vendredi 30 juin 2017

Rien d'étonnant...

Assistants d'eurodéputés FN : Marine Le Pen mise en examen pour "abus de confiance"

Le parti est soupçonné d'avoir rémunéré sur des fonds européens des assistants parlementaires travaillant en réalité pour le parti.

Marine Le Pen a finalement été mise en examen pour « abus de confiance ». La présidente du Front national Marine Le Pen, mise en cause dans l'enquête sur les assistants parlementaires d'eurodéputés frontistes, était convoquée vendredi chez les juges, a-t-on appris de source proche du dossier. Marine Le Pen était entendue au sujet des salaires versés à sa chef de cabinet au FN, Catherine Griset, elle-même mise en examen pour recel, a précisé cette source, confirmant une information de RTL.
Jusqu'ici, Marine Le Pen avait refusé de rencontrer les juges : la nouvelle députée FN du Pas-de-Calais avait mis en avant le 10 mars son immunité d'eurodéputée pour rejeter une première convocation des juges, puis indiqué qu'elle répondrait favorablement à leur demande après les élections présidentielle et législatives.

Système généralisé

Les juges cherchent à déterminer si le parti d'extrême droite a mis en place un système généralisé pour rémunérer ses permanents avec des crédits européens, en les faisant salarier comme assistants de ses eurodéputés, mais sans que leur travail ait un lien avec les activités du Parlement européen. Marine Le Pen fait partie des 17 élus européens du FN, avec son père Jean-Marie Le Pen et son compagnon Louis Aliot, à être visés par cette enquête ouverte en France en 2015, qui porte sur une quarantaine d'assistants. Le préjudice pour le Parlement européen s'élèverait à près de cinq millions d'euros de 2012 à 2017, d'après des chiffres communiqués par l'institution européenne.
À la suite d'une dénonciation d'une eurodéputée FN, Sophie Montel, le parquet de Paris a par ailleurs ouvert en mars une enquête préliminaire pour « abus de confiance », visant 19 eurodéputés français issus d'autres partis, dont 6 du parti centriste MoDem présidé par François Bayrou. Cette affaire a conduit la semaine dernière trois ministres de la formation centriste, François Bayrou, Marielle de Sarnez et Sylvie Goulard, à quitter le gouvernement.
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Çà devait arriver maintenant est-ce que l'on va lever son immunité parlementaire tout est là, pour la suite ?

Mais il y en a d’autres comme elle du MODEM par exemple ?

Et notamment ceux qui ont démissionné du gouvernement !?


Jdeclef 30/06/2017 17h00

Le quinquennat Hollandais a été médiocre c'est un fait, mais arrêtons ce genre de discours habituel convenu à chaque changement de dirigeants quel que soit leur bords politiques au nouveau pouvoir !

Budget : Édouard Philippe dénonce le "chèque en bois" du gouvernement précédent

VIDÉO. Le Premier ministre a dénoncé un "dérapage" budgétaire de 8 milliards d'euros. Il a rappelé les engagements d'Emmanuel Macron de contenir le déficit.

Le Premier ministre s'est emporté contre le dernier gouvernement de François Hollande, après la publication des conclusions de la Cour des comptes. Édouard Philippe a dénoncé jeudi un « dérapage » budgétaire de 8 milliards d'euros légué par le précédent gouvernement et annoncé de nouvelles économies pour faire face à cette situation « inacceptable ».
Dans une courte déclaration à la presse, le Premier ministre est revenu sur les conclusions du rapport de la Cour des comptes remis jeudi : « Elles sont sévères, elles sont sans appel », a-t-il vivement déploré, en épinglant le gouvernement précédent de François Hollande, dont Emmanuel Macron a été le ministre de l'Économie entre 2014 et 2016. « Nous héritons d'un dérapage de plus de 8 milliards d'euros. 8 milliards d'euros... C'est inacceptable », s'est encore insurgé Édouard Philippe en rappelant que « l'équipe sortante s'était engagée à un déficit à 2,8 % du PIB » en 2017 alors que « la Cour dit qu'il est sans doute autour de 3,2 % ».

« Trois fois le budget de la Culture »

Ce trou de 8 milliards d'euros, « c'est comme si le gouvernement précédent avait construit un budget en oubliant celui de la Justice. C'est presque trois fois le budget de la Culture », a relevé Édouard Philippe, en estimant que « tous ces artifices placent la France dans une situation de grande fragilité ». Le Premier ministre s'est également alarmé du niveau "record" atteint par la dette publique, à « 2 147 milliards d'euros, soit plus de 70 000 euros par personne qui travaille ». « Nous n'avons pas le droit de faire cela à nos enfants, il ne leur revient pas de payer cette note », a-t-il plaidé, en évoquant également la menace sur « la souveraineté de notre pays » que fait peser cette dette.
Souhaitant « reconstruire un budget sérieux, crédible, sur des bases sincères », Édouard Philippe s'est engagé « à contenir le déficit à 3 % dès cette année ». « Nous ne le ferons pas en augmentant les impôts, nous le ferons par des mesures d'économies », a-t-il prévenu, sans détailler. « Dès mardi, lors de ma déclaration de politique générale, puis au cours du mois de juillet pendant le débat d'orientation des finances publiques, j'aurai l'occasion de préciser au Parlement notre stratégie de redressement des comptes publics », a conclu Édouard Philippe.
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Ce qui permettra surement au 1er ministre de justifier d’abandonner certaines promesses « macroniennes » ou d’en reporter d’autres au mieux !

Cet état de fait était connu des anciens gouvernements et du nouveau bien sûr, arrêtons de prendre les français pour des niais, chaque fois après une élection présidentielle avec changement d’étiquette politique, on a droit à ces mêmes commentaires des nouveaux dirigeants qui fustigent les précédents !

On parle de changement, mais là, rien ne change, c’est les français lambda qui subissent et paierons comme d’habitude rien de nouveau, une simple réalité comptable de mauvais boutiquiers hypocrites champions des discours fumeux !

Il est certain qu’un pays couvert de dettes ne peut résorber celles-ci en un quinquennat tout comme faire baisser le chômage ou retrouver une croissance sensible, car ça fait trente ans que l’on végète au mieux, mais plutôt qu’on baisse économiquement !


