samedi 17 octobre 2020

Ou l'on voit le président dépassé par son manque de fermeté sur ce problème d'islamisme extrémiste qui lui revient dans la face avec d’autres manques de volonté !?

 

DIRECT. Enseignant décapité à Conflans : cinq nouvelles gardes à vue

Le professeur avait montré des caricatures de Mahomet en classe. L'assaillant était un homme de 18 ans d'origine tchétchène né à Moscou.

 

L'essentiel : 

  • Le corps d'un professeur d'histoire a été découvert décapité vendredi en fin d'après-midi à Conflans-Sainte-Honorine dans les Yvelines. Selon une source policière, il avait montré des éléments de caricatures de Mahomet en classe.
  • Le principal suspect a été abattu par la BAC Conflans-Sainte-Honorine. Après avoir découvert la victime, les forces de l'ordre ont tenté d'interpeller l'individu qui les menaçait d'une arme blanche. Avant d'être abattu, il a crié « Allah akbar », selon une source proche de l'enquête.
  • Emmanuel Macron s'est rendu peu après 21 heures au collège Bois d'Aulne de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), où enseignait le professeur. Décrivant un « attentat islamiste caractérisé », il a appelé la nation à « faire bloc ». « Ils ne passeront pas. L'obscurantisme ne gagnera pas », a insisté le chef de l'État.
  • Le parquet national antiterroriste (Pnat) s'est saisi de l'enquête. L'enquête a été ouverte pour « assassinat en relation avec une entreprise terroriste » et « association de malfaiteurs terroriste criminelle ».

- Laïcité : ce que l'école ne veut pas savoir

      L'assassinat du professeur des Yvelines est la tragique illustration du livre de Jean-Pierre Obin sur le communautarisme et l'aveuglement de l'Éducation nationale.
Laïcité : ce que l'école ne veut pas savoir       

- L'enseignant menacé "depuis plusieurs jours"

      Interrogé sur Europe 1, Bruno Retailleau, le sénateur LR a souligné que le professeur avait fait l'objet de menaces "depuis plusieurs jours". Selon l'homme politique, l'enseignant en aurait fait part "à sa hiérarchie", mais aucune mesure spécifique de protection n'a été mise en place. L'élu avait déjà tenu des propos similaires sur son compte Twitter dès vendredi soir. 

      

- "Un acte barbare islamiste"

       "Bouleversée par l'attentat effroyable dont a été victime un enseignant, la Ligue de l'enseignement dénonce un acte barbare islamiste qui nous touche toutes et tous", a réagi la ligue de l'enseignement. "Cet enseignant faisait son métier en transmettant à ses élèves les valeurs de la République, à travers la formation d'un esprit critique et la compréhension de ce qu'est la liberté d'expression. Personne ne peut contester et encore moins refuser un enseignement partie intégrante des programmes de l'école publique." "C'est la nation tout entière qui doit apporter sa solidarité à l'ensemble de la communauté enseignante, pour que de tels actes ne puissent pas se reproduire", conclut cette fédération d'associations.      

- Cinq autres personnes placées en garde à vue

      Alors que quatre membres de l'entourage de l'assaillant présumé ont été placés en garde à vue dans la nuit de vendredi à samedi, une source judiciaire révèle que cinq autres personnes ont également été placées en garde à vue. Parmi les cinq nouvelles personnes figurent deux parents d'élève du collège où travaillait la victime, ainsi que des personnes de l'entourage non familial de l'assaillant. Ce dernier a par ailleurs bien été identifié comme un jeune homme de 18 ans d'origine tchétchène né à Moscou, selon la source judiciaire.
      

- Le Sénat prépare une proposition de loi constitutionnelle contre l'islamisme radical

      Le Sénat va examiner lundi une proposition de loi de la droite sur la laïcité, afin d'inscrire dans la Constitution la prééminence des règles de la République. Un texte qui avait été préparé avant la décapitation de l'enseignant à Conflans-Sainte-Honorine. Deux semaines après le discours du président de la République sur les séparatismes, dans l'attente d'un projet de loi, trois ténors de la majorité sénatoriale se partagent la paternité de cette proposition de loi constitutionnelle. 

Le premier article du texte consacre, à l'article 1er de la Constitution, le principe selon lequel "nul individu ou nul groupe ne peut se prévaloir de son origine ou de sa religion pour s'exonérer de la règle commune". Le deuxième article du texte fait obligation aux partis politiques de respecter les principes de la laïcité, avec l'objectif d'exclure les partis communautaristes des financements publics prévus pour les candidats aux élections.
      

- Quatre personnes en garde à vue

      Quatre personnes, dont un mineur, membres de l'entourage de l'assaillant tué par les policiers, ont été placées en garde à vue dans la soirée de vendredi à samedi, a appris l'Agence France-Presse de source judiciaire.      

- "Ils ne passeront pas. L'obscurantisme ne gagnera pas"

      La décapitation à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) d'un professeur d'histoire-géographie, qui avait montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, a frappé d'effroi la France, de nouveau touchée par un "attentat terroriste islamiste caractérisé", selon les mots d'Emmanuel Macron, trois semaines après l'attaque devant les anciens locaux de Charlie Hebdo. "Ils ne passeront pas. L'obscurantisme ne gagnera pas". C'est un chef de l'État très ému, entouré du ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, et du ministère de l'Éducation, Jean-Michel Blanquer, qui a appelé la nation à "faire bloc", quelques heures après l'assassinat de l'enseignant, à la sortie du collège du Bois d'Aulne où travaillait la victime.

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Avec la barbarie qui va avec quand on voit la sauvagerie de ce crime épouvantable !

Depuis 2001 on est assailli de différentes façons par ces fanatiques qui se servent d’une religion comme justificatif pour essayer de détruire les pays libres démocratiques et y prendre le pouvoir pour y instituer leurs dogmes moyenâgeux digne d’un âge des ténèbres !

Malgré ce groupe E.I.DAESH  et son califat qui commettait des actes d’une barbarie épouvantable que l’on croyait avoir battu, le terrorisme islamique est bien présent chez nous et en Europe et dans le monde libre démocratique et civilisé !

Car depuis 2013 et 2015 qui ont suivi et malgré ses attentats de masse meurtriers nos autorités bien pensantes donneuses de leçons ont quelquefois minimisé ceux-ci en pratiquant le politiquement hypocrite !

Maintenant Mr MACRON dit que le terrorisme et l’islamisme extrémiste ne passera pas, car sidéré par l’émotion, qu’il ne s’étonne pas, si l’extrême droite tire à boulet rouge sur sa politique, car en effet il est parmi nous dans des zones connues et parmi certains citoyens non moins connus !

Quant à liberté d’expression bien qu’inscrite dans notre constitution et bien le plus précieux qui reste aux français lambda pour s’exprimer et désigner ce mal souterrain qui se cache parmi nous, que des médias bienpensants s’ingénie à censurer, ils feraient bien de se mettre à la page !

En espérant que le décès dramatique de ce pauvre professeur qui voulait l’apprendre à ces élèves ne sera pas oublié et servira de leçon à nos autorités de tous bords !

Et que cette loi sécuritaire soit plus rigoriste et notamment notre justice dure et sans état d’âmes pour de tels crimes ou criminels et ce rapidement !

Jdeclef 17/10/2020 09h57LP

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