jeudi 30 mars 2023

Attention à ne pas se réjouir trop tôt des propos d’un dictateur qui ment SOUVENT comme un arracheur de dent !?

 

Poutine estime que les sanctions pourraient être néfastes à la Russie !?

Le chef du Kremlin n’avait encore jamais publiquement admis que les décisions internationales touchant de nombreux secteurs d’activité affecteraient l’économie nationale.

Peut-être un coup de blues feint par V.POUTINE dans lequel il ne faut pas se faire piéger !?

Les sanctions internationales visant Moscou pour son offensive en Ukraine « peuvent » avoir des conséquences « négatives » à « moyen terme » sur l'économie nationale. C'est ce qu'a affirmé Vladimir Poutine, mercredi 29 mars, lors d'une réunion avec le gouvernement retransmise à la télévision. Ces derniers mois, le président de la fédération de Russie avait pourtant vanté l'adaptation de son pays face à cette nouvelle conjoncture.

C'est donc une grande première. Jamais, jusqu'alors, Vladimir Poutine n'avait publiquement admis que la pluie de sanctions internationales, touchant de nombreux secteurs d'activité, dont celui des hydrocarbures, affectait l'économie nationale.

Un chômage bas et une inflation en chute

« Le retour à une trajectoire de croissance ne doit pas nous faire nous relâcher », a-t-il encore appuyé, appelant à « garantir la souveraineté économique » de la Russie. Car, si « le chômage est à son niveau le plus bas », à 3,6 %, et si, « fin mars, l'inflation va tomber en dessous des 4 % », après avoir flambé à près de 20 % au printemps dernier, Poutine a mis en garde : « Cela ne veut pas dire que tous les problèmes ont déjà été résolus. »

« À Moscou, tous les produits européens sont disponibles » Il a également réclamé à son gouvernement et aux dirigeants économiques d'« assurer le lancement rapide de nouveaux projets dans les industries manufacturières, en particulier dans la production de produits de haute technologie », un secteur frappé par le départ de nombreux spécialistes à l'étranger.

Enfin, il a insisté sur le système financier russe qui « devrait jouer un rôle important pour répondre aux besoins des exportateurs », avant de demander le remplacement des « entreprises occidentales qui travaillaient dans ce créneau ». Fin février, il avait déjà appelé les oligarques russes à rapatrier leurs fonds pour soutenir l'économie nationale.

Une coopération avec Pékin salvatrice

Vladimir Poutine s'est alors tourné vers Xi Jinping. Lors d'un sommet à Moscou, la semaine dernière, les deux hommes ont dit vouloir « approfondir » les relations économiques russo-chinoises. Mais de nombreux observateurs y ont vu un signe de la dépendance grandissante de la Russie vis-à-vis de la Chine, dont l'économie a largement capté les exportations de gaz et de pétrole russes, visées par les sanctions des Occidentaux.

Ces nouveaux débouchés ont permis à la Russie de compenser en partie les marchés perdus en Europe. Mais sa dépendance envers la Chine et l'Inde leur permet d'être en position de force et de négocier les prix à la baisse.

On semble un peu oublier que ce (bon) V.POUTINE est un criminel de guerre  avéré qui voulait rayer de la carte Européenne l’UKRAINE qui s’est rebêlée et heureusement défendue pour ne pas disparaitre pour le bien de l’Europe occidentale qui a initiée ses sanctions économiques à cause de cette agression guerrière sauvage d’un autre âge digne des anciens dictateurs contre un peuple qui ne voulait qu’être des européens libres des pays d’après-guerre mondiale et guerre froide encore asservi !?

Car des dictateurs il en reste encore trop dans le monde donc l’union des pays libres et démocratiques ne doit pas faillir et même se renforcer !?

Donc si ces sanctions commencent à porter leur fruit c’est très encourageant car les pays occidentaux depuis 2022 subissent des crises et recessions économiques induites inflationniste à cause de cette Russie poutinienne !?

Et si ce dictateur commence à l’admettre c’est une rare bonne nouvelle qu’il faut engranger il n’y en a pas tant que çà !?

Surtout quand les armes lourdes pour défendre l’UKRAINE (chars ou autres) commence à arriver dans ce pays et que la formation des soldats ukrainiens  en Europe pour s’en servir efficacement s’intensifie !?

Et puis le dictateur russe prend de l’âge et on le dit malade l’espérance de vie russe était plus faible que dans l’Europe s’il venait à disparaitre cela donnerait une bouffée d’air pour l’Europe et indirectement le monde entier surtout que l’hiver se termine !?

Mais pour cela il faut que la coalition européenne reste unie avec l’aide des voisins d’outre atlantique US !?

Car il ne faut pas baisser sa garde devant ce maniaque déjanté dangereux instable !?

Jdeclef 20/03/2023 15h33

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Les organisateurs de telles manifestations devraient faire attention sur leurs participants car certains malfaisants dangereux s’infiltrent et là cela augmente le risque d’accident car là c’est différent ce n’est pas à l’initiative des syndicats de salariés qui ont déjà du mal à canaliser avec leurs services d’ordre ces trublions dangereux black blocs ou autres voyoucratie dangereuse car là c’est pour casser du flic ou vandaliser à tout va!

 

Sainte-Soline : l’enregistrement de la LDH qui ne prouve rien

Un enregistrement rendu public par la LDH affirme qu’il aurait été interdit au Samu d’intervenir auprès du manifestant aujourd’hui dans le coma. La réalité semble beaucoup moins claire.

Peu importe que cet enregistrement soit sujet à caution car hélas cet homme a risqué délibérément sa vie et c’est bien malheureux ce n’était pourtant pas un gamin car cette manifestation sauvage était de plus interdite donc encore plus risquée qu’une encadrée par des forces de l’ordre ou des syndicats de salariés car ce type de rassemblement draine toujours des fauteurs de troubles violents et dangereux !?

Un manifestant âgé de 32 ans se trouverait toujours entre la vie et la mort au CHU de Niort. Selon la LDH (Ligue des droits de l'homme, cosignataire de l'appel à manifester), qui a produit un enregistrement, les secours auraient reçu l'ordre de ne pas intervenir alors que son état était préoccupant (pouls à 160, tension artérielle systolique à 85). La publication de cet enregistrement sème le trouble. L'appel des avocats et du médecin de la LDH au Samu a lieu à 14 h 50.

Il est important de le préciser : ces personnes ne sont pas sur place, mais à 16 kilomètres du lieu de la manifestation, à Melle, d'où ils centralisent les informations qui leur parviennent du « front ». C'est donc depuis cette salle de Melle que le médecin généraliste rappelle les pompiers, puis est mis en liaison avec un opérateur du Samu. « Le problème, c'est que vous n'êtes pas sur place. On a eu un médecin sur place et on lui a expliqué la situation : on n'enverra pas d'hélico ou de moyens Smur sur place parce qu'on a ordre de ne pas en envoyer par les forces de l'ordre », lui explique l'opérateur.

Blessé grave à Sainte-Soline : ce que l'on sait sur l'intervention des secours « Des observateurs sur place disent que c'est calme depuis trente minutes et qu'il est possible d'intervenir », répond le médecin. « Je suis d'accord avec vous, vous n'êtes pas le premier à nous le dire. Le problème, c'est que c'est à l'appréciation des forces de l'ordre et qu'on est sous leur commandement », explique le Samu. Les avocats insistent : « Vous confirmez que vous avez interdiction d'intervenir ? » « Nous n'avons pas l'autorisation d'envoyer des secours parce que c'est considéré comme dangereux sur place », précise l'opérateur du Samu. Les avocats insistent : « C'est de la non-assistance à personne en danger. […] Qui interdit l'accès à cette personne en danger, grave, vital ? […] Vous êtes empêchés de travailler… » « On monopolise la ligne d'urgence, là », élude l'opérateur, avant de raccrocher.