Jdeclef 30/06/2017 11h11LP

Les véhicules de toutes sortes deviennent des armes aux mains de malfaisants criminels déjantés du terrorisme islamique?!

Créteil : une voiture tente de foncer dans la foule près d'une mosquée

Aucun blessé n'est à déplorer, mais le véhicule 4 x 4 a heurté à plusieurs reprises les plots et les barrières de sécurité, avant de prendre la fuite.

Le pire a été évité de peu. Un homme à bord d'un 4 x 4 a percuté jeudi les barrières protégeant la mosquée de Créteil, au sud-est de Paris, sans faire de blessé, avant d'être interpellé, une « tentative d'attaque », selon des responsables musulmans qui évoquent un « drame » évité de justesse. Selon la préfecture de police de Paris, vers 18 h 30 un individu à bord de son véhicule 4 x 4 a « heurté à plusieurs reprises les plots et barrières placés en protection de la mosquée de Créteil. Ne parvenant pas à passer les obstacles, le conducteur du véhicule a poursuivi sa course, percuté un terre-plein, puis a pris la fuite », a-t-elle poursuivi dans un communiqué. Le conducteur et propriétaire du véhicule a ensuite été arrêté « sans incident » à son domicile.
« L'exploitation des vidéos et des témoignages permettra de montrer s'il a cherché à foncer sur la foule présente sur les lieux », a indiqué une source proche du dossier, précisant qu'une perquisition était en cours à son domicile, sans en révéler la localisation. Cet homme, connu des services de police pour un fait mineur, selon une source proche du dossier, a tenu des « propos confus en référence aux attentats » djihadistes ayant frappé la France depuis 2015 et qui ont fait 239 morts. Selon une autre source proche du dossier, il s'agit d'un Arménien de 43 ans qui fait l'objet d'un suivi psychologique.
« Préciser les motivations du conducteur »
Selon le parquet de Créteil, il a fait avec sa voiture « des embardées sur le parking de la mosquée » et la foule l'a évité. Il n'était pas sous l'emprise de l'alcool. La police judiciaire du Val-de-Marne, saisie, interrogeait jeudi soir l'homme placé en garde à vue. Karim Benaïssa, le président de l'Union des associations musulmanes de Créteil (UAMC), qui gère la mosquée, a rapporté avoir été témoin de la scène : « C'était à la fin de la prière, on sortait et puis on a vu cette voiture qui fonçait vers les murs de la mosquée. » Il y avait « quelques centaines de fidèles » pour la prière. « Certains fidèles ont esquivé la voiture. Il a eu un mauvais timing, mais à quelques secondes près, c'était le drame », a-t-il ajouté.
Le président de l'Observatoire national contre l'islamophobie au Conseil français du culte musulman (CFCM), Abdallah Zekri, a pour sa part jugé que, d'après les renseignements qu'il a récoltés auprès des fidèles, « l'acte semble volontaire et ressemble à une tentative d'attaque ». « Ce qui vient de se passer à Créteil semble justifier les craintes que j'avais émises après l'attaque près de la mosquée de Finsbury Park à Londres », a-t-il dit, appelant à « plus de vigilance de la part des responsables de mosquée » et demandant aux pouvoirs publics de « renforcer la protection des lieux de culte ». Le préfet de police de Paris Michel Delpuech a dit mettre « tout en œuvre » pour que l'enquête puisse « préciser les motivations du conducteur et déterminer sa responsabilité pénale ». La préfecture du Val-de-Marne a de son côté indiqué travailler « sur les mesures de sécurité supplémentaires à mettre en place pour garantir dans la durée » la protection des fidèles et de la mosquée.
Le 19 juin, un homme au volant d'une camionnette avait foncé sur des fidèles qui sortaient après l'iftar, le repas de rupture du jeûne pendant le mois du ramadan, devant la mosquée de Finsbury Park, dans le nord-est de Londres. La France, qui vit sous le régime exceptionnel de l'état d'urgence depuis les attentats de Paris et Saint-Denis en novembre 2015 (130 morts), a été la cible de deux nouvelles attaques ce mois-ci, visant les forces de l'ordre. Le 20 juin, un homme ayant prêté allégeance au groupe djihadiste État islamique (EI) s'est tué en lançant son véhicule contre des gendarmes. Le 6 juin, un Algérien de 40 ans fasciné par la propagande de l'EI a été blessé par un tir policier, après avoir attaqué au marteau une patrouille sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame à Paris.

Il semble que ce type d’attentat s'intensifie et le terrorisme islamique et ces fous dangereux s'adaptent sans cesse à de nouvelles actions criminelles   !

Le trop c'est trop en fait, car nos dirigeants de tous bords et leurs gouvernements passent leur temps à palabrer et a hésiter pour ménager tout le monde et surtout les bien-pensants partisans du politiquement dit correct, mais plutôt hypocrite !

On en est encore à palabrer sur l'utilité de l'état d'urgence ou des mesures sentinelles vigie pirate ou autres ?!

Mais cela ne suffit pas !

Alors qu'il faut muscler drastiquement notre justice et lui donner les moyens puissants notamment pour contre ce fléau terrorisme en matière de police pour investiguer en profondeur dans des lieux connus sans entrave et par du renseignement pointu accru !

Ne parlons plus d’atteintes à nos libertés qui d'ailleurs ne sont même pas touchées car cela ne dérange personne (sauf certains délinquants à la marge et encore...?)

Arrêtons, cette hypocrisie de laxisme assumée pour des questions de moralités que ces malfaisants ignorent, car ils n'ont aucune considération pour la vie humaine !

Et ne leur accordons pas l'excuse de revendications idéologiques religieuses ou autres alors qu'ils exportent chez nous la terreur en polluant l'esprit des plus faibles ou passe leur temps à avilirent les femmes en instituant une régression moyenâgeuse nous ramenant aux âges des ténèbres!

Il faut insister et forcer nos dirigeants en cette période de changement notamment dans notre environnement politique d'agir avec plus de rigueur, sans état d’âmes pour éradiquer ce virus d'islamisme extrême!


On ne peut passer son temps à regarder par-dessus son épaule en entendant certains qui disent qu'il faut s'y habituer !

JDECLEF 30/06/2017

jeudi 29 juin 2017

Pourquoi parlerait-elle maintenant et dirait encore le contraire ce qu'elle a déjà dit?

Affaire Grégory : le silence obstiné de Murielle Bolle

VIDÉOS. En 1984, la jeune fille avait mis en cause Bernard Laroche avant de se rétracter. Elle pourrait être mise en examen pour "complicité d'assassinat".

Ce jeudi après-midi, Murielle Bolle saura si elle est mise en examen pour « complicité d'assassinat » dans l'affaire Grégory. Les gendarmes n'ont plus que quelques heures pour achever une garde à vue débutée il y a presque 33 ans, le 2 novembre 1984. Selon son avocat, interrogée depuis mercredi matin, elle n'a pas modifié la version qu'elle maintient depuis le coup de théâtre du 6 novembre de cette année-là, quand elle avait opéré une spectaculaire volte-face, et innocenté Bernard Laroche.
En 1984, Murielle Bolle avait 15 ans. C'est le témoignage de cette toute jeune fille, la figure ronde couverte de taches de rousseur, qui avait provoqué l'inculpation de son beau-frère, cousin du père de Grégory Villemin, pour « assassinat ». Elle avait expliqué que le 16 octobre, jour de la mort de l'enfant, Bernard Laroche, 25 ans à l'époque, était venu la chercher en voiture au collège, puis avait récupéré un garçonnet qu'elle ne connaissait pas à Lépanges-sur-Vologne. Quelques instants plus tard, Laroche s'arrête, emmène l'enfant, et revient seul. Le témoignage était précis. La garde à vue de la jeune fille s'interrompt. Elle passe le week-end en famille et... se rétracte. Regard fixe, mâchoires serrées, l'adolescente fait face à la presse : « J'ai jamais été dans la voiture de Bernard, j'ai jamais été sur Lépanges, où le gosse a été noyé... Bernard, il est innocent. » Des images dont tout le monde se souvient...
Même si le juge Lambert croit toujours à sa culpabilité, il remet Laroche en liberté en février 1985. Ce qui permet au père de l'enfant, Jean-Marie Villemin, de l'abattre deux mois plus tard.

« La même version »

Si à l'époque, les enquêteurs pensent que Laroche a pu tuer l'enfant, ils penchent désormais plutôt pour un complot familial. Le 14 juin 2017, dans un rebondissement spectaculaire, Marcel et Jacqueline Jacob, grand-oncle et grand-tante de Grégory (mais aussi oncle et tante de Bernard Laroche), sont interpellés. Placés quatre jours en détention, ils résident depuis une semaine dans des endroits séparés, tenus au plus strict secret, placés sous contrôle judiciaire.
Jusqu'à présent, Murielle Bolle n'a plus bougé d'un pouce. Me Jean-Paul Teissonnière, son avocat, tempête : « Il y a maintenant 32 ans qu'elle maintient la même version. Il n'y a pas de nouveau de ce côté là. Si le fait de répéter les mêmes déclarations pendant 32 ans devient un délit, je ne comprends pas, clame-t-il. S'il fallait la mettre en examen, il fallait la mettre en examen il y a 30 ans. »
Il faudra plus tard que tu puisses regarder tes enfants en face. Je te plains, avec un secret pareil
À l'époque, les gendarmes avaient exploré une piste qui faisait d'elle un complice actif de l'enlèvement de l'enfant, retrouvé noyé pieds et poings liés dans la Vologne. Muriel aurait pu subtiliser une dose d'insuline à sa mère diabétique pour le plonger dans le coma. Un flacon et une seringue avaient été retrouvés au bord de la rivière. Une piste qui, comme les autres, est restée une impasse. En 1993, la cour d'appel de Dijon avait blanchi l'adolescente et exclu « une intention criminelle. »
Les enquêteurs disposent-ils d'un élément nouveau ? Selon Me Teissonnière, il est bien fragile. Un cousin éloigné affirmait que Murielle s'était confiée à lui, avouant qu'il y a 32 ans, elle avait menti pour innocenter son beau-frère. Chacun veut croire que Murielle en sait plus que ce qu'elle veut bien dire. Chacun espère que la vérité jaillira de la bouche de cette femme, 48 ans désormais, et devenue mère de famille. Lors de son procès pour le meurtre de Bernard Laroche, le père de Grégory lui avait lancé : « le faudra plus tard que tu puisses regarder tes enfants en face. Je te plains, avec un secret pareil. » Mais pour l'instant encore, Murielle Bolle se tait...
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Alors que depuis trente ans, tous les membres de cette famille qui sont plus au moins impliqués indirectement se taisent s'auto-protège par ces silences peut être aussi concertés, dont ils se sont refermés entre eux comme des huîtres !?

Typiquement des coutumes de province profonde d'un autre temps comme dans d'autres affaires retentissantes de famille comme l'affaire DOMINICI par exemple ?!

Et qui ont profité d'une justice laxiste et d'une enquête mal menée à l'époque et malgré les moyens modernes d'investigations actuels ou beaucoup de pièces à conviction ont disparues des témoins aussi sont morts ou trop vieux !

Et puis dans notre pays de liberté, on ne peut forcer à parler ceux qui ne veulent rien dire et en plus quand ils se rétractent, il faut prouver leurs dires ou volte-face !

Sans compter que les peines encourues seraient assorties d'un doute de culpabilité sur un ou des éventuels coupables à cause de forte présomptions, ce qui n'est pas suffisant !

Surtout, si c'est une vengeance glauque sur un pauvre enfant innocent et sans défense, si certains arrivent encore à dormir, chez les auteurs de ce crime, c'est que ce ne sont pas des êtres humains normaux !

Mais hélas, cela c’est déjà vu de la part d’êtres humains sans morale ou simplement n’ayant pas de cœur !


Jdeclef 19/06/2017 16h02 LP

OUI, une invitation justifiée et d’ailleurs le président MACRON a bien reçu POUTINE à Versailles alors ?!

Cérémonies du 14 Juillet : Donald Trump accepte l'invitation d'Emmanuel Macron

Le président américain va assister au défilé parisien pour célébrer "le centenaire de l'entrée des États-Unis dans la Première Guerre mondiale".

