dimanche 11 novembre 2018

Encore un illuminé déçu par notre société actuelle et ses dirigeants et politiciens médiocres qui se succèdent depuis plus de trente ans !


Qui est Jean-Pierre Bouyer, l'homme qui projetait de poignarder Emmanuel Macron ?

Six personnes sont soupçonnées de projeter une attaque contre le chef de l'État, dont Jean-Pierre Bouyer, 62 ans, « le plus déterminé », selon les enquêteurs.

« Mon mari n'était pas dans une situation personnelle ou financière catastrophique. Il n'était pas malade, juste fatigué ces derniers temps. Je n'ai rien vu venir. Je n'adhérais pas à ses "idées", il disait que j'étais un mouton comme le reste des Français. Je ne peux pas croire qu'il ait voulu attenter à la vie du président de la République. Je ne l'ai jamais vu violent en acte. Nous sommes ensemble depuis 1977 », l'épouse de Jean-Pierre Bouyer, interpellé par la DGSI après avoir projeté de poignarder Emmanuel Macron, est abasourdie. Ce qu'elle lit et entend dans les médias à propos du père de ses deux enfants ne correspond pas à la vie vécue à ses côtés jusqu'à son arrestation.
Aveuglement ? Il venait de supprimer de son compte Facebook son épouse comme amie, mais Jean-Pierre Bouyer, 62 ans, y appelait régulièrement à la sédition. Cet exploitant en bois – mais électromécanicien de formation –, rentré du Gabon il y a deux ans, ne supportait plus l'inaction. Durant la dernière présidentielle, il a milité en faveur de Nicolas Dupont-Aignan. Passée la défaite, le cœur n'y était plus, explique son entourage. Il avait rejoint un groupe radicalisé sur les réseaux sociaux : les Barjols, référence au contingent français au Mali, un groupe fanatisé d'ultra-droite selon lesquels «  l'action est la solution  » et cherchant par tous les moyens à renverser le président de la République. Pour ces adeptes, nous vivrions en dictature. «  Je trouve qu'on ne vit pourtant pas si mal en France, tempère la femme du principal suspect dans l'attentat raté contre le chef de l'État.
« Je recherche des patriotes, pas des voyeurs  »
Son mari, lui, lançait régulièrement des appels au recrutement : «  Je cherche des patriotes des vrais pas des figurants (...) des personnes qui désirent donner d'eux-mêmes pour ce pays. Je vous laisse une semaine pour m envoyer un message en mp (message privé, NDLR). Je ne peux être plus clair plus franc. Je recherche des patriotes pas des voyeurs (...)  ». éSi un seul buffle fonce dans un mur à plusieurs reprises, il y a de grande chance à ce qu'il se face mal (sic), mais si un troupeau entier rentre dans le mur celui-ci tombera en une seule fois ! ! je vous laisse méditer car nous réfléchissons à une opération coup de poing  », écrivait-il encore.
Alors que son initiative tombait à l'eau, las de prêcher dans le désert, il finit par se rendre à l'évidence : «  Je sacrifierai pas les miens pour des lâches inconscients.  » Sa folle équipée depuis l'Isère pour rejoindre ses complices dans l'est de la France sur le trajet du président de la République pour tenter de l'assassiner, ainsi que l'indiquent les éléments recueillis durant sa garde à vue, démontre le contraire.
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
On l'a étiqueté ultra droite parce que l'on aime bien cataloguer tout individu qui sort du moule des mouvements ou partis ringards que l'on supporte depuis plus de 50 ans!

Et que cela gêne les bien-pensants hypocrites donneurs de leçons qui nous saoulent de leurs belles paroles ou discours alambiqués !

Ce n'est pas un anarchiste, ni un homme influencé par un courant politique semble-t-il seulement un pauvre type déjanté avec un gros « ras le bol » de notre société actuelle!

Simplement un homme qui en avait trop sur la tête et voulait le montrer par un acte criminel lâche, il voulait s’en prendre à E.MACRON, mais si cela n’avait été lui, cela aurait peut-être un autre ?!

D’habitude quand on croise de tels individus désespérés, ils ont plutôt recours au suicide ?!

Un président dont on aurait fait un martyr, heureusement qu’il n’a pu aller jusqu’au bout de son acte, car tuer un dirigeant de n’importe quel pays n’apporte pas forcement la paix après et n’aurait rien amélioré de la situation de la France et est une lâcheté comme tout attentat quel qu’il soit !

Espérons simplement que cela fera réfléchir le président, mais cela n’améliorera pas sa crainte d’insécurité pour sa personne et il regrettera peut-être Benalla…

(Ceci étant quand on voit l’armada dont s’entoure le président US chez lui et dans ses déplacements on n’en est pas encore là !)

Mais que nos autorités prennent bien en compte tous ces individus qui veulent faire leurs lois et régler leur compte eux-mêmes et que notre justice sanctionne avec plus de rigueur de tels actes criminels divers, sans se réfugier derrière un code pénal inadapté !

Jdeclef 11/11/2018 09h51

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire