mardi 31 mai 2016

La politique étrangère du "président Trump"

La politique étrangère du "président Trump"


Après les armes, l'immigration, les musulmans, l'économie, le leader des primaires républicaines dit maintenant ce que serait sa politique étrangère. Édifiant.

 
Si Donald Trump était élu le 6 novembre président des États-Unis, on pourrait pavoiser à Moscou, à Pékin et même à Pyongyang, capitale de la Corée du Nord. En effet, depuis que la diplomatie américaine existe, il n'y a jamais eu un tel renversement d'alliance que celui que se propose de mettre en œuvre le candidat républicain s'il accédait à la Maison-Blanche.
Car le « président Trump » estime que les Américains doivent cesser de s'occuper des affaires qui gênent Vladimir Poutine, Xi Jinping et même Kim Jung-un. Et donc sont sources de conflits avec les uns ou les autres. Ainsi les boys se trouvant sur des théâtres d'opérations extérieures (Europe de l'Est, Asie) ou dans des bases à l'étranger doivent-ils être rapatriés d'urgence dans leurs casernes et les bateaux de l'US Navy dans leurs ports, le fondement même de la pensée du businessman de l'immobilier étant que les États-Unis doivent cesser de payer pour la sécurité des autres. Ainsi, également, les pays européens de l'Otan doivent-ils assurer désormais seuls leur sécurité ; le contingent qui protège les Sud-Coréens du désir de revanche de leur voisin du Nord doit être rapatrié ; et celui qui, depuis la Seconde Guerre mondiale, calme par sa seule présence au Japon les visées expansionnistes de la Chine doit laisser les Nippons se débrouiller tout seuls.

Aventurisme dictatorial

Ce sont là quelques-unes des perles des deux interviews accordées par Donald Trump à quelques jours d'intervalle au Washington Post puis au New York Times. Et, lorsque les journalistes de l'un ou l'autre journal lui font remarquer qu'il s'agirait là d'un repli sur elle de l'Amérique qui pourrait encourager l'aventurisme de certains dictateurs jusqu'à présent freinés par la présence des bases américaines qui, par ailleurs, protègent les routes commerciales et collectent à l'occasion de leur présence quantité d'informations vitales, Trump balaie ces objections. Pour lui, l'Amérique n'a jamais été aussi grande qu'il y a 116 ans, au tournant du XXe siècle, quand, avec Theodore Roosevelt, le pays se préoccupait d'abord du continent américain. Au fond, la mondialisation n'est rien d'autre qu'un marché où seules comptent les préoccupations économiques, et pas du tout le rapport de force  géostratégique.
Une pichenette en passant à la prolifération nucléaire puisqu'en échange du rapatriement des troupes américaines assurant la défense du Japon et de la Corée du Sud le candidat républicain accorderait le droit à ces deux pays de se doter de l'arme nucléaire afin de soulager le contribuable américain de la charge de leur défense. Et si les Chinois s'offusquaient de cette nouvelle situation ou continuaient à construire des bases et à  établir des batteries de missiles dans la partie sud de la mer de Chine, rien de plus simple, on les menacerait de ne plus avoir accès au marché américain.

Corps expéditionnaire

Sur le terrorisme et la guerre en Syrie ou en Irak, les solutions de Trump sont là aussi radicales. On a raté le coche au moment de la présence américaine en Irak de prendre une fois pour toutes le contrôle des puits de pétrole qui sont, dit-il,  la seule raison de la guerre là-bas. Alors, détruisons les puits et anéantissons Daech, mais sans envoyer de soldats américains sur le terrain. Puisque le pays le plus menacé est l'Arabie saoudite et qu'elle ne fait pas le travail, arrêtons de lui acheter son pétrole jusqu'à ce qu'elle accepte de mettre un véritable corps expéditionnaire sur le terrain pour en finir avec les djihadistes.
Quant au risque terroriste, enfin, Donald Trump pense que l'Europe l'a provoqué avec sa politique trop laxiste d'immigration : « L'Allemagne est détruite par la naïveté de Merkel. » Cela ne sera jamais le cas, vous pouvez l'en croire, aux États-Unis dont seront bannis les musulmans étrangers et expulsés les immigrants sans papiers. D'ailleurs ne rappelait-il pas récemment que les attentats du 13 novembre n'auraient pas pu se  produire aux États-Unis, puisque les spectateurs du Bataclan, grâce à leur permis de port d'arme, auraient pu riposter et neutraliser les tueurs avant même que la police n'intervienne. Le monde rêvé des anges version Donald Trump est annoncé.
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Il ne gouvernera pas seul et entre ce qu'il dit et ce qu'il ferait il y a de la marge, car pour tous présidents, il y a les discours de campagne et la réalité du pouvoir !

