures, en hommage
aux victimes de l'attaque au couteau qui a fait trois morts dans la basilique
Notre-Dame de Nice.
14 h 50 - "La République n'abdiquera
pas", déclare Jean Castex au Sénat
"La nation partage la
douleur et l'immense émotion des familles des victimes de Nice et de toute la
communauté catholique qui a été frappée en plein cœur", a déclaré le
Premier ministre au Sénat, en début d'après-midi. "La République ne
faiblira pas, la République n'abdiquera pas", a-t-il ajouté. Plus tôt dans
la journée, il avait dénoncé une "attaque aussi lâche que barbare qui
endeuille le pays tout entier".
- VIDÉO. Nice : des réactions émues après l'attaque au couteau
14 h 07 - Emmanuel Macron est arrivé à
Nice
Le
président de la République s'est rendu sur place. Il est arrivé à la basilique
Notre-Dame, cinq heures après l'attaque au couteau qui a fait trois morts, dont
un sacristain. Dans un tweet, le maire de Nice, Christian Estrosi, a tenu à
remercier le chef de l'État pour sa venue immédiate.
"Nice,
Avignon, Djeddah, nous faisons face à une vague d'attentats coordonnés des
islamistes radicaux", écrit le secrétaire national du Parti socialiste
dans un tweet. "Il n'y a pas de loups solitaires, il n'y a que la folie
barbare d'une meute fanatique. Nous ferons face. La République et la démocratie
ne plieront pas", a-t-il ajouté.
13 h 58 - Pour Marion Maréchal, "le
djihad est lancé contre la France"
L'ancienne
députée Front national (devenu Rassemblement national) a déclaré que "le
djihad est lancé contre la France". "Menaces d'Erdogan, manifestation
haineuse contre notre pays dans des pays musulmans, boycott de nos produits.
Les cellules islamistes sont en train de se réactiver", a-t-elle écrit sur
Twitter.
13 h 47 - Il faut des "décisions
fortes", soutient Nicolas Sarkozy
"L'extrême
gravité de la situation exige des décisions fortes, immédiates et sans
retour", a tweeté l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy.
"La France doit faire preuve d'une détermination sans faille et d'un grand
sang-froid afin de ne pas tomber dans le piège dans lequel les ennemis de la
démocratie veulent nous attirer." Selon lui, "dans ces moments où la
vie d'innocents est à ce point menacée, l'unité doit être la règle derrière nos
institutions et ceux qui l'incarnent. Le temps n'est pas à la polémique ni à la
politique. Il est au combat de tous contre la barbarie et pour la civilisation.
13 h 47 - Pour un ancien Premier ministre
malaisien, les musulmans ont le droit de "tuer des millions de
Français"
Dans
une série de tweets, l'ancien Premier ministre malaisien Mahathir Mohamad, qui
a démissionné de ses fonctions en février dernier, a notamment réagi à
l'assassinat du professeur Samuel Paty le 16 octobre, déclarant ne
pas croire en une liberté d'expression "qui insulte les autres".
"Macron ne montre pas qu'il est civilisé. Il est très primitif en blâmant
la religion de l'islam et les musulmans pour le meurtre du professeur. Ce n'est
pas conforme aux enseignements de l'islam. Mais quelle que soit la
religion blasphémée, les gens en colère tuent. Les Français au cours de leur
histoire ont tué des millions de personnes. Beaucoup étaient musulmans",
écrit Mahathir Mohamad, en ajoutant que "les musulmans ont le droit d'être
en colère et de tuer des millions de Français pour les massacres du
passé".
13 h 27 - Vincent L., le sacristain de la
basilique tué par son assaillant
Vincent L. était le sacristain
de la basilique Notre-Dame de l'Assomption de Nice. Ce Niçois d'une quarantaine
d'années est l'une des trois victimes de l'attaque au couteau qui s'est
déroulée ce jeudi matin vers 9 heures dans le centre-ville de Nice.
