vendredi 30 novembre 2018

Pauvre F.HOLLANDE qui se permet de critiquer E.MACRON alors qu'il a été le plus nul des présidents de notre V eme république !


Gilets jaunes : Macron raille le soutien de Hollande au mouvement

Emmanuel Macron n'a que peu goûté les déclarations de soutien de son prédécesseur envers les Gilets jaunes. Et il l'a fait savoir, relate « Le Parisien ».


L'animosité entre Emmanuel Macron et François Hollande n'est plus un secret. L'ancien président ne rate pas une occasion d'attaquer le quinquennat de son successeur et ancien ministre, qui rend coup pour coup. Il n'aura pas fallu longtemps pour que la fronde des Gilets jaunes relance les hostilités.
Depuis Buenos Aires, la capitale argentine, où se déroule le G20, Emmanuel Macron a recadré vendredi son ancien mentor, qui avait, la veille, apporté son soutien aux porteurs de la fameuse chasuble. « J'entends comme vous les voix qui s'élèvent. J'entends aussi souvent des voix qui parfois n'avaient pas même réussi à bouger les choses et qui sont sans doute plus à la racine de cette situation que nous vivons que le gouvernement qui n'est aux affaires que depuis 18 mois », a fulminé le chef de l'État en marge d'une réception donnée en l'honneur de la communauté française, comme le relate Le Parisien. Et le locataire de l'Élysée de déplorer : « Que voulez-vous, le cynisme fait partie de la vie politique. »

Hollande a « manifestement oublié son bilan »

Si Emmanuel Macron a pris soin de ne pas citer François Hollande, Christophe Castaner, lui, ne s'est pas gêné. Le ministre de l'Intérieur a appelé vendredi le socialiste, qui « a manifestement oublié son bilan », « à un peu de modestie ». « On ne peut pas aujourd'hui avoir été président sortant qui n'a pas pu se représenter il y a quinze mois et venir dire aux Gilets jaunes : Je suis tout de cœur avec vous. Vous savez le cynisme en politique, c'est peut-être la chose qui tue justement la parole politique », a-t-il tempêté sur Franceinfo.
Cette volée de bois vert intervient au lendemain d'une rencontre entre François Hollande et une poignée de Gilets jaunes. Dans de courtes vidéos mises en ligne par France Bleu, on entend l'ancien chef de l'État défendre son action, tout en estimant que « les décisions prises depuis 18 mois » ont « heurté » et « provoqué une étincelle qui a pris sur un terreau qui déjà était en difficulté ». Il a incité les Gilets jaunes à «  continuer à prendre la parole et faire que ça puisse déboucher, parce qu'il faut que ça débouche. Il faut que des organisations puissent prendre en compte les revendications ».
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Qui a jeté l'éponge sans combattre ou défendre son bilan médiocre, il n'a aucune honte et amour propre ce pleutre !

C'est extraordinaire l'égo de nos présidents de notre V eme république élus par des français qu'ils ont grugé, mais lui est au-dessus du lot !

Et attention ces ex ministres « hollandais » ne valent pas mieux que lui !

Alors s'il s'est fait ramasser vertement par E.MACRON, il l'avait bien cherché et s'était amplement mérité !

On peut être déçu par la politique jusqu'au boutisme rigide d'E.MACRON comme beaucoup de français, mais ne pas être assez stupide pour vouloir revoir ces anciens ministres ou dirigeants de cette ancienne classe politique sclérosée déjà rejetée par une majorité de nos concitoyens ?!

Car en plus, ils voudraient revenir, comptant sur certains pauvres gogos masochistes peut être ?!

C'est désespérant...

La France va mal depuis trente ans environ, mais c’est en partie à cause des français eux-mêmes qui votent mal pour des politiciens médiocres qui ne pensent qu’à eux !

Jdeclef 30/11/2018 14h26LP

Triste France de ces députés bobos bien-pensant qui ont bien d'autres lois à promouvoir et surtout plus utile !


L'Assemblée nationale vote la fin de la fessée

Les députés ont adopté dans la nuit de jeudi à vendredi une proposition de loi symbolique visant à proscrire « les violences éducatives ordinaires ».

Les fessées, bientôt un simple mauvais souvenir pour les enfants ? L'Assemblée nationale a en effet voté dans la nuit du jeudi au vendredi 30 novembre une proposition de loi à portée symbolique visant à interdire « les violences éducatives ordinaires », comme les fessées ou les gifles.
Le texte, porté par le groupe MoDem, a été adopté en première lecture par 51 voix contre 1 et 3 abstentions. Il vise à inscrire dans le Code civil, à l'article lu lors des mariages, selon une formule revue en séance pour être plus « concise », que « l'autorité parentale s'exerce sans violences physiques ou psychologiques ».

Les Républicains raillent un texte purement symbolique

Soutenu par le gouvernement, le texte a eu l'appui, outre du MoDem, des élus LREM, et des trois groupes de gauche. L'UDI-Agir, d'abord réticente, s'y est finalement ralliée, tandis que le groupe Libertés et Territoires s'est partagé entre votes pour et abstention.
LR s'est abstenu, Raphaël Schellenberger raillant un texte qui n'est « que symbole et communication ». L'élue d'extrême droite Emmanuelle Ménard a été seule à voter contre, dénonçant notamment une proposition venant « dépouiller les parents de leurs prérogatives »
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Il faudrait déjà lutter et faire des lois exemplaires contre les violences inqualifiables aux femmes (et parallèlement pour les enfants vraiment maltraités !)

Tout cela pour avoir une bonne conscience de donneurs de leçons hypocrites c'est désespérant ces politiciens et mêmes nos dirigeants qui se regardent le nombril, on marche vraiment sur la tête dans notre pays ou on n’est déjà pas capable de faire diminuer sensiblement les violences et actes criminels divers par une justice laxiste et un code pénal inadapté !

