samedi 25 mars 2023

Quand on veut être président il faut aimer le peuple et la France en faisant abstraction de son ego personnel et ses avantages de pseudo monarque digne de l’ancien régime ce n’est pas le cas de celui que nous avons élu et réélu comme des Français naïfs qui se font avoir depuis + 40 ans !?

 

La liste des hôpitaux menacés de fermeture dès le 3 avril

Selon une étude du Syndicat national des médecins remplaçants hospitaliers, 69 hôpitaux et 107 services sont concernés. Les conséquences pourraient être dramatiques.

Notre dirigeant n’est pas à la hauteur des problèmes nombreux impactant la gestion de notre pays la santé en un parmi d’autres malgré les pouvoirs qu’ont lui a donné qu’il n’utilise pas ou mal car dépassé par sa tache de chef d’état trop compliquée pour lui !?

À partir du 3 avril, il devrait être difficile de se faire soigner dans de nombreux endroits en France. En effet, 69 hôpitaux sont menacés par des mesures de fermeture partielle. Ce qui devrait concerner 107 services hospitaliers. Ce sont du moins les prévisions d'une étude menée par le Syndicat national des médecins remplaçants hospitaliers (SNMRH), à laquelle Le Point a eu accès (voir le tableau ci-dessous).

Cette situation résulte d'un conflit social qui oppose le ministre de la Santé, François Braun, à de nombreux médecins intérimaires (anesthésistes, urgentistes, psychiatres…) qui n'acceptent pas le plafonnement de leur rémunération, fixée dorénavant par la loi Rist à 1 170 euros brut les 24 heures de garde. « Nous avons demandé à nos adhérents de nous faire remonter les informations qu'ils avaient sur les plannings des différents hôpitaux dans lesquels ils travaillent. Cela donne lieu à ce résultat pour la France entière », explique le Dr Éric Reboli, président du SNMRH.

François Braun, comme son prédécesseur, Olivier Véran, veut lutter contre l'intérim médical accusé d'être « cannibale » pour les équipes hospitalières. Certains de ces « mercenaires » peuvent parfois gagner plus de 6 000 euros dans une semaine, d'autres nettement moins. Mais eux estiment qu'ils font tourner la machine. S'en passer du jour au lendemain s'annonce donc très compliqué. Ces prévisions du SNMRH recoupent en partie des données officielles des agences régionales de santé et de la Fédération hospitalière de France, à laquelle nous avions eu accès. Ces données se révélaient déjà alarmantes.

Comme le montre le tableau, pas une région n'échappe à cette crise annoncée et beaucoup de villes vont être touchées, et certaines plus que d'autres. Les secteurs concernés sont parfois critiques, comme des services d'urgences, des blocs opératoires, des maternités, ainsi que des services de neurologie, de gériatrie, de psychiatrie, aux quatre coins du pays. « Les fermetures vont avoir lieu dans une multitude d'endroits, car les intérimaires travaillent partout. Le gouvernement ne veut plus nous faire travailler à des prix corrects. Il va se rendre compte de notre importance majeure pour faire tourner les hôpitaux », explique le Dr Reboli.

Le ministère espère « des solutions au cas par cas »

Le ministère de la Santé ne souhaite pas commenter ces estimations. « La situation est tendue dans certains départements, c'est une réalité. Mais elle évolue de jour en jour, et nous avons bon espoir de trouver des solutions au cas par cas », explique l'entourage du ministre François Braun. Mais, selon nos informations, les agences régionales de santé (ARS) sont préoccupées. « Les informations qui remontent du terrain sont inquiétantes. Il y a beaucoup de trous dans les plannings des directeurs d'établissement. On est d'accord pour lutter contre l'intérim médical, mais est-ce que les conséquences de cette réforme ne vont pas être trop dures pour les patients ? » témoigne l'un d'eux, sous couvert d'anonymat.

6 900 euros la semaine : qui sont les mercenaires de la médecine ?

Le ministère de la Santé a décidé de quelques légères mesures pour tenter de combler les trous dans la raquette : rappel de médecins à qui on propose de courts contrats d'embauche, contrats passés avec des médecins retraités et incitation à aller travailler dans les hôpitaux en difficulté. Il a aussi décidé de repousser le plafonnement des tarifs aux contrats signés après le 3 avril et de ne pas les appliquer aux contrats signés antérieurement, espérant ainsi desserrer l'étau et gagner quelques postes.

Refus de céder au catastrophisme

« Ça ne va pas changer grand-chose. Tant qu'ils ne retirent pas la loi Rist, les confrères ne viendront pas à ce prix-là », estime le Dr Reboli. La présidente du Syndicat national des praticiens hospitaliers anesthésistes réanimateurs (Snphare), Anne Wernet, est, elle aussi, soucieuse de la tournure des événements : « Faudra-t-il des morts de personnes jeunes dans les hôpitaux, à partir d'avril, par défaut de soins, pour que le ministère se rende compte que la situation est ingérable ? On se demande vraiment où on va, sans vouloir non plus sombrer dans le catastrophisme », s'interroge-t-elle.

Son incompréhension est d'autant plus grande que le personnel hospitalier « titulaire » espérait une revalorisation de la part du ministère de la Santé, afin de les inciter à faire davantage d'heures de garde, et à compenser le départ des intérimaires. « François Braun avait parlé d'une enveloppe de 1,5 milliard d'euros qui devait être redistribuée, correspondant au coût des intérimaires, pour augmenter nos salaires. Mais là, on n'en entend plus parler. Est-ce que Bercy a bloqué les négociations ? Les praticiens hospitaliers ne veulent pas être les dindons de la farce de cette réorganisation », estime Anne Wernet. Au ministère de la Santé, on affirme toutefois que « des pistes de négociation sont toujours en cours ». Rendez-vous le 3 avril donc…

C’est pourtant un sujet qui devrait être prioritaire car la santé n’a pas de prix elle coute et représente aussi la santé économique indirectement de notre pays et de tous les Français qui y ont droit !?

Plus important que ces reformes des retraites qui mobilisent tout le monde politique si médiocre de politiciens et partis inutiles qui ne pensent qu’à eux depuis des lustres car c’est un mensonge que l’on traine depuis des décennies sur notre soi-disant meilleur système de santé du monde car ce n’est plus le cas depuis longtemps car on a transformé la gestion des hôpitaux et services de santé en des gestions comptables de boutiquiers fonctionnaires car la santé n’est pas là pour rapporter ou être géré comme n’importe quelle entreprise commerciale faisant des profits et bénéfices ou pertes c’est un service public indispensable à la population pour sa survie et son droit de vivre en étant soigné correctement !?

Les ministres de la santé qui se succèdent VERAN ou BRAUN et les autres avant eux ne raisonne qu’en cout financiers mal maitrisés et mauvaise politique et joue indirectement avec la santé des Français (il faut avoir été malade gravement pour comprendre cela et avoir recours à nos services de santé hôpitaux et autres tentaculaires quand on en a besoin !?)

Notre président dira que cela remonte à avant lui mais il était au courant il a pris le train en marche car les 1eres alertes sanitaires ont été en 2003 avec la canicule qui a occasionné la démission du ministre de la Santé de l’époque ?!

Il serait temps aux Français quand ils choisissent leur dirigeant président d’étudier de près leur CV politique et personnel comme on fait pour engager un PDG dans nos grandes entreprises multinationales !

Car pour celui qu’on a en ce moment il ne sait pas quoi faire et nous gouvernent mal ou pas du tout jusqu’à présent car être président cela ne s’improvise pas !?

Notre pays se dégrade dans tous les domaines !?

Jdeclef 25/03/2023 14h20

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