lundi 19 octobre 2020

MACRON 1er ministre et gouvernement contre ce séparatisme plutôt contre le terrorisme extrémiste islamique sont comme des chiens qui courent après leur queue !

 

Coignard – Séparatisme : la course contre la montre

CHRONIQUE. À peine le président de la République avait-il prononcé son discours contre le séparatisme que les bourreaux de Samuel Paty s'activaient…

Même Jean-Luc Mélenchon a retrouvé des accents républicains, ce dimanche 18 octobre, pour s'insurger contre l'assassinat par un terroriste islamiste de Samuel Paty, professeur d'histoire-géographie qui entendait enseigner la liberté d'expression à ses élèves. C'est dire si le ministère de la parole est aisé en ces circonstances tragiques !

C'est dire aussi combien il serait indigne d'accabler le président et le gouvernement pour n'avoir pas su prévenir ce meurtre barbare, puisque même le guérillero habituel de la prétendue « lutte contre l'islamophobie » ne s'y risque pas. Pour prendre un seul exemple : qui pourrait honnêtement accuser le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, de la moindre faiblesse quant au respect de la laïcité dans l'enceinte scolaire ?

Sébastien Le Fol – Islamisme : attention les enfants, danger !

Mais c'est de tout autre chose qu'il s'agit. Il est question de « maîtrise des horloges » et d'« intendance qui ne suit pas »… ou qui suit tant bien que mal. Les horloges ? Le président a découvert, avec la pandémie, qu'un virus pouvait avoir raison des stratégies de lutte contre le chômage les plus réfléchies. Il ne peut manquer de constater que l'islamisme radical se joue, lui aussi, de son calendrier. La chronologie récente, de ce point de vue, ne manque pas d'une certaine cruauté.

L'intendance ne suit pas

Le 2 octobre, le chef de l'État prononce, aux Mureaux, un discours maintes fois reporté sur le séparatisme. Il y annonce les grandes lignes du projet de loi, empreint d'une lucidité et d'une fermeté bienvenues. Trois jours plus tard, Samuel Paty montre à sa classe de quatrième des caricatures de Mahomet, dans le cadre d'une séance d'éducation morale et civique consacrée à la liberté d'expression. Des paroles, de la part du président, et des actes, de la part de l'enseignant. Rien que de très normal, de très démocratique, de très harmonieux…

Séparatisme : un discours qui fera date

Mais, tandis que dans les ministères, on planche et on arbitre – on n'ose dire on ergote – sur les termes du futur texte de loi, une mécanique infernale, et ô combien plus rapide, s'enclenche sur les réseaux sociaux. Un parent d'élève coutumier des provocations contre l'école laïque et un activiste islamiste ciblent le professeur en des termes injurieux. Un jeune Tchétchène autoradicalisé y trouve le point d'application d'un passage à l'acte qu'il mijotait depuis longtemps et qu'il fantasmait sur Twitter.

C'est là que, pour reprendre une expression chère à Jean Castex, « l'intendance ne suit pas ». Même si des dizaines d'attentats sont déjoués chaque année, un seul demandeur d'asile radicalisé ne peut échapper à la surveillance des services de police et de renseignements. Et, pour plus de sûreté, un professeur nommément ciblé ne peut être laissé sans protection. Faute de quoi la République aura toujours un temps de retard. Et elle ne peut se le permettre, « quoi qu'il en coûte ». En effet, en ce domaine assurément, « nous sommes en guerre ».

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Alors que çà fait au moins trente ans que ce fléau augmente et s'infiltre dans notre pays avec en plus depuis 2001 des attentats barbares et lâches et des guerres moyen orientales ou la France était impliquée et en 2013 l’avènement de l'E.I. DAESH avec l'escalade dans l'horreur et avec les attentats de PARIS de 2015 et Charlie hebdo, Bataclan, hyper kacher et NICE et cela n'a pas cessé en fait, sauf sur la forme par des individus fanatisés illuminés isolés qui frappent à l'aveugle et s’attaquent au symbole de notre république par ce professeur qui voulait enseigner la liberté d’expression (que même certains médias censurent !)

Et depuis 20 ans nos dirigeants ne réagissent pas avec fermeté contre ces fous de dieu qui fomentent des dogmes moyenâgeux et agissent avec une barbarie sans nom, car ne respectant même pas la vie humaine !?

Donc maintenant on demande à E.MACRON qui a beaucoup hésité à prendre en main un héritage de ses prédécesseurs qui n’ont pas fait assez ou pas grand-chose pour éradiquer ce mal pernicieux qui est comme le ver dans le fruit de cette France partout dans notre société et qu’il faut extirpé partout ou il se cache ou se trouve avec détermination, sans faille ni états d’âmes, pour que le décès de ce professeur serve, ce sera la meilleure façon de lui rendre hommage !

On n’est pas dans un monde bisounours ou la violence est partout donc nos élus doivent le comprendre et cessent de donner des leçons et agissent car c’est leurs devoirs, car que faut-il de plus ?!

Jdeclef 19/10/2020 11h01

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