dimanche 12 mars 2023

Il serait temps que cet épisode sur les retraites ou autres problèmes sociétaux et internationaux nombreux cessent car la France va assez mal comme cela et les Français en pâtissent déjà assez !?

 

Réforme des retraites : qu’est-ce que l’article 38, qui enflamme le Sénat ?

Bruno Retailleau a dégainé un point du règlement jamais utilisé pour couper court aux débats dans la nuit de mardi. La gauche dénonce une « censure ».

LES POLITICIENS DE TOUS BORDS ET NOS GOUVERNEMENTS MACRONIENS LAISSENT LA FRANCE SOMBRER DANS UN TROU DONT ON NE VOIT PAS LE FOND !?

Plus d'un million de personnes ont manifesté samedi en France pour la septième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, a annoncé la CGT à l'AFP ; dont quelque 300 000 samedi à Paris pour la septième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, a précisé le syndicat. Le chiffre des autorités est nettement plus bas : 48 000 à Paris et 368 000 sur tout le territoire français.

Lors d'une journée d'action qui a nettement moins mobilisé que les six précédentes et à l'orée d'une semaine décisive où le gouvernement espère voir la réforme définitivement adoptée, les syndicats ont appelé samedi le président de la République à « consulter le peuple » sur la réforme des retraites.

La CGT a compté plus d'un million de manifestants, dont 300 000 à Paris, contre 1,3 million dont 300 000 à Paris le 16 février. Le décompte réalisé à Paris par le cabinet Occurrence pour un ensemble de médias, dont l'Agence France-Presse, s'élève à 33 000. En province, les chiffres étaient quasiment partout en repli par rapport au 16 : par exemple, 10 000 à Toulouse selon les autorités (contre 14 000 mi-février), 2 350 à Saint-Étienne (contre 4 450).

Les indiscrets – Macron pas contre le 49.3, Borne, si

Le président « n'a qu'à consulter le peuple »

Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a reconnu avant le départ de la manifestation parisienne une moindre affluence que le 7 mars, où la mobilisation avait été historique partout en France, mais la détermination est « forte », a-t-il assuré. Une nouvelle journée de manifestations, est prévue mercredi, en parallèle de la réunion de la commission mixte paritaire, au cours de laquelle députés et sénateurs pourraient s'accorder sur un texte, avant un vote définitif dans la foulée dans les deux chambres.

« J'implore ceux qui dirigent ce pays de sortir de cette forme de déni du mouvement social », a dit Laurent Berger, faisant part de la « sidération » des militants face à la décision du président de la République de ne pas recevoir les représentants syndicaux, comme ils en ont solennellement fait la demande dans un courrier jeudi.

Réforme des retraites : la majorité présidentielle à l'épreuve du douteDans un communiqué samedi soir, l'intersyndicale a dénoncé le « mépris » d'Emmanuel Macron, et l'a mis au défi « d'organiser une consultation citoyenne [sur les retraites] dans les plus brefs délais ». « Puisqu'il est si sûr de lui, le président de la République, il n'a qu'à consulter le peuple. On verra la réponse du peuple », a déclaré le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez.

Le chef de file de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a réagi à cette proposition en recommandant depuis Marseille « qu'on se dirige vers une consultation du peuple lui-même pour qu'on tranche ». « Il faut trouver une porte de sortie, donc nous allons en trouver une par la force », a-t-il aussi affirmé, accusant Emmanuel Macron de ne « laisser d'autre possibilité à personne que d'être dans ce rapport frontal ».

Réforme des retraites : qu'est-ce que l'article 38, qui enflamme le Sénat ?

« Reculades gouvernementales »

Le cortège parisien, entre la place de la République et celle de la Nation, a été rapidement émaillé de tensions : jets de projectiles envers les forces de l'ordre, mais aussi en direction de la CGT, poubelles incendiées, vitrines caillassées… À 18 h 30, 32 personnes avaient été interpellées. Des tensions ont aussi éclaté à Lyon, Rennes et Nantes.