Et on parle de « violences éducatives ordinaires » belle appellation fumeuse, alors on va faire une liste de celles-ci, c'est effarant le nombre de nos élus inutiles qui essuient leurs postérieurs sur les bancs de l'assemblée nationale, alors qu'il y a tant de choses à faire plus urgentes ?!

Ils ont voté çà dans la nuit, ils auraient mieux fait d'aller dormir !

Et puis il n'y a pas besoin de loi pour cela, certains enfants sont bien assez mal élevés comme cela, c’est plutôt certains parents qu’il faudrait éduquer !

Jdeclef 30/11/2018 09h44LP

jeudi 29 novembre 2018

Les marseillais ont voté pour un natif de Marseille depuis 1995 J.C.GAUDIN !


EXCLUSIF. L'étrange mea culpa de Jean-Claude Gaudin

Lors d'une visite-surprise aux agents du Samu social, le maire de Marseille a tenté d'expliquer son manque de réactivité après la tragédie de la rue d'Aubagne.


« Bonjour, je viens vous rendre visite. Et si on allait s'asseoir pour discuter un peu ? » Le personnel du Samu social a eu la surprise, ce mardi vers 16 heures, de recevoir la visite du maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin. Mais l'accueil n'a pas été des plus chaleureux, à en croire les témoins contactés par Le Point. Les fonctionnaires lui tiennent en effet rigueur de son absence de soutien dans l'enquête menée par le Parquet national financier sur d'éventuels détournements de fonds publics - des heures de travail déclarées mais non effectuées - au sein de ce service municipal. Une enquête pour laquelle l'édile a lui-même été entendu début juillet.
Accompagné de Xavier Mery, son adjoint délégué à la Lutte contre l'exclusion et pour la Solidarité – service dont dépend le Samu social –, le maire de Marseille est allé à la rencontre de ceux qui sont mobilisés, sans interruption depuis trois semaines, pour venir en aide aux familles relogées après l'effondrement de trois immeubles dans la rue d'Aubagne, le 5 novembre dernier. Le Samu social municipal s'est vu confier la supervision des collectes de dons sur l'ensemble du territoire communal, ainsi que du tri et de la redistribution de ces dons en direction des 1 350 personnes relogées dans des hôtels.
Le maire de Marseille a d'abord fait un pas en direction de ces fonctionnaires municipaux : « Nous avons eu quelques points de désaccords, mais vous nous avez prouvé que vous étiez toujours fidèles à vos engagements. Je ne souhaite plus que les liens entre les agents du Samu social [et la mairie] continuent d'être brouillés, il faut tourner la page pour continuer à servir les administrés. » Puis Jean-Claude Gaudin a fait le bilan des deux semaines d'action des services municipaux en faveur des sinistrés : 12 tonnes de vêtements et de produits d'hygiène collectés ; 450 fonctionnaires de la ville mobilisés au sein de la cellule de crise, une cinquantaine d'ingénieurs qui sillonnent la cité phocéenne pour détecter les immeubles à risques. Mais aussi l'obtention de diverses aides en faveur des familles évacuées de plus de 350 logements.
Désormais, la grande crainte du maire est de voir s'effondrer d'autres immeubles, en cours d'expertise, du côté impair de la rue d'Aubagne, a-t-il dit. En effet, tous présentent des signes de fragilités et sont potentiellement dangereux.

«  Je suis hanté par la mort de ces Marseillais »

Après ce bilan, Jean-Claude Gaudin s'est livré à une étonnante confession devant ses employés. Il s'est lamenté d'« être abandonné de tous, même [d]es plus proches, certains pour espérer pouvoir se faire réélire, d'autres pour ne pas se voir fustiger pour leur amitié avec [lui] ». « Dans ma propre famille politique, on me tourne le dos alors que j'ai toujours été un homme fidèle en amitié. » Critiqué pour son inaction face à l'habitat insalubre, celui qui dirige la ville de Marseille depuis 23 ans a poursuivi : « En tant que maire, il est aisé de se retrouver en position de coupable quand un événement inédit par son ampleur et son nombre de victimes frappe sa ville de plein fouet. Ce qui m'a le plus peiné, en plus du traumatisme causé par la nouvelle, c'était de voir qu'à peine le premier corps enlevé des gravats, certains dénonçaient déjà dans la presse mon apparente froideur, sans s'imaginer que je pouvais être atteint intérieurement. »
Également blâmé pour son manque de réactivité après la tragédie de la rue d'Aubagne, Jean-Claude Gaudin a justifié «  ce moment incapacitant » qu'il venait de vivre devant ses agents municipaux : «  Depuis le début du drame, je suis hanté par la mort de ces Marseillais, et je le suis toujours au moment où je vous parle. Comme tout le monde, j'ai été tétanisé par cette catastrophe, et il m'a fallu du temps pour réaliser que la tragédie était réelle. Lorsqu'une personne reçoit une gifle, il passe quelques secondes avant qu'elle ne réalise ce qui lui arrive. Ce moment incapacitant, lié au choc, a peut-être fait croire que j'étais insensible au sort funeste des victimes, mais cela n'a jamais été le cas. [...] Mais ces opposants politiques savent-ils seulement ce que c'est que d'être aux responsabilités au moment d'un tel drame ? Je ne souhaite pas à mon pire opposant ni à quiconque d'ailleurs de se retrouver dans une telle situation », a lancé le maire, ému.

