jeudi 30 novembre 2017

Encore une sordide histoire d'enlèvement d'enfant :

Disparition de Maëlys : de nouveaux éléments accablent le suspect

Sur des images de vidéosurveillance captées la nuit de la disparition, une silhouette blanche apparaît dans la voiture du suspect, révèle BFM TV.


Trois mois après la disparition de Maëlys, de nouveaux éléments mettent à mal la version du principal suspect. L'équipe d'enquêteurs qui travaille à plein temps sur ce dossier a réussi à exploiter les images d'une caméra de vidéosurveillance située dans le centre-ville de Pont-de-Beauvoisin. D'après BFM TV, qui a pu consulter ces images, la voiture de Nordahl Lelandais est captée à plusieurs reprises au cours de la nuit de la disparition de Maëlys.
Le véhicule du suspect apparaît une première fois vers 3 heures du matin sur les images de vidéosurveillance de la caméra, installée entre deux commerces. L'heure correspond aux déclarations de Nordahl Lelandais, qui avait indiqué aux enquêteurs avoir effectué plusieurs allers-retours entre la salle des fêtes, où se déroulait la réception du mariage, et son domicile, pour voir ses chiens et se changer, mais aussi pour acheter des bières.
Sur les images exploitées par les enquêteurs, prises en hauteur et à travers le pare-brise, une silhouette, de petite taille et portant un vêtement blanc, apparaît sur le siège passager. En retravaillant la photo, les enquêteurs n'ont pas réussi à identifier le passager, mais ont déterminé plusieurs éléments importants, notamment la tenue qui correspond à celle portée par Maëlys le soir du mariage, un vêtement blanc, à col rond, sans manches.

Les enquêteurs reconnaissent la voiture du suspect

Le conducteur du véhicule n'est pas visible sur les images de la caméra de vidéosurveillance en raison de la zone d'éclairage. La plaque d'immatriculation n'apparaît pas non plus. Mais les enquêteurs seraient persuadés qu'il s'agit bien de la voiture de Nordahl Lelandais, une Audi A3. Un éclairage défectueux des feux arrière, le positionnement des vignettes sur le pare-brise et la présence d'un autocollant particulier appuieraient leur thèse, selon BFM TV. Trente minutes après le premier passage, la caméra du centre-ville de Pont-de-Beauvoisin capte de nouveau le véhicule du suspect, cette fois-ci en sens inverse et sans la silhouette blanche sur le siège passager.
Les parents de Maëlys se sont rendu compte de la disparition de leur fille vers 3 heures du matin. Nordahl Lelandais n'était pas présent à la salle des fêtes à ce moment-là. Peu avant 4 heures du matin, les gendarmes ont été avertis. Quand ils sont arrivés sur place, le suspect ne figurait pas parmi les personnes présentes. Pourtant, son téléphone portable est localisé à la même heure dans la zone de la salle des fêtes. C'est la dernière fois que l'appareil émettra, avant 7 heures, Nordahl Lelandais l'ayant volontairement éteint.
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Avec une enquête mal menée qui traîne en longueur et là on ne peut invoquer le manque de moyens scientifique à notre époque !

De plus le soit disant suspect pas net on est incapable de le faire parler ou le confondre on voit bien une fois de plus que les présumés impliqués pour ne pas dire plus sont plus protégé que les victimes !

Car on se noie dans des arguties juridiques ou procédures qui peuvent conduire à des erreurs de procédures administratives qui protègent indirectement le suspect !

Notre justice n'est pas efficace une fois de plus, et surtout dans ce genre d'affaire d’enlèvement ou de disparition suspecte !


Jdeclef 30/11/2017 13h23

De toute façon avec cette déplorable affaire Gregory ? l'ancienneté de ce drame a occulté :

Affaire Grégory : vers une levée de la mise en examen de Murielle Bolle ?

Les avocats de Murielle Bolle vont déposer vendredi, devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Dijon, une requête visant à faire annuler sa mise en examen.

Murielle Bolle, personnage-clé de l'affaire Grégory, pourrait voir sa situation évoluer dans les prochaines semaines. L'un de ses avocats, Me Christophe Ballorin, a indiqué à l'Agence France-Presse qu'ils allaient déposer vendredi une requête visant à faire annuler sa mise en examen pour « enlèvement suivi de mort ». Cette requête sera déposée devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Dijon, dont la présidente Claire Barbier instruit l'affaire. « Nous avons toute confiance dans la collégialité de la chambre de l'instruction, car ce sont trois magistrats indépendants de qualité », a souligné le conseil. La requête sera précédée d'une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) sur « la validité de la garde à vue » de Murielle Bolle en 1984, durant laquelle l'adolescente n'avait pas été assistée par un avocat, la loi ne l'imposant pas à l'époque.
La demande de nullité vise notamment « l'absence d'indices graves et concordants qui font qu'il n'y avait pas lieu de la mettre en examen » à la fin juin, estime Me Ballorin. La QPC porte quant à elle sur les « droits de la défense », « les libertés fondamentales et l'évolution du droit ». « Outre la présence d'un avocat, tout gardé à vue a le droit de se taire et, pour un mineur, le droit d'être assisté par une personne de la famille », a détaillé l'avocat, pour qui « les procès-verbaux durant cette garde à vue sont nuls ». Selon lui, la cour devrait « surseoir à statuer » sur la demande d'annulation de la mise en examen, « dans l'attente d'une décision sur la QPC ». « Ce sont des débats de fond que Me Jean-Paul Teissonnière et moi-même posons, on ira jusqu'en cassation », a-t-il d'ores et déjà prévenu.

Marcel Jacob entendu lundi

Murielle Bolle, 48 ans, a été mise en examen fin juin. En 1984, elle avait accusé son beau-frère Bernard Laroche, cousin du père de Grégory, du rapt du garçon de 4 ans retrouvé mort dans la Vologne, avant de se rétracter. Jean-Marie Villemin avait tué ce dernier d'un coup de fusil en 1985. Pour l'accusation, Murielle Bolle aurait changé son témoignage après avoir subi des violences familiales, ce que contestent ses avocats. Elle est soupçonnée aujourd'hui d'avoir participé à l'enlèvement de Grégory, le 16 octobre 1984, avec Bernard Laroche. D'abord écrouée, elle a été placée sous strict contrôle judiciaire début août, avec obligation de résider dans un département éloigné de son domicile vosgien.
Sa mise en examen était intervenue deux semaines après celles de la grand-tante du petit Grégory, Jacqueline Jacob, et de son époux Marcel, poursuivis, eux, pour enlèvement et séquestration suivis de mort, un coup de théâtre qui avait relancé cette affaire vieille de 33 ans. Jacqueline Jacob, 73 ans, a été autorisée par la chambre de l'instruction de Dijon à rentrer chez elle le 20 novembre, trois jours après son interrogatoire par la juge d'instruction. Marcel Jacob, toujours privé de contact avec sa femme dans le cadre de son contrôle judiciaire, doit être entendu à son tour lundi avant de demander, le 20 décembre devant la cour d'appel, à rentrer chez lui dans les Vosges. Les deux septuagénaires sont soupçonnés d'avoir été les « corbeaux » de l'affaire et d'être impliqués dans le rapt et la mort de Grégory, dans le cadre d'un « acte collectif » qu'ils contestent.
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Toute forme de vérité par la mauvaise enquête bâclée que ce soit par la justice et ses juges et les enquêteurs de l'époque (le ou les coupables s'ils existent parmi la famille de cet enfant ne diront jamais rien!)

