Montpellier
VIDEO. Montpellier:
Quatre personnes soupçonnées de préparer un attentat arrêtées
FAITS
DIVERS Dont une
mineure de 16 ans...
Des perquisitions ont été menées, donnant lieu à quatre interpellations, a souligné le parquet de Paris, dont un jeune homme né en octobre 1996. La perquisition à son domicile a revélé la présence d’explosifs (TATP, le même que celui utilisé lors des attentats du 13 novembre). Parmi les personnes interpellées figure également une jeune fille née en janvier 2001, suspectée d’être sur le point de se rendre en Syrie.
Arrêtés après avoir acheté de l’acétone
Ce
coup de filet « a permis de déjouer un projet d’attentat imminent sur le
sol français », a affirmé le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux.L’opération des policiers antiterroristes a permis « l’interpellation de quatre individus, dont trois directement suspectés de préparer une action violente sur notre territoire », à Montpellier, Clapiers et Marseillan (Hérault), indique le ministre dans un communiqué.
« Les enquêteurs pensent qu’un passage à l’acte était prévu, mais on ne sait pas où et comment », a précisé une source proche du dossier. « La volonté de passer à l’acte et de confectionner plusieurs engins explosifs semble matérialisée », a précisé une source policière, se félicitant d’un « projet d’attentat déjoué ». « Les quatre suspects, âgés de 16, 20, 26 et 33 ans, ont été arrêtés après qu’ils aient acheté de l’acétone », pouvant servir à la confection d’un engin explosif, a expliqué une source policière.
Une menace terroriste toujours « très élevée » en France
Parmi
eux, une jeune fille de 16 ans avait été repérée sur les réseaux sociaux, après
avoir exprimé la volonté de partir en zone syro-irakienne ou sinon de frapper
la France. « L’un de ses mentors était un des objectifs de la Direction
générale de la sécurité intérieure (DGSI) », a ajouté cette source
policière.
Lors des perquisitions, du TATP -
un explosif artisanal puissant mais très instable, prisé des djihadistes -
ainsi que de l’acétone, de l’eau oxygénée, des seringues et des gants de
protection, a précisé une source judiciaire. La France, placée sous le régime
d’état d’urgence depuis les attentats djihadistes de 2015 et 2016,
fait toujours face à une menace terroriste « très élevée ».
Alors que l’on apprend que les soit
disant « vieux sages » bien-pensant
du conseil constitutionnel censure un article de la loi de juin 2016 sanctionnant le délit de
consultation « habituelle » de
sites djihadistes !?
L’adolescente interpellée avait fait
allégeance à l'Etat islamique dans une vidéo (justement !)
Le plus important peut-être, c’est cette
jeune fille de 16 ans qui avait été repérée sur les réseaux sociaux, après avoir
exprimé la volonté de partir en zone syro-irakienne ou sinon de frapper la
France.
Mais avec notre liberté à tout va de bien-pensant
« il est interdit d’interdire »
et nous sommes pourtant en état d’urgence ne l’oublions pas avec des menaces
terroristes à l’intérieur de notre pays !
Nous ne savons pas si nous arriverons à
faire comprendre çà à nos dirigeants et nos institutions républicaines en matière
de sécurité et de terrorisme en dehors de tous courants politiques qui divisent
nos élus et font le jeu indirect de ses apprentis terroristes voire pire ?
Tout cela en plus parce que nous sommes
en campagne électorale, ce qui n’arrange pas la situation actuelle !
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