mardi 28 février 2017

Les français avec ces primaires pour débiles et surtout ces partis LR/PS se sont débarrassés de leurs anciens leaders à gauche comme à droite, mais les résultats leurs reviennent dans la figure comme un boomerang !

Yannick Jadot et Benoît Hamon à Paris, jean-Luc Mélenchon à Pierrefitte-en-Beauvaisis, le 27 février 2017.
Elections

Présidentielle: Entre Hamon et Mélenchon, le rendez-vous manqué de la gauche

ACCORD ELECTORAL Les deux hommes ont décidé de maintenir leurs candidatures respectives, au risque d’être tous deux éliminés au premier tour en avril…

Il fallait s’y attendre, mais au moins ont-ils fait l’effort de dîner ensemble. Jean-Luc Mélenchon, leader de la France insoumise, et Benoît Hamon, candidat du Parti socialiste, ont passé deux heures ensemble, vendredi 24 février, au premier étage d’un restaurant chilien du XXe arrondissement de Paris.
Mais même le vendeur de roses entré dans l’établissement n’a pas pu aider les deux hommes de gauche à trouver un accord électoral en vue du premier tour de l’élection présidentielle, le 22 avril. Bon, 20 Minutes avait anticipé l’issue de ces « discussions » il y a un mois, dès le résultat de la primaire de la Belle alliance populaire connu.
Pourquoi le front Jadot-Hamon-Mélenchon ne se fera jamais
« Je n’ai pas été surpris qu’il me confirme sa candidature et il ne l’a pas été que je lui confirme la mienne », a rapporté le député européen sur Facebook dimanche. Les deux anciens camarades du PS comptent se présenter l’un et l’autre, alors qu’aucun sondage jusqu’à présent ne place un candidat de gauche au second tour, et que leurs programmes comportent plus de points communs que de différences.

« Ils se mettent d’accord, c’est gagné »

Yannick Jadot et le parti EELV s’étant effacés derrière la candidature Hamon, il ne manquait donc que Mélenchon pour parvenir à un accord historique à gauche. Cette possibilité s’est encore éloignée, après plusieurs jours de semblant de négociations. Reste la perspective d’un gâchis, selon le socialiste Gérard Filoche, qui explique à 20 Minutes que sans entente entre les deux candidats, « l’élection présidentielle est perdue ».
Dans le dernier sondage paru, une enquête Kantar Sofres-OnePoint pour RTL, Le Figaro et LCI, Jean-Luc Mélenchon aurait 10 % des intentions de vote, Benoît Hamon 14 %. Loin de François Fillon, à 20 %, Emmanuel Macron, à 25 %, et Marine Le Pen, à 27 %. Si un accord électoral entre les deux candidats de gauche n’aboutirait pas automatiquement à un score d’environ 25 % (les sympathisants pouvant se refuser à avaliser un arrangement entre partis), la fenêtre de tir est réelle pour la gauche : « C’est un quitte ou double. Ils se mettent d’accord, c’est gagné », estime Gérard Filoche.

« Nous ne rentrerons plus dans ces tambouilles »

« Nos électorats ne s’additionnent pas comme ça », rétorque Alexis Corbière, porte-parole de Jean-Luc Mélenchon. Pour la France insoumise, le candidat socialiste « ne veut pas entendre parler d’un rapport de force avec l’UE » sur la question des traités européens. Et puis il s’agit du candidat… socialiste, justement. « Nous ne rentrerons plus dans ces tambouilles. J’ai voté Hollande au second tour en 2012. Aujourd’hui je le regrette. Il n’est pas question d’accorder un nouveau chèque au blanc au PS », confirme Raphaël Qnouch, candidat de la France insoumise aux législatives, dans la 9e circonscription de Paris.
La question des législatives a d’ailleurs été au cœur des négociations entre Yannick Jadot et Benoît Hamon. EELV aurait négocié quelques circonscriptions, mais la France insoumise « ne veut pas bricoler ce genre de compromis sur un coin de table ». L’accord écolo-socialiste a fait tiquer y compris au sein des Verts. « Depuis le début, nous sommes dans une stratégie perdante, explique Grégory, ancien adhérent qui a participé à la primaire, mais a choisi de rendre sa carte du parti. Des accords de ce type, on en a signé plein avec le PS, sans qu’ils ne soient jamais respectés. Cela satisfait quelques députés et sénateurs, pas le monde écologiste. Yannick Jadot aurait dû dire qu’il ne retire sa candidature que si un candidat unique est trouvé à gauche. »
Mais la perspective des élections législatives est passée par là. Pour les soutiens de Jean-Luc Mélenchon en revanche, aucune chance qu’un accord soit trouvé pour ces scrutins. Le mouvement négociera avec le Parti communiste, mais « sûrement pas avec le PS », ajoute Raphaël Qnouch. Sauf que sur ce terrain-là aussi, les socialistes tentent de prendre à revers l’équipe Mélenchon, en discutant directement avec le PCF, ainsi qu’avec le Mouvement républicain et citoyen fondé par Jean-Pierre Chevènement.
« Nous ne pouvons pas passer notre temps à attendre que Jean-Luc se décide, explique la sénatrice de Paris Marie-Noelle Lienemann, l’une des amies socialistes de l’ancien ministre de Lionel Jospin. Il faut respecter son choix, mais à nous de montrer désormais que nous pouvons incarner une alternative crédible pour le peuple de gauche. Le vote efficace pour être au deuxième tour, c’est le vote Hamon. »

« Maintenant c’est aux électeurs de décider »

L’argument du vote utile fait bondir Alexis Corbière : « Qu’ils arrêtent de faire croire que ce serait notre faute si le PS est au plus bas. C’est insupportable de nous mettre la menace de la droite sur le dos. Que chacun assume ses responsabilités, Hamon sait très bien pourquoi nous ne pouvons pas accepter son programme. »
Les arguments ayant été mis sur la table de part et d’autre depuis un mois et la victoire du député des Yvelines lors de la primaire de la gauche, les projets de fiançailles semblent définitivement enterrées. « Maintenant c’est aux électeurs de décider », tranche Marie-Noelle Lienemann. Finalement, le seul accord qu’auront trouvé Mélenchon et Hamon porte sur… un pacte de non-agression. « Nous sommes convenus d’un code de respect mutuel », a indiqué le candidat de la France insoumise. « Benoît Hamon n’est pas un ennemi, l’objectif désormais est de mener campagne chacun de notre côté », ponctue Raphaël Qnouch.
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Mais hélas, à GAUCHE ou au PS à la place, ils ont des brèles d’une médiocrité lamentable et à DROITE ou LR et EXTREME DROITE FN cela ne vaut guère mieux, des politiciens pas nets qui trainent des casseroles !