Une déplorable affaire de plus d'assassinat d'un jeune enfant innocent avec peut être une sordide histoire de famille et de vengeance !


Jdeclef 30/11/2017 13h09 LP

Ce qui prouve malgré ce qu'en disent certains musulmans qui se plaignent, c'est qu'on est bien plus tolérant que l'on dit en France pour cette religion !

Europe : la population musulmane en hausse à l'horizon 2050

D'après une étude du Pew Research Center, la population musulmane sera en hausse en Europe d'ici à 2050, entre 7,4 et 14 % de la population européenne.


Selon une étude du Pew Research Center publiée jeudi, la population musulmane en Europe va croître d'ici à 2050, même si l'immigration est nulle. La communauté musulmane représentait en 2016 4,9 % des habitants des 28 pays membres de l'Union européenne (Royaume-Uni compris), mais aussi la Norvège et la Suisse. En se basant sur trois scénarios, l'institut américain indépendant, reconnu pour ses recherches en matière de démographie religieuse, estime que les musulmans pourraient représenter entre 7,4 et 14 % de la population européenne à l'horizon 2050.
Trois scénarios de flux ont été retenus par Pew, qui estime à 53 % le taux de musulmans parmi les migrants arrivés en Europe entre 2010 et 2016. Le premier (immigration zéro), qui postule un arrêt immédiat et permanent de l'immigration même régulière vers les États concernés, anticipe que la population musulmane passerait de 4,9 % mi-2016 à 7,4 % des habitants de ces pays en 2050. Pew l'explique par le fait que « les musulmans sont plus jeunes (de 13 ans en moyenne) et ont une fécondité plus grande (environ un enfant de plus par femme) que les autres Européens ». Le deuxième scénario (immigration moyenne) se base sur la poursuite de l'immigration légale enregistrée en Europe ces dernières années mais la fin de l'arrivée des migrants cherchant l'asile en Europe. Selon cette hypothèse, la minorité musulmane atteindrait 11,2 % de la population européenne en 2050.

La France abrite la première communauté musulmane d'Europe

Enfin, un troisième scénario (forte immigration) prévoit que l'arrivée très importante d'exilés constatée entre 2014 et 2016 se poursuivra sur ce rythme jusqu'en 2050, ce qui porterait la part des citoyens de confession musulmane à 14 % de la population européenne. Soit une proportion près de trois fois supérieure à celle d'aujourd'hui, mais « considérablement moindre » que celle des chrétiens et des « sans religion » réunis, note l'institut.
Les musulmans de France, évalués par Pew à 5,7 millions en 2016 (8,8 % de la population), continueraient de former la première communauté musulmane d'Europe dans l'hypothèse d'une « immigration zéro » (8,6 millions, 12,7 %). Ils seraient 12,6 millions (17,4 %) avec le scénario médian et 13,2 millions (18 %) dans l'hypothèse d'une forte immigration. Seule cette dernière trajectoire permettrait à la population des 30 pays (520,8 millions d'habitants en 2016) de ne pas décroître, estime Pew. Dans ce cas, elle serait portée à 538,6 millions d'habitants, contre 516,9 millions dans l'hypothèse de flux moyens et 481,7 millions en cas d'« immigration zéro ».
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Dans notre pays pourtant de culture judéo chrétienne laïc démocratique et libre !

A cause d’une immigration en hausse depuis plus de trente ans, non régulée correctement !

C’est préoccupant et notamment en Europe aussi, car quand une religion prend trop d’importance par rapport à la religion la plus ancienne et culturelle dans un pays cela causera des troubles à terme, car elle veut imposer ses dogmes quelque fois obscurantiste et une attaque insidieuse des libertés fondamentales de chacun et même de ceux qui ne croient à rien !

Les religions et notamment certaines plus rigoristes divisent les peuples et nos dirigeants pleutres ne veulent pas en prendre conscience et continuent à pratiquer le politiquement correct hypocrite dans notre pays laïc, et on en souffre déjà depuis quelque décennies, moi qui suis vieux je m’en rends compte de cette évolution depuis déjà ces dernières années, mais ce n’est pas de bon ton de bien-pensant de dire cela hélas !


Jdeclef 30/11/2017 09h21JP

mercredi 29 novembre 2017

Les parents qui veulent faire leurs lois à l'école doivent être sanctionnés sévèrement!

Essonne : une enseignante et son principal agressés par les parents d'un élève

Les parents se justifient en expliquant que leur fils aurait été « réprimandé violemment » et « bousculé ». Les enseignants se sont mis en grève.

Une enseignante de sport et son principal ont été agressés par un couple de parents d'un élève lundi dans un collège de Chilly-Mazarin (Essonne), un incident qui a déclenché une grève des enseignants, a-t-on appris mardi de sources concordantes. L'agression a eu lieu vers 14 heures au collège Les Dines Chiens lorsqu'une enseignante d'éducation physique et sportive de 56 ans a été prise à partie par les parents d'un élève de sixième, selon le procureur de la République d'Évry, Éric Lallement. L'enseignante, qui a porté plainte, dit « avoir été amenée au sol, puis rouée de coups de pied et de poing par l'homme », et que la femme lui a tiré les cheveux et donné « un coup de genou au visage », a précisé le procureur dans un communiqué. L'agression lui a valu « de nombreux hématomes et ecchymoses sur le corps et le visage » et un arrêt de travail de trois jours, a-t-il ajouté.
Témoin de la scène, le principal a tenté de s'interposer et a été « repoussé » par le beau-père de l'enfant, un homme âgé de 29 ans, selon le ministère public. Les parents ont quitté le collège et se sont présentés deux heures plus tard sur convocation au commissariat de Longjumeau, où ils ont été placés en garde à vue. La mère de l'enfant, 37 ans, « a reconnu avoir porté des coups » et s'est justifiée en affirmant que son fils lui aurait raconté avoir été « réprimandé violemment » et « bousculé » par son enseignante lundi matin, a rapporté le parquet d'Évry. Selon une source proche de l'enquête, les parents s'étaient rendus au collège à cause d'un « problème comportemental » de leur fils, qui lui avait valu un mot dans son carnet de liaison. Lors de leurs premières auditions, les parents ont estimé que leur enfant était « victime de harcèlement » et que l'équipe pédagogique ne réagissait « pas suffisamment » face à cette situation, a-t-elle précisé.