La préfète des Deux-Sèvres apportera un droit de réponse dans un long communiqué qui vient préciser ces propos. « Le principe fondamental d'intervention des secours dans un contexte hostile est de garantir au premier chef la sécurité des personnels des sapeurs-pompiers ou du Samu. Pour ce faire, il appartient aux forces de l'ordre, informées en temps réel de la situation, de définir si l'arrivée d'un véhicule de secours à un certain point est possible ou non de façon sûre pour lui. » « Nous n'intervenons pas en zone d'exclusion. Il n'y a pas de débat », confirme de son côté le Samu sur les réseaux sociaux, démentant fermement avoir été empêché dans ses fonctions.

Pas de dispositif partagé

L'organisation des secours aurait-elle pu être plus efficace ? Sans doute, si les organisateurs de la manifestation avaient accepté de se coordonner avec les services de secours… Mais ils ont refusé, révèle un rapport de la préfecture des Deux-Sèvres sur les manifestations du week-end, rendu public mardi soir. Les témoignages de terrain démontrent que, dès que les gendarmes ont été mis au courant de l'existence d'un blessé grave par les manifestants, ils se sont portés à son secours.

Si une heure peut-être critique a été perdue, c'est en amont de la manifestation qu'il faut en chercher la cause. « Les organisateurs ont refusé tout échange avec la préfecture, le Sdis et le Samu pour mettre en place un dispositif professionnel, partagé et fiable de prise en charge des blessés », écrit la préfète. Il n'a donc pas été possible de « préparer conjointement un dispositif prévisionnel de secours partagé avec les organisateurs, ni de convenir des modalités sécurisées d'évacuation des blessés, ni de définir des éléments de cartographie » pour les localiser plus rapidement.

« Inversion complète de la charge »

Dans l'entourage du ministre de l'Intérieur, on précise : « La chronologie des faits est rappelée dans le rapport de la préfète. C'est au PC de sécurité de déterminer si, oui ou non, il était possible de se déplacer. La preuve que c'était violent : le médecin de la gendarmerie, qui est allé sur place porter les premiers secours à un homme en situation d'urgence absolue, s'est fait caillasser ! Cet enregistrement prouve juste que la situation là-bas était très complexe. Que n'aurait-on dit si on avait engagé des secours qui eux-mêmes auraient été attaqués ? »

Le verbatim publié ne dit rien de ce qui se passe avant et ne permet pas d’apprécier la situation.Un haut fonctionnaire habitué des opérations de maintien de l’ordre

Sous-entendre que l'État interdirait aux forces de secours d'accéder à des victimes, « c'est de la désinvolture journalistique, s'agace un haut fonctionnaire habitué des opérations de maintien de l'ordre. Le verbatim publié ne dit rien de ce qui se passe avant et ne permet pas d'apprécier la situation. » Ce dernier confirme qu'il est d'usage de ne pas envoyer les secours dans la zone d'exclusion tant que les affrontements sont en cours, car « faire intervenir du personnel avec des bombonnes d'oxygène sous une pluie d'engins incendiaires, c'est forcément très dangereux », mais il précise que, « si une alerte est donnée sur un blessé en urgence absolue, on réévalue évidemment la situation ».

Le spécialiste rappelle que les témoignages évoquent dans un premier temps « une victime consciente » et souligne le climat de confusion générale qui peut régner sur de telles opérations. Lors de la manifestation de Sainte-Soline, les services de l'État ont ainsi assisté à une multiplication de faux appels d'urgence, ainsi qu'à la communication d'informations contradictoires ou parcellaires, et au caillassage de secouristes. Quoi qu'il arrive, « il faudra éclaircir les conditions du tir, à supposer qu'il s'agisse effectivement d'un tir des forces de l'ordre. Le retex [NDLR, retour d'expérience] permettra de déterminer si ces conditions de tir étaient réglementaires. Il est possible qu'elles l'aient été, ce qui ne suffira sans doute pas à calmer les polémiques », analyse le praticien du maintien de l'ordre.

Témoignage direct

Notre journaliste présent sur place, Alix Vermande, raconte les faits qu'il a pu constater à partir de 14 h 55. « J'ai vu un attroupement d'environ 15 personnes, dont 3 observateurs de la LDH, autour d'un fourgon privé dans lequel était allongé un homme sous une couverture de survie. Un manifestant s'occupait du blessé, qui était conscient, et répétait “reste avec nous, reste avec nous”. On me parle alors dans l'entourage du blessé d'un “traumatisme crânien important”.

« Des scènes de guerre » : à Sainte-Soline, la mobilisation vire à l'affrontementUne manifestante a déclaré : “Il fait des crises d'angoisse à cause des explosions, il faut qu'il parte.” Cela m'a laissé entendre qu'il était alors conscient. Peu avant 15 heures, un porte-parole de la Confédération paysanne, Benoît Jaunet, est parti à la rencontre des forces de l'ordre positionnées à environ 100 mètres du blessé, là où les heurts ont été les plus violents et s'étaient calmés depuis 14 h 20, en agitant son drapeau jaune de la Confédération et en levant les mains. Les forces de l'ordre ont échangé avec lui puis se sont rapprochées des manifestants autour du véhicule pour discuter de la prise en charge du blessé. J'ai une photo qui atteste de cette scène. Plusieurs hommes des forces de l'ordre sont alors retournés en direction de leur poste, moment choisi par le porte-parole de la Confédération paysanne pour les rattraper et discuter avec eux à mi-chemin entre le manifestant blessé et la position d'origine des gendarmes. C'est à ce moment-là que des black blocs ont lancé des projectiles sur le groupe à environ 50 mètres du blessé, composé des forces de l'ordre et du porte-parole de la Confédération paysanne. Une des manifestantes a alors crié “arrêtez ! Il est des nôtres ! Ça devient n'importe quoi”. Quelques minutes plus tard, une ambulance est arrivée via la petite route où était positionné le véhicule. »

Nous avons tenté, sans succès, de contacter Benoît Jaunet, le porte-parole de la Confédération paysanne, dont le témoignage sera clé. Contactés également, le secrétaire général adjoint de la LDH, Lionel Brun-Valicon, ainsi qu'un des avocats envoyés à Melle, Me Pierre-Antoine Cazaux, se refusent à tout commentaire. Nous n'avons donc pas pu savoir pourquoi un appel aux services de secours était passé par des avocats, se préoccupant explicitement d'établir des responsabilités en cas d'éventuel décès.

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Le problème étant que quand on veut aller manifester il a toujours des risques de heurts violents et de prendre des mauvais coups de la police mais aussi d’éléments perturbateurs violents style black bloc qui ne sont là que pour casser vandaliser semer des troubles violents !?

Alors bien sûr on impute forcément ces dérapages allant jusqu’à des blessés voir morts aux forces de l’ordre ou même services de secours pas arrivés assez vite sur les lieux SAMU POMPIERS etc…

(anecdote) : J’ai malheureusement appris lors de la manifestation sur encore une ancienne loi dite DEVAQUET  (retirée après d’ailleurs après le président de la république de l’époque ) d’un incident similaire le jeune fils d’un de mes collègues militant CFTC qui était allé cette manifestation importante en nombre a été tué par un camion qui l’a écrasé cela n’a pas fait la une des journaux !?

Mais maintenant ou nous sommes devenus dans notre pays mal gouverné par des dirigeants bienpensants hypocrites on fait feu de tous bois de cette mauvaise politique politicienne et des ses mouvements extrémistes Incontrôlables par ce pouvoir qui est en dessous de tout et n’arrive même pas à protéger sur son sol ces dérapages violents et des Français qui bien sur critiquent le laxisme de notre justice inefficace d’un code pénal inadapté et leurs forces de l’ordre mal encadrées bien que corsetées et bien sur une voyoucratie et délinquance violente en progression car chacun pour soi veut faire ses lois au point qu’il y a ses zones dites de non droit qui augmente en nombre !?