Une conséquence des mauvais choix des français qui votent toujours pour les mêmes depuis des décennies !

En ce qui concerne la gauche/PS on a MELENCHON le vieux tribun d’extrême gauche l’aboyeur de foire d’un autre temps gonflé comme une baudruche par son égo démesuré (il ferait presque penser à JM LE PEN avec les diatribes outrancières en moins) car il ne veut PAS être président comme lui, mais simplement pérorer le poing en l’air comme F.CASTRO en jouant le trublion !

On peut lui reprocher se désaccord de rapprochement avec ce PS qu’il déteste, mais la désignation à la primaire par défaut de ce pauvre HAMON l’utopique illuminé frondeur par ceux qui ne voulait pas de VALLS n’a été qu’un concours de circonstance qui n’en fera pas un président, donc cela ne change pas grand-chose !

Mais la droite LR à fait pareil en éliminant SARKOZY seulement, elle ne pouvait prévoir l’avatar qui est arrivé à F.FILLON et pas de plan « B » suite à ses divisions !

Ces deux grands partis LR/PS sont peut-être moribonds, mais ils l’ont bien cherché, ils ont mis indirectement sur les rails l’électron libre MACRON qui peut réussir, car vraiment nouveau et sans passé douteux !

Quant à M.LE PEN et son FN dont tous ont peur, ces partis et politiciens élus associés aux médias hypocrites alarmistes, elle ne sera pas mis au pouvoir par les français, car elle n’est non plus pas nette et nos concitoyens pas encore assez fous ou courageux pour assez voter en masse pour l’extrême droite et pour elle !


lundi 27 février 2017

Pauvre ministre par intérim de ce gouvernement provisoire !

Bruno Le Roux annonce des mesures pour calmer la grogne des policiers

Le ministre de l'Intérieur envisage notamment de mettre fin aux gardes statiques et de moderniser l'exécution des tâches administratives.

En réponse à la grogne inédite des policiers à l'automne dernier, Bruno Le Roux, le ministre de l'Intérieur, a annoncé une série de mesures ce lundi 27 février visant à recentrer le travail des forces de l'ordre « sur leur cœur de métier ». Quelques-unes des réponses du gouvernement seront détaillées lundi matin par le président François Hollande lors d'un déplacement dans l'Eure-et-Loir, comme la fin des gardes statiques devant certains bâtiments ou l'utilisation de nouvelles technologies. Cette concertation avait été organisée après le mouvement de colère des policiers après la violente agression à Viry-Châtillon, dans l'Essonne.
Les policiers « ont bien souvent le sentiment de faire des tâches qui ne relèvent pas du cœur de métier », a constaté Bruno Le Roux sur RTL. « Je vais accélérer le mouvement qui fait que les gardes d'un certain nombre de bâtiments ne soient plus opérées par les policiers », a affirmé le ministre qui estime par exemple que les gardes statiques pour les préfectures pourront être remplacées par d'autres dispositifs. « Il peut y avoir des moyens passifs pour protéger nos bâtiments, des systèmes de sécurité, de vidéosurveillance », a-t-il dit. Idem devant les tribunaux. « Je discute avec Jean-Jacques Urvoas », le ministre de la Justice, « qui est très sensible à cette question pour faire en sorte que sur les transfèrements judiciaires, les escortes, la façon dont les détenus sont accompagnés vers les hôpitaux, on puisse décharger là encore le travail de la police. » « Ça concerne plusieurs milliers d'équivalents temps plein aujourd'hui, ramené à une année », a détaillé le ministre de l'Intérieur.

« Le César du degré zéro du dialogue social est attribué à... Bruno Le Roux ! »

Pour soulager les fonctionnaires des tâches administratives, Bruno Le Roux souhaite en outre que « les nouvelles technologies fassent irruption dans le travail des policiers » et sur le modèle du dispositif NeoGend dans la gendarmerie nationale, prévoit la commande de 50 000 tablettes. Il souhaite en outre qu'à l'avenir les policiers puissent être totalement déchargés de la délivrance des procurations pour les différents scrutins électoraux. Interrogé sur la colère du syndicat policier Alliance, furieux de ne pas avoir été informé en amont des annonces présidentielles de ce lundi, Bruno Le Roux a assuré que la concertation était « permanente » et que les organisations seraient reçues dans les 48 heures.
Le syndicat des cadres de la sécurité intérieure (SCSI) a publié un communiqué dans lequel il dénonce le manque de concertation du ministre de l'Intérieur. « Sans doute trop occupé par son agenda mondain et des soirées comme celles de la cérémonie des César, Bruno Le Roux n'a pas daigné informer ou rencontrer les syndicats », a dit le SCSI dans un communiqué. Le syndicat a ironisé sur la présence du ministre à la soirée de remise des prix et récompenses du cinéma français, vendredi 24 février. « Le César du degré zéro du dialogue social est attribué à... Bruno Le Roux ! » a moqué le SCSI. « Au ministère de l'Intérieur, c'est l'heure des abonnés absents : pas d'information sur les mesures envisagées, pas de réunion préparatoire, pas de concertation avec les syndicats. »

il est bien temps de faire des annonces ou promesses depuis le temps que ça dure à 60 jours de la fin de ce gouvernement pour repasser la patate chaude à ses successeurs !

Il prend la suite des recommandations de F.HOLLANDE !


Jdeclef 27/02/2017 17h04

Pourquoi parler des frasques de ce vieux politicien de son parti le FRONT NATIONAL si décrié à cause de lui !?

Roms : Jean-Marie Le Pen condamné à 5 000 euros d'amende en appel

Le président d'honneur du Front national avait qualifié d'"urticante et, disons, odorante" la présence de "quelques centaines de Roms" à Nice en 2013.

