Après
l'assassinat de Samuel Paty, les premières mesures de Macron
VIDÉO. À
l'issue d'un conseil de défense dimanche, un renforcement de la sécurité
des établissements scolaires et de leur environnement a notamment été décidé.
E.MACRON veut aller vite, 48 heures après l'assassinat de
l'enseignant en histoire-géographie Samuel Paty. Un conseil de défense présidé
par le chef de l'État a été réuni dimanche 18 octobre, en fin de journée,
pour décider d'« actions concrètes » rapides. Selon l'Élysée, le chef
de l'État « a demandé qu'on passe rapidement à l'action et qu'on ne laisse
aucun répit à ceux qui s'organisent pour s'opposer à l'ordre
républicain ».
Le conseil a prévu le renforcement de la sécurité des établissements
scolaires et de leur environnement pour la rentrée du 2 novembre, avec des
mesures devant être arrêtées d'ici quinze jours. Les ministres de l'Intérieur
et de la Justice, Gérald Darmanin et Éric Dupond-Moretti, ont ensuite présenté
« un plan d'action qui va se mettre en œuvre dès le courant de la semaine
et donnera lieu à des actions concrètes contre les structures, associations ou
personnes proches des milieux radicalisés », qui propagent des appels à la
haine pouvant encourager les attentats, a précisé la présidence.
Des associations feront l'objet de « mesures
appropriées » après contrôles, en attendant le projet de loi contre
l'islam radical qui doit étendre les motifs de dissolution d'associations.
L'Élysée n'a pas précisé si le Collectif contre l'islamophobie en France
(CCIF), l'un des mouvements dans le viseur des services de renseignements, en
faisait partie. Le président de la République a par ailleurs demandé aux
ministres de la Justice, de l'Intérieur et de l'Éducation de réfléchir à des
mesures qui pourraient « enrichir ou améliorer » ou encore
« parachever » le projet de loi, qui doit toujours être présenté le
9 décembre, après avoir été envoyé dans une quinzaine de jours au Conseil
d'État.
Que reste-t-il de la République lorsque le séparatisme assassine
ses hussards noirs ?
Mettre en place un « contre-discours »
Le conseil a également décidé d'agir immédiatement contre ceux qui
ont soutenu l'attentat sur les réseaux sociaux. « Depuis vendredi Pharos
[la plateforme de signalement, NDLR a identifié 80 messages qui
soutiennent l'action de l'agresseur. Ils donneront lieu dès demain
[lundi] à des procédures diligentées par la police ou la gendarmerie »,
comme des convocations ou des perquisitions à domicile, selon l'Élysée. Le
renforcement de la plateforme est à l'étude, a ajouté la présidence. Marlène
Schiappa, ministre déléguée à la Citoyenneté, se rendra sur le site de Pharos
lundi.
L'Élysée a aussi promis la mise en place d'un
« contre-discours » aux propos inexacts ou la propagande radicalisée,
en citant l'exemple du discours d'Emmanuel Macron aux Mureaux qui a été
« dévoyé » dans certains pays pour le présenter comme une
« croisade antimusulmans
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Avec notre justice
mollassonne et notre nouveau ministre garde des sceaux, il ne faut pas
s'attendre à des miracles!?
En ce qui concerne les
mesures de sécurités et expulsions soi-disant programmées, pour le ministre de
l’intérieur, il faudra attendre dans les faits les résultats !
Pour le reste, c'est à dire
les luttes contre l'islamisme extrémiste avec rigueur nous verrons la teneur de
celles-ci et leur efficacité,et si les mesures sont effectivement prises
rapidement !?
Car à chaque fait criminel
dus à ce terrorisme islamique ou les dérives de cette religion, on assiste à
des drames et on pleurniche et défile pour montrer notre dégout de ces actes
criminels à consonance religieux justifiés par des auteurs fanatisés qui ne
respectent pas la vie humaine !
Après on oublie et on passe
à autre chose, car nos dirigeants pleutres attendent que l’orage et la colère
passe !
Il est temps que les français
se posent la question : est-ce la religion qui décide et fait nos lois ou l’état
républicain régalien français ?!
Il ne faut plus rien tolérer
en matière de religion, car quand on cède sur certains dogmes qui font atteinte
à la liberté de vivre dans le domaine public et la république, car on a déjà lâché
du lest et on a eu tort, car plus on en donne plus, ils en demandent et en
abusent !
Il faut que ces extrémistes,
s’ils veulent appliquer leurs dogmes religieux ou la loi islamique, ils ne
peuvent le faire que dans les pays qui applique cet islam rigoriste et non en France et
donc partir chez ceux-ci !
Mr Macron ferait bien d’agir
très vite ainsi que le 1er ministre et son gouvernement, car là, ils
sont attendus rapidement, faute de quoi on risque d’assister à une anarchie
déjà rampante ou certains voudront régler des comptes que l’état ne veut pas
faire sérieusement et là se serait grave car un glissement vers la guerre
civile !
Il faut que le temps « des
bienpensant donneurs de leçons hypocrites » cesse !
Jdeclef 19/10/2020 08h18
Mon commentaire a été censuré par les modérateurs du point comme quoi la liberté d'expression n'est pas respecté dans certains médias !
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