« Inacceptable »

Des confrontations et auditions étaient toujours en cours mardi pour préciser les circonstances de l'agression, selon le parquet. « S'en prendre aux professeurs, c'est de toute façon inacceptable », a estimé le maire de Chilly-Mazarin, Jean-Paul Beneytou (LR). Selon lui, le couple de parents est « connu des services de police pour des propos pas toujours corrects ». Les cours n'étaient pas assurés mardi au collège, selon une surveillante et des parents rencontrés sur place par l'Agence France-Presse. Des banderoles « collège agressé » et « en grève » étaient déployées sur la façade de l'établissement quasiment désert. Le directeur académique de l'Essonne n'était pas immédiatement joignable et les parents croisés n'avaient pas reçu d'information sur la durée de la grève.
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Car ils sont un très mauvais exemple pour leurs enfants et ceux des autres !

Ce n'est pas acceptable, si l'on veut plus de discipline des élèves à l'école !

Et c'est pourquoi il faut interdire l’intervention quel qu’elle soit d’éléments extérieurs dans les établissements scolaires qui doivent être sanctuarisé !

Et le corps enseignant protégé  pour qu'il récupère le respect des enfants et quelque fois, surtout des parents mal élevés irresponsables !


Jdeclef 29/11/2017 13h04 LP

Les soit disant grands pays qui eux possèdent la bombe et les vecteurs qui vont bien avec vocifèrent de concert contre KIM JUNG UN et son pays la Corée du nord !

Tir de missile nord-coréen : les réactions internationales

VIDÉO. Les États-Unis, la Chine, la Russie et la France ont vivement condamné le nouveau tir réalisé par Pyongyang, qui affirme être devenu un État nucléaire.


La Corée du Nord a procédé mercredi à un nouveau tir de missile intercontinental. Après ce test passé avec succès, Kim Jong-un, le dirigeant nord-coréen, s'est félicité que son pays soit devenu un État nucléaire à part entière, capable de frapper n'importe où sur le continent américain.
D'après Pyongyang, l'engin a atteint une altitude de 4 475 kilomètres avant de s'abîmer à 950 kilomètres du site de lancement. Un spécialiste occidental a jugé que sa trajectoire en cloche, à la verticale, suggérait qu'il avait en fait une portée de 13 000 kilomètres, soit la plus longue pour un missile testé par la Corée du Nord, qui mettrait chacune des principales villes des États-Unis à sa portée.

Trump « va s'en occuper » ?

Donald Trump, le président américain, s'est montré obscur dans sa réponse initiale. « On va s'en occuper », a-t-il simplement déclaré. Le secrétaire d'État américain Rex Tillerson a souligné quant à lui que les « options diplomatiques » restaient « sur la table, pour l'instant ». Le ministre américain de la Défense, Jim Mattis, a affirmé que les militaires sud-coréens avaient tiré des missiles de précision en mer pour « s'assurer que la Corée du Nord comprend bien qu'elle peut être prise sous le feu de (leur) allié ».

« Inquiétude » en Chine

La Chine, via un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a exprimé mercredi sa « vive inquiétude » et son « opposition » après le nouveau tir de missile balistique effectué par la Corée du Nord, tout en appelant Pyongyang et Washington à l'apaisement et au dialogue. « Nous exhortons fermement la Corée du Nord à respecter les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU et à stopper toute action entraînant une hausse des tensions dans la péninsule coréenne, a martelé Geng Shuang. Dans le même temps, nous espérons que toutes les parties concernées puissent agir avec prudence et travailler de concert pour la paix et la stabilité de la région. »
Lire aussi La Corée du Nord financerait ses missiles grâce à l'Afrique

La Russie dénonce une « provocation »

De son côté, le Kremlin a dénoncé une « provocation ». « Ce nouveau tir de missile est bien entendu une provocation qui suscite une nouvelle hausse des tensions et qui nous éloigne d'un début de règlement de la crise », a déclaré lors d'un point de presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. « Nous condamnons ce tir et nous espérons que les parties concernées réussiront à garder leur calme, ce qui est nécessaire pour que la situation dans la péninsule coréenne ne suive pas le pire des scénarios », a-t-il ajouté, estimant qu'il n'y avait pas « pour l'instant de raison d'être vraiment optimiste ».
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Et regardent passer les missiles dans le ciel qui se rapprochent dangereusement notamment du JAPON !

Parallèlement le dictateur coréen dit avoir un pays état nucléaire (comme d’autres en fait !)

Ce qui n’est pas faux hélas !

Même TRUMP l’aboyeur vindicatif ne sait quoi dire ou quoi faire, ce qui n’est pas étonnant !

Et malgré qu’il prend de multiples camouflets de KIM JUNG UN viscéralement anti américain et encore plus depuis l’élection de ce nouveau président US !

Les autres pays de cette coalition antinucléaire contre la Corée du nord n’ont pas plus d’idées pour stopper ou empêcher le dictateur d’envoyer ses missiles ou faire de nouveaux essais nucléaires !

A moins de lui faire la guerre, catastrophe irréaliste inconcevable (à moins qu’un de ses missiles tombe sur le sol de ses pays ou aux USA !)

Ce qui lancerait indirectement une horreur qui basculerait en 3 eme guerre mondiale !

Tout cela à cause du fait que l’on ait laissé monter depuis des décennies ces escalades militaires dangereuses de ces dictateurs nord-coréens !

Mais là, cela représente bien les désaccords nombreux sur des sujets graves des pays occidentaux !

Et quand ils tombent d’accords, il est souvent trop tard tout comme avec cet ONU inutile !


Jdeclef 29/11/2017 12h36 LP

Pas idiot le président nationaliste corse mais :

Gilles Simeoni : « Je veux une autonomie de plein droit pour la Corse »

INTERVIEW. Candidat à sa propre succession, le président nationaliste du conseil exécutif de Corse ne revendique pas l'indépendance, mais l'autonomie.