L'invitation pour assister au traditionnel défilé militaire du 14 Juillet sur les Champs-Élysées avait été lancée mardi, elle aura été rapidement acceptée. La présidence française a annoncé ce mercredi que le président américain Donald Trump avait « accepté l'invitation » d'Emmanuel Macron. « À cette occasion, des soldats américains participeront à ce défilé aux côtés de leurs camarades français », a indiqué l'Élysée, rappelant que le défilé célébrait cette année « le centenaire de l'entrée des États-Unis dans la Première Guerre mondiale ».
Le programme précis de cette première visite du président Trump en France n'était toutefois pas encore arrêté mercredi, a-t-on précisé de même source, spécifiant simplement que Donald Trump n'accompagnerait pas son homologue français dans l'après-midi à Nice. Emmanuel Macron doit y rendre hommage aux victimes de l'attentat djihadiste, qui avait fait un an plus tôt 86 morts et 434 blessés. À l'occasion de leur rencontre à Paris, « les deux dirigeants accentueront le solide partenariat économique et en matière de lutte antiterroriste qui unit leurs deux pays et discuteront de nombreuses autres questions d'intérêt commun », a déclaré la Maison-Blanche dans un communiqué.

Rencontres rugueuses

Le président français avait renouvelé mardi, lors d'un entretien téléphonique avec son homologue américain, une invitation lancée au cours de leur rencontre en marge d'un sommet de l'Otan, fin mai à Bruxelles. La présence de Donald Trump, qui sera sans doute accompagné de son épouse Melania, sur la place de la Concorde pour la fête nationale promet d'être un nouveau temps fort diplomatique du début de mandat d'Emmanuel Macron après son sommet avec le président russe Vladimir Poutine, le 29 mai, sous les ors du château de Versailles.
Les relations entre les dirigeants français et américain ont été jusqu'à présent rugueuses, Emmanuel Macron défiant son homologue américain qui a décidé de sortir de l'accord de Paris sur le climat en parodiant son slogan de campagne par cet appel : « Make our planet great again » (rendez sa grandeur à notre planète). Le président français avait aussi fait couler beaucoup d'encre en résistant à la poignée de main virile de Donald Trump lors de leur rencontre à Bruxelles.
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OUI et alors (certain, sans citer de nom) avait bien invité BACHAR AL HASSAD pour des raisons bien plus douteuses ?!


C'est les USA et les soldats américains que l'on remercie pour leur intervention pendant la grande guerre de 1914/1918 qui avait crié "LAFAYETTE nous voilà" en souvenir de l'aide française pour leur guerre d'indépendance qui a créé leur nation et sa constitution (pas son président actuel ) qui n'est là, que comme coïncidence de date, car centenaire du à l'histoire !


Jdeclef 29/06/2017 11h11 LP

Les cadres LR qui critique leurs collègues "constructifs" ne font pas mieux que le PS !

Assemblée : Les Républicains et les "constructifs" se déchirent

La répartition des postes-clés a donné lieu mercredi à une bataille entre "groupes d'opposition", notamment chez Les Républicains.

Premier test de la domination de La République en marche dans une Assemblée recomposée, la répartition des postes-clés a donné lieu ce mercredi à une bataille entre « groupes d'opposition » virant au psychodrame « digne de la IVe République », selon certains. Entamée à 15 heures, la séance n'a été levée qu'à 0 h 35. En 2012, la même séance, où on entérine le partage des postes préalablement convenu, avait duré cinq minutes... « Il y a des moments où on est plus fiers d'être députés que ce soir », a commenté le président du groupe Nouvelle Gauche (socialistes) Olivier Faure. C'était la première séance de François de Rugy au perchoir, au lendemain de son élection et de la constitution de sept groupes, un record sous la Ve République. À l'ordre du jour, la nomination des membres du bureau, plus haute instance collégiale, dont six vice-présidents. La zizanie va venir du choix des trois questeurs, ces députés qui sont chargés de tenir les cordons de la bourse et de veiller à la bonne utilisation du budget de l'Assemblée. François de Rugy rappelle « la pratique constante depuis 1973 » : deux de ces postes pour la majorité, un pour l'opposition.
Plus important groupe d'opposition (100 députés), Les Républicains annoncent comme candidat, au terme d'une primaire interne, Éric Ciotti, pourtant plus attendu sur la sécurité que sur les questions budgétaires. Mais Éric Ciotti se fait battre dans l'hémicycle, lors d'un scrutin à bulletin secret, par Thierry Solère, du groupe « constructifs » LR-UDI (35 élus), qui est inscrit dans l'opposition mais entend accompagner les « bonnes » réformes d'Emmanuel Macron. Thierry Solère n'a pu être élu que grâce à l'appui de nombreuses voix LREM. Le groupe majoritaire n'a pas demandé à ses députés de se tenir à l'écart de ce vote qui concernait l'opposition. Sans consigne, ceux-ci sont allés faire battre le très droitier Éric Ciotti, « une erreur de casting » selon un LR. Ulcéré, le patron du groupe LR Christian Jacob dénonce une première depuis « plus de cinquante ans », « des droits de l'opposition jamais autant piétinés ». « Ce n'est pas à la majorité de choisir son opposition », martèle-t-il en rappelant que Thiery Solère comptait voter la confiance au gouvernement. « Où est le déni de démocratie, M. Jacob ? Il y a eu un vote ! » lui répond le coprésident des « constructifs » et ex-LR, Franck Riester, qui défend la candidature de Thierry Solère comme un moyen d'ouvrir la questure à « tous les groupes de l'opposition ».