D'ailleurs c'est valable pour tous les dirigeants occidentaux, notamment nos présidents entre autres!

Et puis, il faut déjà qu'il soit élu ?!

Tout cela n'est pour l'instant que de la politique fiction, car les américains sont des joueurs imprévisibles !
Jdeclef 30/05/2016 17h14

Encore Mme TAUBIRA en dame patronnesse qui veut faire la leçon en se mêlant de ce qui ne la regarde plus !

Christiane Taubira à l’Université de New York le 29 janvier 2015 (la langue bien pendue comme d’habitude hélas !)
Politique

Loi Travail: Christiane Taubira «inquiète de la situation»


POLITIQUE L'ancienne garde des Sceaux s'est exprimée sur ce dossier brûlant, lundi à Nantes...

(Mais on ne lui demande rien !)
« Il faut rétablir le dialogue » autour de la loi travail. C’est en tout cas l’avis de Christiane Taubira, ancienne garde des Sceaux venue à Saint-Nazaire puis à Nantes lundi soir pour défendre le festival nantais gay et lesbien Cinépride, privé de subvention régionale.
Interrogée par nos confrères de Presse Océan, la ministre s’est exprimée sur le dossier brûlant de la loi travail. « Je crois au dialogue dans la démocratie, a-t-elle dit. Quand les choses sont bloquées, il faut arriver à les débloquer par le dialogue. Oui, je suis inquiète de la situation. Je ne peux pas prendre à la légère la situation, il y a une telle distorsion entre ce que le gouvernement pense bien et les opposants. Il faut rétablir le dialogue. »
Le président François Hollande a répété ce mardi matin que « le projet de loi ne serait pas retiré », alors que le texte sera débattu au Sénat la semaine prochaine.
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On n’arrive pas à savoir si cette femme le fait exprès ou si elle est conscience des inepties qu’elle dit, quand elle ouvre la bouche et surtout sa déplorable action passée comme ministre de la justice !

Toujours la vindicte dans ses paroles indirectement contre le gouvernement qui l’a subit trop longtemps et de F.HOLLANDE qui a commis l’erreur de la coopter dans ses fonctions et de mettre si longtemps à s’en séparer !
Car non content d’avoir fait un mauvais travail dans son ministère, elle a fait aussi du mal avec sa mauvaise langue et veut encore donner des leçons, c’est inconcevable et inadmissible !

Aller ouste ! D.PUJADAS n’hésite pas, va ailleurs, ta tête va exploser !

Télévision

VIDEO. France 2: David Pujadas s'énerve en plein «20 Heures» (et tente une «poker face»)


FRANCE TELEVISIONS Lundi soir, le micro du journaliste de France 2 a été rouvert trop tôt...
Trahi par son micro. Lundi soir, alors qu’un reportage du 20 Heures de France 2 était sur le point de se terminer, les téléspectateurs ont pu entendre un échange un peu vif entre David Pujadas et la régie. « Non, je suis très calme !, s’agaçait le journaliste. Je te dis juste, tu m’informes, tu… »
Il s’est interrompu lorsqu’il s’est rendu compte qu’il était de nouveau en direct et a enchaîné, comme si de rien n’était, tentant une « poker face ». Ou presque. Évidemment, ces quelques secondes de spontanéité dans le cadre policé du journal télévisé ne sont pas passées inaperçues et les internautes ont immédiatement partagé les images sur Twitter.
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Il perd son calme, et d’ailleurs, il commence à agacer aussi des téléspectateurs, il faut en changer, surtout que ce n’est pas eux qui choisisse les soit disant stars de la télé des chaines nationales !

Il n’y a pas pire que la routine et les présentateurs qui prennent « la grosse tête » et se croient indéboulonnables (regardez nos dirigeants politique par exemple dont on voudrait changer ! lol )
Allez, il a fait son temps, s’il perd son calme qu’il passe la main, on l’a assez vu, une place comme commentateur au JT de 20h00 n’est pas à vie, place aux jeunes ne serait-ce que pour les téléspectateurs voient simplement de nouvelles têtes !

Mais bien sur des humanitaires voyons donc !?

Filière djihadiste de Strasbourg : "Ce n'est pas le procès du Bataclan !"


Sept hommes sont jugés pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste. Dont le frère de l'un des kamikazes du Bataclan.

