lundi 19 octobre 2020

Pour l'instant, c'est du bla-bla convenu de la part de nos dirigeants après cette émotion justifiée !

 

Après l'assassinat de Samuel Paty, les premières mesures de Macron

VIDÉO. À l'issue d'un conseil de défense dimanche, un renforcement de la sécurité des établissements scolaires et de leur environnement a notamment été décidé.

E.MACRON veut aller vite, 48 heures après l'assassinat de l'enseignant en histoire-géographie Samuel Paty. Un conseil de défense présidé par le chef de l'État a été réuni dimanche 18 octobre, en fin de journée, pour décider d'« actions concrètes » rapides. Selon l'Élysée, le chef de l'État « a demandé qu'on passe rapidement à l'action et qu'on ne laisse aucun répit à ceux qui s'organisent pour s'opposer à l'ordre républicain ».

Le conseil a prévu le renforcement de la sécurité des établissements scolaires et de leur environnement pour la rentrée du 2 novembre, avec des mesures devant être arrêtées d'ici quinze jours. Les ministres de l'Intérieur et de la Justice, Gérald Darmanin et Éric Dupond-Moretti, ont ensuite présenté « un plan d'action qui va se mettre en œuvre dès le courant de la semaine et donnera lieu à des actions concrètes contre les structures, associations ou personnes proches des milieux radicalisés », qui propagent des appels à la haine pouvant encourager les attentats, a précisé la présidence.

« Un travail de fond »

Des associations feront l'objet de « mesures appropriées » après contrôles, en attendant le projet de loi contre l'islam radical qui doit étendre les motifs de dissolution d'associations. L'Élysée n'a pas précisé si le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), l'un des mouvements dans le viseur des services de renseignements, en faisait partie. Le président de la République a par ailleurs demandé aux ministres de la Justice, de l'Intérieur et de l'Éducation de réfléchir à des mesures qui pourraient « enrichir ou améliorer » ou encore « parachever » le projet de loi, qui doit toujours être présenté le 9 décembre, après avoir été envoyé dans une quinzaine de jours au Conseil d'État.

Que reste-t-il de la République lorsque le séparatisme assassine ses hussards noirs ?

« Nous ne sommes pas dans l'ajout, la surcharge ou l'émotion, mais dans un travail de fond », s'est défendu le chef de l'État, mais, quand survient un tel événement il est nécessaire de faire un « retour d'expérience » pour identifier ce qui peut être amélioré, selon ses propos rapportés par l'Élysée. Emmanuel Macron a aussi « voulu vérifier que la remontée d'informations » sur les incidents en milieu scolaire « était bien organisée » au sein de l'Éducation nationale et avait bien eu lieu pour l'enseignant de Conflans.

Mettre en place un « contre-discours »

Le conseil a également décidé d'agir immédiatement contre ceux qui ont soutenu l'attentat sur les réseaux sociaux. « Depuis vendredi Pharos [la plateforme de signalement, NDLR a identifié 80 messages qui soutiennent l'action de l'agresseur. Ils donneront lieu dès demain [lundi] à des procédures diligentées par la police ou la gendarmerie », comme des convocations ou des perquisitions à domicile, selon l'Élysée. Le renforcement de la plateforme est à l'étude, a ajouté la présidence. Marlène Schiappa, ministre déléguée à la Citoyenneté, se rendra sur le site de Pharos lundi.

L'Élysée a aussi promis la mise en place d'un « contre-discours » aux propos inexacts ou la propagande radicalisée, en citant l'exemple du discours d'Emmanuel Macron aux Mureaux qui a été « dévoyé » dans certains pays pour le présenter comme une « croisade antimusulmans 

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Avec notre justice mollassonne et notre nouveau ministre garde des sceaux, il ne faut pas s'attendre à des miracles!?

En ce qui concerne les mesures de sécurités et expulsions soi-disant programmées, pour le ministre de l’intérieur, il faudra attendre dans les faits les résultats !

Pour le reste, c'est à dire les luttes contre l'islamisme extrémiste avec rigueur nous verrons la teneur de celles-ci et leur efficacité,et si les mesures sont effectivement prises rapidement !?

Car à chaque fait criminel dus à ce terrorisme islamique ou les dérives de cette religion, on assiste à des drames et on pleurniche et défile pour montrer notre dégout de ces actes criminels à consonance religieux justifiés par des auteurs fanatisés qui ne respectent pas la vie humaine !

Après on oublie et on passe à autre chose, car nos dirigeants pleutres attendent que l’orage et la colère passe !

Il est temps que les français se posent la question : est-ce la religion qui décide et fait nos lois ou l’état républicain régalien français ?!

Il ne faut plus rien tolérer en matière de religion, car quand on cède sur certains dogmes qui font atteinte à la liberté de vivre dans le domaine public et la république, car on a déjà lâché du lest et on a eu tort, car plus on en donne plus, ils en demandent et en abusent !

Il faut que ces extrémistes, s’ils veulent appliquer leurs dogmes religieux ou la loi islamique, ils ne peuvent le faire que dans les pays qui applique cet islam rigoriste et non en France et donc partir chez ceux-ci !

Mr Macron ferait bien d’agir très vite ainsi que le 1er ministre et son gouvernement, car là, ils sont attendus rapidement, faute de quoi on risque d’assister à une anarchie déjà rampante ou certains voudront régler des comptes que l’état ne veut pas faire sérieusement et là se serait grave car un glissement vers la guerre civile !

Il faut que le temps « des bienpensant donneurs de leçons hypocrites » cesse !

Jdeclef 19/10/2020 08h18

1 commentaire:

  1. Mon commentaire a été censuré par les modérateurs du point comme quoi la liberté d'expression n'est pas respecté dans certains médias !

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