Il faut dire qu’avec un dirigeant qui ignore le régalien et qui ne fait à peu près rien pour régler tous ses problèmes qui augmente chaque jour depuis 2018 ce qui n’augure rien de bon jusqu’en 2027 car indéboulonnable car élu et réélu par défaut par des Français qui n’ont que ce qu’ils méritent ne sachant plus voter ni bien choisir leurs chefs d’état !?

Jdeclef  30/03/2023 10h26


mardi 28 mars 2023

B.LEMAIRE exemple de la macronie inféodé et servile à son patron qui a raté ces quinquennats même si le 2eme n’est pas fini ne pouvant s’améliorer du fait de trop de problèmes à résoudre déjà non résolus dans le 1er !

 

Recul de la dette : Bruno Le Maire salue la « résilience » de l’économie ?!

La poursuite de la croissance en France a permis d’y réduire le poids de la dette et du déficit public en 2022 par rapport au PIB !?

Mr le ministre de l’Économie emploie la méthode COUE pour encore se moquer des Français à bonne école de son patron !?

Mais comme les Français sont bons publics et avalent tout pourquoi s’en priverait-il !?

le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, a salué la « résilience » de l'économie française ce mardi. La croissance a en effet progressé de 2,6 % en 2022, permettant de réduire le niveau d'endettement et du déficit public par rapport au produit intérieur brut (PIB).

« La résilience de notre économie nous permet de réduire le niveau de dette publique à 111,6 % du PIB et de respecter notre objectif de finances publiques », avec un déficit à 4,7 %, a déclaré le ministre en réaffirmant sa « détermination » à rétablir les comptes publics.

L'endettement public de la France, qui s'est massivement accru avec la crise sanitaire puis l'inflation exacerbée par la guerre en Ukraine, a toutefois augmenté en valeur absolue de 126,4 milliards d'euros par rapport à 2021, atteignant 2 950 milliards d'euros, a détaillé l'Institut national de la statistique (Insee).

Finance : 8 leçons à tirer des crises passées

Un déficit public de 5 % en 2023

Si les comptes publics ont un peu meilleure mine en 2022, la dette et le déficit public restent très supérieurs à leur niveau d'avant la crise en 2019, du fait du massif « quoi qu'il en coûte » déployé par le gouvernement pour soutenir les ménages et les entreprises. La dette publique représentait alors 97,4 % du PIB quand le déficit public s'affichait à 3,1 %.

Pour rétablir les finances publiques, le gouvernement mise principalement sur une hausse du PIB plus rapide que celle des dépenses, qui feraient l'objet de « plusieurs milliards d'euros d'économies » dans le projet de finances (PLF) 2024.

Il prévoit de présenter vers la mi-avril sa trajectoire pluriannuelle pour les finances publiques. Il table à ce stade sur un déficit public de 5 % en 2023, qui serait progressivement ramené sous la limite européenne de 3 % en 2027, tandis que l'endettement se stabiliserait à 110,9 % à cet horizon.

B.LEMAIRE est toujours satisfait de ce qu’il est ou de ce qu’il fait en inconditionnel inféodé à la macronie se contentant de peu ou de l’a peu près qui accélère la descente vers le fond de la FRANCE qui régresse sans cesse depuis 40 ans dans le concert des nations et bien à l’image donc de son patron notre petit monarque parvenu à qui cette Vème république monarchique obsolète a donné trop de pouvoir et en plus élu et réélu par défaut de certains Français pleutres par une majorité fausse car relative car loin des 51 % qu’il faudrait pour être le Chef d’état de la France !?

Cela est temps ce sont les FRANÇAIS qui sont d’une naïveté lamentable qui ont reconduit le président pour son 2eme mandat et qui maintenant peuvent toujours manifester en vociférant voir avec violence contre cette reforme des retraites qui cachent tous les autres problèmes sociétaux nombreux non résolus !?

Quant à B.LEMAIRE dont on dit qu’il se verrait bien être président de la république en 2027 étant donné que notre président ne peut se représenter !?

Mais connaissant les Français si frondeurs mais ne sachant pas bien voter ou choisir leurs dirigeants on n’est pas à un boulet de plus à trainer dans cette classe politique de tous bords lamentables ils auront ce qu’ils méritent mais ils y sont habitués car incurables !?

Vraiment pauvre France pour ceux qui l’aime vraiment mais est-ce qu’ils en restent !?

Jdeclef 28/03/2023 16h54

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Pendant que notre président ne sait plus quoi faire les FRANÇAIS lambda gens de peu et autres qu’il dédaigne se battent vocifèrent manifestent violemment font la grève la France continue à glisser vers le fond vers l’anarchie car la goutte de trop fait déborder le vase déjà trop plein !?

 

La dette frôle la barre symbolique des 3 000 milliards ?!

LE CHIFFRE DE LA SEMAINE. La dette affiche une hausse de 126,4 milliards en un an et de 695,7 milliards en cinq ans. Elle atteint en 2022 111,6 % du PIB.

AVEC LE PRESIDENT QUE L’ON A IL NE SAIT QUE PARLER DE GROS SOUS QU’IL N’A PAS CAR IL A DÉJÀ DEPENSE SANS COMPTER AVEC SON « QUOI QU’IL EN COUTE » ET SERAIT BIEN ENCLIN À PUISER DANS LES POCHES DES FRANÇAIS AVEC CETTE REFORME DES RETRAITES ALIBI ET CA MAUVAISE POLITIQUE INEXISTANTE QUI REMONTE AUSSI A SES PREDECESSEURS DEPUIS L’APRES MITTERAND !?

Selon l'Insee, la dette publique de la France au sens de Maastricht s'établissait fin décembre 2022 à 2 950 milliards d'euros. Sur un an, elle affiche une hausse de 126,4 milliards d'euros, sur cinq ans de 695,7 milliards d'euros et sur dix ans de 1 057,5 milliards d'euros. Le montant de la dette publique de la France a été multiplié par plus de 30 depuis 1980, date à laquelle il se situait à 94 milliards d'euros. Le cap des 500 milliards avait été franchi en 1993, celui des 1 000 milliards en 2003 et celui des 2 000 milliards en 2014.

Exprimée en points de PIB, la dette publique de la France s'inscrivait fin décembre 2022 à 111,6 %, contre 112,9 % fin 2021. Elle représentait seulement 21 points de PIB en 1980 avant de fortement progresser au cours des quinze années suivantes pour dépasser la barre des 60 % du PIB en 1996. Elle s'est ensuite stabilisée autour de ce niveau jusqu'à la crise financière des subprimes qui l'a fait bondir à 87 % début 2010. Elle n'a depuis pas cessé d'augmenter, franchissant le cap des 100 % de PIB début 2010 avant que la crise provoquée par la pandémie de Covid-19 la propulse à un niveau record de 117,8 % du PIB début 2021, un ratio inédit en France en temps de paix.

Dette publique : la bombe à retardement

En comparaison, la dette publique de l'Allemagne, qui s'établissait fin 2000 au même niveau que celle de la France (59 % du PIB) n'a progressé depuis que de 7,6 points pour s'établir à la fin du troisième trimestre 2022 à 66,6 % de PIB. Parmi les 27 pays de l'Union européenne, la France se situe au cinquième rang des ratios de dette les plus élevés, derrière la Grèce (178,2 % du PIB), l'Italie (147,3 %), le Portugal (120,1 %) et l'Espagne (115,6 %). À l'autre bout de l'échelle, l'Estonie (15,8 % du PIB), la Bulgarie (23,1 %), le Luxembourg (24,6 %), le Danemark (30,7 %) et la Suède (33,6 %) présentent les niveaux de dette publique les plus faibles.