Surtout « pas d'amalgame » avec les attentats du 13 novembre : la défense a bataillé lundi au procès de sept Strasbourgeois, dont le frère d'un kamikaze du Bataclan, jugés pour avoir passé plusieurs mois en Syrie. À première vue, voilà une affaire de djihadisme presque banale, comme le tribunal correctionnel de Paris en examine désormais semaine après semaine.
Ils sont sept hommes, âgés de 24 à 27 ans, partis en Syrie entre décembre 2013 et avril 2014, jugés pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste. Il s'agit d'un délit grave, passible de jusqu'à dix ans de prison, mais non d'un crime, qui enverrait les suspects devant les assises.

Des jeunes « liées par le foot et la chicha »

Pourquoi alors cette cohue de caméras et cette bousculade à l'entrée du tribunal ? À cause d'un nom, Mohamed-Aggad. C'est celui de l'un des sept prévenus, Karim Mohamed-Aggad. C'est aussi celui d'un assaillant du Bataclan, où ont péri 90 personnes, Foued Mohamed-Aggad. Les deux frères étaient partis ensemble en Syrie, dans un groupe de dix jeunes hommes, liés par « le foot et la chicha » qu'ils fumaient dans un bar de l'autre côté de la frontière allemande, explique Mokhlès Dahbi, l'un des prévenus.
Le périple est organisé avec l'aide d'un recruteur bien connu des services de renseignement, Mourad Farès.
Peu après leur arrivée, deux frères, membres du groupe, meurent. Foued Mohamed-Aggad décide de rester, tandis que les autres regagnent progressivement la France, à partir de février 2014, et sont arrêtés en mai suivant. Les voilà assis dans deux box vitrés, donnant parfois l'impression de deux clans rivaux.

« On ne choisit pas sa famille »

D'un côté, quatre hommes portant des barbes fournies, Radouane Taher, Mohamed et Ali Hattay, et Karim Mohamed-Aggad, échangent sourires et plaisanteries. Face à eux, dans l'autre box, Miloud Maalmi, Mokhlès Dahbi et Banoumou Kadiakhe ont le visage glabre, la mine un peu plus sombre et le regard plus souvent baissé. « On ne choisit pas sa famille », dit Karim Mohamed-Aggad, barbe épaisse et cheveux lustrés, demandant la parole dès l'ouverture du procès.
Le 13 novembre, dans sa prison, il regardait le match de foot France-Allemagne. « On n'a aucune part de responsabilité » dans les attentats qui ont ensanglanté Paris ce soir-là, assure le jeune homme, « on ne veut pas être assimilés à ces faits-là ». Le prévenu demande au tribunal de ne pas faire « d'amalgame ».
Avant même que le procès n'entre dans le vif du sujet, la défense doit batailler pour tenter de dissiper l'ombre du 13 novembre. Un échange parfois aigre oppose les avocats des prévenus et celui de l'Association française des victimes du terrorisme (AfVT). Cette dernière a, au début du procès, souhaité se constituer partie civile. Cette démarche permet de demander l'indemnisation d'un préjudice, mais aussi d'intervenir lors d'un procès pénal.

Partis pour « aider » les civils syriens

« Ce n'est pas le procès du Bataclan », s'écrie Me Éric Plouvier, qui représente Miloud Maalmi. « Le fait que le mot terrorisme apparaisse, ça émoustille tout le monde », regrette Me Xavier Nogueras, conseil de Radouane Taher, estimant qu'il n'y a aucune raison d'accepter cette partie civile, puisque, dans ce procès, il n'y a « pas de victimes », ni en France ni ailleurs.
« Vous n'avez pas votre place ici », lance Me Françoise Cotta, l'avocate de Karim Mohamed-Aggad, à son confrère représentant l'AfVT. Elle avait auparavant tempêté contre le traitement médiatique de cette affaire, visant selon elle à « coller » sur son client les actes commis par son frère. Ce n'est qu'après ces vifs échanges que l'audience peut véritablement démarrer.
Les prévenus assurent, chacun à leur tour, qu'ils étaient partis d'abord pour « aider » les civils syriens, tout en reconnaissant qu'ils étaient prêts, à l'époque, à « prendre les armes » contre le régime. Sans brandir outre mesure une motivation « humanitaire », Karim Mohamed-Aggad déclare que, « meurtri » par la souffrance des Syriens, il était parti « dans le but de combattre » Bachar el-Assad. Son interrogatoire de personnalité est prévu mardi en début d'après-midi. Le procès doit durer jusqu'au 7 juin.
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« Tout le monde est beau et gentil » et c'est nous qui ne voulons pas croire à leur bonnes attentions et qui sommes des mécréants ! ?

Qu'ils ne se plaignent pas ils sont jugés en correctionnel, ils écoperont de peines en dessous du tarif et avec des remises de peines habituelles et pourront même retourner en Syrie s'ils se débrouillent bien avec notre justice si compatissante !