Jean-Marie Le Pen est une nouvelle fois condamné lundi dans une affaire judiciaire. Le président d'honneur du Front national, poursuivi pour avoir qualifié la présence de Roms d'« urticante » et d'« odorante » en 2013, a vu sa condamnation à 5 000 euros d'amende confirmée en appel. La cour d'appel d'Aix-en-Provence l'a de nouveau reconnu coupable de provocation à la haine et à la discrimination pour ces propos tenus à Nice lors d'une conférence de presse. « Vous avez quelques soucis, paraît-il, avec quelques centaines de Roms qui ont dans la ville une présence urticante et, disons, odorante. Cela n'est que le petit morceau de l'iceberg », avait notamment déclaré Jean-Marie Le Pen.
« Ce sont des termes que je maintiens parce que je les ai pensés », avait expliqué à la barre le père de Marine Le Pen, qui devra payer 2 000 euros de dommages et intérêts à SOS Racisme, partie civile. La Ligue des droits de l'homme, partie civile en première instance, recevra 1 000 euros. « Leur présence est urticante pour la population, oui, les gens se plaignent », avait-il déclaré. « Odorante, il suffit d'avoir visité un camp de Roms pour s'en rendre compte, olfactivement parlant », avait-il poursuivi, assurant être « payé pour dire ce que pensent les électeurs ». « La haine est un sentiment qui m'est parfaitement étranger », avait assuré Jean-Marie Le Pen. « Je ne sais pas si la haine est un sentiment présent chez M. Le Pen. Ce n'est pas ce qu'on lui reproche, ce qu'on lui reproche, ce sont des propos qui sont de nature à jeter l'opprobre sur cette communauté », lui avait répondu l'avocat général.

Huit condamnations

Jean-Marie Le Pen a été condamné à au moins huit reprises depuis le début des années 1990 pour des propos racistes ou négationnistes. Il a encore été mis en examen, le 11 février, pour provocation à la haine pour s'en être pris à Patrick Bruel. En juin 2014, dans une vidéo sur le site du FN, à l'évocation du nom de l'artiste d'origine juive, il avait déclaré : « Écoutez, on fera une fournée la prochaine fois ! » Le Front national, présidé depuis 2011 par sa fille Marine, a engagé une stratégie de « dédiabolisation » de son image. Elle a conduit à l'exclusion en 2015 de Jean-Marie Le Pen pour avoir réitéré ses propos sur les chambres à gaz qu'il a qualifiées de « détail » de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale. Jean-Marie Le Pen a contesté cette décision devant les tribunaux. Le 17 novembre 2016, le tribunal de grande instance de Nanterre a validé son exclusion, mais a jugé qu'il restait néanmoins président d'honneur du parti d'extrême droite. Le FN a fait appel.
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On ne compte plus les condamnations pour ses diatribes outrancières et souvent inqualifiables et il est toujours là pérorer et il ne se taira jamais, c’est sa carte de visite à ce vieux politicien inutile du monde politique français !


Jdeclef 27/02/2017 16h49

Peu importe ce que veut ou dit ce président, il a jeté l’éponge avant la fin de son quinquennat, il n’est plus rien, simplement en pré retraite !

Forces de sécurité : Hollande veut que les recrutements continuent

Le président de la République a demandé à son successeur de continuer à embaucher des gendarmes et des policiers, au-delà des 9 000 de son quinquennat.

C'est un appel solennel qu'a lancé lundi François Hollande. Il a demandé à son successeur à l'Élysée de respecter un « socle de sécurité » transpartisan en poursuivant l'effort de recrutement des gendarmes et policiers. « Si nous voulons que notre pays soit doté d'effectifs suffisants pour la police et la gendarmerie, il faudra, au-delà des 9 000 postes créés sous ce quinquennat, en ouvrir autant pour le prochain quinquennat », a souligné le chef de l'État sortant lors d'un déplacement à Chartres. « Il fallait compenser les pertes d'effectifs des années 2007 à 2012 », soit « 13 000 postes », a-t-il poursuivi, pointant la politique de sécurité de son prédécesseur Nicolas Sarkozy, devant quelques dizaines de policiers et de gendarmes réunis à la préfecture d'Eure-et-Loir.
Affirmant que le « socle de sécurité » faisait l'objet d'un « large consensus national », François Hollande a estimé qu'en « période électorale ce qui doit compter, c'est moins les différences que les rassemblements, moins les oppositions que l'unité ». « Qu'est-ce qui doit être absolument sanctuarisé ? » s'est-il interrogé, avant de répondre : « Les effectifs, les moyens en matériel, les conditions d'emploi des forces de sécurité et le respect des valeurs républicaines. » « Après, il peut y avoir de l'imagination, de l'illusion, des surenchères » qui font « partie, hélas, de ce que le débat public peut parfois engendrer » lors d'une campagne, a-t-il observé. « Mais il doit y avoir de la part de tous ceux et de toutes celles qui se présentent aux suffrages l'affirmation que ce socle de sécurité ne pourra jamais être remis en cause », a martelé François Hollande.

« Bon déroulement du débat démocratique »

« Je n'oublie pas les exigences quant au bon déroulement du débat démocratique dans notre pays », a-t-il par ailleurs assuré, alors que François Fillon a accusé dimanche le gouvernement de laisser « se développer dans le pays un climat de quasi-guerre civile ». François Hollande a ainsi évoqué « la protection non seulement des candidats mais également des lieux où les Français veulent se retrouver pour participer au débat public ». Dressant le bilan de la concertation et du plan d'équipement de 250 millions d'euros engagés pour répondre à la « colère légitime des forces de gendarmerie et de police » à l'automne, le chef de l'État a assuré avoir voulu que « ce malaise (...) puisse s'exprimer ».
Avant de rejoindre Chartres, il s'était ainsi rendu dans la matinée au commissariat de Dreux et au groupement de gendarmerie départementale de Lucé pour qu'on lui montre les nouveaux matériels dont disposent les forces de l'ordre (armement, protection, véhicules blindés...). François Hollande a également confirmé « la fin des gardes statiques (de policiers et de gendarmes) devant les préfectures comme devant les tribunaux », au profit de « gardes dynamiques », et la « fin des transfèrements et des extractions judiciaires » qui seront confiés à d'autres services.
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Plus personne ne l’écoute, il a fait le choix de se retirer de la campagne présidentielle de peur de l’humiliation de ne même pas arriver au 2eme tour de l’élection qu’il savait perdue, il a refusé de se battre, car la majorité des français ne voulait plus de lui, certains ont dit que c’était du courage, mais on peut aussi l’interpréter différemment  comme étant un être pleutre chacun jugera !

Il n’était pas fait pour être président, mais l’orgueil était plus fort, malgré son élection par défaut du fait de la défection de DSK qui l’avait mis devant cet opportunisme qu’il a saisi et dont il a profité !

Il pourra se consoler (peut-être) en se disant que son principal adversaire N.SARKOZY a lui aussi été éliminé à la primaire de cette droite LR et chef de son parti par des ex ministres de son camp et indirectement par les français qui ne voulaient pas non plus de cet ex président son prédécesseur, ce qui l’a conforté de ne pas subir le refus lui-même de nos concitoyens !