Il est la figure montante du nationalisme corse. Depuis la prise de la mairie de Bastia aux municipales de 2014 et la conquête de la région dans la foulée en décembre 2015, l'autonomiste Gilles Simeoni s'est érigé en homme fort de l'échiquier politique insulaire. Aux commandes depuis deux ans du conseil exécutif de la collectivité territoriale Corse (CTC), le « mini-gouvernement » de l'île, il est candidat à sa propre succession et a de grandes chances de devenir le premier président de la nouvelle collectivité unique de Corse. Une sorte de mastodonte institutionnel qui doit fusionner, au 1er janvier 2018, l'actuelle CTC et les deux conseils départementaux de l'île.
Pour tenter de l'emporter lors des élections territoriales des 3 et 10 décembre, Gilles Simeoni mène de nouveau bataille aux côtés de ses alliés indépendantistes de Corsica Libera (La Corse libre, NDLR) emmenés par le président de l'Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni dans le cadre de la coalition Per a Corsica (Pour la Corse) qui leur avait permis d'arracher les rênes de la région, il y a deux ans. Pour autant, malgré la présence d'indépendantistes sur sa liste, Gilles Simeoni l'affirme : il ne réclame pas l'indépendance et se défend de tout scénario « à la catalane » en Corse. Le président du conseil exécutif de Corse met le cap sur l'autonomie qu'il compte obtenir dans trois ans. Et demande au gouvernement d'ouvrir le dialogue.

Le Point : Qu'est-ce qui a vraiment changé en Corse depuis deux ans ?
Gilles Simeoni : Les élections de décembre 2015 ont été un moment charnière de l'histoire contemporaine de l'île. À la fois un point d'aboutissement, car cela a été, à travers nous, la victoire de générations passées qui se sont battues durant des décennies pour faire reconnaître l'existence d'un peuple corse. Mais c'est également un point de départ, puisque cet événement politique reflète une volonté largement majoritaire de construire une Corse qui rompe avec des méthodes et des pratiques archaïques pour aller vers une Corse ouverte et émancipée. L'île a commencé à changer puisque le système ancien est en train de disparaître. Nous allons vers un nouveau système adossé aux valeurs de démocratie, de transparence et d'équité. Deux années, cela reste très court à l'échelle de l'action publique. Mais nous avons avancé dans des domaines clés comme les transports maritimes, la revitalisation des zones de montagne ou le soutien aux entreprises. Le travail est immense. Il faudra plus de temps pour le mener à son terme.
Vous rappelez souvent que les compétences de la CTC sont limitées et réclamez un statut d'autonomie « de plein exercice » dans trois ans. En quoi cela consiste-t-il ?
Cela s'inscrit dans une vue d'ensemble. Sur le court terme, les Corses attendent que l'on commence à changer leur vie au quotidien dans des domaines très concrets. Par exemple concernant la lutte contre la pauvreté, le chômage, le coût des transports, fondamental dans une île, le soutien à l'agriculture… Ils font donc des politiques volontaristes et effectives à court terme. Il y a également, à moyen terme, des enjeux en matière de transition énergétique, de gestion de l'eau, de développement numérique… Le dernier niveau est institutionnel. Dans l'immédiat, il faut réussir le challenge de la construction de la nouvelle collectivité unique en janvier 2018. Parallèlement, nous nous engageons à obtenir d'ici trois ans un statut d'autonomie de plein droit et de plein exercice, applicable dans la décennie à venir. C'est-à-dire un statut qui ne soit pas octroyé depuis Paris, mais conçu depuis la Corse. Il doit impliquer un pouvoir législatif et la reconnaissance juridique du peuple corse.
L'État sacrifie les intérêts de la Corse
La collectivité unique sera à peine mise en place le 2 janvier et vous demandez déjà un nouveau statut. Vous mettez la charrue avant les bœufs...
Non. Ce sont deux chantiers à mener de concert. Il faut démontrer de façon empirique que de nouvelles compétences, de nouveaux moyens et de nouvelles ressources sont nécessaires. Cela se construit par l'obtention d'un statut d'autonomie de plein exercice et de plein droit. Ce sujet fait partie du débat politique insulaire depuis des décennies. Le reporter une nouvelle fois en disant que ce n'est pas une priorité au regard du chantier de la nouvelle collectivité, ce serait un argument dilatoire.
Justement, la nouvelle collectivité n'apportera pas de compétences supplémentaires et apparaît comme un statut arraché de guerre lasse pour satisfaire l'une de vos revendications, la suppression des départements. N'est-ce pas un rendez-vous manqué ?
En effet, on aurait dû aller plus vite et plus loin. Notamment en matière de transfert de compétences. Cependant, aujourd'hui le principe d'une nouvelle collectivité a été enfin acquis, à la fois pour permettre la suppression des départements, parangons du clientélisme, et rationaliser l'action publique. Par exemple, concernant la cohésion de la société insulaire, car il y a des attentes en matière de représentation et d'équité territoriale. Il faut inventer un nouveau cadre et une territorialisation efficace. En tout cas, cette nouvelle configuration va mettre fin à une kyrielle d'intérêts locaux et particuliers au profit de l'intérêt général, et ouvrir la voie à l'émergence d'une vision politique globale à l'échelle de la Corse. Il fallait donc saisir cette occasion même si l'on considère que la solution aurait pu être meilleure. À nous désormais de valoriser ce statut et de l'élargir.
Reste que cette collectivité va naître dans l'inquiétude, notamment concernant les faibles ressources financières dont elle va disposer et dont vous imputez la faute à l'État. Êtes-vous vraiment prêt ?
L'État n'a pas joué le jeu. S'agissant de la structure de nos recettes, nous restons largement dépendants – à environ 70 % – des subventions étatiques et européennes. Ensuite, nos ressources sont trop faibles, y compris par rapport aux compétences qui nous ont d'ores et déjà été transférées. Nous voulons sortir de cette logique de dépendance pour maîtriser nos ressources notamment au niveau fiscal. La logique de compensation historique, via le plan exceptionnel d'investissements dont nous avons bénéficié en 2002, n'a pas été portée à son terme. Il faut donc obtenir des financements complémentaires de l'État pour la remise à niveau de nos infrastructures, et bénéficier d'un transfert de ressources fiscales. Notamment la TVA et une partie des grands impôts collectés en Corse. Seule cette autonomie fiscale permettra une autonomie politique réelle.
À chaque fois qu'une revendication est essentielle pour la prise en compte des spécificités de la Corse, elle se heurte à l'obstacle de l'anticonstitutionnalité. Je pense notamment à la reconnaissance officielle du peuple corse, à notre demande d'une co-officialité pour notre langue, d'un statut de résident pour accéder à la propriété ou au transfert de compétences fiscales. L'État doit faire évoluer son modèle et sa Constitution pour répondre à des aspirations qui ne peuvent pas être traitées par le mépris et l'indifférence. Le droit doit s'adapter aux besoins et aux attentes de la société.
Vous évoquez des « blocages » dans la relation avec le gouvernement, très crispée ces derniers mois et « inopérante » selon vos adversaires. À qui la faute ?
Tout le monde connaît la litanie des statistiques sociales et économiques déplorables en Corse. Nous avons l'un des taux de chômage, notamment chez les jeunes, parmi les plus élevés de France, une production inexistante, le taux de pauvreté le plus fort… Le tableau est sombre. Ce sont tous les indicateurs d'un pays sous-développé alors que la Corse est une terre riche avec des atouts incomparables. Les responsables de ce marasme sont ceux qui, durant des décennies, ont exercé le pouvoir en Corse. C'est-à-dire l'État et les partis traditionnels, gauche et droite confondues. Malgré cela, le nouveau pouvoir en place à Paris depuis quelques mois dit systématiquement « non » à toutes les demandes qui émanent de la Corse. On ne peut y voir que des raisons de calcul politicien et électoraliste. L'État estime que faire droit à ces demandes serait une manière de renforcer notre majorité nationaliste. Il préfère donc sacrifier les intérêts de l'île… Les urnes donneront l'occasion aux Corses de dire ce qu'ils pensent de ces pratiques.
Le ministre de l'Intérieur a tout de même déclaré le 31 octobre à l'Assemblée nationale que le gouvernement était favorable à « une autonomie de la Corse dans la République ». Cela devrait vous satisfaire…
Sur le principe, cela ne peut que nous laisser espérer qu'il y aura enfin un véritable dialogue. Reste à savoir quel contenu le gouvernement donne à l'autonomie. À côté de cette annonce qui laisse entrevoir une lueur d'espoir, j'ai vu l'intervention de M. Collomb lors d'un colloque en septembre dernier. Il expliquait que si les facultés d'adaptations législatives devaient être reconnues aux régions, elles seraient exercées par les préfets. Nous ne sommes pas vraiment sur les mêmes bases…
Toujours dans votre tribune au Monde, vous expliquez que, par son positionnement, l'État mettrait en péril la paix en Corse, alors que le FLNC a déposé les armes il y a trois ans. Cela signifie-t-il qu'un retour de la violence n'est pas à exclure ?
Une situation de blocage ne peut conduire qu'à une impasse. Il ne s'agit absolument pas d'exercer un quelconque chantage à la violence. Il ne peut pas y avoir de retour en arrière. Le temps de l'action clandestine est définitivement révolu. Le FLNC l'a annoncé en juin 2014 et nous l'affirmons solennellement avec nos partenaires de Corsica Libera dans le cadre de l'accord de Per a Corsica. Cependant, un conflit politique ne peut se solder que par une solution politique que nous appelons de nos vœux en choisissant la paix. Si l'État la refuse, cela veut dire qu'il veut entretenir la logique de conflit. J'espère que cela ne sera pas le cas.