Tant que cela n’empêche pas de dormir notre petit boutiquier bon chic bon genre bourgeois parvenu mauvais comptable et président médiocre élu et réélu par défaut par des Français ne sachant qui choisir dans cette clique de politiciens de tous bords et classe politique déplorable de ce système électoral de cette Vème république monarchique usée obsolète et qui n’a trouvé rien de mieux que de vouloir faire une réforme des retraites à marche forcée pour trouver l’argent dont il a besoin pour faire tourner le pays et tout en dédaignant les Français qui lui y ont donné trop de pouvoir qu’il ne sait même pas utiliser correctement !?

Car la réalité c’est que depuis 2018 et le début de son 1er quinquennat cela n’a pas trainé ce marasme qui n’a fait qu’empirer dont il n’a pas voulu prendre en  compte les faits avec cette alerte de ce mouvement des gilets jaunes qu’il n’a pu calmer en fait dormant comme des braises mal éteintes qui ne demandait qu’à se rallumer sous d’autres formes et qui malgré sa réélection de 2022 n’a fait qu’empirer par des kyrielles de protestations manifestations et grèves diverses qui maintenant en plus gagne en violences et débordements !?

Alors certains bienpensants donneurs de leçons diront que dans les 27 pays de l’U.E. surtout ceux du SUD sont aussi fort endettés peut être du à nos cultures latines pour minimiser ces dérives monétaires sauf que s’il fallait qu’ils remboursent leurs dettes ils ne le pourraient pas et que si notre pays était une entreprise commerciale ou industrielle classique il serait mis en faillite et on licencierait le PDG !?

Ce jeune président qui a tous les pouvoirs que la Vème république et les Français lui ont donné en le réélisant en plus personne ne l’a forcé à vouloir être Chef d’état de la France il est donc responsable de sa politique inexistante médiocre !?

Il est peut-être enfin temps de changer de régime et de république puisque les Français le réclament depuis + 40 ans !?

Jdeclef 28/03/2023 11h05

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lundi 27 mars 2023

Le président a poussé les Français à la catastrophe car il a cassé la ficelle déjà usée qui a cédée !? IL FAUT TOUT CHANGER SANS ATTENDRE !

 

Coignard – Macron, les factieux et les « rois de la teuf » ?!

CHRONIQUE. Face aux violences, mais aussi, chez certains jeunes, à l’idée que les manifestations seraient « tendance », l’exécutif doit trouver la riposte.

LE PRESIDENT QUI SOI-DISANT GOUVERNE (MAIS MAL) S’ENTETE JUSQU’À LA RUPTURE AVEC LE PEUPLE CAR IL N’A RIEN COMPRIS DE CELUI-CI ?!

il y a un fossé entre les « méga-bassines » et le recul de l'âge de départ à la retraite. Et pourtant, dans les deux cas, l'exécutif est confronté à une vive recrudescence de la violence. À commencer par cette différence : les manifestations contre les premières étaient interdites, les secondes autorisées. Et cette autre distinction : à Sainte-Soline, les scènes de guerre ont dépassé, en intensité, tout ce qui a débordé des cortèges contre la réforme des retraites. Mais, dans les deux cas, la faute est rejetée par les organisations de gauche sur le pouvoir, accusé d'abuser du monopole de la « violence légitime ». Pourtant, il suffit de visionner quelques vidéos, tournées de l'intérieur d'un véhicule de police, pour constater à quel point, samedi dernier, les forces de l'ordre étaient avant tout des cibles à abattre.

« Méga-bassines » : autopsie d'une « méga-désinformation »

L'accusation se porte toutefois sur l'entrave supposée à la prise en charge et à l'évacuation des manifestants blessés. De même, une petite musique émerge pour présenter policiers et gendarmes chargés d'encadrer les manifestations dans les grandes villes comme des fauteurs de troubles, face à une jeunesse avide de faire la fête sur la chaussée. En témoigne le succès de cette vidéo, vue plusieurs millions de fois, où une danseuse démontre ses talents au nom de la lutte. Ou encore cette scène où des dizaines de jeunes se déhanchent au son de quelques tubes du moment. Ou encore cette autre où des manifestants emmenés en garde à vue dans un car de police chantent à tue-tête, comme si ce petit voyage était le meilleur moment de leur journée. L'entrée de la jeunesse dans le mouvement n'est pas une bonne nouvelle pour le président. Au fil des jours, cela semble « trop cool » de s'en prendre à sa personne, par flics interposés, en dansant ou en jetant des pavés cloutés.

La hargne et la jubilation

L'équation est d'autant moins simple, pour Emmanuel Macron, qu'il est la cible principale, sinon exclusive, de ce cocktail explosif de hargne et de jubilation. À un bout du spectre, les hordes qui ont déferlé ce week-end dans les Deux-Sèvres pour organiser le triste spectacle d'intolérables scènes de guerre. À l'autre, la perspective de manifestations contre la réforme des retraites à la fois violentes et festives, où une partie de la jeunesse se rend comme on irait en rave party. Dans les deux cas, la même expression d'une détestation de sa personne, sur laquelle espèrent bien surfer les démagogues.

Éric Zemmour : « Avec Mélenchon, nous avons beaucoup de points communs »

Si la plupart des responsables syndicaux se montrent de ce point de vue irréprochables, chacune de certaines personnalités de gauche a sa manière de souffler sur les braises. Et pas seulement Jean-Luc Mélenchon. François Hollande feint ainsi de se demander qui est le vrai fauteur de troubles pour mieux répondre que son successeur est à l'origine du mal. Des élus Verts ont dénoncé une « dérive violente de l'État », sans un mot pour condamner les exactions de l'ultragauche.

Il leur sera difficile, ensuite, de mettre la main sur leur petit cœur de gauche pour assurer qu'ils combattent de toutes leurs forces l'extrême droite depuis le berceau : les sondages indiquent qu'une dissolution de l'Assemblée nationale profiterait en premier lieu à Marine Le Pen, dont le RN se présente plus que jamais comme l'ultime rempart au désordre. C'est là un message tout trouvé pour l'exécutif… à condition qu'il soit entendu.

Le président n’est même plus là aux commandes du pays car il ne sait plus ou il va et fustige tout le monde que ce soient ses gouvernements et bien sur le peuple qu’il dédaigne qui l’a élu et réélu par défaut !?

Ce ne sont pas les retraites qu’il faut reformer bien qu’utile mais pas prioritaires mais tout le régime de cette Vème république obsolète monarchique usée et le trop de pouvoir de ce politicien trop jeune sorti de nulle part qui a saisi la balle au bond par la défection de son prédécesseur politicien chevronné en 2017 mais lui aussi usé !?

Il faut changer ce régime vieillissant qui lui-même a dépassé l’âge limite de 65 ans et changer de république en VI eme car le président actuel est hors sol et nous mène à la catastrophe avec son arrogance et son dédain du peuple qui l’a élu et se prenant comme justement un monarque de l’ancien régime car lui ayant donné trop de pouvoir qu’il utilise mal ou pire ne sachant pas l’utiliser !

Depuis 2018 les manifestations ou grèves diverses n’ont pas cessé depuis les gilets jaunes et ce président n’a rien compris a été réélu par un système électoral à 2 tours en 2022 qui ne favorise que le sortant et donc le président actuel et donc lui a opposé le RN de cette extrême droite que les Français depuis toujours ne veulent pas mais lui ont donné une faible majorité suffisante ne représentant pas la vraie majorité de nos citoyens qui devrait être de + 50 % enfin pour ceux qui votent encore !?

D’ailleurs la création du parti présidentiel en marche était déjà une ineptie dans la façon ou il été créé en 2017 et donc si notre président veut vraiment travailler à la constitution de cette 6 eme république il sera utile sans quoi qu’il s’en aille car ce n’est pas un vrai Chef d’état dont tout le monde se moque à l’international et le chaos intérieur continuera (mais ne rêvons pas… !?)