Mais le pire peut-être, c’est qu’avec l’affaire F.FILLON ex 1er ministre de SARKOZY ne l’oublions pas, la droite n’est pas  mieux lotie et risque de voir l’ex ministre de F.HOLLANDE, E. MACRON arriver au 2eme tour face à M.LE PEN qui elle a de nombreuses casseroles et qui ne gagnera pas cette élection comme en 2002 !

Si cela se produit, les français monteront pour une fois à cette classe politique sclérosée que c’est les français qui décident, ça changera enfin (peut-être?!)


Jdeclef 27/02/2017 16h30

Justement tout est dit ?! C’est « VIRTUEL » et ne reflète pas la réalité qui seule compte dans les urnes !

Présidentielle : qui gagne la campagne virtuelle ?

En marge des sondages, une enquête Kantar Sofres–OnePoint pour LCI dévoile que Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon sont largement en tête sur Internet.

Pas de temps de parole, pas de huées, pas de budgets vertigineux pour décorer une salle de meeting. Certains candidats l'ont bien compris, Internet est une arme solide dans la course à la présidentielle. Mais tous ne sont pas égaux face à cet outil qui a le mérite de séduire la jeune génération. En l'occurrence, une enquête Kantar Sofres–OnePoint pour LCI révèle que la grande gagnante de cette campagne virtuelle est Marine Le Pen, candidate du Front national, talonnée par Jean-Luc Mélenchon, candidat de La France insoumise.
Sur Facebook, la candidate frontiste compte 1,23 million d'abonnés, dix fois plus que Benoît Hamon, et 1,29 million de fans sur Twitter. Dans son clip de campagne vu près de 100 000 fois en trois heures, la candidate FN fait la part aux nouvelles technologies. Jean-Luc Mélenchon, lui, compte près de 670 000 abonnés sur le réseau social de Mark Zuckerberg et près d'un million de « followers » sur Twitter. En outre, le candidat tonitruant a misé sur la plateforme YouTube dans sa campagne : près de 600 000 personnes ont vu la vidéo de son très attendu « double meeting » à l'hologramme et Jean-Luc Mélenchon a choisi sa chaîne YouTube pour annoncer le chiffrage de son programme, dans une émission de cinq heures.

L'engagement : le nerf de la guerre

Outre ces deux chevronnés des réseaux sociaux, les autres candidats sont aussi présents sur Internet. Français Fillon, candidat de la droite et du centre, a vu sa cote grimper sur Twitter (433 000 abonnés) après son meeting de Compiègne, lors duquel Xavier Bertrand s'est rallié à lui, indique LCI. Le tenant de la droite compte par ailleurs 286 000 fans sur Facebook. Emmanuel Macron, candidat du mouvement En marche !, a lui aussi profité d'un rebond après l'annonce de son alliance avec François Bayrou, avec 522 000 abonnés sur Twitter et 182 000 fans sur Facebook. Benoît Hamon ferme la marche avec 335 000 abonnés sur Twitter et quelque 130 000 likes sur sa page Facebook.
L'enquête soulève par ailleurs les résultats des indicateurs d'engagement, à savoir les « likes », « retweets », et autre volume de partages. En somme, tout ce qui suscite une réaction des internautes. L'analyse des profils de chaque candidat entre le 9 et le 23 février confirme cette tendance. Sur Facebook et Twitter ces derniers jours, Jean-Luc Mélenchon affiche des pics d'engagement massifs mais très ponctuels, à l'instar du candidat François Fillon malgré des chiffres inférieurs. En revanche, la capacité de Marine Le Pen à faire réagir est plus constante. Emmanuel Macron et Benoît Hamon sont, quant à eux, stables sur des moyennes basses.
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Ces internautes qui se défoulent sur la toile avec leurs 140 caractères de TWITTER en déversant à qui mieux mieux leurs fiels ou colère sur nos ex élus ou candidats de tous bords ne sont pas ceux qui iront voter forcement, car s’ils l’étaient, se déplaceraient pour voter en masse mais rien n’est moins sûr !?

Cela ne vaut guère mieux que les sondages médiatiques dont on nous abreuve et les émissions politiques qui vont avec !

Puisque l’on parle de J.L. MELENCHON par exemple et son réseau social (puissant) il faudrait déjà que ses abonnés se bougent en allant voter, car quand on voit les scores de ce vieux politicien chevronné aux dernières élections c’est une fusée à un seul étage qui monte haut au 1er tour, mais finit en pétard mouillé qui fait pschitt rapidement !

Heureusement,qu’il reste encore des isoloirs et des urnes pour voter et sortir ceux  moins fainéants de derrière leur ordinateurs, tablettes ou smartphones et  qui se cachent derrière des pseudos débiles et laissent voter les électeurs de notre pays qui ont déjà assez de mal à choisir dans des candidats de plus en plus médiocres (politiciens qui ne se remuent que pour les élections et s’engraissent le reste du temps !)

Il y a encore assez des sondages indigestes que de mesurer encore l’impact de cette campagne présidentielle sur les réseaux sociaux poubelles !


Jdeclef 27/02/2017 10h57

MELENCHON la machine à perde pour les gauches, il ne sert à rien, sauf vociférer comme un tribun !

Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon. –
Politique

Hamon: Mélenchon a confirmé lors de leur entrevue «qu’il serait candidat» à la présidentielle

POLITIQUE Le candidat de La France insoumise a dîné avec Benoît Hamon vendredi soir, selon l’entourage de ce dernier…

Benoît Hamon a indiqué dimanche sur TF1 que lors de leur rencontre vendredi, Jean-Luc Mélenchon lui avait confirmé « qu’il serait candidat » à l’élection présidentielle, ce qui met fin à tout espoir d’accord.
Présidentielle. Les électeurs de la primaire écologiste approuvent l’accord conclu entre Benoît Hamon et Yannick Jadot

« La situation est maintenant claire »

« Je l’ai vu, il m’a confirmé ce que je savais, c’est qu’il sera candidat. Dont acte, la situation est maintenant claire », a déclaré le candidat socialiste, qui se tourne désormais « vers tous les Français de gauche », notamment ceux qui « peuvent avoir l’intention de voter Emmanuel Macron » ou « Jean-Luc Mélenchon ».
Le candidat de La France insoumise a dîné avec Benoît Hamon vendredi soir, selon l’entourage de ce dernier. Pour sa part, dans une interview au quotidien Ouest France à paraître lundi, Jean-Luc Mélenchon a dit craindre qu’il soit « beaucoup trop tard » pour un rapprochement avec le candidat socialiste.