 « Bouderie »

Après une énième suspension de séance, Christian Jacob annonce vers 19 heures que son groupe refuse de siéger au bureau de l'Assemblée « tant que les droits de l'opposition ne seront pas rétablis ». Nouvelle suspension qui dure près de trois heures... Les députés errent dans les couloirs... ne savent pas s'ils peuvent aller dîner ou pas... la buvette est débordée... On apprend que LREM propose à LR en compensation trois postes de vice-président (au lieu de deux) en sacrifiant celui promis à l'UDI Yves Jégo. « C'est un drôle de baptême », témoigne une novice LREM, un peu dépassée par la tournure des événements. « On n'a jamais vu ça. Le groupe majoritaire s'est pris les pieds dans le tapis », commente le socialiste Dominique Potier.
À 22 h 30 la séance reprend. Le chef de file des LREM, Richard Ferrand, explique que, si l'Assemblée n'élit pas son bureau, « elle est bloquée ». Richard Ferrand propose alors la candidature de trois LREM aux postes de vice-président pour suppléer temporairement les trois LR. « Ces trois vice-présidents céderont leur place quand la bouderie des Républicains aura cessé », dit-il. Pour apaiser les craintes des Républicains qui redoutent que la présidence de la commission des Finances, réservée à l'opposition depuis 2009, ne leur soit subtilisée de la même manière, Richard Ferrand précise que les députés LREM ne prendront pas part à ce vote jeudi. Mais Jean-Luc Mélenchon, chef de file des insoumis, et André Chassaigne, pour les communistes, en profitent pour déposer une candidature de leur groupe à la vice-présidence, tout comme... Jean Lassalle (non inscrit). Dix candidats pour six postes, il faut donc un nouveau vote. Le résultat est annoncé à 0 h 30: 5 LREM et 1 MoDem sont désignés vice-présidents.


E.MACRON a dynamité les vieux partis ringards sans difficulté car c’est ce que les français voulaient, alors ils l’ont confirmé dans les urnes !

Les caciques LR raillaient la gauche et le PS pour leurs divisions, ils sont pareils enferrés dans leur vieille habitudes partisanes, cela avait commencé avec SARKOZY et FILLON aux primaires, mais ils n’ont rien compris aux français et cela s’est confirmé lors de la campagne présidentielle déplorable !

Et ce n’est pas avec un C.JACOB vindicatif et borné ou E.CIOTTI extrémiste que cela s’arrangera !

Même J.P. RAFFARIN a jeté l’éponge !

LR ne changera pas comme cela s’enfermant dans le dogmatisme de cette vieille droite partisane à l’esprit obtus !


JDECLEF 29/06/2017 10h07LP

mercredi 28 juin 2017

Il n’est plus à çà près Mr FERRAND, maintenant qu’il a quitté le gouvernement !

Richard Ferrand de nouveau épinglé par "Le Canard enchaîné"

L'hebdomadaire présente le député comme un "militant du mutualisme familial". L'entourage d'Emmanuel Macron dénonce "un pseudo-ordre moral".

Il a beau avoir quitté le gouvernement, les affaires ne s'arrêtent pas pour autant. Dans son édition à paraître mercredi, Le Canard enchaîné épingle de nouveau le député Richard Ferrand qu'il présente comme un « militant du mutualisme familial » en énumérant plusieurs faveurs que l'élu aurait accordées à sa compagne. Sandrine Doucen a été, dès 2000, embauchée aux Mutuelles de Bretagne, dirigées à l'époque par celui qui est devenu samedi le patron des députés de La République en marche (LREM), affirme le Canard.
Alors âgée de 25 ans et étudiante en droit, Sandrine Doucen aurait été embauchée en tant que directrice du personnel. La même année, elle a complété ses revenus par un « petit job » au château de Trévarez, un domaine appartenant au département du Finistère et géré par un comité d'animation présidé par le conseiller général Ferrand, poursuit l'hebdomadaire. Sandrine Doucen continuera d'être salariée par les Mutuelles de Bretagne jusqu'à sa prestation de serment d'avocat en septembre 2004, soutient Le Canard enchaîné, pour qui la « bienheureuse étudiante aura bénéficié d'une sorte de bourse de 80 000 euros, financée par les mutualistes et les contribuables locaux ».

« Aucune forme d'illégalité »

« En dépit d'une présentation arrangée et orientée à dessein, il n'est fait état de strictement aucune forme d'illégalité dans cet article », a-t-on réagi mardi dans l'entourage de Richard Ferrand. « Par conséquent, il n'y a rien à commenter. Seule la loi doit primer, l'État de droit, rien que l'État de droit, pas un pseudo-ordre moral », a ajouté l'entourage de ce proche d'Emmanuel Macron. Sollicité par l'Agence France-Presse, Richard Ferrand n'était pas joignable dans l'immédiat.
Fin mai, Le Canard enchaîné avait déjà révélé qu'en 2011 les Mutuelles de Bretagne, dont Richard Ferrand était le directeur général, avaient choisi de louer un local à une société immobilière appartenant à sa compagne. Cette opération lui aurait permis de se doter « sans bourse délier, d'un patrimoine immobilier d'une valeur actuelle nette de 500 000 euros », selon l'hebdomadaire. Visé par une enquête préliminaire ouverte par le parquet de Brest dans le cadre de cette affaire, Richard Ferrand n'est resté qu'un mois à la tête de son ministère de la Cohésion des territoires. Samedi, il a été élu président du groupe des députés LREM à l'Assemblée nationale.

Le mercredi n’est pas seulement le jour du conseil des ministres, c’est aussi le jour de parution du « Canard enchaîné » (et certains peut être « serre les fesses, sans être grivois » ) chez nos politiciens élus car pas si nets que çà ?!

Le président MACRON a écarté R.FERRAND, mais l’a sauvé en le faisant nommer chef de groupe des députés REM à l’assemblée et bénéficie (pour l’instant) de l’immunité parlementaire !

Donc 5 ans pénard à moins que la loi sur les immunités parlementaire des députés change (car on en parle… ?)

Enfin cet ami d’E.MACRON de la 1ere heure n’est pas net, çà c’est un fait !


Jdeclef 28/06/2017 11h26

Pourquoi pas, il y en a tant qui utilise des voitures de fonction à des fins personnelles dans les sociétés qui les emploie?

Un général de l'armée de l'air utilisait un Alphajet pour ses week-ends

En poste à Bordeaux, le commandant en second des forces aériennes utilisait l'appareil pour rejoindre sa propriété en Provence, selon "Le Canard enchaîné".