Ils ont beaucoup de chance d’Être en France, mais çà, ils ne le comprennent pas !

Ils n'avaient qu'à y rester en Syrie, ils ne seraient pas devant un tribunal en France !
JDECLEF 31/05/2016 12h49

Ce bon J.P. RAFFARIN doit avoir une boule de cristal ?!

Jean-Pierre Raffarin estime que le gouvernement va reculer.
Politique

Loi Travail: Jean-Pierre Raffarin prédit le recul du gouvernement


NOSTRADAMUS « Ils vont céder, ils vont aménager les choses », a avancé l’ancien Premier ministre…
 
Jean-Pierre Raffarin aurait-il des dons de médium ? Ce lundi, sur le plateau d’iTele, le sénateur Les Républicains de la Vienne a pronostiqué la fin du conflit entre les opposants à la loi Travail et le gouvernement.
Selon le Phénix du Haut Poitou, le gouvernement de François Hollande va finir par « reculer », a relevé le Lab d’Europe 1.

« D’évidence, ils vont reculer »

« Quand on commence à reculer, on ne peut plus s’arrêter […] D’évidence, ils vont reculer. Ils vont céder, ils vont aménager les choses. »
« Je ne sais pas comment ils vont céder mais ils sont dans un processus d’affaiblissement. Et quand on est dans un processus d’affaiblissement, ça se termine un moment ou un autre par un recul. Et c’est ce qui, à mon avis, s’annonce » a-t-il dit, après avoir estimé que le durcissement de la contestation était induit par l’attitude de la CGT.
Comment le gouvernement tente de déminer les crises
Et l’ancien ministre Premier ministre de Jacques Chirac de dénoncer le manque « d’autorité » du président de la République.
« Il faut faire preuve d’autorité. A partir du moment où on a discuté et qu’on est allé au Parlement, c’est le Parlement qui fait la loi. Ce n’est pas le syndicat. Sur ce sujet, ce dont le gouvernement manque, c’est de l’autorité […] Le chef de l’Etat devrait dire avec fermeté quelles sont les lignes rouges qu’on ne peut pas céder. »
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C’est surement la fonction de sénateur devenu vieux sage qui doit donner cet impression-là, à ces vieux politiciens ex 1er ministres de prédire tout et n’importe quoi ?!

De toute façon, quel que soit le résultat, c’est un fiasco pour F.HOLLANDE et M.VALLS, car maintenant les contestations ne sont plus faites seulement pour cette loi du travail qui a servi de détonateur à bien d’autres revendications et malgré le fait que le gouvernement cherche à diviser par corporation en lâchant du lest à celles-ci, le mal est fait, car toutes demandes logiquement qu’on pensent à elles et aussi maintenant plus !
Le gouvernement espère un essoufflement et la fin, avant l’euro de foot pour ensuite aborder les congés d’été (en principe calme) avant la rentrée de septembre, cela peut être le cas, mais ne mettra que les problèmes entre parenthèse et en sommeil pour « reculer pour mieux sauter » sans jeu de mot excessif !

Si F.HOLLANDE et l’Europe avait plus conscience et de jugement sein, il ne laisserait jamais la Turquie entrer dans l’U.E., tant que ERDOGAN serait au pouvoir, car il est dangereux !

Le président turc condamne l'usage de la force par la police française lors des manifestations


DIPLOMATIE En 2013, la violente répression de manifestations avait déclenché un mouvement de masse contre Recep Tayyip Erdogan, qui retourne la politesse aux pays d'Europe qui l'ont critiqué…
Recep Tayyip Erdogan, le président turc, est préoccupé par la situation sociale que connaît la France. Non sans ironie, le président turc a « condamné » lundi usage de la force par la police française contre des manifestants, alors que lui-même avait été au cœur des critiques après la répression policière de manifestations antigouvernementales en 2013.
« Je condamne la violence exercée par la police française contre les gens qui usent de leur droit de manifester », a lancé Recep Tayyip Erdogan lors d’un discours public à Istanbul.
« Ils [les pays d’Europe] nous avaient fait remarquer qu’ils étaient inquiets [de la situation en Turquie]. Eh bien, moi aussi, je suis préoccupé par ce qui se passe en France », a dit avec ironie l’homme fort du pays.
Recep Erdogan a aussi vivement critiqué les médias occidentaux qui, selon lui, n’ont pas couvert la fronde sociale en France contre le projet de loi Travail.