« J’ai un programme, qui a été bouclé en novembre »

« Nous sommes à soixante jours du premier tour. J’ai un programme, qui a été bouclé en novembre. Qui pourrait croire à un accord de coin de table sur les sujets qui nous séparent comme l’avenir de l’Union européenne ? Il s’agit de se préparer à gouverner un grand pays ! Pas d’un arrangement personnel ! » a-t-il estimé.
Refusant de se dire « en compétition » avec Benoît Hamon, Jean-Luc Mélenchon s’est à nouveau demandé si ce dernier allait « aller au bout de la logique qui a expulsé M. Valls », ajoutant : « S’il veut recoller les morceaux du PS, il se coupera de ceux qui veulent purger le bilan du quinquennat. » Les deux hommes doivent se rendre dans le Finistère et les Côtes-d’Armor mardi et mercredi.
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Plutôt que de faire une union qui fait la force avec toutes les force de gauche, il a commencé à ne pas participer a la primaire de ce PS qu’il déteste (pourtant il est socialiste) il a par orgueil mal placé décidé de faire cavalier seul !

On dit cet homme intelligent, en fait il ne l’est pas, et là, il le montre, c’est un triste sire aboyeur de foire à égo démesuré qui se croit le seul et le meilleur, d’autres ont fait comme lui, et ils sont hors-jeu !

En fait, il voulait se montrer, car il adore faire le tribun et haranguer les foules comme Castro à Cuba en son temps, mais ne pense qu’a lui en disant, c’est moi ou rien et en faisant par son cinéma médiatique un chant du cygne d’un vieux politicien ringard que la France traine depuis des décennies comme d’autres, ce qui montre bien que notre classe politique d’élus et ex élus doit enfin être renouvelée ainsi que cette V eme république obsolète, son système et ses institutions !

Ce genre de politicien comme MELENCHON est inutile, c’est un agitateur pseudo révolutionnaire qui ouvre la porte à la droite de F.FILLON ou l’extrême droite FN de M.LE PEN et à E.MACRON l’électron libre qui prend le chemin de régler le compte à tous ses partis ringards et leurs leaders médiocres !

Plus que jamais, c’est bien aux français de savoir voter sans se laisser encore enfumer par les médias et sondages pernicieux avec ses anciens politiciens plus que nullissimes !

En effet, le changement est (peut-être) maintenant ou repartir pour 5 ans d’alternance pernicieuse avec les mêmes qui feront souffrir nos concitoyens en plus !


dimanche 26 février 2017

Le garde des sceaux à raison la justice est assez lente comme çà, en protégeant indirectement les élus de tous bords impliqués !

Politique

Affaires Fillon et Le Pen: Urvoas exclut une pause judiciaire pendant la campagne

JUSTICE Interrogé par le «JDD», le ministre de la Justice réagit aux affaires Fillon et Le Pen...
«Rien ne justifierait» une pause des investigations visant des candidats à la présidentielle durant la campagne électorale, estime le ministre de la Justice Jean-Jacques Urvoas dans un entretien au Journal du dimanche, sans exclure une mise en examen de François Fillon
«Si dans le passé, pour l'audiencement d'une affaire, c'est-à-dire la fixation de la date du procès, il y a pu avoir des pauses électorales cela n'a jamais concerné la conduite des enquêtes», souligne-t-il au sujet de l'éventualité d'une «pause» ou d'une «trêve» électorale. «Il n'existe d'ailleurs aucun texte prévoyant une telle suspension. Quelle en serait d'ailleurs la raison? Au nom de quelle exception? À mes yeux, rien ne le justifierait.»

«Elle tourne le dos au droit» , dit-il sur Marine Le Pen

La candidate du Front national à l'Elysée, Marine Le Pen, a refusé cette semaine de se rendre à une convocation de la police dans l'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs d'assistants frontistes au Parlement européen, estimant que la période électorale ne permet «ni la neutralité ni la sérénité nécessaires au fonctionnement correct de la justice».
«Elle tourne le dos au droit. Il n'y a pas une justice pour les anonymes et une justice pour les gens célèbres!», proteste le garde des Sceaux, faisant mine de s'interroger: «Imaginons que pendant la campagne présidentielle, on ne puisse pas enquêter. Mais après la présidentielle, il y a les législatives. Et après, en septembre, les sénatoriales! À quel moment la justice pourrait-elle alors fonctionner normalement?»

Il défend la séparation des pouvoirs

Rien n'empêche donc les juges d'instruction chargés d'enquêter sur les soupçons d'emplois fictifs au sein de la famille de François Fillon de mettre en examen le candidat de la droite, lui demande le journal? «Ou de ne pas le mettre en examen», répond-il. «Le travail d'un juge d'instruction est de procéder à toutes les investigations nécessaires. S'il doit le faire qu'il le fasse.»
Le ministre réfute à nouveau les accusations d'intervention ou de complot politique visant François Fillon ou Marine Le Pen, adversaires de la gauche au pouvoir. «Imaginer aujourd'hui que des instructions aient pu être ordonnées sur François Fillon ou Marine Le Pen est tout simplement absurde parce qu'illégal», assure-t-il, accusant en retour la droite de n'avoir pas permis de renforcer l'indépendance du parquet.
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Ces politiciens soupçonnés dans différentes affaires douteuses jouent assez comme cela avec la lenteur de la justice jusqu’à attendre les élections auxquelles ils sont candidats pour échapper aux enquêtes et jugements jusqu’à la fin de leurs mandats s’ils sont élus et la liste de ceux-ci est déjà bien fournie depuis ces dernières années !

Ce n’est pas normal, ils ont déjà assez d’avantages et de boucliers juridiques en tant qu’élus qui les protègent trop !

Il faut avoir enfin une république qui applique des règles strictes de déontologies et de probité, moralité incontournables avec des sanctions sévères notamment d’inéligibilité définitive prononcée quand il le faut et mêmes des peines de prisons sans sursis si gravité avérée, sans compassion, surtout pour des élus du peuple français qui leurs font confiance, surtout en cas d’enrichissement personnel ou détournement de fond public qui sont l’argent des français par leurs impôts alors que souvent les inculpés sont souvent des nantis déjà à l’abri du besoin !

Les français en ont marre de ses corruptions, prévarications, magouilles et de ses affaires trop nombreuses qui fusent sans arrêt chez toute cette classe politique de tous bords sclérosée !

Il faudra que le président quel qu’il soit remette les pendules l’heure dans cette V eme république obsolète en faisant voter une loi rigide pour ce sujet déontologique à tous les niveaux de nos élus et fonctionnaires de l’état sans dérogation possible !