Jdeclef 27/03/2023 12h16LP

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dimanche 26 mars 2023

En ce moment ou tout va mal dans nos pays encore libres et démocratiques avec nos crises économiques inflationnistes et énergétiques ce n’est pas le moment d’exciter ce dictateur Russe instable et dérangé !?

 

Guerre en Ukraine : Moscou « a pris la Biélorussie en otage nucléaire », accuse Kiev !?

Le dirigeant russe Vladimir Poutine a annoncé samedi le déploiement d’armes nucléaires « tactiques » sur le territoire de son allié, la Biélorussie.

L’EUROPE NE SE MEFIE PAS ASSEZ DE POUTINE EN JOUANT AVEC LE FEU NUCLEAIRE DONT IL MENACE CELLE-CI DEPUIS LE DEBUT DE SA GUERRE CONTRE L’UKRAINE ?!

La Russie a pris la Biélorussie en « otage nucléaire », a estimé dimanche l'Ukraine à la suite de l'annonce par le président Vladimir Poutine d'un déploiement d'armes nucléaires « tactiques » sur le territoire de son allié.

« Le Kremlin a pris la Biélorussie comme otage nucléaire », a écrit sur Twitter le secrétaire du Conseil de sécurité ukrainien Oleksiï Danilov, ajoutant que cette décision est un « pas vers la déstabilisation interne du pays ».

L'annonce du président russe « maximise le niveau de perception négative et de rejet public de la Russie et de Vladimir Poutine dans la société biélorusse », avance aussi Oleksiï Danilov.

Les indiscrets – Vladimir Poutine et son « cher ami » Xi Jinping

Loukachenko, l'allié le plus proche de Poutine

Vladimir Poutine avait dit samedi avoir eu l'accord de Minsk pour déployer des armes nucléaires « tactiques » en Biélorussie, un pays situé aux portes de l'Union européenne et dirigé depuis 1994 par Alexandre Loukachenko, son allié le plus proche.

Si la Biélorussie ne prend pas part directement au conflit en Ukraine, Moscou s'est servi de son territoire pour conduire son offensive sur Kiev l'année dernière ou pour mener des frappes, selon les autorités ukrainiennes.

Des responsables russes ont émis à plusieurs reprises des menaces à peine voilées de se servir de l'arme nucléaire en Ukraine en cas d'escalade significative du conflit.

Vladimir Poutine a motivé sa décision samedi par la volonté du Royaume-Uni d'envoyer des munitions à uranium appauvri à l'Ukraine, comme évoqué récemment par une responsable britannique.

Naturellement Loukachenco est une marionnette sous la botte de Poutine et certains pisses vinaigres diront que les Anglais ne font plus partie de l’Union Européenne depuis leur brexit ce qui n’est que de la sémantique basique car faisant toujours quand même partie de l’Europe occidentale géographique avec ses alliances avec l’OTAN US et sa fourniture de munitions à uranium n’était pas forcément une bonne idée qui donne du grain à moudre à Poutine dans sa folie guerrière envers l’UKRAINE et indirectement l’Europe occidentale et les USA avec son bouclier épouvantail OTAN !?

Comme d’habitude cette Europe unie ne semble pas bouger car la Biello Russie n’est pas si lointaine de nos frontières car ne sachant pas comment se débarrasser de ce dictateur russe dangereux dérangé comme la France par exemple et notre président bien trop occupé à régler nos problèmes internes sociétaux qu’il a créé indirectement et dont il bien du mal à se dépêtrer pour ramener le calme dans notre pays en le gouvernant mal et ne le protégeant pas assez !?

Car le monde entier va mal il faudrait que nos peuples encore libres de nos pays démocratiques s’en rendent compte enfin pour raisonner leurs dirigeants!?

Jdeclef 26/03/2023 14h37


A force de s’écouter parler les membres du gouvernement et le président n’ont plus rien à répéter ou à dire de nouveau ni à faire alors ils jouent au pourrissement vieille méthode qui ne calmera pas les Français dans cette V eme république usée obsolète devenue monarchique qui marche à reculons désespérante !

 

Olivier Véran assure qu'il n'y aura pas de « retraite » pour les « réformes » ?!

Le porte-parole du gouvernement prévient qu’il y aura à l’avenir d’autres réformes, parfois « impopulaires, mais nécessaires à l’avenir du pays ».

QUAND LA FRANCE EST GOUVERNE PAR DES BAVARDS INCOMPETENTS DE TOUS BORDS ELLE NE PEUT S’EN SORTIR ?!

Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a assuré que l'exécutif continuerait à dérouler une feuille de route « réagencée », au-delà de la réforme des retraites qui, malgré les blocages et la contestation, « ne signe pas la retraite des réformes », dans une interview au Journal du dimanche.

« La réforme des retraites ne signe pas la retraite des réformes. Il y aura, demain, d'autres réformes, conduites par nous ou par les gouvernements qui nous succéderont », souligne Olivier Véran auprès de l'hebdomadaire. Parmi ces futurs textes, certains « seront impopulaires, mais nécessaires à l'avenir du pays », et validés « démocratiquement […] par des Parlements légitimes », insiste-t-il.

L'exécutif devra faire face mardi prochain à une 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites, dont l'avenir politique est désormais entre les mains du Conseil constitutionnel, alors que les tensions dans la rue s'accroissent. « On ne peut pas laisser s'installer l'idée que la violence serait une réaction justifiable ou compréhensible », relève Olivier Véran.

« Mieux associer le peuple aux prises de décision »

Se projetant sur la suite, Olivier Véran indique que le gouvernement va « réagencer » l'agenda parlementaire pour « répondre aux préoccupations du quotidien des Français : l'accès aux médecins, les fermetures de classes, l'accès aux papiers d'identité ».

Faute de majorité absolue à l'Assemblée, « nous devons aussi réfléchir à la manière de procéder sans forcément recourir systématiquement à la loi », ajoute-t-il, plaidant également pour « mieux associer le peuple aux prises de décision ».

Franck Louvrier : « Macron doit redonner la parole aux Français »Par exemple, « nous allons reporter le texte sur l'immigration et l'intégration. Voilà un thème sur lequel il serait intéressant de permettre à la société de réfléchir ». Dans le sillage d'Emmanuel Macron, Olivier Véran assure que l'exécutif entend collaborer avec les forces syndicales, pourtant vent debout contre la réforme. « On ne se mettra pas d'accord sur le recul à 64 ans, mais à côté de cette question il y en a beaucoup d'autres, essentielles pour les Français, sur lesquelles nous voulons travailler avec eux », fait-il valoir, citant la « gestion des fins de carrière », la « reconversion professionnelle » ou encore la « revalorisation des salaires en dessous du smic ».

Mr VERAN ex ministre qui d’ailleurs s’est trompé lors de sa précédente mandature jusqu’à s’excuser après est le spécialiste des expressions débiles qui ne peuvent encourager les Français comme son patron bavard s’écoutant parler pour ne rien dire notre président dont il est préférable de ne pas prononcer le nom tant il est moqué à l’étranger et donc par sa politique inexistante internationale et bien sur la notre sociétale et nationale qui l’intéresse encore moins étant donné le dédain marqué qu’il a des français se prenant pour un pseudo monarque élu et réélu par des Français naïfs qui avalent tout mais râle bien sur et proteste voir même violemment car ce n’est qu’un faux chef d’état là par défaut des votes irréfléchis de nos concitoyens mais qui n’a rien fait depuis 2017 et à partir de 2018 a mêmes mis nos compatriotes dans la rue à vociférer en colère avec ces gilets jaunes et la suite des manifestations et grèves jusqu’à ce jour !?

Mais qui n’est pas du même monde du peuple et du pays qu’il doit gérer et diriger (encore jusqu’en 2027) car être chef d’état de la France n’est pas inné et mérite des qualités qu’il n’a pas !?