Le salarié laïque de la paroisse avait ouvert l'église une demi-heure
auparavant pour accueillir les fidèles. Il a été égorgé par son attaquant.
« Très sympathique » et « très gentil », c'est ainsi qu'est
décrit ce père de deux filles par des membres de la paroisse et des habitants
du quartier. « C'était un monsieur normal et ordinaire dans le bon sens du
terme. Il faisait bien son métier et était dévoué à sa paroisse. Et il est mort
en fonction. Sacristain, ça ne fait pourtant pas partie des métiers à
risque », témoigne le père Gil Florini, curé à l'église
Saint-Pierre-d'Arène de Nice, sous le coup de l'émotion. Vincent L. vivait à deux
pas de l'église. « Il la protégeait comme sa maison et était hyper
impliqué », confie Aude, dont la chorale organisait régulièrement des
répétitions à l'intérieur de la basilique. Vincent L. travaillait depuis une
dizaine d'années à l'église Notre-Dame. Il avait été auparavant sacristain dans
l'église Sainte Jeanne-d'Arc dans le nord de
Nice.
- La sénatrice EELV Esther Benbassa se défend de toute
complaisance
L'attaque de Nice ravive les
braises au sein de la classe politique et la sénatrice des Verts Esther
Benbassa a continué de se défendre des accusations de complaisance :
"Dès 2003, et à nouveau en 2015, je me suis battue avec d'autres en faveur
d'un dialogue entre juifs et musulmans, ouvert, sans faux-semblants, et
n'esquivant aucune question difficile. Ils faisaient quoi, eux, pendant ce
temps, nos accusateurs à la bonne conscience ?" a-t-elle déclaré dans
un tweet. "Cette déferlante accusatoire contre les intellectuels, les
universitaires et la gauche doit cesser. C'est à ceux qui ont le pouvoir qu'il
faut demander des comptes. Ils ont fait quoi pour endiguer le terrorisme ?
Et ils vont faire quoi, maintenant, pour nous sortir de là ?"
a-t-elle ajouté.
Islamisme
– Cette gauche qui ne voulait rien voir
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Pour que çà marque plus les
esprits, cet individu barbare, il égorge une femme qu'il a tenté de décapiter
dans un lieu catholique chrétien qu'est une église !
Certains de ses malfaisants
disent que c’est les musulmans que l’on stigmatise en France, alors que c’est
le contraire tant on tolère bien trop de chose qu’ils font et revendiquent au
nom de cette religion intolérante et ses dérives extrémistes et que nos lois
protègent !
Car là, n’en déplaise aux bienpensants
donneurs de leçons qui nous gouvernent si mal, c’est en fait une guerre de
religion qui ne veut pas dire son nom et veut conquérir le pouvoir religieux
avec ses dogmes et ses lois comme la charia, en France pays d’Europe ou il y a
le plus de musulmans arrivés depuis les années 1960 soit 560000 habitants et
comme par hasard parallèlement à la fin de
notre grand empire, colonial et de l’immigration qui va avec, car notre état pleutre
et ses gouvernements de tous bords à laisser faire ça depuis trente ans et cet
islam extrémiste qui est devenu terroriste est maintenant parmi nous comme un
ver dans le fruit et veut semer la guerre civile chez nous!
Soutenu par d’autres pays
musulmans prenant l’excuse des caricatures de Charlie Hebdo et de la liberté d’expression
qui n’existe pas dans leurs pays totalitaires avec leurs religions d’état ou la
liberté n’existe pas !
Il faut que le président
MACRON fasse de sa loi sur les séparatismes une loi d’extrême rigueur contre ce
fléau et que l’on combatte vraiment ces individus implantés sur notre sol, il
n’a plus choix car il a trop attendu !
Une justice d’exception, anti
terrorisme islamique s’il le faut, car la sécurité des français l’exige !
Jdeclef 29/10/2020 15h50
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