Il devait en avoir assez de prendre le train... La ministre des Armées, Florence Parly, a ordonné une enquête de commandement après la parution d'un article du Canard enchaîné affirmant que le commandant en second des forces aériennes a utilisé un avion d'entraînement Alphajet pour son usage personnel, a annoncé mardi soir le ministère. Cette enquête s'ajoute à une enquête interne diligentée par l'armée de l'air.
Dans un article à paraître mercredi, l'hebdomadaire satirique affirme que le général Richard Reboul, en poste à Bordeaux, utilise un Alphajet d'une base école de la région pour aller passer le week-end dans sa propriété en Provence et en revenir. « Des informations sur une utilisation abusive de moyens aériens par un haut responsable militaire sont remontées jusqu'à la ministre des Armées », notent ses services dans un communiqué.

Un avion de transport militaire de six places

Florence Parly a alors décidé de saisir les inspecteurs généraux des armées afin « de clarifier les faits et [de] vérifier les circonstances d'emploi des moyens aériens, dans le cas d'espèce et plus généralement », poursuit le communiqué du ministère. « Au vu des conclusions du rapport, la ministre tirera les conséquences qui s'imposent, y compris sur le plan disciplinaire, si une utilisation abusive des moyens était avérée », est-il ajouté. Le chef d'état-major de l'armée de l'air, le général André Lanata, a saisi de son côté l'Inspection de l'armée de l'air, qui a ouvert une enquête le 23 juin, a indiqué le colonel Olivier Celo, chef du Sirpa Air.
Depuis août 2016, le général aurait réquisitionné l'Alphajet une dizaine de fois pour circuler entre Bordeaux et Salon-de-Provence, selon le journal. Il aurait également mobilisé un avion de transport militaire de six places, avec pilote et copilote, écrit l'hebdomadaire. Les Alphajet, avion phare de la Patrouille de France, sont aussi utilisés pour la formation des futurs pilotes de chasse de l'armée de l'Air.
Ancien pilote de chasse et d'essai, Richard Reboul a travaillé sur le programme Rafale, été directeur de l'enseignement à l'École de l'air de Salon-de-Provence et a commandé le Centre d'expériences aériennes militaires (CEAM) à Mont-de-Marsan. Il a été nommé commandant en second des forces aériennes en septembre 2016 et en a pris la direction par intérim après le décès du numéro un, le général Serge Soulet, en mai. Le commandement des forces aériennes est à la tête de 500 unités et de 23 000 personnes.
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C’est plus original mais dans cette kyrielle de politiciens élus ou fonctionnaires qui profitent de leurs avantages professionnels en les confondant avec le privé ce n'est pas un cas d’espèces ?!

Sauf que là c’est un avion qu’il a confondu avec sa voiture, déformation professionnelle sans doute, mais surtout qui payait le carburant pas lui ?!

(Remarquez F.FILLON quand il était 1er ministre de N.SARKOZY utilisait bien un FALCON de la présidence pour se rendre les week end dans son château de la SARTHE alors..?!)

Les privilèges de certains fonctionnaires ou politiciens élus n’ont pas de limite car peu contrôlés, tant ils ont de pouvoir (vive la Veme république encore trop monarchique !)

Jdeclef 28/06/2017 10h26


Soixante-huitards attardés pilotés par un tribun qui devrait être à la retraite !

Mélenchon : la position du révolutionnaire assis

Refus de porter la cravate, d'applaudir le président de l'Assemblée... Pour sa rentrée dans l'hémicycle, La France insoumise s'illustre de façon peu républicaine.


Pour un homme qui pourfend à longueur de journée la communication et les médias, c'est une opération publicitaire très réussie. Tout le monde parle de Jean-Luc Mélenchon, de François Ruffin et leurs amis de La France insoumise qui, en ce jour de rentrée à l'Assemblée nationale, ont porté haut l'esprit de révolte. Ils ont refusé d'arborer une cravate dans l'hémicycle. « Nous rejetons ce code vestimentaire qui nous est imposé, a expliqué Jean-Luc Mélenchon. Nous ne supportons pas qu'on nous indique de quelle manière il serait bienséant de se vêtir. » En voilà des résistants prêts à prendre tous les risques !
Une fois la séance ouverte, ces révolutionnaires en peau de lapin choisissent de s'illustrer encore. Quand François de Rugy est élu président de l'Assemblée, tous les députés, majorité et opposition confondues, applaudissent et la plupart se lèvent. Tous ? Non. Jean-Luc Mélenchon et ses amis se refusent ostensiblement à cet hommage républicain. Le hasard alphabétique a placé François Ruffin, essayiste, réalisateur et élu de La France insoumise, à côté de François de Rugy. Sans cravate, bien sûr, affalé dans son fauteuil, celui-ci garde les yeux baissés et doit quand même se lever, à contrecœur, pour laisser son voisin rejoindre le fauteuil présidentiel.

Un vieux routier du « système »

Quel message est contenu dans cette posture bien peu républicaine ? À coup sûr, un certain mépris de la démocratie, puisque le nouveau président l'a emporté à l'issue d'un vote incontestable. Mais ce que ces élus veulent incarner avec ostentation, c'est leur rejet du « système », afin de pouvoir se présenter comme la seule opposition à Emmanuel Macron. Il faut reconnaître que, jusqu'ici, l'objectif est pleinement atteint. Mais n'oublions pas que c'est un ancien ministre, sénateur pendant dix-neuf ans, député européen pendant huit ans, vieux routier du cumul des mandats, qui est leur chef de file.
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MELENCHON vieux politicien qui n’a pas été dégagé (pour reprendre son expression) et qui veut survivre à la nouveauté, comme quoi le ménage n’a pas été fait à fond ?!

Qui va entrainer ces pauvres collègues qu’il a piégé par ses discours de tribun déjanté dans une opposition systématique débile et semer le désordre pas seulement dans l’hémicycle de l’assemblée nationale !

Une extrême gauche de la France insoumise de 28 députés pour faire penchant à l’extrême droite des 8 députés FN de M.LE PEN !

Oui bien sûr il faut une opposition, mais constructive, pas par des excités trublions « empêcheurs de tourner en rond avec des attitudes de potaches » !


Jdeclef 28/06/2017 09h53 LP

mardi 27 juin 2017

Cet ex ministre qui s'accroche à la politique envers et contre tous, malgré sa médiocrité dans les fonctions qu'elle a occupée auparavant représentant tout ce PS ?!