Erdogan accusé de dérive autoritaire

En juin 2013, une vague inédite de violentes manifestations avait fait vaciller le gouvernement islamo-conservateur turc, dirigé par Recep Erdogan, qui a été élu président en 2014.
Cette contestation avait démarré par la mobilisation d’une poignée d’écologistes opposés à un plan d’aménagement urbain qui prévoyait la destruction du parc Gezi, un jardin public de la place Taksim d’Istanbul.
La violente répression de ce noyau de protestataires avait déclenché un mouvement de masse contre Recep Erdogan, accusé par ses détracteurs de dérive autoritaire et de vouloir « islamiser » la Turquie. Les heurts entre policiers et manifestants avaient fait 8 morts et plus de 8 000 blessés.
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Ce personnage qui est en train de niveler la laïcité dans son pays, et qui accélère vers un état islamiste totalitaire en se prenant pour un sultan, avec sa femme pire que lui qui regrette l’empire ottoman, et qui ce permet de critiquer la France pour l’utilisation de ses forces de l’ordre ?!

Qui n’admet pas les faits avérés par les Turcs de génocide des arméniens en 1915 !

Qui n’accepte pas les kurdes et le Kurdistan turc et fait tout pour s’en débarrasser !

Mais qu’il balaie devant sa porte, lui qui muselle la presse ou qui rabaisse les conditions et libertés de la femme, (dernier exemple : il veut supprimer la contraception disant que les femmes ne doivent que procréer et élever des enfants en restant à la maison !)
Et il voudrait que son pays fasse partie de l’union européenne, il ne faut surtout pas accepter cela, il n’a pas les valeurs adéquates pour qu’on lui accorde cela et ce serait faire entrer  « le loup dans la bergerie » !

On parle des extrêmes droites qui progresse en Europe, mais ce n’est rien par rapport à ce dirigeant totalitaire et se pays de 75 millions d’habitants, il faut que l’Europe avec son union se réveille !

lundi 30 mai 2016

Il devrait être mis en congé interdit de présence à l’assemblée nationale dans l’attente des enquêtes de justice faites à son encontre !

Le député Denis Baupin (EELV) à Nantes le 18 septembre 2012.
Société

Affaire Baupin: «Il m’a plaquée contre le mur, prise sur les seins et a essayé de m’embrasser»


AGRESSION France Inter et Mediapart ont recueilli les témoignages de cinq nouvelles femmes accusant le député Denis Baupin de faits d’agression et/ou de harcèlement sexuels…
De nouveaux témoignages à charge contre le député Denis Baupin. France Inter et Mediapart, qui avaient déjà révélé, il y a moins d’un mois, des faits présumés d’agression et de harcèlement sexuel sur des femmes par le vice-président écologiste de l’Assemblée, ont pu recueillir les témoignages de cinq nouvelles femmes. Et ils sont accablants.
Il y a par exemple celui de Geneviève Zdrojewski, ancienne chef de cabinet de l’ex-ministre Corinne Lepage. Un jour, « il a essayé de m’agresser sexuellement dans les lavabos et là il m’a plaqué contre le mur, prise sur les seins et a essayé de m’embrasser. Il y a 20 ans de cela, je n’ai pas eu l’idée d’en parler à quiconque si ce n’est beaucoup à mes amis. C’est très humiliant ».

« C’est une pieuvre qui m’a sauté dessus »

Une autre femme, qui a souhaité garder l’anonymat, confie elle aussi son histoire. A l’époque des faits, elle était une jeune dirigeante du parti. Un soir, Baupin lui assure qu’il a reçu pour elle un fax dans son bureau. Elle le suit. A peine entrée, « c’est une pieuvre qui m’a sauté dessus. Il a essayé de m’embrasser par tous les moyens. Je me suis débattue… Et bien sûr, il n’y avait pas de fax… ». Elle réussit à s’enfuir du bureau, « affolée et échevelée ».
Après l'affaire Baupin, une ancienne ministre sort du silence
Les cinq témoignages recueillis concernent des faits commis « entre 1998 et 2014 et ne concernent pas que des militantes écologistes », précisent les deux médias dans leur article. Ils ont proposé à Denis Baupin de recueillir sa version des faits. Ce dernier a d’abord accepté, en fixant certaines conditions. Conditions qu’il a ensuite voulu changer au dernier moment, exigeant notamment que certains de ses propos ne puissent être rendus publics. Les journalistes ayant refusé ces termes, l’entretien ne s’est finalement pas déroulé.
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Mais il y en a marre des histoires douteuses et diverses de nos élus (souvent surprotégés)

Il est évident que ce personnage « libidineux » ne semble pas clair !

S'il y a des plaintes en bonne et due forme contre lui, que la justice passe et suive son cours (et si possible qu’on ne le voit plus siéger à l'assemblée nationale !)