«  The show must go on »

Avant de se montrer plus combatif, en réponse à ceux qui l'ont traité « d'assassin », et aux autres qui ont réclamé sa démission. « Oui, j'ai peut-être donné une image de ma personne un peu distante par rapport au drame, mais j'ai cherché à prendre de la hauteur. Car cette tragédie ne concernait pas uniquement huit de nos concitoyens, mais des centaines de riverains exposés à des risques d'effondrement à qui il fallait offrir une solution d'hébergement dans l'urgence du moment. Oui, j'ai été profondément blessé en entendant scander Gaudin assassin !, alors que j'aime ma ville et ses habitants. Lorsque j'ai été élu, j'ai mis dix ans pour éradiquer les bidonvilles de la ville, et je m'étais fixé l'objectif d'éradiquer l'habitat indigne. Si j'ai failli, ce n'est pas par un manque de volonté à résoudre ce problème, mais dans mon incapacité à convaincre tous les partenaires de la rénovation urbaine de mener une véritable politique commune de lutte contre l'habitat dégradé. »
Interrogé par un agent municipal sur une potentielle démission, Jean-Claude Gaudin retrouve toute sa vigueur : « Ma démission ? Mon départ réjouirait sûrement les prétendants à la mairie de Marseille, mais il ne ferait qu'aggraver une situation déjà chaotique... Franchement, pensez-vous que les Marseillais m'ont élu pour que je démissionne de mes fonctions au moment où ils ont le plus besoin de leur maire ? Comment aurais-je le courage de dire aux familles sinistrées que le maire qu'ils ont élu n'est pas apte à tenir sa promesse de prendre en compte leurs difficultés ? Depuis ma première élection, je ne cesse de dire que j'aime les Marseillais, et ils attendent de moi des preuves d'amour dans le meilleur, mais surtout dans le pire. Croyez-moi, ce n'est pas quand tout va bien que l'on sait si vous êtes un bon maire mais c'est face aux adversités de la vie... »
Puis sans crier gare, le maire de Marseille lance à ses agents : « Voulez-vous prendre des photos avec moi ? Je serais fier de pouvoir poser avec vous. » Commence alors un festival de selfies, sur un air de « The show must go on » des plus déplacés.
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Donc cela ne date pas d’hier, il est de chez eux, et ils l’ont réélu plusieurs fois !

Mais dans cette ville gangrenée par le clientélisme, les trafics drogues et divers illicites, l’insécurité quotidienne, la délinquance, les règlements compte du banditisme et magouilles diverses, ils n’ont aucune excuse, ou alors ils y trouvaient leurs comptes pour certains !

Ainsi que leur maire qui a été président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1986 à 1998, maire de Marseille depuis 1995 et président de la métropole d'Aix-Marseille-Provence entre 2015 et 2018 sénateur poussa repu de près de 80 ans qui veut en plus faire son méa culpa pour son incurie, après avoir si bien profité n’a pas d’amour propre en vieil homme politique de cette ancienne classe sclérosée de politiciens qui devraient être à la retraite depuis longtemps !

Hélas, les marseillais ne sont pas à le plaindre, car ils l’ont élu et réélu, car le soleil du sud est et le farniente ne suffit pas pour bien vivre pour les plus démunis de cette ville que la municipalité a laissé de côté, c’est cela la réalité !

Sans compter l’état central parisien trop loin qui a laissé faire cette gabegie depuis trente ans !

Il devrait être démit de ses fonctions et la préfecture devrait prendre la tutelle de la ville jusqu’à la prochaine élection !

Jdeclef 29/11/2018 12h51LP

Ce personnage pour faire de l'argent roi vendrait n'importe quoi et par ce choix inconcevable augmente le danger de guerres dans le monde !


Comment Trump vend l'atome à l'Arabie saoudite

L'administration américaine négocie depuis 2017 avec Riyad la fourniture de réacteurs nucléaires, qui pourraient aboutir à la fabrication de la bombe atomique.


Pour justifier ses hésitations à incriminer le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS), soupçonné par la CIA d'avoir commandité l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, Donald Trump n'hésite pas à mentionner les 110 milliards de contrats d'armes que les États-Unis ont conclus avec l'Arabie saoudite en 2017. Selon le président américain, ces signatures représenteraient la création de près d'un million d'emplois. Pourtant, les experts s'accordent à dire que, pour l'heure, seuls 14,5 milliards de dollars de contrats auraient été effectivement signés entre Riyad et Washington, ce qui n'a abouti, pour l'instant, qu'à 500 nouveaux emplois américains.
Cependant, il existe un tout autre aspect de la relation stratégique américano-saoudienne que le pensionnaire de la Maison-Blanche s'est bien gardé d'évoquer au cours des dernières semaines. D'après le New York Times , l'administration Trump serait en négociation avec l'Arabie saoudite pour lui vendre des réacteurs nucléaires. Conduites depuis 2017 par le département américain de l'Énergie, ainsi que le département d'État, les discussions porteraient sur un montant avoisinant 80 milliards de dollars (65 milliards d'euros).

16 réacteurs nucléaires

« Un réacteur nucléaire produit du combustible qui est ensuite introduit dans des centrifugeuses afin d'être enrichi à 3 ou 3,5 % dans un but civil », explique au Point François Géré, président de l'Institut français d'analyse stratégique (Ifas) et expert de la question du nucléaire. « Pour ce faire, il est nécessaire de développer toute une industrie nucléaire civile, ou alors d'acheter clé en main l'ensemble du complexe – réacteur nucléaire et usine d'enrichissement d'uranium – qu'il ne reste plus qu'à faire tourner. Cette dernière solution est la plus rapide, commode et onéreuse, et il semble que c'est celle-ci qui ait été choisie par l'Arabie saoudite. »
Le 5 novembre dernier, le prince héritier saoudien a posé en grande pompe, à la Cité des sciences de Riyad, la première pierre du premier réacteur de recherche nucléaire du royaume. Selon l'agence de presse officielle SPA, seize réacteurs sont prévus au cours des deux prochaines décennies. Afin de prévenir la fin annoncée des hydrocarbures, et face aux besoins grandissants de sa population de 30 millions d'habitants – dont 20 millions de Saoudiens et 10 millions d'expatriés –, le royaume al-Saoud entend diversifier ses sources d'énergie, qui reposent pour l'heure principalement sur le pétrole et le gaz naturel.