Ségolène Royal, premier recyclage du quinquennat

L'ex-ministre a obtenu le poste d'ambassadrice chargée des pôles arctique et antarctique. Un recasage mal venu alors que l'exemplarité s'impose.

Lundi 26 juin, sur LCI, Ségolène Royal a confirmé, sans gêne apparente, une information parue dans Le Canard enchaîné : « on » lui a proposé le poste d'ambassadrice chargée des pôles arctique et antarctique, une fonction précédemment occupée par Michel Rocard, décédé en juillet 2016 ; et elle a accepté. Elle devient donc, comme un peu plus de vingt personnes, ambassadrice thématique. Une fonction qui rapportait à son prédécesseur quelque 50 000 euros par an, auxquels s'ajoutaient plus de 30 000 euros de frais de mission. L'ancienne ministre de l'Écologie a-t-elle obtenu les mêmes conditions financières ou de plus avantageuses ? Mystère. La rémunération de ces ambassadeurs thématiques est un des secrets les mieux gardés de la République, de même que leurs conditions de nomination.
Celle de Ségolène Royal fait figure de fausse note au moment où va s'ouvrir au Sénat la discussion de la loi destinée à restaurer la confiance dans l'action publique. Elle a toutes les apparences du recyclage, de l'attribution d'un lot de consolation pour celle qui s'est plainte d'avoir été avertie tardivement qu'elle ne garderait pas son poste au gouvernement, et qui a échoué à devenir présidente du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).

Opacité totale

Depuis des années, ces ambassadeurs thématiques sont en effet montrés du doigt pour leur utilité faible, sinon nulle, mais surtout pour l'opacité qui entoure leurs conditions d'exercice. Certains ont été nommés en conseil des ministres, d'autres par une simple note de service. Les uns gagnent plusieurs dizaines de milliers d'euros par an pour exercer leur mission, les autres le font à titre bénévole. Pendant des années, la sénatrice UDI de l'Orne, Nathalie Goulet, a déposé des amendements pour obtenir une réduction et un contrôle parlementaire de ces charges dignes de l'Ancien Régime. En vain. « L'argument qui m'est opposé est toujours le même : cela ne coûte pas cher au budget de l'État, explique-t-elle. Mais le problème n'est pas seulement financier. C'est le recyclage et l'opacité qui sont les plus choquants. »
Preuve de cette opacité : les diplomates eux-mêmes ont du mal à s'y retrouver. En février 2017, un groupe de diplomates étrillait dans Le Figaro, sous la signature collective du « Club Vauban », la politique étrangère de François Hollande sous toutes les coutures. « Les ressources de notre ministère ne sont pas déployées là où elles devraient l'être : le Quai d'Orsay entretient à grands frais vingt-deux ambassadeurs dits « thématiques » sur des sujets parfois ésotériques », écrivaient ces hauts fonctionnaires, oubliant au passage que les objets de leur courroux étaient plus nombreux encore sous le quinquennat précédent. Le sénateur socialiste Richard Yung, à l'occasion de la discussion du projet de loi de finances 2013, avait procédé à des investigations et découvert que vingt-huit de ces ambassadeurs du troisième type étaient en activité en 2008.
Jusqu'alors, la question des ambassadeurs thématiques a été considérée comme un sujet folklorique, une sorte de marronnier budgétaire. Il reste à espérer que le cas Royal, particulièrement visible et caricatural, inspire aux parlementaires de voter un amendement pour en finir avec cette pratique d'un autre temps.
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Elle fait partie de ces ex élus indéboulonnables à langue bien pendue dont les divers gouvernements de tous bords et surtout dirigeants n’arrivent pas à se débarrasser complètement !

« Ambassadrice chargée des pôles arctique et antarctique ». On ne savait même pas que cela existait un tel poste pour les français lambda (dommage que cela ne se situe pas aux iles KERGUELEN) elle serait sur place avec les pingouins et on aurait peut-être une chance de ne plus l’entendre ?!

Vraiment cette clique d’Enarques se surprotège et nous coûte bien cher !

Si encore elle avait fait quelque chose d’utile lors de ses mandats, mais non !

Il n’y a qu’en France que les passe-droit et privilèges ont la vie dure !


Jdeclef 27/06/2017 12h44 LP

Ça continue le ralliement plus ou moins net vers la REM de certains politiciens de tous bords rejetés par leurs anciens partis moribonds et notamment le PS !

EN DIRECT. Manuel Valls siégera comme député apparenté au groupe LREM

À 15 heures, la 15e législature de la Ve République sera déclarée ouverte. Y sera élu le président de l'Assemblée nationale.

09 h 14 - Valls siégera comme député apparenté au groupe LREM

Manuel Valls, qui a annoncé mardi son départ du PS, siégera finalement comme député apparenté du groupe La République en marche (LREM), a-t-on appris de source parlementaire. La nouvelle a été annoncée lors de la réunion du groupe majoritaire mardi matin, où l'ex-Premier ministre n'était pas présent. Sans être formellement membre du groupe, un député apparenté bénéficie de ses avantages logistiques (temps de parole, etc.). 
Manuel Valls : "Mélenchon est dangereux"       

09 h 07 - Clap de fin pour Jean-Pierre Raffarin

      "Le moment est venu de me retirer de la vie politique élective. Je renonce aux trois ans de mandat qu'il me reste à accomplir au Sénat, car le moment est pertinent. La jeune génération politique prend le pays en main, et c'est heureux." Après quarante ans de vie publique, l'ex-Premier ministre Jean-Pierre Raffarin quitte la politique. Ce Poitevin élu dans la Vienne depuis 1977 annonce qu'il va créer Leaders for Peace, "une ONG internationale pour alerter contre les risques de guerre qui nous menacent". Jean-Pierre Raffarin affirme qu'il entend également poursuivre son "investissement au service de la coopération franco-chinoise", et garder un œil sur "la Vienne et ses projets, notamment celui de l'Institut international Joël Robuchon à Montmorillon".
Jean-Pierre Raffarin quitte la politique       

09 h 05 - Manuel Valls quitte le PS

      Manuel Valls a annoncé mardi sur RTL qu'il quittait le Parti socialiste, après avoir soutenu Emmanuel Macron dès le premier tour de l'élection présidentielle puis avoir été réélu député de l'Essonne sans l'étiquette du PS, qui n'avait pas présenté de candidat en face de lui. "Une partie de ma vie politique s'achève. Je quitte le Parti socialiste, ou le Parti socialiste me quitte", a déclaré l'ancien Premier ministre, qui entend siéger "dans la majorité" d'Emmanuel Macron, sans exclure d'intégrer le groupe La République en marche.
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M.VALLS en est l'exemple, il a encaissé la défaite de F.HOLLANDE et a quitté le navire qui sombrait avant de se noyer avec !