Le désordre s’installe en France et tout est bon pour manifester violemment pour tout et n’importe quoi si on continue comme çà on va à l’anarchie !

Elections

Nantes: Une manifestation contre la venue de Marine Le Pen dégénère, onze policiers et gendarmes blessés

PRESIDENTIELLE Quelque 2.200 personnes ont défilé samedi après-midi dans le centre de Nantes dans un climat tendu…
Des heurts ont éclaté samedi au centre de Nantes en marge d’une manifestation pour protester contre la venue dimanche de Marine Le Pen  qui a réuni entre 2.200 et 3.000 manifestants, selon des sources syndicales et policières. Onze représentants des forces de l'ordre ont été blessés et des dégradations commises sur des devantures de magasins. Des banques et arrêts de bus avaient été protégés dès le matin par des panneaux de bois.
Selon le ministère de l'Intérieur, «onze policiers et gendarmes ont été blessés et contusionnés». Parmi eux, un gendarme a été brûlé au deuxième degré aux jambes. Il a été hospitalisé, a précisé la gendarmerie nationale. Huit personnes ont été interpellées dont quatre ont été placées en garde à vue, d'après le ministère. Le ministre de l'Intérieur Bruno Le Roux a «condamné avec la plus grande fermeté les violences commises», dans un communiqué.

Des mouvements de l’extrême gauche à la manœuvre ?

Fortement encadrés par la police, les protestataires brandissaient des pancartes proclamant « FN imposture sociale » ou « le fascisme ne passera pas ». Les manifestants, s’étaient donné rendez-vous à la croisée des trams, place du Commerce, au cœur névralgique de Nantes, pour dire non à la présence annoncée de la candidate du FN à la présidentielle dans la grande ville portuaire. Marine Le Pen doit tenir un meeting dimanche après-midi au Zénith.
Parmi les manifestants, quelque 800, dont certains étaient encagoulés, appartenaient à des mouvements de l’extrême gauche, selon des sources policières. Réunis à l'appel du collectif nantais de refus des extrêmes droites, de la CGT, de la ZAD (Zone à défendre) de Notre-Dame des Landes, sous le slogan « Nantes debout soulève toi », les protestataires se sont dirigés vers une esplanade au pied du château des ducs de Bretagne.
« Les valeurs de notre syndicalisme de conquête sociale et celles de l’extrême droite sont absolument incompatibles », a déclaré Anthony Lemaire de la CGT 44, lors d’une prise de parole, un temps perturbé par des échauffourées. « Le FN défend les intérêts des possédants et du grand patronat même s’il s’efforce d’apparaître comme une solution pour ceux qui sont en difficulté », a-t-il ajouté.
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Qu’on ne dise pas que le FN et M.LE PEN (qui ne sera pas élue d’ailleurs pour autant) font peur aux français lambda sous prétexte de sondages médiatiques pernicieux !

Elle fait peur aux autres politiciens et leurs partis si politiquement corrects hypocrites car ils voient des voix leur échapper et se diriger vers le FN par des électeurs excédés depuis trente ans par ce bipartisme droite/ gauche qui se partage par alternance la gestion de notre pays avec les résultats plus que médiocres aux fils des années !

Les médias et les sondages continuels jettent de l’huile sur le feu qui font sortir les trublions casseurs de tous poils pour casser et manifester violemment pour se défouler contre tout!

Là on dit que c’est l’extrême gauche peut importe, c’est contre le FN de M.LE PEN à NANTES ville touchée par le problème de la ZAD de Notre de Dame des Landes et son aéroport fantôme qui traine depuis des lustres sous tous les gouvernements de cette V eme république ringarde et obsolète (qui souligne l’ineptie de l’état une vraie honte pour la France !)

Et que fait le gouvernement, le ministre de l’intérieur il proteste, c’est tout, impuissant et pleutre comme notre président dont il est l’image il attend d’être viré avec l’élection présidentielle, c’est tout dans 2 mois !

Attendons mai 2017 et peut être du changement avec rigueur, si les français votent mieux que d’habitude sans trop y croire..?!


Qu’on arrête de plaindre F.FILLON cela devient lassant, il s’est mis dans la difficulté tout seul, et il peut encore se présenter et faire campagne alors..!?

Affaire Fillon : le communiqué du vendredi 20 heures...

L'ouverture d'une information judiciaire dans l'affaire Fillon a été rendue publique à l'heure des JT et du meeting du candidat. Est-ce bien raisonnable ?

Il était 20 h 7 vendredi 24 février quand un urgent est tombé à l'AFP. Cent trois signes et douze mots qui n'étaient à proprement parler une surprise pour personne : « Affaire Fillon : l'enquête confiée à des juges d'instruction [parquet national financier] ». Depuis que, le jeudi 16 février, le PNF avait fait savoir qu'il ne classerait pas l'affaire dont il s'était saisi, ce communiqué était attendu.
Mais était-il besoin de le rendre public à l'ouverture des journaux de 20 heures et à l'instant où le candidat Fillon montait à la tribune de son meeting de Maisons-Alfort ? En additionnant les audiences des JT des chaînes nationales et celles des chaînes d'information, la justice savait qu'elle toucherait à cet instant près de 10 millions de téléspectateurs, et qu'elle transformerait l'allocution du candidat à la présidentielle en épisode d'une émission de télé-réalité : chacun guettant une petite phrase, un œil humide, un rictus, un souffle d'épuisement.
Le même communiqué serait tombé à 16 heures ce vendredi ou le lendemain matin, il aurait suscité moins d'interrogations, d'interprétations et de doutes. En annonçant que désormais le dossier allait être confié à trois juges d'instruction, le parquet national financier n'a fait que son devoir. Il s'est dessaisi d'un dossier sur lequel il travaillait depuis le 25 janvier, jour de la parution des premières informations sur le Penelopegate dans Le Canard enchaîné.
Un mois pour ficeler un tel dossier – sensible, mais techniquement pas compliqué – est un délai raisonnable, mais cette communication publique manque d'élégance et met du vent dans les voiles de ceux qui dénoncent une justice spectacle, médiatique, toujours prête à montrer ses muscles quand elle se penche sur un politique.