Négociations secrètes

Cette « politique nationale sur le programme de l'énergie atomique » a été officiellement approuvée par le gouvernement saoudien en mars dernier. Riyad projette de commencer la construction de ses premiers réacteurs dès l'année prochaine, pour une mise en service en 2027. À terme, la pétromonarchie souhaiterait produire 17,6 gigawatts d'électricité d'ici à 2040, soit 10 % de la production nationale, ce qui en fait un des programmes nucléaires les plus ambitieux au monde.
D'après le New York Times, la construction des deux premiers réacteurs serait confiée à la firme américaine Westinghouse, qui opérerait sur place par le biais d'entreprises sud-coréennes. Secrètes, les négociations sont conduites par le secrétaire d'État à l'Énergie Rick Perry, qui s'est rendu à Riyad fin 2017, affirme le quotidien américain. En février dernier, il était à Londres pour discuter d'un accord de non-prolifération nucléaire de type 1-2-3, sur le modèle de ceux qui ont déjà été conclus avec la Corée du Sud, l'Inde et les Émirats arabes unis. Il prévoit la fourniture à l'Arabie saoudite de combustible sur une durée de dix à quinze ans. Mais problème : les Saoudiens ont d'ores et déjà refusé.

Enrichissement d'uranium

Le ministre saoudien de l'Énergie, Khalid al-Falih, a indiqué que le royaume al-Saoud souhaitait enrichir lui-même l'uranium, qu'il possède dans son sous-sol, alors qu'il lui coûterait moins cher d'importer le combustible depuis l'extérieur. « Il ne serait pas naturel pour nous de faire venir de l'uranium enrichi depuis un pays étranger », a-t-il déclaré en mars à l'agence de presse Reuters. À faible niveau d'enrichissement (3,5 %), ce procédé permet de produire le combustible nécessaire pour fabriquer de l'électricité ou pour la production d'isotopes médicaux, qui servent à diagnostiquer certains cancers. Mais, s'il est enrichi à 90 %, l'uranium peut servir à fabriquer la bombe atomique, ce qui est formellement interdit en vertu du traité de non-prolifération nucléaire (TNP), que l'Arabie saoudite a signé – mais pas ratifié.
C'est justement la découverte d'un programme d'enrichissement d'uranium secret en Iran, en 2002, qui a provoqué la crise du nucléaire iranien, la communauté internationale soupçonnant Téhéran de vouloir se doter de l'arme atomique sous le couvert d'un programme à but civil. Après quatre salves de sanctions onusiennes, une confrontation militaire avec la République islamique a été évitée grâce à la signature, en juillet 2015, d'un accord historique sur le nucléaire iranien , qui a considérablement réduit les capacités d'enrichissement de l'Iran, en échange d'une levée des sanctions contre Téhéran. Depuis, à treize reprises, l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a annoncé que l'Iran respectait bien ses engagements.

Comme en Iran

Pourtant, cet accord est plus que jamais menacé en raison du retrait de Donald Trump en mai dernier. Le président américain juge le texte insuffisant (il ne traite pas du programme balistique iranien et des « activités déstabilisatrices » de l'Iran au Moyen-Orient, estime-t-il) et il a prononcé contre Téhéran les sanctions « les plus dures de l'histoire » pour le contraindre à accepter ses conditions.
Mais voilà que des doutes apparaissent aujourd'hui sur la nature purement civile, comme les Saoudiens l'affirment, du futur programme nucléaire de l'Arabie saoudite, pays autrement plus proche des États-Unis, que Donald Trump a qualifié d'« allié inébranlable », en dépit de l'affaire Khashoggi qui a terni son image. D'autant que, selon le New York Times, qui cite des responsables américains , Riyad aurait fait part à Washington de son refus de signer un accord permettant à des agents de l'AIEA de venir inspecter le futur programme nucléaire saoudien, comme le requiert le TNP.

« Si l'Iran développait une bombe nucléaire, nous suivrions sans attendre »

Les déclarations officielles saoudiennes ne font qu'alimenter la suspicion. En mars dernier, le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a assuré, dans une interview à la chaîne américaine CBS, que « l'Arabie saoudite ne veut pas acquérir la bombe nucléaire ». Non sans ajouter : « Sans aucun doute, si l'Iran développait une bombe nucléaire, nous suivrions sans attendre. » Un avertissement depuis répété par le ministre saoudien de l'Énergie, ainsi que par son homologue des Affaires étrangères, Adel al-Joubeir. Or l'Arabie saoudite est, avec les États-Unis, Israël et les Émirats arabes unis, l'un des rares pays à dénoncer l'accord sur le nucléaire iranien, dont ils estiment que la durée limitée dans le temps – dix ans – n'écarte pas, à terme, l'éventualité d'une bombe atomique iranienne. Un risque qui pourrait être décuplé si la République islamique venait à quitter à son tour l'accord, et reprenait la totalité de ses activités nucléaires.
Surtout que le pays des Deux Saintes Mosquées n'est pas amateur en matière de nucléaire militaire. C'est en effet l'Arabie saoudite qui a financé l'obtention par le Pakistan de la bombe atomique dans les années 1980. C'est encore Riyad qui, d'après le New York Times, a acheté en 1988 à la Chine des missiles de moyenne portée conçus pour porter des têtes nucléaires, chimiques ou biologiques.

Vers une course à la bombe au Moyen-Orient  ?