D’ailleurs il ne sait plus quoi faire et quoi dire ce qui n’est pas son habitude à ce bavard mais cette dernière fois lors de sa dernière intervention récente cela à produit l’effet contraire ravivant la colère des Français dans toute la France sur toute sa politique pas seulement cette reforme des retraites qui a servi de détonateur aux protestations diverses et nombreux problèmes latents !?

Les Français ont ce qu’ils méritent car ils aboient beaucoup mais votent mal !?

Jdeclef 26/03/2023 11h58CLP

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samedi 25 mars 2023

Quand on veut être président il faut aimer le peuple et la France en faisant abstraction de son ego personnel et ses avantages de pseudo monarque digne de l’ancien régime ce n’est pas le cas de celui que nous avons élu et réélu comme des Français naïfs qui se font avoir depuis + 40 ans !?

 

La liste des hôpitaux menacés de fermeture dès le 3 avril

Selon une étude du Syndicat national des médecins remplaçants hospitaliers, 69 hôpitaux et 107 services sont concernés. Les conséquences pourraient être dramatiques.

Notre dirigeant n’est pas à la hauteur des problèmes nombreux impactant la gestion de notre pays la santé en un parmi d’autres malgré les pouvoirs qu’ont lui a donné qu’il n’utilise pas ou mal car dépassé par sa tache de chef d’état trop compliquée pour lui !?

À partir du 3 avril, il devrait être difficile de se faire soigner dans de nombreux endroits en France. En effet, 69 hôpitaux sont menacés par des mesures de fermeture partielle. Ce qui devrait concerner 107 services hospitaliers. Ce sont du moins les prévisions d'une étude menée par le Syndicat national des médecins remplaçants hospitaliers (SNMRH), à laquelle Le Point a eu accès (voir le tableau ci-dessous).

Cette situation résulte d'un conflit social qui oppose le ministre de la Santé, François Braun, à de nombreux médecins intérimaires (anesthésistes, urgentistes, psychiatres…) qui n'acceptent pas le plafonnement de leur rémunération, fixée dorénavant par la loi Rist à 1 170 euros brut les 24 heures de garde. « Nous avons demandé à nos adhérents de nous faire remonter les informations qu'ils avaient sur les plannings des différents hôpitaux dans lesquels ils travaillent. Cela donne lieu à ce résultat pour la France entière », explique le Dr Éric Reboli, président du SNMRH.

François Braun, comme son prédécesseur, Olivier Véran, veut lutter contre l'intérim médical accusé d'être « cannibale » pour les équipes hospitalières. Certains de ces « mercenaires » peuvent parfois gagner plus de 6 000 euros dans une semaine, d'autres nettement moins. Mais eux estiment qu'ils font tourner la machine. S'en passer du jour au lendemain s'annonce donc très compliqué. Ces prévisions du SNMRH recoupent en partie des données officielles des agences régionales de santé et de la Fédération hospitalière de France, à laquelle nous avions eu accès. Ces données se révélaient déjà alarmantes.

Comme le montre le tableau, pas une région n'échappe à cette crise annoncée et beaucoup de villes vont être touchées, et certaines plus que d'autres. Les secteurs concernés sont parfois critiques, comme des services d'urgences, des blocs opératoires, des maternités, ainsi que des services de neurologie, de gériatrie, de psychiatrie, aux quatre coins du pays. « Les fermetures vont avoir lieu dans une multitude d'endroits, car les intérimaires travaillent partout. Le gouvernement ne veut plus nous faire travailler à des prix corrects. Il va se rendre compte de notre importance majeure pour faire tourner les hôpitaux », explique le Dr Reboli.

Le ministère espère « des solutions au cas par cas »

Le ministère de la Santé ne souhaite pas commenter ces estimations. « La situation est tendue dans certains départements, c'est une réalité. Mais elle évolue de jour en jour, et nous avons bon espoir de trouver des solutions au cas par cas », explique l'entourage du ministre François Braun. Mais, selon nos informations, les agences régionales de santé (ARS) sont préoccupées. « Les informations qui remontent du terrain sont inquiétantes. Il y a beaucoup de trous dans les plannings des directeurs d'établissement. On est d'accord pour lutter contre l'intérim médical, mais est-ce que les conséquences de cette réforme ne vont pas être trop dures pour les patients ? » témoigne l'un d'eux, sous couvert d'anonymat.

6 900 euros la semaine : qui sont les mercenaires de la médecine ?

Le ministère de la Santé a décidé de quelques légères mesures pour tenter de combler les trous dans la raquette : rappel de médecins à qui on propose de courts contrats d'embauche, contrats passés avec des médecins retraités et incitation à aller travailler dans les hôpitaux en difficulté. Il a aussi décidé de repousser le plafonnement des tarifs aux contrats signés après le 3 avril et de ne pas les appliquer aux contrats signés antérieurement, espérant ainsi desserrer l'étau et gagner quelques postes.

Refus de céder au catastrophisme

« Ça ne va pas changer grand-chose. Tant qu'ils ne retirent pas la loi Rist, les confrères ne viendront pas à ce prix-là », estime le Dr Reboli. La présidente du Syndicat national des praticiens hospitaliers anesthésistes réanimateurs (Snphare), Anne Wernet, est, elle aussi, soucieuse de la tournure des événements : « Faudra-t-il des morts de personnes jeunes dans les hôpitaux, à partir d'avril, par défaut de soins, pour que le ministère se rende compte que la situation est ingérable ? On se demande vraiment où on va, sans vouloir non plus sombrer dans le catastrophisme », s'interroge-t-elle.

Son incompréhension est d'autant plus grande que le personnel hospitalier « titulaire » espérait une revalorisation de la part du ministère de la Santé, afin de les inciter à faire davantage d'heures de garde, et à compenser le départ des intérimaires. « François Braun avait parlé d'une enveloppe de 1,5 milliard d'euros qui devait être redistribuée, correspondant au coût des intérimaires, pour augmenter nos salaires. Mais là, on n'en entend plus parler. Est-ce que Bercy a bloqué les négociations ? Les praticiens hospitaliers ne veulent pas être les dindons de la farce de cette réorganisation », estime Anne Wernet. Au ministère de la Santé, on affirme toutefois que « des pistes de négociation sont toujours en cours ». Rendez-vous le 3 avril donc…

C’est pourtant un sujet qui devrait être prioritaire car la santé n’a pas de prix elle coute et représente aussi la santé économique indirectement de notre pays et de tous les Français qui y ont droit !?

Plus important que ces reformes des retraites qui mobilisent tout le monde politique si médiocre de politiciens et partis inutiles qui ne pensent qu’à eux depuis des lustres car c’est un mensonge que l’on traine depuis des décennies sur notre soi-disant meilleur système de santé du monde car ce n’est plus le cas depuis longtemps car on a transformé la gestion des hôpitaux et services de santé en des gestions comptables de boutiquiers fonctionnaires car la santé n’est pas là pour rapporter ou être géré comme n’importe quelle entreprise commerciale faisant des profits et bénéfices ou pertes c’est un service public indispensable à la population pour sa survie et son droit de vivre en étant soigné correctement !?

Les ministres de la santé qui se succèdent VERAN ou BRAUN et les autres avant eux ne raisonne qu’en cout financiers mal maitrisés et mauvaise politique et joue indirectement avec la santé des Français (il faut avoir été malade gravement pour comprendre cela et avoir recours à nos services de santé hôpitaux et autres tentaculaires quand on en a besoin !?)

Notre président dira que cela remonte à avant lui mais il était au courant il a pris le train en marche car les 1eres alertes sanitaires ont été en 2003 avec la canicule qui a occasionné la démission du ministre de la Santé de l’époque ?!

Il serait temps aux Français quand ils choisissent leur dirigeant président d’étudier de près leur CV politique et personnel comme on fait pour engager un PDG dans nos grandes entreprises multinationales !

Car pour celui qu’on a en ce moment il ne sait pas quoi faire et nous gouvernent mal ou pas du tout jusqu’à présent car être président cela ne s’improvise pas !?