Manque de discernement et d'élégance

En effet, ici, tout est affaire de symbole. Certes, depuis plusieurs jours, la rumeur de l'ouverture d'une information judiciaire avait envahi les rédactions. Les avocats des parties prenantes s'y étaient résignés – comme le prouve leur changement de stratégie à l'égard d'un parquet national financier qu'ils ont soudainement considéré comme « incompétent » pour ce type de dossier, après lui avoir pourtant apporté les « preuves » de « l'innocence » de leurs clients.
Mais en rendant public un vendredi soir à 20 heures leur communiqué, Éliane Houlette et ses collaborateurs savaient qu'ils satureraient l'espace médiatique du week-end, qu'ils bénéficieraient pendant deux jours d'une bruyante caisse de résonnance, qu'ils obéreraient la capacité de réponse des protagonistes de l'affaire et qu'ils rendraient peu audible la campagne électorale. À 57 jours du premier tour de la présidentielle, ce manque de discernement et de fair-play pourrait coûter démocratiquement cher. Ce danger a-t-il été bien mesuré ?
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(Pourquoi la justice devrait-elle prendre des gants sous prétexte de campagne présidentielle, justement NON !?)

Il se croyait à l’abri en tant qu’ex élu comme d’autres bien connus qui sont rattrapés par des affaires douteuses de gros sous qui pollue la politique française !

La justice suit son cours, il aurait pu arrêter celle-ci dans l’œuf s’il avait voulu et dès le début s’il était « blanc-bleu » car il a les moyens de par ses avocats surement grassement payés d’ailleurs pour se défendre ?!

Pourquoi simplement n’a-t-il déjà pas porté plainte contre le Canard enchaîné ou Médiapart immédiatement (comme il l’avait dit) pourquoi n’a-t-il pas fourni rapidement assez de preuves (suffisantes) du travail d’attaché parlementaire de son épouse, cela n’est pas si compliqué ?

Si la justice poursuit, c’est qu’il y a assez d’éléments pour le faire et de ce fait nomme des juges pour investiguer plus en avant !

Pour le reste lui aussi poursuit sa campagne de « donneurs de leçon de probité » en passant et espère être élu comme cela, il tombera sous immunité juridique en tant que président de la république pour 5 ans !

Qu’il ne se plaigne pas si le boomerang de ses cachoteries financières dissimulées au mieux en se servant de son épouse et de sa famille pour augmenter sa surface de nanti lui revient dans la figure, par le vote des français dans les urnes comme il l’a demandé !

Car après en tant que président de la république à qui il faudra faire confiance, il fera ce qu’il voudra, comme d’autres avant lui (et qui a bu boira..!)

Nos institutions de cette Vème république obsolète au service de ses élus qui en profite n’encadrent pas assez ses pratiques financières et avantages exorbitants de cette caste de politiciens de tous bords qui votent eux même les lois les protégeant trop !

Il faut changer cela rapidement !


Jdeclef 26/02/2017 09h29

samedi 25 février 2017

Choisir un gouvernement pour MACRON il faut qu’il continue de faire du neuf !

Bayrou, Royal, Borloo, Villepin... Avec qui Macron peut-il gouverner ?

L'alliance avec le patron du MoDem est une bonne opération pour le leader d'En marche !, mais les contours d'une éventuelle majorité macroniste restent flous.

Le déjeuner entre les deux hommes aura lieu aujourd'hui, dans un fameux restaurant proche de la gare du Nord, celle d'où partent les trains pour Valenciennes. Le premier, Jean-Louis Borloo, a longtemps été député et maire de cette ville du Nord. Il a mis un terme à sa carrière politique en 2014 et se consacre désormais à son projet visant à électrifier l'Afrique. Mais son poids reste assez important pour être courtisé.
Le second, Jean-Paul Delevoye, a partagé la table du Conseil des ministres avec Borloo entre 2002 et 2004, avant d'être nommé médiateur de la République. Il s'est engagé aux côtés d'Emmanuel Macron en janvier dernier. Il profitera du repas pour tenter de convaincre son ami Borloo de l'accompagner dans cette aventure. « Tout ce qui contribue à rassembler fait partie de mon job, ma réputation de médiateur me pousse à ça ! » s'amuse-t-il.

Des ministres pourraient débarquer

Macron rêve de ce soutien, car il est temps que les contours de sa future majorité se dessinent. Voilà LA question : en cas de victoire à la présidentielle, avec qui le chantre du « Et droite et gauche » va-t-il gouverner ? Avec quels ministres, d'abord, avec quel groupe à l'Assemblée nationale, lui qui part de zéro, ensuite ? Depuis deux jours, François Bayrou est dans la poche, même s'il jure qu'à ce stade il n'a eu avec Emmanuel Macron aucune discussion sur un éventuel poste ministériel.
Jean-Louis Borloo est espéré, donc. Le soutien de l'ancien ministre des Affaires étrangères Dominique de Villepin, qui ne tarit pas d'éloges sur Macron, avec qui il discute de temps en temps, serait le bienvenu. L'homme du discours à l'ONU pour expliquer le « non » de la France à la guerre en Irak apporterait une crédibilité sur les sujets internationaux, qui manque à l'ancien ministre de l'Économie.
Par ailleurs, certains ministres du gouvernement actuel sont attendus (avec plus ou moins d'enthousiasme). La ministre de la Santé Marisol Touraine, le secrétaire d'État à la Francophonie Jean-Marie Le Guen ou encore la ministre de l'Écologie Ségolène Royal cachent de moins en moins leur envie de fuir Benoît Hamon et son programme, auxquels ils ne croient pas.

« On n'est pas loin de la bascule de 1958 »

Vient ensuite la question des élections législatives des 11 et 18 juin. « C'est ça, son vrai problème, bien plus que la question de son programme », souffle un ami de François Hollande. « Aujourd'hui, personne ne peut se prévaloir d'avoir une majorité stable après la présidentielle, pas même François Fillon », relativise l'ancien ministre du Commerce de Jacques Chirac Renaud Dutreil.
Emmanuel Macron a mis en place une commission nationale d'investiture chargée de sélectionner des candidats crédibles, dirigée par Jean-Paul Delevoye, justement. Bayrou apportera sans aucun doute dans sa besace un vivier de volontaires, que se fera un plaisir d'accueillir En marche !... Même si, aujourd'hui, les deux hommes jurent leurs grands dieux qu'ils ne s'abaissent pas à pareille tambouille. Les ralliés venus de la droite, comme les chiraquiens Jérôme Grand d'Esnon et Renaud Dutreil, donnent déjà des conseils sur les territoires plutôt méconnus de la gauche.
« On n'est pas loin de la bascule de 1958 parce que nous sommes dans un système à bout de souffle, il faut un homme nouveau », explique Jérôme Grand d'Esnon. Mais impossible aujourd'hui de se lancer dans de véritables projections de l'hémicycle en juin. Les législatives étant prévues six semaines après l'élection présidentielle, tous les camps savent que seule la dynamique de la victoire permettra d'espérer une large majorité. Et encore, ajouterait-on en ces temps de flou artistique
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Et surtout par exemple ne pas encore prendre des ministres du style de Ségolène ROYAL qui est une politicienne professionnelle d’une médiocrité déplorable et notamment en tant que ministre !


