mardi 24 mai 2016

Si c'est cela être président de la république, il doit confondre et se prendre pour un monarque de droit divin ?!

François Hollande se considère "aujourd'hui dans l'histoire"


VIDÉO. Invité de France Culture pour parler de sa relation avec l'histoire, le président de la République a délivré des messages très politiques.

il ne devait pas parler politique, mais d'histoire. Mais comme l'histoire est politique, difficile de faire autrement. S'il était invité à réagir au blocage des raffineries dénonçant une stratégie d'une « minorité », François Hollande a profité de parler de sa relation avec l'histoire sur France Culture pour revenir sur son action à la tête de l'État.
« Nous constatons, j'ai constaté au cours de ces quatre années, que la tragédie venait s'installer dans le récit. (...) Je m'y étais préparé, je savais qu'à tout moment le pire pouvait surgir, et il a surgi. (...) Aujourd'hui, je suis dans l'histoire », a affirmé François Hollande, invité de l'émission La Fabrique de l'histoire, soignant son image de président de la République. Rappelant l'action engagée par la France en Syrie, en Irak, au Mali, en Afrique de l'Ouest, les actes de terrorisme perpétrés en France l'année dernière, François Hollande a rappelé que le « tragique », c'est aussi « la guerre qui a ressurgi aux portes de l'Europe », avec le conflit ukrainien.

L'inattendu, l'imprévu

Pour le chef de l'État, si « l'histoire ne se répète jamais », il y a des « leçons de l'histoire ». « Quelles sont les leçons de l'histoire ? C'est qu'il y a justement des lois que l'on peut tirer, par exemple le fait qu'il y a des déterminismes sociaux, économiques qui finissent par se trouver dans le surgissement d'un certain nombre d'événements. Quand il y a par exemple une crise climatique – ça n'est pas d'aujourd'hui la crise climatique. Il y a eu dans l'histoire des crises climatiques, elles ont toujours engendré des conflits, des guerres ou même des révolutions », a-t-il expliqué.
Mais il y aussi « l'inattendu, l'imprévu », et « ce qui fait la responsabilité du chef de l'État dans un grand pays comme la France c'est de pouvoir être prêts à saisir l'inattendu (...) une catastrophe, un acte terroriste, un déclenchement d'un conflit ». « Moi, je suis né en 1954, j'ai connu la guerre froide, j'ai connu l'affrontement des blocs. Aujourd'hui, il ne s'agit plus de cela », a-t-il estimé.

« Un homme politique décrié peut devenir un héros »

« J'ai connu les mouvements altermondialistes – à l'époque tiers-mondistes – qui venaient faire en sorte qu'il y avait la recherche d'un autre système. Aujourd'hui, nous sommes en face de conflits ou de guerres où c'est la question de l'islam, la question de l'affrontement chiites/sunnites, c'est la question du Moyen-Orient dans une dimension qui ne se réduit pas simplement au conflit israélo-palestinien (...) et donc ça exige de faire en sorte que, par rapport à ces données nouvelles, à ces surgissements de conflits, on soit capable d'apporter des solutions nouvelles », a développé François Hollande.
Dans les dernières minutes de l'entretien, le chef de l'État a glissé, l'air de rien, qu'« un homme politique décrié, repoussé, Churchill, Clemenceau, peut devenir un héros ». Faut-il voir dans ce rappel historique une espérance pour l'avenir personnel de François Hollande ?
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Ça tête va éclater, il faut croire que l'égo devient démesuré avec la fonction ?!

Heureusement, il ne risque pas de la perdre comme Louis XVI, s'il y avait une nouvelle révolution, la peine de mort n’existe plus !
D'ailleurs de profil sur une pièce de monnaie, si nous avions encore une monnaie nationale, il ressemblerait un peu à ce roi qui a payé pour ces prédécesseurs...

Pauvre F.HOLLANDE triste sire comique qui ne voit plus le ridicule dont il est l'objet !
Jdeclef 24/05/2016 14h46

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