La Corse n'est pas la Catalogne
Vous avez appelé, de façon inédite pour un nationaliste, à voter pour Emmanuel Macron au second tour de la présidentielle. Au regard de la situation de « blocage » actuelle, regrettez-vous ce choix ?
Non. Ma décision était guidée par la volonté de faire en sorte que la Corse nouvelle issue des urnes en 2015 ne place pas Marine Le Pen en tête d'un deuxième tour de scrutin observé à l'échelle internationale. Pour le reste, j'ai considéré qu'il appartiendrait à Emmanuel Macron, s'il était élu, de dire s'il souhaitait être l'homme d'État sous la présidence duquel ce conflit politique qui dure depuis un demi-siècle se réglera. Ou pas.
Le 2 septembre dans un entretien à Corse-Matin un membre influent de votre exécutif a mis sur la table la notion « d'autodétermination ». Envisagez-vous pour la Corse un scénario à la catalane ?
Les situations corses et catalanes présentent des similitudes, eu égard notamment aux revendications de deux peuples à être reconnus. Mais il y a aussi des différences politiques importantes, au plan économique par exemple. La Corse n'est pas la Catalogne.
Dans ce cas, l'indépendance est-elle une ligne rouge ?
La question de l'indépendance ne se pose pas aujourd'hui et ne figure à aucun moment dans l'accord de Per a Corsica. Encore une fois, nous nous battons pour un statut d'autonomie de plein droit et de plein exercice pour répondre aux enjeux dans tous les domaines. Cette revendication est partagée par une très grande majorité de Corses. Y compris ceux qui ne sont pas nationalistes.
Jean-Guy Talamoni et les indépendantistes qui figurent sur votre liste fixent tout de même l'indépendance de la Corse à dix ans…
Les indépendantistes se battent de façon démocratique pour défendre cette notion. Personne ne pourrait prétendre le leur interdire. Eux-mêmes reconnaissent toutefois que si les Corses ne veulent pas d'une indépendance, il n'y en aura pas. Dès lors, le problème ne se pose pas. Il est créé artificiellement par ceux qui, comme tous les conservateurs de gauche et de droite, essaient d'agiter cet épouvantail pour susciter la crainte.
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Pas l’indépendance totale, car l’autonomie, c’est le beurre et l’argent du beurre :

Car un pouvoir régional élargit, sans les inconvénients de l’état français souverain !

Mais ne pas finir comme la Catalogne par exemple, car la CORSE sans la France aurait du mal à vivre, c’est une île qui a forcément besoin de la métropole bien que proche de la France !

La Corse ce n’est que 324000 habitants corse mais français n’en déplaisent à certains pas plus qu’une grande ville française gonflée d’orgueil nationaliste teintée d’indépendance, c’est très à la mode, même si c’est utopique !


(D’ailleurs à titre d’exemple nous verront ce que décidera la NOUVELLE CALEDONIE 267000 habitants pour accéder à l’indépendance ou rester française, mais là c’est une colonie du bout du monde !)

jdeclef 29/11/2017 13h55

Mais pourquoi les médias nous parlent-ils sans cesse de F.HOLLANDE ?!

La nouvelle vie de François Hollande

Un an après son renoncement, l'ex-président de la République se déploie sur le terrain et à l'international pour être « au service des autres ».


