jeudi 15 octobre 2020

Quand on n'a plus d'idée, on imite les autres au mieux ou on se tait !?

 

Coignard – Macron ou la fin des « jours heureux »

CHRONIQUE. Le président a quitté l'Olympe pour nommer clairement le traitement antivirus qu'il prescrit cette fois : le couvre-feu, rien de moins.

« Mes chers compatriotes, nous aurons des jours meilleurs et nous retrouverons les jours heureux. J'en ai la conviction », avait promis Emmanuel Macron dans son allocution du 13 avril, qui avait ouvert la voie au déconfinement. « Les jours heureux », une expression choisie, puisque c'était le titre du programme adopté dans la clandestinité par le Conseil national de la Résistance, le 15 mars 1944.

Puis, le 14 juin, pour marquer le passage de tout le pays en « zone verte », le président avait célébré dans un autre discours solennel le retour à la liberté : « Nous allons donc pouvoir retrouver le plaisir d'être ensemble, de reprendre pleinement le travail, mais aussi de nous divertir, de nous cultiver. Nous allons retrouver pour partie notre art de vivre, notre goût de la liberté. En somme, nous allons retrouver pleinement la France. » Il avait toutefois poursuivi son adresse par une mise en garde : « Cela ne signifie pas que le virus a disparu et que nous pouvons baisser totalement la garde. Il nous faudra pour longtemps encore vivre avec lui, respecter les règles de distance physique, l'été 2020 ne sera pas un été comme les autres, et il nous faudra veiller à l'évolution de l'épidémie pour nous préparer au cas où elle reviendrait avec plus de force. »

Nous y sommes. Et le chef de l'État a dû, pour la première fois, annoncer lui-même sans détour la mauvaise nouvelle : un « couvre-feu » à partir de 21 heures pour quelque vingt millions de Français vivant dans les grandes agglomérations. Pas question, cette fois, de périphrases comme lors de l'annonce du confinement, où il avait pris soin de ne pas prononcer le mot fatidique.

Covid-19 : Et Macron réinventa la France « métro-boulot-dodo »

L'allocution de la dernière chance

Durant la « première vague », en effet, le président avait laissé à ses ministres, et plus spécialement au premier d'entre eux, Édouard Philippe, le peu enviable privilège de communiquer les mauvaises nouvelles. Il était, lui, le porteur d'espoir, le guide qui mène à la fin du tunnel, le prophète des « jours heureux ». Cette fois, faute de messager à la hauteur des enjeux, il a dû se plier lui-même à un exercice de pédagogie et de conviction.

Couvre-feu : Macron tente d'amortir les conséquences économiques

Il fallait bien dissiper le brouillard laissé par les discours plus ou moins contradictoires sur la conduite à tenir face à une nouvelle offensive de l'épidémie. Édouard Philippe n'est plus à Matignon, et son successeur n'a pas réussi à endosser pleinement le costume. Emmanuel Macron s'est donc fait pédagogue, jusque dans les moindres détails : aérer trois fois par jour pendant dix minutes, ne pas dépasser le nombre de six personnes lors de réunions privées, porter le masque autant que possible et ne pas oublier de se laver les mains… Et aussi, voire surtout, accéder plus facilement à des tests plus rapides. Pas de culpabilisation des Français dans son propos, mais pas d'autocritique non plus. C'était clair comme il se doit pour un discours de la dernière chance.

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Le président préfère parler et discourir en donnant des leçons, ce qu'il aime tant faire ...

Mais il est au pied du mur notre apprenti pseudo monarque, on pourrait ne pas lui en tenir compte, tant d'autres ont été pareils avant lui !

Oui, mais on est au présent, pas au passé !

Cette crise sanitaire et ce virus Covid 19 dans la lignée d'autres que l'on a laissé passer, car moins virulents bien que l'on avait eu une grosse alerte avec de la grippe saisonnière grippe A (H1N1) de 2009 une pandémie de grippe qui dura de 2009 à 2010, la seconde des deux pandémies historiques causées par le sous-type H1N1 qui avait occasionnée la commande de millions de vaccins par la ministre Mme BACHELOT vilipendé après avec en plus des milliers de masques détruits jusqu’à fermeture d’usine les fabricants ...

Aucune leçon n’a été tirée, défaut bien français de nos dirigeants qui oublient facilement et sont imprévoyants, car trop occupés à leur politique politicienne médiocre, plutôt qu’au bien de leurs concitoyens dont ils ont la charge et là de la France dans sa totalité car là subissant une crise économique greffée à celle sanitaire !?

Mais cette dame un peu hors norme a été reprise car pas tant illuminée que çà mais comme ministre de la culture dans le nouveau gouvernement macronien, çà prêterait à sourire si la situation n’était pas si préoccupante !

On ne peut que citer encore la fameuse tirade de RUY BLAS de la pièce de théâtre de Victor Hugo (détournée à notre époque) un grand homme frondeur qui avait été exilé par le pouvoir de son époque car disant des vérités qui déplaisait !

Bon appétit ! messieurs ! –
O ministres intègres !
Conseillers vertueux ! voilà votre façon
De servir, serviteurs !
Donc vous n'avez pas honte et vous choisissez l'heure,
L'heure sombre où La FRANCE agonisante pleure !
Donc vous n'avez ici pas d'autres intérêts
Que d'emplir votre poche et vous enfuir après en 2022 !

Jdeclef 15/10/2020 11h53

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