« Si les raisons pour lesquelles l'Arabie saoudite souhaite se doter d'une industrie nucléaire posent question, nous sommes encore loin d'une bombe saoudienne », souligne le spécialiste du nucléaire François Géré. « Car l'Arabie saoudite ne dispose aujourd'hui ni des infrastructures ni des compétences humaines (ingénieurs, chimistes, techniciens, ouvriers, NDLR) indispensables à la fabrication de centrifugeuses suffisamment solides pour tourner rapidement et enrichir à un degré supérieur, ce qui ne se trouve pas du jour au lendemain. »
Néanmoins, à l'heure où Donald Trump fait preuve de certaines largesses vis-à-vis de son allié moyen-oriental, englué dans l'affaire Khashoggi, au nom des intérêts commerciaux des États-Unis, nombreux sont ceux qui se demandent si le président américain ne serait pas en train d'ouvrir la voie à une nucléarisation prochaine de l'Arabie saoudite, prélude à une course à la bombe généralisée au Moyen-Orient.
Dans une lettre envoyée fin octobre au pensionnaire de la Maison-Blanche, rapportée par Reuters, cinq influents sénateurs américains, démocrates et républicains, ont exhorté Donald Trump à suspendre les négociations nucléaires en cours avec Riyad, menaçant d'utiliser leur veto dans le cas contraire (ils auraient besoin de la majorité dans les deux chambres). « Les révélations en cours au sujet du meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, ainsi que certaines actions saoudiennes relatives au Yémen et au Liban, ont suscité de sérieuses inquiétudes quant à la transparence, la responsabilité et le jugement des dirigeants actuels en Arabie saoudite », écrivent les élus.
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Sauf que là, il s'agit de l'atome et donc de la bombe atomique à terme ?!

Et il vend çà, au principal ennemi de l'IRAN qui lui est en route vers la possession de la bombe (dont il a une peur bleue semble-t-il !)

Que veut-il à terme qu'ils s’entretient et entraînent le reste du monde dans une catastrophe nucléaire ?

Ce n’était pas la peine qu'il fasse ce cinéma avec la Corée du nord ?!

Et il fournit parallèlement des masses d'armes classiques à ce pays en plus !

Car ce pays est royaume islamique rigide dirigée par une caste de monarque absolu avec cette religion ou se trouve d'ailleurs les lieux saints de l'Islam !

En fait ce président des USA c'est peut-être lui le plus dangereux, car il est paranoïaque et déjanté semble-t-il ?!

Car pour résumer D.TRUMP est contre tout, sauf le profit à tout va pour les USA !

Ce n'est pas un dictateur, mais il est plus fantasque et incontrôlé que certains, car il se croit le plus fort, il faut que l'Europe et les occidentaux encore raisonnables se méfie vraiment de lui !

Il faudrait que les américains apprennent enfin à mieux voter pour élire leurs présidents et arrêtent de jeter de l'huile sur le feu, car le monde est déjà assez tendu comme cela en préparant la guerre en sous-main pour soi-disant se défendre !

Jdeclef 29/11/2018 09h31

mercredi 28 novembre 2018

J'apprécie Mme COIGNARD, mais comparer E.MACRON à DESCARTES là, c’est envoyer le bouchon un peu loin !


Coignard - Emmanuel Macron : le discours de la méthode

Le président ne change pas d'avis, mais de méthode. Et se paie au passage le luxe d'étriller François Hollande et Ségolène Royal, qui ne l'ont pas volé.


Comment être à la hauteur des événements et de ses responsabilités ? demande Emmanuel Macron lors de son allocution à l'Élysée destinée, ce mardi, à calmer les ardeurs et à soigner les aigreurs des Gilets jaunes. « En ne changeant pas d'avis […], c'est-à-dire en assumant ses convictions et ses actions. On ne peut pas être le lundi pour l'environnement et le mardi contre l'augmentation des prix du carburant. » Il n'y aura donc pas de moratoire sur les nouvelles hausses de la taxe carbone en janvier prochain.
Le président, à juste titre, ne goûte guère le petit jeu des « récupérateurs de colère », et il le fait savoir. « On ne peut pas avoir décidé la taxe carbone il y a quelques années et dénoncer aujourd'hui l'augmentation des prix du carburant, observe-t-il. Cette taxe, je le rappelle, a été votée en 2009, en 2014, en 2015, engageant beaucoup de responsables politiques de sensibilités diverses. » C'est la séquence spéciale à destination de François Hollande et de Ségolène Royal, qui n'ont pas de mots assez durs pour vilipender aujourd'hui ce qu'ils ont promu hier. Nicolas Sarkozy n'a pas jugé utile, quant à lui, de prendre le risque de la girouette.
Les Français en colère ? « Ils se disent que ce sont au fond toujours les mêmes qui font les efforts. Et ils ont raison. » Une autre « carte postale » envoyée à ses prédécesseurs, qui ont encouragé les familles modestes à s'installer loin des centres-villes et à rouler au diesel parce que c'était moins cher et qu'ils n'avaient pas le choix.

Concertation parasitée

Une réaffirmation de sa détermination, un coup de griffe à ses prédécesseurs malveillants. Le chef de l'État en a-t-il fini ? Non ! Il avait déjà esquissé sur TF1, le 14 novembre, un « mea culpa » sur son incapacité à réconcilier le peuple et les élites. Il reconnaît désormais s'être trompé sur la « méthode » : « Je retiens de ces derniers jours qu'il ne faut pas renoncer au cap quand il est juste, mais qu'il faut changer de méthode car les concitoyens ont considéré qu'on leur imposait ce cap d'en haut. Par des décisions et changements de règles ou par des taxes, sans leur apporter de solutions concrètes. » Et d'insister, quelques minutes plus tard : « On doit changer de méthode. J'ai confiance dans notre capacité à relever ce défi […]. L'ambition est là. S'il faut la revoir, je suis prêt à la revoir. Mais chacun doit être mis face à une solution réelle. »
Ce sera donc un « débat national qui puisse s'inscrire dans les territoires » et qui doit durer trois mois. Fort bien. Mais trois mois, voilà qui nous mène à la fin du mois de février, tandis qu'une nouvelle augmentation de la taxe carbone intervient dès le 1er janvier. La reprise du dialogue est une bonne nouvelle, mais le dialogue ponctué par la punition fiscale peut-il se dérouler dans la sérénité ?
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René Descartes, né le 31 mars 1596 à La Haye-en-Touraine (aujourd'hui Descartes) et mort le 11 février 1650 à Stockholm, est un mathématicien, physicien et philosophe français. Il est considéré comme l'un des fondateurs de la philosophie moderne.