Notre pays se dégrade dans tous les domaines !?

Jdeclef 25/03/2023 14h20

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Quand on tire trop sur une ficelle déjà usée elle casse et çà notre président fat que nous subissons ne veut pas le comprendre et çà c’est très préoccupant !?

 

Kiosques attaqués et incendiés : la tristesse et la honte

ÉDITO. Des journaux ont brûlé, et avec eux les gagne-pains de gens qui travaillent entre 10 et 12 heures par jour. Joli symbole pour la liberté et la justice sociale.

LA COLERE ENJANDREE PAR UN PRESIDENT A QUI ON A DONNE TROP DE POUVOIR NE PEUT QU’ABOUTIR A DES COLERES OU DERAPAGES VIOLENTS QUAND LES FRANCAIS NE VOIENT PAS D’ISSUE A LEURS RECLAMATIONS ?!

Il y a des jours où la colère le dispute au chagrin. La peine, d'abord, pour un homme, gérant de kiosque à journaux, qui, nous confie-t-il, n'a pu dormir que deux heures cette nuit. Son outil de travail se trouve – ou plutôt se trouvait – près de l'Opéra, à Paris. Une odeur de brûlé, âcre, tenace, s'en dégage encore. « J'ai à peine dormi, raconte-t-il. Hier soir, je suis parti à 3 heures, mais il n'y avait rien à faire. Tout est noir. Tout est cendres. Même les bouteilles d'eau dans le frigo sont noires. »

La marchandise est fichue, le kiosque aussi. Au nom de quelle « justice sociale » s'en prend-on à un homme qui travaille entre dix et douze heures par jour, le plus souvent debout, et doit compter sur des amis pour venir tenir son commerce afin d'aller aux toilettes ? Car, non, il n'y en a pas dans le kiosque.

12 kiosques pris pour cible à Paris

Voici un travailleur qui ne gagne pas lourd et ne bénéficie pas vraiment d'un « régime spécial ». Mais il peut attendre longtemps avant que de grandes consciences sociales ne se soucient de son sort. Il ne l'attend pas, d'ailleurs. Il nous fait part de sa « grande fatigue physique et morale ». Durant la crise des Gilets jaunes, son kiosque avait été vandalisé à trois reprises, « mais jamais quelque chose d'aussi grave », dit-il.

Dette et réformette des retraites : la France est-elle devenue folle ?

Au total, douze kiosques ont été pris pour cible à Paris. Vitres cassées, portes éventrées. Deux, donc, ont été incendiés. Douze commerçants qui devront espérer que les assurances prennent suffisamment en charge les dégâts, afin de pouvoir racheter les marchandises (souvenirs, boissons, etc.) qui constituent une part significative de leur chiffre d'affaires. Douze marchands de journaux qui auront perdu, quoi qu'il arrive, des revenus, et qui continueront à en perdre lors de prochaines manifestations, car ils seront fermés. Leurs outils de travail seront fort heureusement remplacés d'ici à une semaine par la société Mediakiosk, qui gère les kiosques parisiens, et qui s'active pour les aider. Mais lors des prochaines manifestations, aucun d'entre eux ne sera rassuré.

Sentinelles de la liberté de la presse

Dans quel pays vit-on pour qu'un marchand de journaux ait d'aussi bonnes raisons d'avoir peur ? Et dans quelle époque vit-on pour que l'on puisse brûler des piles de journaux sans que cela émeuve grand monde ? Car les kiosquiers sont aussi les sentinelles de la liberté de la presse, de la liberté d'expression. S'attaquer à un kiosque n'est pas anodin. Douze encore moins. D'autant qu'il y a des précédents.

Retraites : la débâcle de la raison

Au Point, nous nous souvenons qu'en 2018, après la sortie d'un numéro sur le président turc Recep Tayyip Erdogan, les partisans de ce dernier en France avaient menacé des marchands de journaux. Au Pontet, dans le département de Vaucluse, l'un d'entre eux avait dû retirer l'affiche représentant notre une sous la pression de manifestants qui promettaient de « brûler » son kiosque.

Lors des manifestations de Gilets jaunes, des militants d'ultragauche avaient déjà incendié un kiosque sur les Champs-Élysées. D'autres avaient été dégradés, ou cassés.

S'habituerait-on ? Le quasi-silence qui a suivi ces dernières attaques de kiosques à Paris, notamment dans les sphères politiques et syndicales, est assez terrifiant.

Si le président reste droit dans ses bottes en ignorant les Français de tous bords par son entêtement et ne mettant pas de l’eau dans son vin cela ne peut qu’empirer !?

Car les protestations et manifestations diverses touchent toutes les villes et mêmes régions de province sur bien de sujets importants autant que différents car les réformes des retraites n’étaient déjà qu’une bombe à retardement qui ne demandait qu’à éclater et se rependre dans toute France servant indirectement de détonateurs pour d’autres problèmes sérieux agréger d’autres manifestants à réagir comme par exemple : l’affaires des bassines et ses agriculteurs manquant d’eau pour leurs cultures ou animaux !?

Notre gouvernement est dépassé en tout et le président n’a rien fait de concret depuis 2018 malgré des manifestations et grèves déjà présentes dès son 1er quinquennat n’a pas agi avec ses précédents gouvernements et vient de repasser le bebe à Mme BORDE sa 1ere ministre servile qui a de la constance de devoir supporter cela !?

Et bien sûr il a en plus fait un discours habituel qui n’a fait qu’attiser la colère car s’en est devenue une vraie des Français après cet échec et rejet massif des français de cette énième reforme des retraites dont ils ne veulent pas sous cette forme en les dédaignant pire qu’un monarque de l’ancien régime qui a transformé la France en champ de bataille nous mettant au banc des pays occidentaux libres démocratiques internationaux qui ne nous comprennent plus jusqu’à reporter le voyage prévu des monarques anglais une honte de plus à mettre au débit de notre président !?

Les Français lambda ne veulent plus baisser la tête car cela fait trop longtemps que nos dirigeants politiciens médiocres de tous bords se moquent trop ouvertement d’eux depuis + 40 ans !?

JDeclef 25/03/2023 12h22

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Le président est perdu ne sachant que faire mais il s’en fiche étant là jusqu’en 2027 tant pis pour les Français qui l’ont réélu et les autres qui ne l’ont pas fait !? (Presque un ersatz de démocrature qui ne veut pas dire son nom !?)

 

LETTRE DU PALAIS. Ministres comme parlementaires phosphorent sur l'après-réforme des retraites, redoutant de possibles dérapages dans les cortèges de manifestants.  

Notre président a tout raté depuis 2017 et maintenant en 2023 a attisé le trouble qui couvait comme des braises d’un feu qui ne demandait qu’à se rallumer !?

Le ministre en vue s'enfonce dans son canapé, pianote nerveusement sur son téléphone. Il est 16 heures passées ce jeudi 23 mars, jour de la neuvième mobilisation de l'intersyndicale contre la réforme des retraites, la première depuis le déclenchement du 49.3 à l'Assemblée et le rejet, de justesse, de la motion de censure transpartisane contre le gouvernement.

Au lendemain de l'intervention d'Emmanuel Macron à la télévision, les cortèges s'élançaient un peu partout dans les grandes villes et du côté de la place de la Bastille à Paris, à quelques encablures du 7e arrondissement, le quartier des ministères. Les premières images et remontées ne font pas de doute : la contestation reprend de la vigueur, le climat se tend. 

« C'est chaud, put*** », lâche ce membre du gouvernement, visiblement surpris. La mobilisation dans sa propre circonscription est comparable à celle des premières journées de manifestations, en janvier. « Heureusement que les renseignements territoriaux tablaient sur un chiffre entre 600 000 et 800 000... En fait, ce sera plus d'un million. C'est un net rebond », grimace-t-il.