Il a été rejeté par les vieux politiciens éléphants du PS qui n'ont pas su rénover leur parti sectaire un peu comme le parti communiste PC avant dans le passé !

On a vu le résultat lors de l'élection présidentielle et les législatives !

Donc, ils ont réduit la gauche française modérée à une portion congrue !

Reste la gauche revancharde extrême de MELENCHON dite « France insoumise » avec son aboyeur de foire tribun déjanté !

VALLS a donc quitté « le radeau de la méduse » avant de couler définitivement, il n'a pas tort s'il veut continuer à faire de la politique et trop jeune pour jeter l'éponge !


Jdeclef 27/06/2017 09h52 LP

Enfin une bonne décision de ce poussa repu qui s'engraisse à ne rien faire depuis si longtemps!

Marseille : Jean-Claude Gaudin ne se représentera pas en 2020

VIDÉO. Jean-Claude Gaudin, 77 ans, maire (LR) de Marseille depuis 1995 et réélu en 2014 pour un quatrième mandat, a décidé de s'arrêter après la fin de celui-ci.

C'est un petit peu la fin d'une ère dans la cité phocéenne. Jean-Claude Gaudin, aujourd'hui âgé de 77 ans, maire (Les Républicains) de Marseille depuis 1995 et réélu en 2014 pour un quatrième mandat, a confirmé lundi dans La Provence qu'il ne se représenterait pas aux municipales en 2020. "J'ai donné toute ma vie à ma ville de Marseille mais il y a un moment où il faut s'arrêter. J'ai donc décidé que je ne me représenterai pas en 2020", déclare-t-il dans cet entretien. "Que d'ici là mes amis se mettent d'accord sur un nom" pour lui succéder, ajoute Jean-Claude Gaudin.

Sa garde rapprochée éliminée aux législatives

Parmi sa garde rapprochée, Yves Moraine, président du groupe LR à la mairie qui se présentait pour la première fois aux élections législatives, a été éliminé dès le 1er tour dans la 5e circonscription des Bouches-du-Rhône. Dominique Tian, premier adjoint LR de Jean-Claude Gaudin, qui se représentait dans la 2e circonscription, a également été battu par une candidate LREM. Jean-Claude Gaudin, qui est également président de la métropole Marseille-Aix-Provence avait déjà annoncé qu'il quitterait le Sénat le 1er octobre 2017 en raison de l'interdiction du cumul de mandats.
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Il ne manquera pas aux marseillais, ce vieux maire inutile à la 2eme ville de France champion du clientélisme !

Au moins la vogue du mot à la mode : "dégagisme" en marche aura indirectement servi à cela, faire du neuf pour terminer le coup de ballet dans cette vieille classe politique sclérosée de cette V eme république obsolète !

Mais il n'y a pas que lui, d’autres de même acabit prennent le même chemin d'une retraite forcée, car on ne veut plus d'eux ou sont touchés par le cumul des mandats une des rares mesures utiles du quinquennat HOLLANDE !


Jdeclef 27/06/2017 09h17 LP

lundi 26 juin 2017

Mauvaise perdante M.AUBRY et ridicule militante d’un PS qui s’accroche à sa mairie de LILLE comme un bernique a son rocher, mais qui cédera aux élections municipales !

Martine Aubry, maire (PS) de Lille, à la rentrée 2016. (Bouffie et usée…)

Lille : Un adjoint a soutenu Macron, Martine Aubry lui retire ses délégations

POLITIQUE Martine Aubry reproche à un membre de sa majorité municipale d’avoir soutenu Emmanuel Macron, et lui a retiré son statut d’adjoint…

La réaction de Martine Aubry n’a pas tardé. Cinq jours après le 2e tour des élections législatives, la maire de Lille a retiré sa délégation d’adjoint à un élu PS lillois qui avait soutenu le camp d’Emmanuel Macron.
Bernard Charles, l’élu concerné, a déploré une mesure « expéditive ». Il avait notamment soutenu le référent de La République en marche (LREM), Christophe Itier, dans la 1re circonscription du Nord, contre François Lamy, le poulain (PS) de Martine Aubry.

Pour Martine Aubry, il n’a « pas respecté les règles »

Elu conseiller municipal de Lille en 2001, 2008 et 2014 sous la bannière du Parti socialiste, Bernard Charles s’est vu retirer, vendredi, ses délégations d’adjoint au Développement durable et à l’Agenda 21.
Au conseil municipal du 20 juin (échange à suivre vers 2 h 45 min), Martine Aubry a justifié cette forme de sanction interne à la majorité, en estimant que l’élu subissait la « suite logique de son engagement en dehors du PS » dont il n’avait « pas respecté les règles ».
L’opposition et les élus EELV n’ont pas souhaité prendre part au vote. Sur les 38 élus PS, trois ont voté contre ce retrait de délégation, deux se sont abstenus.

Un autre macroniste poussé sur la touche

Un autre adjoint, Xavier Bonnet, qui avait lui aussi soutenu le macroniste Christophe Itier aux législatives, garde son statut mais perd l’épineux mais volumineux dossier du commerce, pour se voir confier la « politique mémorielle », notamment les commémorations du centenaire de 1918.
Pour ceux qui espéraient voir Martine Aubry passer l’éponge sur les législatives, c’est en tout cas raté.
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Là, on voit l'exemple du sectarisme borné d'une vieille "éléphante" de ce PS moribond !

Pitoyable ex ministre aigrie qui devrait être à la retraite !


DJMAI 26/06/17 à 12h16