Que fait François Hollande ? Visites de terrain, déplacements internationaux, émission de télévision : près d'un an jour pour jour après son renoncement, l'ex-président de la République entend maintenir le lien avec les Français, avec l'ambition de continuer à « être utile » à son pays et à sa famille politique. « C'est un ancien président qui veut être au service des autres », explique son entourage. Devenu en septembre président de La France s'engage, une fondation dont il avait initié le projet pendant son quinquennat, l'ex-président de la République a multiplié depuis trois mois les déplacements en banlieue et en province, à la rencontre des projets soutenus par la fondation : Rouen, Marseille, Poitiers, Sarcelles... Le 15 décembre prochain, il présidera à la Station F à Paris une cérémonie en l'honneur des lauréats de 2017, en présence de la journaliste Claire Chazal et du champion paralympique Michaël Jeremiasz. L'ex-président est aussi très présent sur le terrain diplomatique. Après le Portugal et la Corée du Sud, il ira aux Émirats arabes unis les 11 et 12 décembre, et se rendra en Afrique début 2018, puis en Chine.
La semaine dernière, il a reçu le Premier ministre grec Alexis Tsipras dans ses vastes bureaux du 242, rue de Rivoli, quelques jours après avoir vu le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker en marge d'une visite à Bruxelles, ou le président de l'Union africaine, Alpha Condé. Pas de « diplomatie parallèle », mais « si un message est transmis, François Hollande le fait passer », glisse son entourage. L'ancien chef de l'État avait ainsi confirmé fin août avoir fait « passer des messages aux autorités turques » pour la libération du journaliste Loup Bureau. L'ancien président participera vendredi à une conférence à Sciences po Bordeaux, où il parlera de géopolitique, tout juste un an après avoir renoncé à une nouvelle candidature à la présidentielle.

Un livre au printemps

Désormais plus libre de son agenda, François Hollande prend aussi le temps de rencontrer des économistes (comme Eric Heyer et Matthieu Plane de l'OFCE), des historiens, des philosophes ou des écrivains – il a récemment déjeuné avec Sorj Chalandon. Amateur de théâtre, il n'hésite plus à s'afficher avec sa compagne, l'actrice Julie Gayet, ni à poser pour les photographes – on les a vus tout sourire en une de Paris Match fin octobre. Début novembre, François Hollande avait raconté à Michel Drucker sur France 2 ses souvenirs des attentats du 13 novembre 2015. L'ex-président, âgé de 63 ans, travaille aussi à l'écriture d'un livre, qui paraîtra vraisemblablement au printemps, sur « les leçons du pouvoir », et sur « l'avenir de la social-démocratie » en Europe et en France. Hyperactif, François Hollande ? « Si l'idée, c'est qu'il fait de la politique politicienne en cherchant dans les coulisses à tirer les ficelles (en vue du congrès du PS en avril, NDLR) ou à répondre aux attaques d'Emmanuel Macron, ça n'est pas son sujet », démine l'ancien ministre Michel Sapin.
Michel Sapin assure d'ailleurs que François Hollande va se consacrer davantage à l'international, ce qui « lui permet de se placer au-dessus des débats franco-français ». Si certains au PS prêtent à François Hollande d'avoir promu la candidature de Bernard Cazeneuve (pour mieux le piéger), ou de soutenir celle de Stéphane Le Foll, sa préoccupation première serait surtout que le courant majoritaire du PS s'accorde sur le fond, alors que la division guette. « Pour François Hollande, les noms importent peu, ce qui compte c'est la ligne politique. Il faut une ligne nette, et un dispositif où on se retrouve tous », affirme l'ancien député Eduardo Rihan-Cypel, qui échange avec lui. Quant à son propre avenir, « François Hollande n'a pas écarté la possibilité de jouer un rôle », rappelle un hiérarque du PS. « François Hollande n'est pas candidat mais il fait tout pour que, si ça se présente, il le soit », décrypte cette source. Lauréat mardi soir à Issy-Les-Moulineaux du Grand Prix 2017 de l'humour politique, François Hollande n'a pas manqué de plaisanter sur cette idée d'un éventuel retour. « J'ai bien compris que c'était l'ensemble de mon œuvre qui était saluée, je parle de ce domaine-là. Mais je vais vous faire ici une révélation : mon œuvre n'est pas achevée, du moins sur ce plan-là ! »
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C’est ex président pleutre qui a jeté l’éponge avant la fin de son quinquennat plus que médiocre !

Qu’il profite de sa retraite dorée avec son actrice, il a été vilipendé par une majorité de français ce « Mr »sans amour propre !

Qu’il nous oublie comme beaucoup de français qui n’en voulaient plus, il y a déjà assez de sujet plus important !

Cet ex politicien de peu de valeur devrait oublier définitivement la politique, car il a été inutile à la France (comme d’autres d’ailleurs de cette ancienne classe politique sclérosée qui ont bien profité des français qui avaient commis l’erreur de l’avoir élu !)


Jdeclef 29/11/2017 08h01LP

mardi 28 novembre 2017

Depuis le temps que l'on entend parler de carburant miracle ?!

Un carburant sans pétrole pour sauver le climat

Un carburant synthétique produit à partir d'énergies renouvelables pourrait bien être le moyen le plus rapide de lutter contre le dérèglement climatique.


Vouées aux gémonies, les voitures essence ou diesel pourraient bientôt se racheter sur le plan environnemental. S'il est acquis que la voiture électrique va devenir incontournable dans les zones les plus peuplées du globe parce qu'elle ne produit pas du tout de gaz d'échappement et donc beaucoup moins de polluants locaux que la voiture thermique , ce ne sera pas l'unique solution comme semblent le penser les politiques. Rappelons qu'elle émet tout de même quelques particules via ses pneus et plaquettes de frein mais l'évolution de sa part de marché (toujours de moins de 1 % aujourd'hui à l'échelle mondiale) sera dans tous les cas bien trop lente pour atteindre les trés ambitieux objectifs fixés par la COP21.  Dans les 40 prochaines années, ils visent en effet une réduction de 85 % des émissions de CO2 fossile réalisée par le secteur des transports des pays développés.

Le méthanol comme vecteur d'énergie universel







Pour y parvenir, le moyen le plus rapide consiste à remplacer l'essence et le gazole raffinés à partir de pétrole par des carburants de synthèse produits à partir d'énergies renouvelables. L'avantage? Ils sont compatibles avec les voitures thermiques actuelles, qui, dans tous les cas, sont loin d'être condamnées et ne vont pas disparaître du jour au lendemain.
Les procédés pour y parvenir sont innombrables, et pour certains maîtrisés à l'échelle industrielle depuis des décennies. Des acteurs majeurs de l'industrie chimique, pétrolière, mais aussi automobile comme le groupe Volkswagen et Bosch se sont d'ores et déjà engagés dans cette voie. L'une des méthodes les plus prometteuses, théorisée par le Prix Nobel de chimie George A. Olah, consiste à produire du méthanol afin de s'en servir comme vecteur d'énergie universel. Car le méthanol, aussi appelé alcool méthylique, présente notamment l'avantage de pouvoir être synthétisé à partir de nombreuses énergies primaires, simplement à partir de biomasse, ou de CO2 et d'hydrogène. Mais il y a aussi et surtout une production à partir du CO2, d'eau et d'électricité excédentaire (supérieure à la demande instantanée du réseau) produite par des éoliennes ou des panneaux photovoltaïques.