Le discours de la méthode, c'est lui qui l'a fait, ce grand érudit français et surtout pas E.MACRON cet apprenti politicien, ex cadre de banque arrivé par opportunité qui a candidaté pour la présidence de la république !

Qui a enfoncé une porte ouverte et élu par défaut président de la république, suite à notre système électoral de cette V eme république obsolète à deux tours faits pour ces politiciens professionnels et par le fait qu'il a gagné au 2eme tour car opposé au FN (extrême droite) dont les français ne voulaient pas au pouvoir !

Et qui se comporte comme un monarque absolu de l'ancien régime, car il a trop de pouvoir par notre constitution et tant que l'on ne la changera pas, cela perdurera !

Jdeclef 28/11/2018 11h01LP

Ce n'est pas une surprise « le droit dans ses bottes » et le cap à maintenir on ne sait pas jusqu'où ?!


Philippe confirme la hausse de la taxe sur le carburant au 1er janvier

Invité de BFM TV, le Premier ministre a calqué ses annonces sur celles d'Emmanuel Macron : pas de changement de cap !


Le Premier ministre Édouard Philippe a confirmé mercredi la hausse de la taxe sur le carburant au 1er janvier avec un système destiné à en limiter l'impact, comme annoncé la veille par Emmanuel Macron pour répondre au mouvement des Gilets jaunes.
« Si, au cours de l'année, il y a un envol du prix de la matière première, alors on pourra revenir au niveau de la taxe fixé au 1er janvier », a expliqué le chef du gouvernement, sur RMC-BFM TV, précisant : « Si le prix monte à cause de phénomènes que nous ne maîtrisons pas, alors nous n'ajouterons pas de taxes supplémentaires. »

Prêt à recevoir les Gilets jaunes

Édouard Philippe s'est également dit prêt à recevoir une « délégation représentative » de Gilets jaunes, souhaitant également que le mouvement participe à la future concertation sur la transition écologique annoncée par Emmanuel Macron. « Dans ce qu'ils formulent, il y a beaucoup de choses très légitimes qui doivent être entendues », a-t-il estimé.
Enfin, il a affirmé qu'il n'y «  aurait pas de coup de pouce supplémentaire  » pour le salaire minimum le 1er janvier, mais seulement une «  revalorisation légale  ». «  Notre politique, c'est pas de faire des coups de pouce au smic, notre politique c'est de faire en sorte que le travail paye (...) Il y aura une revalorisation, la revalorisation légale (...) Il n'y aura pas de coup de pouce supplémentaire  », a déclaré le Premier ministre, rappelant que les salaires nets ont augmenté en octobre avec la baisse des cotisations salariales. L'État n'a plus accordé de coup de pouce au smic depuis juillet 2012, au lendemain de l'élection de François Hollande.
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Avec une inégalité confirmée entre les pauvres et basses classes moyennes pour les efforts demandés !

Quant aux gilets jaunes, cet épiphénomène, ils continueront jusqu’à épuisement ou pourrissement, mais qui ne supprimera pas la colère accumulée d’une majorité de français qui n'ont pas enfilé de gilet jaune !

E.MACRON a bien compris les français, mais pour autant c'est lui le chef qui décide et qui croit avoir raison avec son arrogance qu'il a essayé de dissimuler lors de son discours alambiqué habituel !

Après celui-ci il fallait qu'il jette du lest, mais bien sûr il aurait un peu perdu la face et aurait un peu écorné son égo (inhérent à d'autres présidents avant lui !)

Et son 1er ministre en bon collaborateur servile lui emboîte le pas en toute logique (il est presque plus rigide que lui, un beau couple de cet exécutif que l'on devrait plutôt appeler exécuteurs !)

D’ailleurs ces beaux messieurs ne sont même pas capables de supprimer le désordre et violences qui perdurent partout et aussi dans les zones sensibles dites de non droit depuis le début de ce quinquennat et même avant bien sûr avec leurs prédécesseurs en empêchant pas notre pays de glisser vers l’anarchie désolé de le dire !

Alors s’ils préfèrent cela, on arrive à s’en poser la question car cela ne va pas s’améliorer ?!

Les français voulaient du changement c’est raté, il faudra qu’ils recommencent dans les urnes sans oublier qu’E.MACRON le parvenu par défaut est là jusqu’en 2022 et indéboulonnable avec cette constitution pseudo monarchique qui n’en n’est pas une vraie, plutôt un ersatz de début de démocrature qui ne veut pas dire son nom !

D’ailleurs ce défaut de gouvernance rigide touche beaucoup de démocraties de pays civilisés modernes aisés, car le monde change, mais pas en faveur des peuples lambda qui sont grugés par leurs dirigeants, bien qu’élus démocratiquement, ce qui n’augure rien de bon !

Jdeclef 28/11/2018 10h11LP

mardi 27 novembre 2018

Cela suffit, que le président ce calme lui qui n'a rien connu des guerres car né en 1977 !