Jdeclef 25/02/2017 14h44

Cette gauche est « cul par-dessus tête » et se complait dans ses divisions puériles de suicide politique collectif !

Neumann - Hamon, Mélenchon, Jadot, Laurent… Mais qu'est-ce qu'ils attendent ?

Marine Le Pen semble assurée d'accéder au second tour de l'élection présidentielle. Pendant ce temps-là, la gauche se perd dans d'interminables discussions.

Depuis des mois, tous les instituts de sondages, sans exception, donnent Marine Le Pen largement en tête au premier tour de l'élection présidentielle : entre 25 et 28 %. Depuis des mois, ils expliquent que, en réalité, tous les autres candidats ne concourent que pour la deuxième place. Depuis des mois, ils indiquent que le candidat socialiste et celui de la gauche radicale seraient disqualifiés pour la finale. Depuis des mois, des responsables politiques, de gauche comme de droite, insistent sur le fait que la patronne du Front national serait possiblement aux portes du pouvoir et qu'elle pourrait gagner en mai prochain. Et alors ?

Discussions interminables

Et alors, depuis son écrasante victoire à la primaire de la gauche, Benoît Hamon négocie avec l'écologiste Yannick Jadot et avec le communiste Pierre Laurent. Un mois que ça dure ! Avec le premier, il a enfin obtenu gain de cause (au prix d'une quarantaine de circonscriptions, dont un tiers gagnables) : Jadot (entre 1 % et 2 % dans les sondages) retire sa candidature – retrait qui doit encore être validé par les électeurs de la primaire écologiste. Un mois pour y parvenir ! Comparé à l'alliance scellée en 24 heures chrono par Emmanuel Macron et François Bayrou, c'est long, très long. Avec le second, Pierre Laurent, rien n'est sûr et les discussions continuent. Pour combien de temps encore ?
De même, depuis un mois, Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon mettent en scène leur dialogue de sourds. « Benoît avait promis de m'appeler… Non, c'est la faute de Jean-Luc… Appelle-moi, Benoît… Je suis libre dimanche… » Heureusement que le ridicule en politique ne tue pas. Et tout ça pour quel résultat ? Hamon et Mélenchon ont, paraît-il, promis de se voir, mais comme aucun des deux n'a l'intention de se retirer au profit de l'autre…
Un mois de négociations, donc, pendant lequel, malgré l'urgence, malgré la gravité de la situation politique, malgré le risque FN agité par tous, la gauche a délibérément mis sa campagne entre parenthèses.

Des ministres indécis

Et que dire des poids lourds du Parti socialiste, élus, ministres, qui eux aussi devraient faire campagne jour et nuit pour éviter le pire ? Six ministres rencontrés cette semaine et tous, oui tous, hésitent encore entre Hamon et Macron. Inouï ! « Quand Benoît aura fini de faire le rassemblement avec les Verts et le PC, il trouvera peut-être cinq minutes pour rassembler les socialistes ! » me disait l'un d'eux. En vérité, ils attendent de voir lequel, de Hamon ou de Macron, sera le mieux placé pour accéder au second tour et battre Marine Le Pen. Laquelle, pendant ce temps, continue de progresser inexorablement dans les enquêtes d'opinion !
À leur décharge, il faut dire que le président de la République donne le mauvais exemple. Non seulement il n'a pas voté à la primaire, non seulement il n'a pas défendu son ancien Premier ministre Manuel Valls, mais un mois après le verdict, il n'a toujours pas dit clairement s'il soutenait ou non Benoît Hamon. Pourquoi les ministres seraient-ils plus royalistes que le roi ? Du coup, ils attendent, l'arme au pied, pendant que Marine Le Pen engrange et engrange encore…
Il est de bon ton, à gauche comme à droite, de railler l'ego surdimensionné de François Bayrou. Il n'empêche : le leader du MoDem, qui dit avoir agi par « abnégation », a fait un choix courageux. « Il n'avait pas le choix », rétorquent ses détracteurs. Admettons. Mais Mélenchon, Hamon, Jadot et les communistes ont-ils le choix ? Peut-être attendent-ils un électrochoc ? Un sondage, par exemple, qui démontrerait que Macron, flanqué de son nouvel allié Bayrou, totalise autant d'intentions de vote que Mélenchon et Hamon réunis ? À moins qu'ils ne s'évertuent à donner raison à Manuel Valls auquel ils reprochaient naguère d'avoir théorisé « les deux gauches irréconciliables »…
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Ces leaders à égo ridicules et pitoyables montrent bien leur incapacité à gouverner et même à avoir la stature de chefs d’états (qu’ils confondent hélas avec des monarques d’un autre temps !)

Aucun ne méritent d’être président, mais le pire est peut-être que les autres ne sont pas meilleurs, tant pour certains se prenant pour des messies sauveurs dépassés par leurs ambitions exclusivement personnelles !

Depuis 30 ans cette classe politique de tous bords c’est délitée dans une médiocrité lamentable et la facilité jusqu’à un président pleutre qui a jeté l’éponge avant l’échéance du jamais vu dans une V eme république créée par de GAULLE qui doit se retourner dans sa tombe, s’il voit cela !

Dans cet aéropage de vieux politiciens sclérosés par la politique, il y a peut-être une nouveauté, pas parfaite, mais qui a le mérite de vouloir faire autre chose en nivelant ces courants bi partis droite/gauche et leurs satellites et ses alternances bidon éternellement vouées à l’échec !

E.MACRON seul nouveau ? Cet électron libre qui veut essayer de prendre ce qu’il reste de bon dans les cendres de ces courants droite/gauche etc. et essayer de les réunir, il faut l’essayer, ce qui ne veut pas dire l’adopter, mais pas pire que de reprendre les mêmes archi connu depuis des décennies, mais là, il faut tenir compte de la versatilité des français qui n’a pas diminué au fil de ces années et qu’ils prennent simplement ce courage qui leur manque en oubliant les extrêmes, les médias et leurs sondages et les belles promesses totalement utopiques, voire malhonnêtes faites par certains pas nets eux-mêmes !


Jdeclef 25/02/2017 13h55