« 30 000 zozos »

Un total de 1,08 million de manifestants, dont 119 000 à Paris, selon le décompte du ministère de l'Intérieur. Et 3,5 millions selon la CGT, dont 800 000 dans la capitale. La deuxième journée la plus importante depuis le début du mouvement, a souligné Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT. Pouvait-il en être autrement ?

Le 49.3 a attisé la colère, le président, en se montrant inflexible, a raté sa cible et se retrouve de plus en plus rejeté. Selon un sondage Odoxa-Backbone réalisé pour Le Figaro, plus des trois quarts des Français interrogés n'ont pas été convaincus par sa prise de parole, soit le pire niveau de toutes ses interventions. Et le soutien à la rue progresse, avec 67 % des sondés qui disent vouloir que le mouvement se poursuive, soit dix points de plus en deux semaines.

Emmanuel Macron, de l'isolement à l'impuissance

Pourtant, ces derniers jours, Emmanuel Macron avait noté auprès de ses proches que les manifestations sauvages et parfois violentes étaient plus que résiduelles. « Cela représente tout au plus 30 000 zozos sur l'ensemble du territoire. Soit uniquement des étudiants et des inactifs agités par Louis Boyard [député Insoumis, NDLR] », minimisait son entourage, tablant sur un épuisement de la contestation et une volonté d'ordre dans l'opinion.

Qui dit radicalisation dit essoufflement du mouvement... « La majorité des Français ne veut pas subir la violence, note-t-on dans l'entourage du chef de l'État. On va continuer à s'adresser à ceux qui veulent toujours vivre en République. » Après tout, l'économie continue de fonctionner et c'est là le plus important. « Ils veulent nous mettre à genou, mais il faut bien constater que c'est loin d'être le cas. Les bus, les trams et les trains fonctionnent, les écoles sont ouvertes », pointe-t-on dans la garde rapprochée du président. 

« Pas de sortie qui se dessine »

« Honnêtement, je m'attendais à ce qu'il y ait plus de monde, je pensais qu'il y aurait un effet 49.3 », dédramatise un député Renaissance proche de l'Élysée. « La colère va s'atténuer parce que son temps fait son office, et les manifestations aussi », phosphore l'élu, sûr de son fait. « Faut laisser passer, il n'y a rien à faire », acquiesce une autre figure du Palais-Bourbon. Attendre, donc... Et « faire le dos rond », selon un habitué de l'Élysée. 

Emmanuel Macron était accaparé par un conseil européen à Bruxelles, ce vendredi. Il doit recevoir son homologue du Costa Rica en fin de journée, pour un dîner de travail. Dans la foulée, le président est attendu au Stade de France, pour assister au match de football contre les Pays-Bas, première rencontre en vue des qualifications pour l'Euro.
Jérôme Fourquet : « Le point de crispation s'appelle Macron »Le début de semaine devait être marqué par la réception du roi britannique Charles III. Un dîner d'État était prévu lundi soir au Château de Versailles en présence d'une centaine d'invités triés sur le volet. Un symbole potentiellement inflammable, en plein conflit social. Plusieurs proches d'Emmanuel Macron ont bataillé en coulisses, depuis plusieurs jours, pour rapatrier ces agapes à l'Élysée. La présidence a finalement annulé, vendredi matin, la visite du monarque, reportée à des temps plus paisibles.

Le président veut profiter du délai d'attente qu'il a fixé à son camp et aux Français pour doser et préparer la suite. Il a chargé sa Première ministre de bâtir, sous trois semaines à un mois, un programme de gouvernement et de construire l'élargissement de la majorité. 

« Pendant ce temps-là, les choses sont suspendues », indique un ministre. « À part retirer la réforme, qu'est-ce qu'on pourrait faire pour apaiser les choses ? Rien », évacue un parlementaire. « Il n'y a pas de sortie qui se dessine pour l'instant », confirme un stratège. 

« Un gros lapin »

Un constat partagé par les élus invités à la table de Bruno Le Maire, jeudi, à la mi-journée. Une petite vingtaine de parlementaires de la majorité – la « team BLM », s'amuse un député qui n'en est pas – ont traversé la Seine en navette fluviale pour un déjeuner de crise à Bercy. Le puissant ministre de l'Économie a voulu convaincre ses invités que, non, le mandat n'était pas voué à l'échec.

École, logement, lycée professionnel, Europe... Le « moment retraites » a été trop sacralisé, il faut maintenant se retrousser les manches et obtenir des victoires concrètes, ressouder la majorité, mettre l'accent sur les services publics. « Bruno a passé son temps à se jeter des fleurs, mais on l'aime comme ça ! » raconte un participant qui le soutient.

Au cours de la discussion, le risque de débordements dans les cortèges a surgi. « S'il y a un incident, l'édifice serait encore plus fragilisé. Mais nous avons un excellent ministre de l'Intérieur », a rassuré le patron de Bercy, dont le nom circule régulièrement pour Matignon. S'il soutient la Première ministre, Bruno Le Maire ne sous-estime pas, hors micro, la nécessité d'un remaniement d'ampleur.

Emmanuel Macron, le scepticisme jusque dans son campAu point de remplacer Élisabeth Borne ? « Si c'est la m****, on bouge, si ça retombe, on garde la Première ministre », estime un ministre de premier plan. De plus en plus d'élus de la majorité appellent à davantage d'incarnation politique sur les sujets clés pour les Français, comme celui de l'éducation et de l'écologie. « Jean-Michel Blanquer avait eu au moins le mérite de cranter le retour aux fondamentaux et à l'autorité, il était au moins populaire auprès des parents », se lamente une députée au sujet des débuts mitigés de Pap Ndiaye rue de Grenelle.   

À terme, « le président est condamné à sortir un gros lapin de son chapeau », juge l'un de ses intimes. Reste à « voir quel est le kairos », dit-on au Château. Les week-ends sont souvent propices, pour Emmanuel Macron, aux consultations informelles et discussions tous azimuts. Il devrait cette fois-ci partir à la Lanterne avec beaucoup de lecture : ministres comme parlementaires l'abondent de notes pour imaginer les quatre prochaines années... Non sans arrière-pensées personnelles. 

Avec notre président que nous avons élu en 2017 et hélas réélu en 2022 à cause d’un système électoral qui favorise souvent le sortant mais qui ne donne qu’une majorité relative aux élections législatives après avoir donné un résultat à l’élection présidentielle dont le résultat ne représente pas la volonté d’un maximum de Français par un pourcentage nettement inferieur à 50 % qu’il faudrait pour élire un président sans contestation ?!

Une des solutions serait (peut-être) enfin d’en finir avec cette V eme république monarchique usée obsolète et surtout avec son système électoral à 2 tours qui ne représente pas la majorité des Français (enfin ceux qui ont le courage de voter car pas encore résignés comme beaucoup d’autres) en redonnant vraiment le pouvoir aux citoyens de notre pays pas à des poignées de politiciens de tous bords qui ne pensent qu’à eux le président en tête qui se prend pour un monarque (comme d’autres avant lui) à qui on a donné trop de pouvoir !?

« Laisser passer ou plutôt laisser aller »  depuis 2017 ce qu’il fait depuis son élection et réélection en 2022 c’est ce qu’il fait de mieux car il ne sait rien faire d’autre avec ses reformes de retraites 1ere en 2017 avortée et sa 2 eme son cheval de bataille qui l’a jeté à terre par une ruade violente des Français car quand on tire trop sur les rennes d’un cheval il se rebiffe et ce cabre ce qu’a fait cette énième reforme des retraites que nos concitoyens ne veulent pas car alibi en plus arbre voulant cacher la forêt des multiples problèmes sociétaux internes urgents non traités de notre pays sans compter les internationaux !?

Cela fait +40 ans que les Français se font rouler par des politiciens de tous bords sans vergognes ils sont bons publics mais incurables !?

Jdeclef 25/03/2023 11h11LP

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