De la
cocaïne à la maternelle, six enfants hospitalisés
On ignore
comment la drogue s'est retrouvée dans la cour de récréation d'une école à
Gagny (93). Le parquet de Bobigny a ouvert une enquête.
Six enfants ont été hospitalisés ce jeudi. Avec plusieurs de leurs
camarades, ils ont joué avec de la poudre blanche retrouvée dans la cour de
récréation de l'école maternelle Jules-Ferry à Gagny. Les enfants scolarisés en
grande section, âgés de 5 ans, ont été les plus téméraires et ont porté la
poudre à la bouche. Selon nos informations, confirmées par le parquet de
Bobigny, la poudre n'était autre chose que de la cocaïne. Heureusement, aucun
des six enfants ne se trouve dans un état critique, a affirmé le parquet au Point.
Saisie record d'argent issu du trafic de stups dans les
Hauts-de-Seine
Les magistrats ont confié les investigations à la sûreté
territoriale spécialisée dans les enquêtes sensibles et minutieuses. Les
policiers devront déterminer la provenance de la cocaïne dans cet établissement
fréquenté uniquement par des enfants et du personnel scolaire.
Pas de réaction de la direction
« On ne sait pas encore si la coke était cachée ou a été
apportée de l'extérieur par un élève qui l'a partagée comme cela s'est déjà
produit ailleurs. Au fur et à mesure de l'avancée de l'enquête, il n'est pas
impossible de recourir à des prélèvements sur le personnel, détaille un
policier spécialisé, qui assure être confronté de la part du personnel
à une forte pression syndicale avec des éléments antipolice très
convaincus. »
Ni la direction de l'école ni la mairie n'ont pu être jointes.
Il n'est pas rare que des consommateurs ou des dealers cachent
leurs produits stupéfiants dans des endroits réputés hors de contrôle des
forces de police.
En 2018, 100 kilos de cannabis avaient été découverts
dans une école élémentaire à Bezons (Val-d'Oise). En 2013, à Massy, dans
l'Essonne, c'était un élève de primaire qui avait rapporté dans l'établissement
de la cocaïne trouvée sur le chemin de l'école. Cinq enfants avaient été placés
en observation. En 2014, Le Point
s'était fait l'écho d'un instituteur revendeur qui stockait sa marchandise dans
le bureau du directeur de l'école maternelle.
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Ce fléau drogue et trafics
de stupéfiants s'infiltre jusque dans les maternelles?!
La voyoucratie et
délinquance diverse que l’on n’arrive pas à juguler depuis plus de 30 ans
atteint des sommets !
Les enquêtes, si on veut les
faire sérieusement, car cette drogue n’est pas arrivée toute seule doivent être
faite sur le directeur de cet établissement les instituteurs et tout le
personnel chargé des enfants y compris agents chargés la cantine ou du ménage
et infirmière ou médecin scolaire, s’il y en a et les parents d’élèves en leur
faisant comprendre que c’est la sécurité de leurs enfants qui est en jeu !
Mais il ne faut pas fustiger
ces zones dites populaires, car cela les vexerait, ou les stigmatiserait, on se
demande simplement quand cela s’arrêtera !
Quant au problème de
délinquance et trafics divers on les voit toujours dans les même lieux et
villes en périphérie de banlieue parisienne en IDF et aussi dans les villes en
province !
Sans compter les fameuses
zones de non droit que l’on n’arrive pas à supprimer que l’on connait
précisément depuis des années, car on ne veut pas entrer dans la fourmilière !
Le désengagement de l’état
en matière de délinquance diverse perdure et augmente malgré les changements de
gouvernements de tous bords et leurs ministres de l’intérieur qui se regarde le
nombril en pérorant comme le chef de l’état sait faire si bien dans ses
discours !
Notre pays va mal, car il
n’est plus encadré sérieusement, ainsi que les libertés ou tout glisse
immanquablement vers une situation anarchique !
Avec une kyrielle de
bien-pensant donneurs de leçons pleutres, on n’y arrivera pas, car on traine
ces problèmes de société depuis des décennies !
Avec bien sûr, une situation
sanitaire et économique qui s’aggrave, et certains s’offusquant sur la
fermeture des bars, on marche sur la tête, car il y a bien plus grave !
Mais ce n’est qu’un
sentiment d’insécurité ou de morosité sans autres commentaires...
Jdeclef 09/10/2020 10h06
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