Gilets jaunes : Macron compare les débordements à des « scènes de guerre »

Le chef de l'État a vivement dénoncé lundi en conseil des ministres les dégradations commises ce week-end par des casseurs, notamment sur les Champs-Élysées.


E.MACRON n'a que peu goûté les échauffourées qui ont émaillé les manifestations des Gilets jaunes ce week-end. Le président de la République a dénoncé lundi en conseil des ministres les « scènes de guerre », notamment sur les Champs-Élysées, a déclaré lundi le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux. « Il ne faut pas sous-estimer l'impact sur les esprits, que ce soit en France ou bien à l'étranger, avec parfois des scènes de guerre que beaucoup de médias ont relayé à nouveau en France et à l'étranger », a déclaré le chef de l'État, a rapporté le porte-parole à l'issue du conseil des ministres. « Il est difficile d'expliquer que parfois certains élus ou relais d'opinion puissent avoir une quelconque complaisance à l'égard de ces casseurs, minoritaires je le rappelle, mais néanmoins présents », a-t-il ajouté.
La réponse de l'exécutif au mouvement doit être « globale », et « pas un renoncement » ni « non plus l'aveuglement », a également déclaré Benjamin Griveaux. « Notre réponse à nous c'est une réponse globale, une France de l'éducation, une France du mérite, une France du travail, ce n'est pas un renoncement, comme l'a souligné le président de la République. Ça, c'était la pratique d'avant. Mais notre réponse n'est pas non plus l'aveuglement », a-t-il indiqué.
 « Cette France attend des réponses à ses colères, cela passe par une nouvelle méthode – il en sera en partie question demain – mais pas par un changement de cap », ce qu'a rappelé Emmanuel Macron en introduction du conseil des ministres, a rapporté M. Griveaux. Cette réponse « passera par notre capacité à mettre tout le monde autour de la table », a-t-il ajouté, en évoquant la nécessité de « changer nos méthodes, notre pratique, notre manière de faire, notre manière de mettre en place nos politiques publiques ».

Être « à l'écoute du quotidien de nos concitoyens »

Il faut être plus « à l'écoute du quotidien de nos concitoyens », ce à quoi Emmanuel Macron « a enjoint la totalité des membres du gouvernement », et à travers eux « nos administrations », selon le porte-parole du gouvernement. Il s'agit de « remettre la responsabilité au bon endroit car c'est aussi l'irresponsabilité généralisée qui nourrit la colère du peuple », a-t-il dit.
Lancé il y a plus d'une semaine, le mouvement de protestation protéiforme contre la hausse des taxes sur les carburants et le manque de pouvoir d'achat se poursuit avec plusieurs blocages, notamment à Strasbourg, Colmar, ou des barrages filtrants à certains péages, comme à la frontière espagnole.
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Et aussi les mouvements sociaux divers comme ceux de 1968 autrement plus violents et long sans compter les vraies guerres contemporaines du  XX eme siecle (hors les deux dernières mondiales ) pour la France la guerre d’Indochine ou Algérie etc...

C'est particulièrement vexant pour nous les anciens qui avons vécu le passé depuis 50 ans !

D'ailleurs qui a déclenché ce mouvement social associé à des faits de casseurs violents sinon lui, par son obsession de garder le cap envers et contre tous ?!

(Il n'est déjà pas capable d'éradiquer les incendies de voitures au 14 juillet et 1er janvier etc, par exemple dans des citées sensibles de banlieues devenues de non droit..!)

Et ce n'est pas la 1ere fois pour ce pseudo monarque absolu droit dans ses bottes qui ne comprend pas les français lambda et privilégie les nantis qui n'ont pas besoin qu’on leur donne plus, mais même certains d'eux sont déçus de ses méthodes à marche forcée, « comme un chien qui coure après sa queue » excuser ma trivialité, car il a trop tiré sur la ficelle qui a cassée et maintenant il est au pied du mur des mécontentements divers !

Alors les français ne croient plus aux réunionites tour de table et commissions diverses organisés ou ces messieurs du gouvernement avec le patron bavarde, et enfin son discours alambiqué creux d’où il ne sortira rien car E.MACRON fera semblant de lâcher des miettes pour ne pas blesser son orgueil inhérent à tous nos dirigeants en perdant la face !

Il faut croire que pour ces politiciens élus présidents de notre république, ils perdent tout sens des réalités et oublient toujours le peuple dont ils ont la charge qui les a mis au pouvoir (dont ils ont trop d’ailleurs !)

Jdeclef 27/11/2018 09h07
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Eh oui nos dirigeants quel que soit leurs bords politique courent après l'argent roi !


Au secours, l'ancien monde revient !

Création d'un énième comité Théodule, suppression de deux mesures dans la loi sur les mobilités… La crise des Gilets jaunes révèle un exécutif qui oublie l'élan des débuts.

Au secours, l'ancien monde revient !

Création d'un énième comité Théodule, suppression de deux mesures dans la loi sur les mobilités… La crise des Gilets jaunes révèle un exécutif qui oublie l'élan des débuts.

En septembre 1963, le général de Gaulle conspuait en ces termes la politique politicienne et ses artifices en parlant de lui à la troisième personne du singulier : « L'essentiel, ce n'est pas ce que peuvent penser le comité Gustave, le comité Théodule ou le comité Hippolyte. L'essentiel pour le général de Gaulle, président de la République française, c'est ce qui est utile au peuple français, ce que sent, ce que veut le peuple français. J'ai conscience de l'avoir discerné depuis bientôt un quart de siècle, et je suis résolu, puisque j'en ai encore la force, à continuer de le faire. »
Cinquante-cinq ans plus tard, Emmanuel Macron, aux prises avec les Gilets jaunes et leur colère qui ne s'éteint pas, veut apporter un début de réponse en annonçant la création d'un haut conseil pour le climat, selon une information du Journal du dimanche. On hésite à baptiser celui-ci Gustave, Théodule ou Hippolyte… Et on doute qu'il puisse entrer en résonance avec « ce que sent, ce que veut le peuple français ».
Plus embarrassant encore, il existe déjà un Conseil national de la transition écologique, dont la création vise à « renforcer le dialogue social environnemental », selon la présentation qu'en fait le ministère du même nom. Mis en place en 2013, il complète le Conseil national du développement durable qui réunit 90 personnalités qualifiées depuis 2003. C'est d'ailleurs devant cette instance qu'Emmanuel Macron va s'exprimer mardi. Annoncer devant le Conseil national de la transition écologique la création d'un haut conseil pour le climat, même le romancier Courteline n'aurait pas osé !