Dans les cortèges, les manifestants se montraient toujours déterminés : « Ils nous disent “bosse et crève”, nous on dit “vive la grève” », les entendait-on scander à Paris. « On garde espoir », a assuré Philippe Anselme, 65 ans, retraité venu avec son épouse manifester à Bordeaux. « On sera peut-être dans le dernier carré de résistants, mais on sera là », a-t-il promis.

Même état d'esprit chez Marie-Cécile Périllat, secrétaire générale de la FSU de Haute-Garonne, qui défilait à Toulouse, où les organisateurs ont revendiqué 45 000 participants : « La pression, elle commence véritablement à s'exercer, sur le pouvoir législatif y compris. Donc on y croit, on tient et on va pas lâcher », a-t-elle dit.

Laurent Berger-Philippe Martinez : quel est votre syndicaliste préféré ?

La grève se poursuit

Les sénateurs ont repris samedi matin l'examen de la réforme, avant le couperet de la fin des débats dimanche minuit. Si la réforme devrait être votée au Sénat, il semble incertain que le gouvernement parvienne à trouver une majorité de députés pour approuver le texte et il pourrait recourir une nouvelle fois à l'article 49.3, ce qui le placerait dans une situation politique périlleuse.

« Le recours au 49.3 pour un projet de loi qui n'aura pas été discuté serait une forme de blocage démocratique inacceptable », avait prévenu mardi Laurent Berger. L'utilisation de cette arme constitutionnelle pourrait redonner de la vigueur à la mobilisation de la rue, et aux grèves reconductibles toujours en cours dans plusieurs secteurs clés : raffineries, énergie, ramassage des déchets, transport ferroviaire et aérien.

Selon la mairie de Paris, il y avait 4 400 tonnes de déchets non ramassés dans la capitale samedi à la mi-journée, au 6e jour de la grève des éboueurs. La mobilisation des aiguilleurs du ciel provoquait des retards de vols samedi. À Lyon, ils dépassaient deux heures en moyenne, selon le site spécialisé FlightAware. Plusieurs dizaines de vols ont également été annulés dans plusieurs aéroports français. Selon un sondage Elabe pour BFMTV publié samedi, 63 % des Français approuvent la mobilisation contre la réforme, mais 78 % (+ 14 points depuis le 3 mars) pensent pourtant qu'elle sera votée et appliquée.

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Je suis âgé j'ai commencé à travailler jeune car mes parents ne m'ont pas laissé le choix j'ai 76 ans retraité même si je suis solidaire de ceux qui manifestent contre cet allongement de départ à la retraite car passé de 62 ans si rapidement à 64 ans est exagéré (surtout pour ceux qui était près de l'échéance à 62 ans !?)

Il est à craindre pour ses salariés divers que ces manifestations de protestations s'essoufflent et soit un combat d'arrière-garde le Covid ayant fait capoter la 1ere reforme "à point" du président auxquelles il tenait il serait très étonnant qu'il cède car ne voulant pas perdre face à la rue des Français lambda qui souffrent déjà la situation internationale inflationniste économique énergétique voire ce conflit ukrainien toujours présent avec ce dictateur dangereux Russe !?

Et pour les retraites par aussi ses vieux syndicalistes usés comme MARTINEZ de la CGT tout près de sa propre retraite ou BERGER de la CFDT !?

Le problème il faut quand même le souligner c'est la faute de certains Français d'avoir réélu notre président car il pouvait faire une fois une erreur mais pas deux !?

Donc maintenant les Français salariés paieront l'addition car râleurs mais si facile à manœuvrer depuis que cette Veme république existe par des gouvernements des politiciens de tous bords que j'ai connu depuis DE GAULLE qui l'a créé !?

Ce n'est qu'une opinion depuis 65 ans !?

(Je serais obligé à messieurs les modérateurs du Point de ne pas censurer les commentaires comme il le font récemment ces derniers temps !?)

Cordialement

Jdeclef 12/03/2023 13h14LP


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