Convertible en essence ou gazole de synthèse

Liquide et donc, à la différence de l'électricité, facilement stockable et distribuable via des stations-service existantes, le méthanol peut être utilisé pur dans des moteurs essence optimisés à cet effet. il l'a été pendant des décennies dans des voitures de course aux États-Unis (malgré sa toxicité), ou mélangé à de l'essence comme c'est le cas à hauteur de 15 % pour le M15 distribué en Chine. Mieux, il peut aussi être converti, soit en essence de synthèse via le procédé MTG (Methanol To Gasoline), soit en un composé capable de se substituer au gazole comme l'Oxymethylene ether (OME) ou le Dimethyl ether (DME).

Réduction massive des émissions de CO2 fossile

Ce large éventail de carburants de synthèse est immédiatement compatible avec le parc automobile actuel. Cela permet de ne pas avoir à attendre le renouvellement de ce dernier pour réduire massivement l'impact du secteur des transports sur le dérèglement climatique. Les émissions de CO2 d'origine fossile des véhicules à moteur thermique pourraient ainsi être progressivement abaissées jusqu'à 90 % dans les années à venir.
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Que l’on cesse de leurrer les français lambda !

Je suis âgé, mais depuis mon enfance on nous fait croire à la venue de carburant divers pour remplacer l'essence ou le pétrole ?

Faudrait-il déjà que l’on s’attaque aux lobbies des pétroliers !

Il y a surement des solutions alternatives, mais on ne se précipite pas à les trouver ou à les appliquer pour celles qui existent !

Et puis il y a encore beaucoup de nos concitoyens qui se chauffent au fuel !

On parle beaucoup de la voiture électrique, mais il y a des freins : 

autonomie réduite et véhicule trop cher, sans compter les infrastructures bornes peu nombreuses et bien sûr la consommation électrique, pour recharger les batteries, alors que l’on parle déjà de supprimer des centrales nucléaires à remplacer par quoi, sans repasser au charbon (on a vu en ALLEMAGNE par exemple ?)

Par des énergies vertes mais nettement insuffisantes que l’on ne peut implanter partout ne serait-ce que par des riverains qui s’y oppose à cause de nuisances bruyantes pour les éoliennes ou par des zones interdites survolées par notre aviation militaires pour ses entraînements etc…

L’utopie écologique des illuminés de tous poils sera toujours freinée par le profit et l’argent roi çà c’est une réalité on le voit bien avec le fameux réchauffement climatique que l’on traite en palabrant indéfiniment pour arriver à des promesses lointaines peu tenues car changeantes comme nos dirigeants divers !

Et puis surtout le désaccord des pays du monde entre les pays riches ou pauvres qui chacun à leur façon veulent profiter du progrès ce qui est humain, mais pas synonyme de consensus mondial !

Jdeclef 28/112017 13h28 LP

Gagner trop d'argent (facile) est mal vu en France ?! Merveilleux monde du show byz !

Exil fiscal : Florent Pagny sans honte et sans reproche

Dans une interview sur TF1, le chanteur répond à ses détracteurs. « Ils n'ont qu'à gagner beaucoup d'argent », juge-t-il sans états d'âme.

Florent Pagny persiste et signe. Interrogé sur son récent exil fiscal au Portugal, le chanteur n'a pas tourné autour du pot pour moucher ses détracteurs. « Ils n'ont qu'à gagner beaucoup d'argent et, après, on verra comment ils se comporteront », a-t-il commenté dans l'émission Sept à huit diffusée le week-end dernier sur TF1. Le coach de The Voice, fidèle à son style direct, sous-entend qu'on n'a pas évidemment le même avis selon l'état de son compte en banque, et qu'il suffit d'avoir les poches bien pleines pour vouloir légitimement éviter de se faire matraquer par les impôts... Et de fustiger dans la foulée l'attitude des Français vis-à-vis des personnes fortunées. « C'est, à mon avis, des espèces de délires de jalousie ou d'envie parce que, quelque part, à un moment, on se dit qu'on n'y arrivera peut-être jamais, alors, finalement, on déteste celui qui peut y accéder... »
Fin septembre, l'artiste avait mis le feu aux poudres en lâchant, au détour d'une interview accordée au Parisien, qu'il s'installait au Portugal, non seulement pour sa qualité de vie mais aussi pour ses avantages fiscaux... « Pas d'impôts sur l'héritage et sur la succession, soulignait-il. Je n'en suis pas encore là, mais je trouve ça sympathique quand même. Parce que, quand un mec a bossé toute sa vie en payant des impôts, le jour où il est mort, on lui reprend encore la moitié. Ce n'est pas une honte, ça ? » Et d'ajouter : « Pas d'impôts sur la fortune. Je ne suis pas fortuné, mais j'espère y arriver. Mais surtout, pendant dix ans, pas d'impôts sur les royalties du monde entier. Et donc beaucoup d'artistes qui touchent des royalties se disent que ça peut valoir le coup... »
Ça va, les mecs, on a assez donné !
Une sortie qui a déclenché une vive polémique et agacé plusieurs membres du gouvernement, dont Bruno Le Maire, qui lui demandait de revenir sur sa décision, ou encore Florence Parly, la ministre des Armées et ex-secrétaire d'État au Budget, pour laquelle cet exil était tout simplement « indigne ».
Florent Pagny, qui vit depuis longtemps entre la France, l'Argentine et les États-Unis, faisait alors savoir qu'il continuait à payer des impôts dès qu'il effectuait des performances en France, comme des concerts ou son coaching dans l'émission The Voice. Selon ses dires, il laisserait chaque année entre 300 000 et 1 million d'euros au fisc français. Le Portugal lui permettrait, en revanche, de voir l'addition baisser pour ses revenus issus des droits d'auteur touchés sur la vente de ses albums, ce qui, selon lui, représente un tiers environ de ce qu'il gagne.
Le chanteur assume complètement sa prise de position en arguant qu'il reste, au bout du compte, un bon contribuable. Quant aux critiques, voilà longtemps qu'il s'en accommode, d'autant qu'elles ne l'empêchent pas de remplir des salles... « Je n'ai pas de honte, déclarait-il fin septembre sur le plateau de Quotidien (TMC). Je suis dans la légalité. La vie me le permet. Ça va, les mecs, on a assez donné  ! Si on ne peut pas s'organiser pour se la faire un peu plus belle, excusez-moi  ! Je ne vois pas où est le mal si c'est légal. Je ne fais pas de fraudes, je ne triche pas... »


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Que Mr PAGNY planque son argent ailleurs qu'en France, il n'y a pas que lui !
Grand bien lui fasse, cela n’enlève rien à personne !

Mais ce faire interviewer sur TF1 qui ne coure que pour des scoops sans intérêt pour l’audimat  et pour le profit des affairistes qui ont acheté cette chaine, çà vole bas !

Et qu’il n’insulte pas les pauvres qui n’ont pas d’argent ou même du travail !