Et si c'est un malade qui s'ignore qu'il se fasse soigner !
À croire, qu'il y a tout de sortes d'individus mal élevés ou à histoires diverses pas nettes sur les bancs de l'assemblée nationale occupés par nos politiciens de tous bords députés !

Le problème souvent, que c'est souvent ceux-là, qui veulent donner des leçons!

De toute façon encore un footeux mal élevé qui se croit tout permis avec trop d'argent de ce monde du football sans intérêt pollué par l'argent et les magouilles !

Serge Aurier, docteur ès insultes du PSG


Le défenseur du PSG est en garde à vue après avoir insulté des policiers la nuit dernière. Après le couac avec Laurent Blanc, sa série noire continue.

Le turbulent Serge Aurier a encore frappé ! Après avoir généreusement distribué des insultes et autres noms d'oiseaux et qualificatifs peu amènes à ses coéquipiers du PSG lors d'une soirée Periscope mémorable, le défenseur du PSG et international ivoirien a été arrêté lundi matin, peu avant 6 heures, à l'angle des rues de Berri et de Ponthieu dans le quartier des Champs-Élysées, à la sortie d'une boîte de nuit, a révélé ce lundi matin Europe 1. Une bande de fêtards parmi lesquels se trouvait le sportif aurait insulté des policiers de la BAC (Brigade anticriminalité) nuit qui patrouillaient dans les parages.
Cette altercation a conduit le joueur à être arrêté pour insultes, outrage et violence légère. Le footballeur ivoirien "aurait insulté et donné un coup à un policier", a indiqué une source policière à l'Agence France-Presse. Il aurait porté "un coup de coude au thorax" d'un policier, a précisé une source judiciaire. En garde à vue depuis 5 h 50, Serge Aurier se trouvait encore lundi vers midi en garde à vue au commissariat du 8e arrondissement de Paris, pour "violences volontaires sur personne dépositaire de l'autorité publique". Le club parisien a confirmé que le joueur était en garde à vue, mais n'a pas souhaité commenter à ce stade.

Transféré d'office cet été ?

L'affaire tombe mal pour le joueur qui avait été prié de se tenir à carreau après son dérapage de février dernier ainsi qu'une première alerte en 2015. Il avait déjà enflammé la Toile pour un dérapage sur les réseaux sociaux. Après la qualification du PSG face à Chelsea en Ligue des champions, le joueur avait insulté l'arbitre de la rencontre dans une vidéo postée sur Facebook. À chaque fois, Aurier avait promis de ne plus recommencer : un engagement qu'il a visiblement oublié la nuit dernière.
Le sort du défenseur international ivoirien est indécis dans le club de la capitale. Plutôt bon en championnat, Aurier a été - comme ses autres coéquipiers - transparent en quart de finale de la Ligue des champions face à Manchester City. Très attachés à l'image du club, les propriétaires qatariens du Paris-Saint-Germain souhaiteraient se débarrasser du jeune homme au profit d'un joueur plus sage et moins encombrant. Soutenu jusqu'ici envers et contre tout par l'entraîneur Laurent Blanc, Serge Aurier pourrait bien être placé d'office sur la liste des joueurs transférables. Réponse dans quelques semaines...
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Il n’est pas normal de recruter de tels trublions (étranger ivoirien semble-t-il en plus, on en a déjà assez de français du même style dans notre football ?!)         
Exemple : d’incartades ou insultes diverses de ce personnage : Lors d'une courte vidéo tournée à la fin du huitième de finale retour contre Chelsea le 11 mars 2015, Serge Aurier insulte l'arbitre de la !

Lors d'une diffusion en direct sur Périscope, dans la soirée du 13 février 2016, Serge Aurier insulte des membres de son équipe, usant d'injures à caractère homophobe et traitant notamment son entraîneur Laurent Blanc de « fiotte » et ses coéquipiers Salvatore Sirigu et Angel Di Maria respectivement de « guez » (nul) et de « guignol ».


Des cas comme cela on ne les compte plus et sans intérêts !
Jdeclef 30/05/2016 13h36

GASQUET a mieux joué que NISHIKORI c’est tout, et il pouvait le faire, ce n’était pas mission impossible !