Il ne manque que la boîte à outils !

La loi sur les mobilités présentée ce lundi en conseil des ministres porte elle aussi les stigmates du désarroi gouvernemental. Deux mesures ont été rayées du texte pour des raisons d'opportunité.
La « vignette poids lourds » qui devait à partir de 2020 faire payer une partie de l'entretien des infrastructures routières par les camions étrangers qui traversent la France sans même y faire le plein ? Reportée aux calendes grecques, et tant pis pour les 500 millions d'euros qu'elle devait rapporter chaque année. Il ne faut surtout pas prendre le risque d'inciter les routiers à rejoindre les Gilets jaunes. Le même sort a été réservé à la possibilité donnée aux grandes villes de créer des péages urbains. Tout cela donne une curieuse impression de déjà-vu. Il ne manque plus que la « boîte à outils » de François Hollande pour peaufiner cette séquence bricolage !
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Car ils ponctionnent toujours plus et toujours aux mêmes en augmentant les taxes diverses que l'on ne compte plus, tant il y en a !

Et cette manne financière n'est même plus justifiée dans le détail, car cela ressemble à des gouffres sans fond « tonneaux des Danaïdes » modernes !

Car ils utilisent mal ces rentrées d'argent diverses !

Et ce nouveau président E.MACRON élu par défaut, pas par la majorité des français, suite à notre système électoral à 2 tours de cette V eme république obsolète pour soi-disant des changements utilise les mêmes méthodes !

Et ce n'est pas encore en créant un comité fumeux inutile de plus que cela changera quelque chose, assorti d'un discours alambiqué fumeux !

Qu'il se taise au lieu de promettre et donner des leçons aux français qui en ont marre c'est pourquoi la colère monte avec ces gilets jaunes, mais pas seulement pour cela !

Il ira borné « droit dans ses bottes » au bout de son quinquennat, mais lui ne lâchera rien, car il n'aime pas les français d'en bas et est indéboulonnable et croit comme d'autres, tout savoir et raison !

Qu'il ne s’étonne pas de la colère qui monte chez tous les français, car personne n'est satisfait et là, cela va être dure pour la faire baisser !

Car ça fait plus de trente ans que ça dure et ça commence à déborder !

Jdeclef 26/11/2018LP

lundi 26 novembre 2018

C'est bien les actions de BENALLA que l'on juge, pas des manifestants ?!


Affaire Benalla : le troublant profil du manifestant de la Contrescarpe

Selon le « JDD », l'homme agressé par Alexandre Benalla en marge des manifestations du 1er Mai serait fiché par des services de renseignements européens.


Les images de ce couple, molesté par Alexandre Benalla le 1er mai sur la place de la Contrescarpe en marge des manifestations parisiennes, ont tourné en boucle pendant des semaines. Georgios D., 29 ans, et sa compagne Chloé P., 30 ans, ont reconnu avoir jeté une carafe d'eau et un cendrier sur les forces de l'ordre, mais assuraient s'être retrouvés sur la place un peu par hasard avec la seule intention d'aller manger une crêpe pour fêter leur «  coup de foudre  ». Ce 25 novembre, le profil du jeune homme prend une autre lumière.
Dans un entretien accordé au Monde le 20 septembre, le jeune homme d'origine grecque assurait ne pas être militant et n'avoir participé qu'à une seule manifestation dans sa vie. «  J'avais 15 ans. Avec toutes les écoles de Thessalonique, contre la guerre en Irak.  » Pendant sa garde à vue avec sa compagne, il avait récusé tout lien avec l'extrême gauche.

Relations avec des groupes clandestins

Le casier de Georgios D. est vierge tant en France qu'en Grèce, mais le JDD révèle qu'il «  figurerait dans les fichiers des services helléniques pour ses relations avec des groupes clandestins en Allemagne, classé comme anarchiste.  » Il serait aussi soupçonné d'avoir participé à plusieurs actions illégales en Catalogne par la police antiterroriste espagnole, et les services de renseignements chiliens l'auraient aussi surveillé à un moment «  sans que l'on sache précisément pourquoi  », précise l'hebdomadaire.
Pour son avocat, Sahand Saber, « il n'a aucun engagement idéologique ni aucun rapport avec des mouvances extrémistes, ni en France ni en Grèce, a-il ajouté. Il peut avoir des copains qui en ont, mais ça ne permet pas de le mettre en cause pour cela  ».
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Donc BENALLA qui en principe ne devait pas être là, à faire du service d'ordre car n'entrant pas dans ses fonctions à simplement réussi à semer le trouble !

Pour l’Élisée et indirectement au président de la république ce qui a entraîné des commissions d'enquêtes parlementaires pour les agissements de ce pseudo garde du corp de luxe d'E.MACRON !

Et cette affaire (presque d’état) a pris une ampleur démesurée et a même bloqué un temps la marche normale de l'état pendant plusieurs mois, alors il faut que ça cesse et que notre justice laxiste juge cet individu qui se moque de l’état « sans couper les cheveux en quatre » comme d’habitude !

Jdeclef 26/11/2018 08h40LP