Ce petit esprit, triste sire !

Cela fait penser un peu à une réflexion de notre président E.MACRON qu’il est inutile de citer mais dont tout le monde se souviendra (avec une histoire de costume !)


Jdeclef 28/11/2017 10h26 LP

L'Afrique francophone et certains africains en ont marre de la France ex coloniale!

Une attaque à la grenade précède l'arrivée de Macron à Ouagadougou

Alors que le président français était attendu au Burkina Faso, des soldats français ont été visés par une attaque. Trois civils ont été blessés.


Une attaque à la grenade contre des soldats français à Ouagadougou a marqué l'arrivée du président français Emmanuel Macron au Burkina Faso, première étape de son déplacement en Afrique. Lors de cette visite de trois jours – la première de son quinquennat – qui doit le mener également en Côte d'Ivoire et au Ghana, Emmanuel Macron entend convaincre une jeunesse africaine de plus en plus hostile à la présence française, sur fond de menace terroriste persistante au Sahel, que les troupes françaises installées dans la région ont du mal à combattre, et d'un flux migratoire croissant que l'Europe veut endiguer.
Lundi soir, deux heures avant son arrivée, des individus encagoulés à moto ont lancé une grenade contre le véhicule français dans le nord de Ouagadougou. Ils n'ont pas atteint leur cible, mais ont blessé trois riverains, dont un grièvement. Encore non revendiquée, l'attaque s'est produite loin de l'aéroport et alors qu'un important dispositif sécuritaire avait été déployé dans le centre de la capitale. Le véhicule qui se dirigeait vers Kamboinsé, la caserne des forces spéciales françaises stationnées dans le pays, a été attaqué vers 20 heures (heure locale et GMT, 21 heures à Paris), selon une source sécuritaire sous couvert d'anonymat. Le président est arrivé vers 22 h 30.

Ouagadougou, cible des djihadistes

La France, ancienne puissance coloniale, entretient une coopération militaire ininterrompue avec les autorités du Burkina depuis l'accession à l'indépendance du territoire de la Haute-Volta en 1960. Depuis 2010, date à laquelle la menace djihadiste s'est précisée dans la bande sahélo-saharienne, des éléments des forces spéciales françaises, basés à Ouagadougou, apportent leur soutien aux forces de défense. Celles-ci sont notamment intervenues lors de l'attentat de janvier 2016 (30 morts) lorsque des djihadistes avaient ouvert le feu sur des terrasses du centre-ville. La capitale a subi en août un attentat similaire qui a fait 19 morts, alors que le pays fait face au Nord à sa frontière avec le Mali à des attaques récurrentes.
La grenade lancée va tendre la visite du président français. Il est probable que les forces de l'ordre renforcent les mesures de sécurité alors qu'Emmanuel Macron est censé passer mardi un « grand oral africain » devant 800 étudiants de l'université de Ouagadougou.
Le Burkina est l'emblème de l'aspiration démocratique de la jeunesse africaine
Ce discours, suivi de questions-réponses avec les étudiants, devait être le point fort de cette tournée. Ce voyage marque « une nouvelle étape de notre relation avec votre pays et tout un continent », a-t-il déclaré à la presse en atterrissant lundi soir à Ouagadougou sans faire allusion à l'attaque. « Le Burkina est l'emblème de l'aspiration démocratique de la jeunesse africaine », a-t-il ajouté, allusion au soulèvement de 2014 qui a balayé Blaise Compaoré après 27 ans au pouvoir, mené par une jeunesse qui compose plus de la moitié de la population.
Emmanuel Macron doit convaincre une jeunesse très méfiante vis-à-vis de la France. L'annonce de sa visite a déclenché une salve de critiques. Sur la plateforme participative Présimètre, les jeunes – du moins ceux qui ont accès à Internet – ont posté ce week-end de nombreuses questions. Parmi elles dominent deux affaires sensibles : la demande d'extradition de François Compaoré, frère de Blaise, frappé d'un mandat d'arrêt international dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat du journaliste Norbert Zongo en 1998, ainsi que la levée par Paris du secret défense de Paris sur l'assassinat en 1987 du président Thomas Sankara, devenu depuis une figure emblématique burkinabè et panafricaine.
Les jeunes Burkinabè réclament aussi la fin de tout ce qui illustre pour eux le passé colonial : le « pillage des ressources » par des entreprises françaises, le franc CFA arrimé à l'euro et... la présence militaire française. De nombreux Burkinabè refusent cette présence et estiment que les attaques djihadistes en sont une conséquence et non une cause.

Gaffe

La France doit également faire évoluer son image d'alliée indéfectible des vieux dictateurs africains, après des décennies de « Françafrique ». Le président français pourrait être interpellé sur sa phrase prononcée au G20, où il avait estimé qu'il était impossible de développer l'Afrique à cause de ses « 7 ou 8 enfants par femmes », critique sociétale très mal perçue. Il y a dix ans, à Dakar, Nicolas Sarkozy avait affirmé que « l'homme africain n'était pas entré dans l'histoire », une gaffe qui l'a durablement desservi.
Mercredi, Emmanuel Macron rejoindra Abidjan, la capitale économique ivoirienne pour le cinquième sommet Europe-Afrique avant de se rendre au Ghana, pays anglophone choisi pour illustrer sa volonté d'une approche « continentale » de l'Afrique", au-delà de l'Afrique francophone. Ses priorités au sommet : obtenir le soutien financier des Européens pour la force antiterroriste des pays du G5 Sahel et coordonner la lutte contre les passeurs, y compris en Libye où certains migrants sont vendus comme esclaves. Le président français a qualifié mercredi ces cas d'esclavage de « crimes contre l'humanité ».
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Et le défilé continuel depuis des décennies de nos présidents et dirigeants depuis l’indépendance de ces pays de l'ex AOF/AEF !

Il faut en France que l'on perde cette habitude en soit disant vouloir aider cette Afrique qui ne sait qu'appeler l’état français ex colonialiste que quand elle a des problèmes de territoire, ethnique, religieux ou militaire qu'elle ne peut régler seule !

L'emprise indirecte de la France et occidentaux sur ce continent est loin de donner de bons résultat, il faut que l'Afrique et les africains deviennent adultes et ne se comportent plus comme des assistés, et cesse de laisser partir des flux importants d'immigrés vers l'Europe !

La France peut aider l'Afrique et commercer avec, mais de l’extérieur, comme on le fait avec d'autres pays étrangers, mais sans s’immiscer dans leurs affaires intérieures sans implication politiques ou militaires sur leur sol !

Il faut définitivement tourner cette page de notre histoire commune en cette Afrique et la France pour le bien de tout le monde !


Jdeclef 28/11/2017 09h43 LP