Richard Gasquet après sa victoire contre Kei Nishikori à Roland-Garros le 29 mai 2016
Sport

Roland-Garros: Si Richard Gasquet a sorti Nishikori, c'est en partie grâce à la pluie


TENNIS Le Français s'est qualifié pour les quarts de finale pour la première fois de sa carrière dimanche...
A Roland-Garros,
Oubliez tout ce qu’on a dit sur l’urgence de construire un toit sur le Central de Roland-Garros. Lancez une pétition pour que la Fédération française de tennis renonce à ce projet. Ce qui justifie notre retournement de veste ? Avoir vu sous Richard Gasquet renaître grâce à la pause pluie survenue dans un premier set mal embarqué  pour se payer Kei Nishikori (6-4, 6-2, 4-6, 6-2) et s’offrir son premier quart de finale Porte d’Auteil.
Ballotté par le Japonais, le Français semblait tout faire pour nous convaincre de l’existence de cette malédiction des huitièmes, cap qu’il n’avait jamais réussi à franchir lors des quatre précédentes tentatives à Paris. « Je jouais lentement, j’étais loin de ma ligne, ça n’allait pas, résume Richard Gasquet. Mon entraîneur (Sergi Bruguera) a profité de l’interruption pour hausser le ton, m’a dit que je jouais mal et m’a demandé de changer de stratégie. »
« Il ne faisait rien, lance le technicien espagnol, double vainqueur de Roland-Garros. J’ai senti qu’il était inquiet, donc on a parlé et je lui ai dit d’oser davantage, d’être plus offensif. Et là, il a recommencé fort d’entrée. » S’en suit un débreak du tricolore, puis une démonstration de revers et d’amortis uniquement interrompue par une troisième manche plus équilibrée et remportée par le sixième joueur mondial.
« Cette pause a été un moment important de cette partie, décrit Gasquet. Grâce au gain du premier set, j’ai repris confiance et j’ai joué libéré ensuite. » Tout écossais soit Andy Murray, on se satisfait des averses sur la capitale annoncées par Météo-France pour le quart de finale mardi.
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La météo n'a rien à voir à l'affaire les deux joueurs ont bénéficié de la même interruption en début de match !

Si Gasquet s'est fait « remonter les bretelles » par son entraineur tant mieux, car il a mieux joué, parce qu’il en était capable et avait besoin « d’un coup de pied au cul » d’ailleurs d’autres joueurs français en auraient besoin aussi ceci en passant, et devraient arrêter de s’écouter avec leurs états d’âmes en se regardant le nombril !
Il faut que leurs entraineurs les boostent en n’hésitant pas à leurs dires quand ils sont mauvais !

Espérons que cela l’aura motivé pour aller plus loin !

Une élection partielle qui montre bien par cette abstention le ras bol des français pour la politique en général dans leur pays !

Strasbourg, le 29 mai 2016. - Le socialiste Eric Elkouby a battu Jean-Emmanuel Robert (LR) lors de l'élection législative partielle dans la 1re circonscription du Bas-Rhin à Strasbourg. - F. Hernandez / 20 Minutes

Strasbourg

Législative partielle à Strasbourg: Le socialiste Eric Elkouby élu député avec près de 80% d'abstention


POLITIQUE Le candidat PS Eric Elkouby a battu Jean-Emmanuel Robert (LR) lors de l’élection législative partielle à Strasbourg. Seuls 13.000 des 64.000 votants se sont exprimés...
 
 Forever Jung. » La 1re circonscription du Bas-Rhin à Strasbourg − du centre-ville à Hautepierre via le Conseil des Quinze, l’Esplanade ou Koenigshoffen − reste socialiste après l’élection d’Eric Elkouby, dimanche. Il prend la suite de son mentor Armand Jung, dont il a été l’attaché parlementaire et le suppléant. Député depuis 1997, Armand Jung a démissionné de sa fonction en février 2016 pour des raisons de santé.

Un mandat à rendre

Le socialiste a battu Jean-Emmanuel Robert (Les Républicains) avec 53,77 % des voix contre 46,23 % (909 votes d’écart) et une abstention de 79,68 %. Vu le contexte − élection législative, cotes de popularité au plus bas du Président et du gouvernement, absence de soutien de EELV −, « c’est une belle performance, juge le maire Roland Ries. Celle d’une personnalité très implantée dans son territoire. Strasbourg résiste malgré tous les vents contraires. »
Président de l’Eurométropole, Robert Herrmann a ajouté : « C’est la victoire d’un travailleur infatigable sur son terrain. Il a mouillé la chemise. » La ville conserve deux députés socialistes avec le nouvel élu et Philippe Bies.
Eric Elkouby va devoir choisir entre conseiller municipal et conseiller départemental a fin d’éviter le cumul des mandats. Installé à l’Assemblée nationale, mardi, il siégera un peu plus d’une année. Le 1er tour des prochaines législatives est prévu le 11 juin 2017.
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A 1 an de 2017, cela représente bien, par cette abstention importante le peu d’intérêt des français pour la politique et surtout leurs politiciens élus médiocres auquel ils ne croient plus !

De toute façon dans 1 an au mieux on aura changé de gouvernement, de députés et (peut-être) de président, si les français votent comme d’habitude (pour les mêmes de toute façon, mais si c’est  de l’autre bord) pour se donner l’impression du changement !
À moins d’un miracle hypothétique on retournera dans la même galère, car renverser la table pour faire table rase de cette V eme république et ses institutions ringardes obsolètes et nos dirigeants de tous bords qui n’ont rien vu et rien fait depuis des décennies, malgré le changement mondial qui s’opérait autour de nous, et  les français trop timorés et conservateurs qui ne font rien (le Général de Gaulle disait que « nous étions des veaux » eh bien oui, hélas, on n’a pas changé depuis !)

Le changement ce n’est pas pour maintenant, car les français n’en bavent pas assez pour enfin comprendre !

dimanche 29 mai 2016

Zéro pour ces sondages "yoyo" qui ne veulent rien dire :

Valls en chute libre, Sarkozy monte en flèche !


Selon un sondage BVA, l'exécutif continue de battre des records d'impopularité. À droite, Juppé s'essouffle tandis que l'ancien président gagne 10 points.

 
Les dix jours de remue-ménage provoqué par la loi El Khomri font du dégât dans la majorité comme dans l'opposition. Selon un sondage BVA-Orange-i>Télé, la cote du président reste désespérément basse. Elle se stabilise à son plus bas niveau. À la question, « quelle opinion avez-vous de François Hollande en tant que président de la République, seuls 19 % de sondés affirment en avoir une bonne opinion. Si la cote de popularité du chef de l'État résiste auprès des sympathisants PS (57 % ; + 1) elle recule chez les sympathisants de la gauche non socialiste (16 % ; - 6).
Manuel Valls quant à lui chute lourdement. Seuls 24 % des Français ont une bonne opinion de lui comme Premier ministre, soit 6 points de moins qu'en avril et 15 points de moins qu'en janvier. C'est son plus mauvais score depuis son arrivée à Matignon. Comme le locataire de l'Élysée, il perd surtout des points auprès des sympathisants de la gauche non socialiste (8 % ; - 13). Il reste majoritaire chez les sympathisants PS (59 %), mais perd 3 points depuis avril et 5 points depuis mars. Ces mauvais chiffres ne sont pas près de s'inverser, car la politique gouvernementale n'a jamais paru aussi peu juste (17 % ; - 4) et efficace (9 % ; - 1) auprès des Français.
Les sympathisants socialistes continuent de plébisciter les ministres Bernard Cazeneuve (65%), Najat Vallaud Belkacem (60%) et Jean-Yves le Drian (58%) tandis que ceux de la gauche non socialiste portent leurs suffrages sur Jean-Luc Mélenchon (62%), Christiane Taubira (60%) et Martine Aubry (55%)

Sarkozy regagne du terrain

À droite, les lignes bougent fortement. Nicolas Sarkozy réalise les plus importantes progressions en augmentant sa cote de 8 points auprès des sympathisants de la droite et du centre (44 %), et même de 10 points chez les sympathisants des Républicains (63 %). Il talonne désormais Alain Juppé qui recule de 2 et 7 points sur ces deux échantillons où il obtient 69 % d'opinion favorable. Toujours en ne considérant que l'électorat de la droite et du centre, Alain Juppé devance Emmanuel Macron (62 % ; - 5), Bruno Le Maire (57 % ; - 7) et François Fillon qui progresse de deux points, à 52 %, mais seulement de 1 point chez les sympathisants Républicains, à 58 %. À six mois de la primaire organisée par Les Républicains (20 et 27 novembre) voilà une enquête qui rebat les cartes.
Jean-Luc Mélenchon leader de la gauche de la gauche tire son épingle du jeu et gagne 3 points à 23 %, profitant sans doute du climat social lourd.
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Hier encore on nous disait pour N.SARKOZY que 8 français sur 10 ne voulaient pas de lui comme candidat à sa réélection ?!

Tout cela n'est que de la fumisterie médiatique qui ne représente que la versatilité des français bien connue !

Laissons les français voter ce sera mieux, plutôt que des hypothèses de boule de cristal ou de cartomanciennes !
Mais gageons une seule chose qui se dessine, c'est l'abstention grandissante à cause de ces médias plus ou moins orientés par ses sondages bidons, car beaucoup de nos concitoyens se résignent et ne croient plus à cette politique de tous bords avec ses politiciens médiocres !

Quelles conséquences déplorables que ces sondages pernicieux en période pré-électorale 1 an avant cette élection qui devraient être interdit !

On ne s'étonnera pas si l'on retrouve le même scenario déplorable d'avril 2002 en 2017!
Jdeclef 29/05/2016 12h05